A merci du patron... Pt. 03

Informations sur Récit
Suite et fin des aventures de Linda.
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2

Partie 3 de la série de 3 pièces

Actualisé 04/22/2022
Créé 07/25/2007
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A merci du patron de son mari Pt. 03

Coulybaca / Georges VI

Remarque : cette histoire et les personnages qu'elle met en scène sont purement imaginaires, dans la réalité, les rapports sexuels sous la contrainte et tout autre type de relations illégales sont immorales et condamnées par l'auteur. Tous les personnages ont plus de 18 ans.

Table des matières:

Chapitre I :

1° Le chantage

2° Le banquet.

3° Le local du concierge

4° Le coup de canif dans le contrat

Chapitre II

5° Le bikini

6° La crème à raser

7° Le cocktail

Chapitre III :

8° La partouze

9° Linda et la pute

10° La touche finale

11° De retour au bureau

8° LA PARTOUZE :

Linda, haletante et suffocante gisait sur les genoux de Karl, des larmes délayaient son maquillage.

Lorsque Karl eut suffisamment recouvré son souffle, il dut repousser Linda pour se relever.

Linda vacillait sur ses jambes et rapidement s'écroula sur le canapé en-tre James et Larry.

Les deux proches collègues de son mari tendirent les mains et empoi-gnèrent ses nichons.

Linda était humiliée, mais ne se trouvait en position ni physique ni men-tale d'objecter. Elle restait assise, passive les autorisant à poursuivre leurs caresses lascives. Larry saisit une de ses mains et la plaça sur son entrecuisse au-dessus du pantalon. Docilement Linda empauma la bosse saillante et la caressa lentement.

Au bout d'un moment Larry lui fit stopper ses caresses pour déboutonner la braguette de son pantalon et descendre ce dernier sur ses genoux, sa grosse bite jaillit à l'air libre.

Linda tendit la main et empoigna sa mentule déployée.

James imita rapidement son comparse et Linda empoigna de même son membre dressé.

Ils reprirent en main ses nibards, les secouant, les serrant, les étirant les pelotant copieusement, roulant ses mamelons sensibles entre le pouce et l'index sous les yeux des spectateurs ravis et stupéfaits.

Chacun leur tour ils roulèrent des patins enfiévrés, explorant de leurs langues la bouche de leur victime consentante.

Puis ils embouchèrent ses tétons, les léchant, les mordillant, les mâ-chouillant les suçant lubriquement.

James tendit la main vers son entrecuisse et caressa des doigts sa chatte désherbée, puis il inséra deux doigts dans son fourreau et les agi-ta voluptueusement.

Linda ressentait à nouveau honte et excitation mêlée. Elle soupirait tout en tortillant des hanches.

Qu'importe l'humiliation qu'elle éprouvait sous ces caresses indésirées, elle ne pouvait s'empêcher de gémir et de se trémousser.

Ses yeux tantôt ouverts, tantôt fermés, ne reflétaient que le vide.

Larry murmura à son oreille :

- "Suce-moi comme tu as sucé Ron dans la piscine! ...." servilement Linda s'installa à genoux entre ses cuisses et éteignit sa bite entre ses lèvres chaudes et douces.

Comme elle lui taillait une pipe, elle tendit la main continuant à branler langoureusement James.

Will un des ambitieux sous-fifres de Glenn se posta dans son dos. Il n'était pas particulièrement bien fait de sa personne, plutôt râblé, mais il était doté d'une personnalité des plus agressives.

Bien qu'ivre il n'allait pas laisser passer une telle occasion de se faire la femme de son chef.

Depuis qu'il avait rencontré Linda il pensait que son chef était drôlement verni d'avoir si ravissante femme.

Linda s'était toujours montrée aimable avec lui lors des réunions de la compagnie, mais il pensait qu'elle était rudement prude et coincée du trou du cul.

Il était sceptique depuis qu'il avait entendu ses copains raconter com-ment elle s'était occupée du patron dans la piscine. Pourtant ce matin même il l'avait vue vêtue de son microscopique bikini transparent qui ré-vélait tous ses appâts.

Il l'avait vu sucer le patron de son mari, et comprenait maintenant pour-quoi Glenn était si apprécié de sa direction.

