Amour du Passé

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Un amoureux secret du passé se manifeste au présent.
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Histoire est 100% fictive et écrite en québécois, sans violence ni grossièreté. Si cela ne fait pas votre affaire, ne perdez pas votre temps ici et allez lire ailleurs. Vous êtes avertis, pour les autres bonne lecture.

Bonjour, je me nomme Hélène, je suis une femme de 24 ans, j'ai les cheveux cuivrés coupés aux épaules, les yeux verts, le teint pêche semi-bronzé et je suis de taille moyenne (1 m 68), plutôt athlétique, avec une poitrine de taille 80 C.

Je suis diplômée technique en secrétariat médical et je travaille dans une des cliniques de médecine familiale de ma petite ville. J'ai un fiancé répondant au nom de Charles qui est le seul homme que j'ai eu dans ma vie et un garçon de 4 ans nommé Vincent. Charles est un homme de 26 ans, athlétique, il mesure près de 2 m, il a les cheveux courts châtains, les yeux noirs et la peau mate. Quant à notre fils, il est le portrait craché de son père. En dehors du travail et de mes obligations matrimoniales, j'ai l'habitude de faire trente minutes de jogging par jour et deux heures de tennis par semaine pour me tenir en forme et maintenir une belle silhouette.

Après 6 ans de vie commune, Charles et moi avons décidé de nous unir en bonne et due forme par les liens sacrés du mariage. N'étant, ni l'un ni l'autre pratiquant, nous avons décidé de le faire au civil. La cérémonie sera donc présidée par l'un des oncles, côté paternel, de Charles, oncle Bertrand.

Donc, c'est en cette chaude journée de juillet qu'est célébrée la cérémonie. Le tout se passe en plein air sur le bord d'un lac. Elle est sobre, nos invités n'étant composés que des parents et amis proches, ce qui fait en tout une cinquantaine de convives. La cérémonie d'échanges de vœux se passe à merveille ainsi que le repas, toujours en plein air. Puis, comme le veut la tradition, arrive le temps de la danse des mariés. Pour ceux qui ne savent pas ce qu'est la danse des mariés, c'est assez simple. Chacun, des époux, fait quelques pas de danse, qui durent environ une minute, avec, à tour de rôle, chacun des invités qui le désirent en échange d'un modeste montant d'argent qui sert habituellement à aider les nouveaux mariés à payer pour les frais de la cérémonie.

Tandis que les invités, majoritairement masculins, viennent danser avec moi à tour de rôle, tandis que la majorité de la gente féminine danse avec Charles, s'approche Patrick, le meilleur ami de Charles, pour danser avec moi. Charles et moi connaissons Patrick depuis la Polyvalente, car Charles et lui étaient les deux étoiles vedettes de l'équipe de hockey de l'école, il formait l'un des meilleurs duos de la ligue Midget AAA au Québec. Patrick est un homme de 26 ans aux cheveux brun foncé, aux yeux bleus et de la même corpulence que Charles. C'est Patrick qui m'a fait connaître Charles par l'entremise de ma meilleure amie Jacinthe, une grande blonde mince aux yeux verts, alors que j'avais un peu plus de 18 ans. Celle-ci est devenue la conjointe de Patrick, après que ce dernier soit revenu d'un exile d'un an aux États-Unis, exile qui s'est produit un mois avant que Charles et moi avions commencé à sortir ensemble, plus tard, ils eurent une petite fille nommée Rosie qui est aujourd'hui âgée de 3 ans.

Dès que Patrick s'approche de moi, je constate qu'il a déjà un taux avancé d'alcoolémie dans le sang. Il sent l'alcool à plein nez. Cela ne fait pas trente secondes, que l'on danse ensemble, qu'il m'empoigne le postérieur, en me chuchotant à l'oreille :

― C'est avec moi que tu aurais dû te marier.

Choquée par son comportement et perturbée par ses paroles, je lui demande discrètement de s'en aller, ce qu'il fait aussitôt.