Et maintenant elle suçait effrontément la queue de cet homme après s'être fait prendre par le grand patron sous les yeux d'une nombreuse assistance, formée par les collègues et les clients de son mari, qui se régalait de reluquer ses charmes.

Il se demandait comment cette salope pouvait se comporter avec autant d'impudence.

Will s'agenouilla derrière Linda, il baissa la fermeture éclair de son pan-talon et le tira avec son caleçon sur ses genoux, sa bite jaillit agressi-vement à l'air libre.

Il jeta un oeil, entre ses jambes bien écartées, sur sa chatoune rasée, pointa son gland sur sa fentine et s'enfouit lentement en elle.

Instinctivement Linda grogna mais continua à sucer son partenaire en trémoussant son cul.

Elle jeta un oeil par-dessus son épaule le temps de réaliser qu'elle se faisait baiser par Will, son cadet de 13 ans, elle était bien trop désarmée pour l'en empêcher.

Will coulissait aisément dans la chaude cramouille détrempée de Linda, il savourait pleinement cette levrette.

Mick un des autres sous-fifres de son mari s'assit à coté de Larry, il sortit impatiemment sa bite et le lui donna à branler.

Inconsciemment Linda suçait avec art Larry lui accordant une pipe aussi savoureuse que juteuse, avec un total détachement elle branlait James et Mick simultanément.

Elle ne pouvait ignorer la bite de Will qui la labourait en profondeur, son pubis claquant contre ses fesses à chaque coup de boutoir.

Les hommes qui n'étaient pas directement impliqués dans cette scène lubrique tournaient autour un verre à la main.

Ils observaient avec attention les lèvres de Linda coulisser sur la grosse bite de Larry alors qu'elle manipulait habilement les bites de James et Mick entre ses doigts manucurés, alors que son cul dansait sous les as-sauts répétés de Will.

- "Comment peuvent-ils me faire ça à moi? ..." se demandait Lin-da.

Elle aurait aimé qu'on lui montre un certain respect et que quelqu'un intervienne pour faire cesser tout ça! .....

- "J'avais des rapports des plus corrects avec tous ces hommes, ils semblaient me respecter... Mais à l'instant même où ils en ont eu l'occasion ils m'ont traitée comme une poupée de chair juste bonne à assouvir leurs appétits luxurieux! ...... Ils ne m'ont plus du tout considérés comme une personne, mais comme un OBJET SEXUEL! ...."

Linda n'avait jamais réellement réfléchi à cette notion d'objet sexuel au-paravant.

- "Comment ai-je pu être aussi aveugle? .... Chaque fois q'un homme semblait me montrer du respect, en réalité il espérait juste profiter de mes charmes! .... C'est vraiment le seul véritable but de ces hommes, goûter aux appâts de toutes les femmes qu'ils croi-sent! ...."

Larry ne put se retenir plus longtemps, il grogna plusieurs fois, son pre-mier grommellement alerta Linda, lorsqu'il s'enfouit au fin fonds de sa gorge, elle recula la tête, relâcha sa bite, les jets de foutre s'écrasèrent sur son visage, elle ferma les yeux alors que l'épaisse purée envahissait ses narines, ses joues, sa chevelure et ses yeux.

Les yeux fermés pour éviter que le foutre ne s'insère sous ses paupières le visage couvert de semence blanchâtre elle continuait à branler James alors que Will se démenait vigoureusement au cœur de sa féminité em-brasée.

Soudain Will s'extirpa de sa chatte et cracha des flots de foutre sur le cul et le dos de Linda.

Linda s'effondra sur les genoux de Larry. Mais il se releva rapidement tandis que James se glissait à sa place.

Elle leva les yeux vers James, puis regarda sa bite et entreprit de le su-cer à son tour.

L'un des clients de Glenn remplaça Will dans son dos.

Et bientôt elle se retrouva à nouveau suçant une pine alors qu'une autre l'embrochait en levrette.

Cette fois avant que l'homme ne s'épanche en elle, elle se mit à grogner et gémir, se trémoussant alors qu'elle succombait à son tour à un puis-sant orgasme.

Après plusieurs pipes et plusieurs levrettes, Linda vit s'approcher Brett poser ses mains sur elle.

Brett était aussi un jeune employé de son mari, elle se sentait secrète-ment attirée par lui.