Mis à part cet incident, la journée fut parfaite. Les festivités terminées, nous retournons chez nous, Charles, Vincent et moi pour nous coucher, car demain, sera une journée très chargée pour Charles et moi. Effectivement, nous avons prévu partir une semaine, tous les trois pour la France, ce voyage sera notre voyage de Lune de miel. Donc demain, mes parents sont sensés venir chercher le petit pour le garder tandis que je préparerai nos bagages pour le voyage qui se fera après demain et que pendant ce temps-là, Charles passera sa journée à son bureau, il travaille dans une agence de placement, pour y terminer de classer les dossiers urgents, afin d'avoir la paix durant sa semaine d'absence.

Le lendemain, dès 6 h du matin, mes parents viennent chercher Vincent pour le garder jusqu'au soir tandis que Charles part pour le bureau duquel il sera de retour vers 22 h tandis que moi, je vais faire nos bagages et préparer la maison pour un départ prolongé, avertir notre compagnie de surveillance de notre longue absence, collecte du courrier par les voisins, etc. Comme la journée est plutôt chaude, je suis pieds nus et je suis vêtue d'un short vert pâle et d'une camisole assortie à mon short. Cela fait une semaine que je ne prends plus de moyen de contraception et que j'utilise des produits naturels pour augmenter ma fertilité, car moi et Charles voulons profiter de l'occasion pour avoir un autre enfant.

À 12 h 30 tandis que je termine mon diner, le téléphone sonne. C'est Patrick qui veut s'excuser pour ce qui s'est passé la veille. Étant seule, ayant terminé avec les préparatifs pour le départ et comprenant sa situation de rupture amoureuse, je décide de l'inviter à venir prendre un café. Il arrive à 13 h vêtu d'un short bleu marin, d'un polo blanc et chaussé de joggings blancs.

Tous deux assis sur la causeuse de ma véranda, située à l'arrière de ma maison de banlieue et tout en buvant notre café respectif, nous parlons de tout et de rien. Soudainement poussé par la curiosité, par rapport à ce qu'il m'avait dit la veille, je lui demande :

― Pat, que voulais-tu dire par « C'est avec moi que tu aurais dû te marier » ? Décontenancé, il me répond :

― Oublie cela, ce n'était que les paroles d'un homme soumis à l'alcool. Puis après un bref moment de silence, il poursuit d'un air résolu. En fait, avant que tu commences à fréquenter Charles, j'étais amoureux de toi et c'est pour cette raison que je me suis enfui aux États-Unis.

Profondément émue, en colère et les yeux remplis de larmes, je lui réponds.

― Espèce d'imbécile, je ne sortais pas avec Charles à ce moment-là, car j'étais amoureuse de toi et j'ai interprété ta fuite comme étant un geste désespérer de me dire que tu ne voulais rien savoir de moi.

Rougissante de honte, après m'être comporté comme une adolescente sur un passé qui date de 6 ans, je me lève pour reprendre le contrôle de mes émotions lorsque Patrick m'agrippe par les hanches et m'assoie sur lui. Je lâche alors un cri de surprise et avant que je n'aie le temps de protester davantage, ses lèvres, douces et chaudes, se sont posées sur les miennes. Je veux le repousser, mais je ne le fais pas, car à cet instant précis, je ne suis plus la femme mariée de 24 ans, je ne suis plus la mère d'un garçon de 4 ans, mais je suis redevenu la jeune femme de 18 ans, amoureuse d'un homme nommé Patrick. Assise à angle sur ses cuisses, je lui rends son baiser avec fougue en lui passant mon bras gauche derrière le cou et en glissant ma main droite, sous son polo, pour lui caresser les pectoraux. Tandis que je suis appuyée sur son bras droit, dont la main est appuyée et caresse mollement ma cuisse droite, sa main gauche s'insinue lentement sous ma camisole, en glissant sur mon ventre plat, pour terminer sa course sous le bonnet droit de ma brassière et y caresser mon sein et mon nichon durci. Mon corps entier s'enflamme instantanément de désir enflammant du coup celui de Patrick qui après avoir retiré sa main gauche de sous ma camisole, me transporte sur mon lit conjugal, lit sur lequel Charles et moi avions conçu notre fils, Vincent. Alors que nous continuons à nous embrasser passionnément sur le lit, nous nous déshabillons l'un et l'autre pour ensuite coller ensemble nos corps nus toujours en nous embrassant avec passion roulant l'un sur l'autre à tour de rôle.