Ce n'est pas qu'elle espérait avoir une aventure avec lui, mais il était grand, souriant, avenant et au demeurant extrêmement séduisant.

Elle aimait bien le rencontrer lors des réunions de l'entreprise.

Linda espérait que ce charmant jeune homme mettrait fin aux humilia-tions sexuelles qu'elle subissait, mais au lieu de répondre à ses vœux, il l'empoigna et la coucha au sol.

La ravissante femme couverte de foutre était allongée sur le dos, il l'en-fourcha et s'accroupit sur son torse.

Il introduisit un puis deux, puis trois doigts dans sa foufoune les agitant vivement en elle tout en lui riant au nez.

Linda gémit alors qu'il lui évasait douloureusement le goulot.

Elle le va les yeux et vit que tout ce petit monde la regardait avidement, mais il semblait que c'était au tour de Brett de profiter de ses charmes.

Elle ouvrit les cuisses en grand l'invitant silencieusement à la posséder, mais Brett ne voulait pas la baiser, au lieu de cela, il enleva pantalon et caleçon, se posta au-dessus de Linda et s'abaissa sur ses miches.

Il enfourcha sa lourde poitrine et inséra sa grosse bitte entre ses ni-chons.

Il lui prit alors la main et l'invita à presser ses deux nibards l'un contre l'autre alors qu'il coulissait entre eux.

Linda était mortifiée de voir ce jeune homme dédaigner sa chatoune et l'utiliser comme un jouet sexuel.

Sa bite allait et venait dans son écrin soyeux.

Linda les yeux baissés voyait son gland apparaître et disparaître d'entre ses miches à quelques centimètres de son visage.

Les spectateurs encourageaient Brett, l'un d'eux se laissa tomber entre ses cuisses et entreprit de la doigter vigoureusement.

Linda maintenait ses nibards en place enveloppant son épaisse bite en-tre ses deux nichons serrés.

Lorsqu'il éjacula, son foutre s'écrasa sur ses miches, son buste, son cou et son visage.

9° LINDA ET LA PUTE :

Les clients continuaient à affluer dans la grande salle, Ron entendit frap-per à la porte et se dirigea vers elle.

Diable il avait quasiment, oublié la suite de ses plans, il ouvrit la porte et une noire américaine très élégante entra dans la salle.

Craignant que Linda ne puisse tenir toute la nuit, il avait loué les services d'une pute pour l'aider à divertir l'assistance.

La jeune femme semblait avoir une trentaine d'années bien qu'il soit dif-ficile d'apprécier son âge, elle avait des cheveux épais et défrisés, une couleur de peau très sombre et était très jolie.

Elle sourit et se présenta elle-même comme Marva, Ron la paya immé-diatement et lui dit qu'elle toucherait peut-être un bonus si tout se passait bien. Marva répliqua qu'elle avait une très grosse expérience de ce genre de réunions de mâles entourant une ravissante femme blanche entièrement nue.

Linda allongée sur le dos sur la table basse, se faisait sauter par un client alors que ses nibards dansaient au gré des coups de boutoir de son "amant", Marva présumait que Linda était une autre prostituée char-gée de distraire en sa compagnie l'assistance.

Quand le client en eut fini et se retira, Marva se mit en action :

- "Eh toi la salope! ...." interpella-t-elle Linda.

Cette intervention attira l'attention de tous. Linda regardait confuse la jeune femme noire.

- "Et petite pute, viens m'bouffer la chatte! ..... Viens payer de ta personne salope! ...."

Linda jeta un oeil affolé vers Ron qui s'était posté au coté de Marva.

- "A genoux! ...." ordonna Marva d'une voix sèche.

Linda descendit de la table et s'agenouilla à quelques centimètres de Marva. Cette dernière déboucla la ceinture de son imper et s'en dépouil-la rapidement, elle portait un soutien-gorge noir pigeonnant, un string de dentelle noir, des hauts talons et rien d'autre.

Elle se tenait face à Linda elle dégrafa l'attache de son soutien-gorge et l'enleva.

Ses nichons étaient presque aussi gros que ceux de LInda, mais ils étaient bien fermes et pointaient comme des obus, ils étaient coiffés de gros mamelons noirs.

- "Suce mes tétons! ..." intima t'elle à Linda.