Après, avoir passé un long moment à nous embrasser et, tandis qu'il se trouvait par-dessus moi, Patrick fait glisser sa main droite entre mes jambes et se met à m'y caresser le clitoris tandis qu'il relève la tête pour agripper de sa bouche, mon mamelon gauche me faisant gémir de plaisir tandis que mon corps s'arc-boute sous la décharge d'une enivrante pulsion orgasmique. L'instant d'après, ou quelques minutes plus tard, j'ai sa masculinité en main. Je le regarde dans les yeux tandis que je lèche et enfonce le gland de sa verge longue de 20 cm et large de 3,5 dans ma bouche. Il me sourit en me caressant les cheveux de sa main droite sa main gauche reposant lâchement sur son flanc. Il me laisse faire en souriant, sans me forcer, tandis que j'enfonce cm par cm son membre dans ma bouche. Je ne peux en prendre plus que la moitié que je suce tendrement au départ et avec de plus en plus de fougue le faisant gémir, de jouissance, de plus en plus fort. Après quelques minutes, Patrick me force à lâcher son membre et me faisant rouler sur le dos, il s'installe entre mes jambes et y plante son visage, voulant goûter ma féminité. Je gémis, je crie, je hurle ma jouissance sous sa langue qui me taquine mon très sensible bouton d'amour. Puis, il se relève et après m'avoir embrassé à nouveau sur la bouche, il me demande :

― Voudrais-tu me faire l'honneur d'avoir un enfant de nous deux ?

― Oh que oui ! lui répondis-je sans hésiter.

Sur cette réponse, il enfonce son pénis pleine taille dans mon vagin bien gonflé et lubrifié à fond. Je pousse un long gémissement de plaisir alors que son membre s'enfonce cm par cm en moi. Puis, alors qu'il est à moitié enfoncé en moi, il décide sans plus attendre de me le pénétrer en entier d'un coup, me faisant, à nouveau, orgasmer tandis qu'il m'injecte sa semence au fond de mon utérus. Épuisé, il se roule alors sur le dos à ma gauche. Je roule alors sur mon côté gauche en appuyant ma tête sur son épaule et mon corps sur le sien.

Nous restons là sans dire un mot, tandis que je lui caresse son membre ramolli qui se remet miraculeusement à reprendre vie. Il n'en faut pas plus pour que je grimpe sur lui, et me mette à chevaucher fougueusement la verge de mon étalon fringuant. Tandis que je roule mon bassin dans un rodéo d'enfer, Patrick m'agrippe par les hanches et tente sans succès de freiner mes ardeurs, résultant, qu'il ne lui prend que quelques minutes pour que ses testicules se vident à nouveau dans mon antre assoiffé de spermes. Mais heureusement pour moi, j'ai eu le temps d'avoir trois micro-orgasmes entre temps.

Il n'est que 14 h 15, alors que nous avons eu le temps de faire l'amour deux fois depuis qu'il est arrivé à 13 h. Comme il semble endormi, je décide, sans l'éveiller, d'aller prendre une douche rapide dans la salle de bain privé de la chambre des maîtres. Mais, dès que j'ouvre le robinet, je me retourne et me retrouve face à face avec Patrick, nu dans toute sa splendeur. Le dos appuyé sur le mur à l'intérieur de la petite douche en coin, il me soulève en m'agrippant par les fesses en plaçant mes jambes de chaque côté de son corps autour de ses hanches et me redescend sur son membre viril qui est, à mon grand étonnement, encore prêt à l'emploi. Je passe alors mes bras sur ses épaules pour me retenir tandis qu'il me fait l'amour une troisième fois, cette fois-ci me faisant orgasmer, avec une forte intensité, à deux reprise avant de m'injecter sa semence pour une troisième fois. Puis, après nous avoir mutuellement lavés. Nous nous embrassons, une dernière fois, d'un baiser qui dura une bonne quinzaine de minutes, avant qu'il ne parte chez lui.

Trente-six semaines plus tard, je donne naissance à une petite fille que je nomme, avec l'accord de Charles, Patricia.

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