Linda, confuse jeta un nouveau coup d'œil vers Ron, il lui sourit hochant affirmativement la tête, elle comprit que c'était lui qui avait mijoté ce plan.

Comme elle n'avait pas obéi à la seconde, Linda tendit la main et lui as-séna une violente gifle sur les fesses, Linda couina sous l'effet de la sur-prise.

Elle répéta menaçante :

- "Suce! ...." et cette fois Linda matée, obéit docilement.

Elle s'agenouilla face à Marva et posa les mains sur ses hanches pour s'équilibrer et pressa ses lèvres sur le mamelon dardé du nibard gauche de la jeune prostituée noire.

Suivant les instructions de la jeune pute elle lécha, mordilla, mâchouilla les nibards de sa partenaire.

Linda se cramponnait à sa ferme croupe, à son tour Marva entreprit de téter les mamelons de Linda de façon très expérimentée.

- "Enlève-moi ma culotte! ...." souffla Marva et Linda la roula lente-ment sur ses cuisses.

Le mont de Vénus de Marva était intégralement chauve, on voyait clai-rement ses babines roses qui tranchaient sur le reste de sa carnation.

- "Bouffe-moi la chatte! ...."

Pour la première fois, Linda se penchait sur la foufoune d'une autre fille et entreprit de parcourir de la langue sa cramouille détrempée.

La pute noire mal embouchée l'insultait constamment.

Elle enfonçait sa langue profondément dans sa moule, la parcourant à grandes lèches.

- "C'est pas terrible, je vais te montrer comment faire! ...." intervint Linda l'obligeant à se coucher à plat dos sur la moquette.

Elle l'enfourcha tête bêche et pressa sa chatte sur le visage de Linda tout en enfouissant son visage dans son entrecuisse.

Elle dénicha rapidement la fentine inondée de Linda, pour la première fois de sa vie Linda exécutait un 69 avec une autre fille sous les vifs en-couragements des spectateurs.

Linda était dégoûtée de devoir lécher la chatte d'une autre femelle, mais elle faisait de son mieux pour la satisfaire.

Marva était une experte du bouffage de chatte, Linda répétait les cares-ses de Marva.

Ses sens s'éveillaient lentement sous cet expert léchage de moule, Marva verrouilla ses cuisses sur la tête de Linda.

Les spectateurs entendirent alors Linda grogner sourdement.

Marva finit par réaliser que Linda n'était pas une professionnelle, juste une quelconque salope que ces hommes avaient rameutée.

Linda trémoussait des hanches et verrouillait ses cuisses autour de la tête de Marva.

Elles remuaient sur le plancher intimement liées l'une à l'autre, se lé-chant et se mordillant tout en couinant.

Marva distinguait la différence entre un orgasme feint et un véritable or-gasme, et à sa façon de se tortiller et de geindre, elle savait que Linda ne simulait pas.

Marva cassa leur étreinte, elle se coucha tout près de Linda, qui était encore en état de sidération.

Et maintenant Marva changeait de personnalité, la dominatrice se muait en amante.

- "C'était merveilleux ma chérie, tu dois très souvent faire des cho-ses comme ça! ....." la taquinait Marva.

Puis elle planta ses lèvres sur celles de Linda, elle inséra sa langue dans sa bouche et la lui inspecta suavement.

Linda répondait à ses baisers enflammés et savourait le goût de ses propres secrétions dans la bouche de celle qui venait de tant la faire tant jouir.

Puis Marva posa la main sur ses nichons, Linda regardait les petites mains noires qui dessinaient des petits cercles sur ses gros nibards cou-leur ivoire.

Puis elle saisit un de ses nichons et le pressa contre un de Linda, les deux tétons semblaient s'étreindre en une petite lutte lubrique.

Marva poussait des gémissements feints et Linda répondait poussait de vrais geignements.

La main de Marva descendit le long de son ventre et trouva son chaton, elle titilla rapidement ses babines et dénicha son clito qu'elle pressa en-tre ses doigts, Linda gémissait à nouveau elle écarta ses cuisses en grand et agrippa la main de Marva.

Marva se saisit de celle de Linda et la posa sur sa chatoune, puis elle soupira :

- "Doigte-moi ma chérie! ...."

Les deux femmes s'embrassèrent avec passion et se doigtèrent mutuel-lement sous les yeux de l'assistance emballée.

Marva repoussa la main de Linda et la fit sucer es doigts, immédiate-ment un nouvel orgasme submergea Linda ses hanches se crispèrent sur la main de Marva elle poussa un hurlement perçant et se mit à trem-bler comme une feuille.

10° LA TOUCHE FINALE

Marva se retira dans la chambre et se fit sauter par des clients pour le temps qu'ils l'avaient retenue.

Quelqu'un se rendit compte que le canapé s'ouvrait pour former un lit d'appoint.

Karl étala Linda dans sur le sofa pour que les invités puissent continuer à s'amuser avec elle.

Il avait bien observé la façon dont son mari la baisait la veille au soir, il voulait baiser avec elle à l'identique.

Il s'allongea sur le dos et invita Linda à l'enfourcher.

Linda se plaça elle-même à l'aplomb de la bite dressée de Karl selon les consignes de Karl.

- "Je veux que tu baises avec moi comme avec Glenn la nuit der-nière! ..."

Linda gênée se rappela alors que la veille au soir elle s'était donnée en spectacle en train de baiser avec son mari écarta les cuisses exacte-ment comme 24 heures plus tôt.

Il lui jeta un coup d'œil satisfait alors qu'elle se positionnait confortable-ment.

Il lui caressa lascivement les hanches et les cuisses avant de lui empoi-gner les fesses exactement comme Glenn la veille.

Puis il se saisit de ses nibards et étira ses tétons, Linda se pencha en avant pour laisser pendre ses nichons sur le visage de Karl.

Elle baissa les yeux sur lui et le vit attraper ses pendules qui dansaient devant ses yeux et chopa un mamelon entre ses dents.

Elle le chevauchait rapidement, comme elle chevauchait Glenn la nuit précédente, elle sentait croître son excitation.

Ron, qui s'était épanché sans ses orifices trois fois ces dernières 24 heu-res décida de profiter de sa position pour faire une dernière chose qu'il désirait imposer à la femme de son subordonné.

Il grimpa sur le lit alors que Linda était toujours perchée sur Karl et s'ins-talla entre les jambes de Karl.

Karl vit faire Ron, il comprit immédiatement ses intentions et attira Linda sur son torse.

Alors que Linda se positionnait pour garder précieusement la bite de Karl en elle, Ron pouvait voir la bite de Karl aller et venir dans la moule de Linda, juste sous son petit trou du cul serré.

Un tube de lubrifiant à la main, il en déposa une noisette sur son majeur et entreprit de lui en enduire le goulot. Effarouchée Linda se retourna pour voir ce qui se tramait, mais Karl la tenait bien, elle poussa un petit cri aigu :

- "Ohhh! ..."

C'était une sensation étrange, inconfortable, de sentir quelque chose qui s'insérait dans son anus.

Ron lui fouillait activement le trou d cul lui évasant le goulot pour déposer plus profondément le gel lubrifiant et pour lui évaser le goulot.

Puis il enduisit son gland et sa hampe de gel, et pointa son gros champi-gnon sur son oeillet frémissant, Karl tenait Linda pour faciliter la tâche de Ron.

Linda comprit ce qu'il voulait faire et couina :

- "Non, pas ça... Je ne veux pas... On ne m'a jamais! ...."

Comme Ron le supposait elle état vierge de la rondelle.

- "Nonnnnn... Vous êtes bien trop gros... "

Ron s'enfouissait lentement dans ses reins, centimètre après centimètre, Linda couinait en se tortillant.

Karl lui murmura :

- "Du calme ma chérie, relâche tes sphincters..... Ils s'adapteront! ..."

Linda suivit son conseil, mais continuait à frissonner alors qu'il s'enfouis-sait de plus en plus profondément dans son fion.

Puis il commença de lentes allées et venus, Karl reprit le pilonnage de sa chatte.

Les deux hommes gloussaient alors qu'ils cherchaient à harmoniser leurs allées et venues dans ses orifices asservis.

Linda ne s'était jamais sentie aussi dégradée, c'était une sensation très étrange d'avoir deux bites en elle uniquement séparées par la fine mem-brane de son périnée, deux bites qui lui distendaient horriblement ses deux orifices.

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