Après la pluie

BÊTA PUBLIQUE

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Les enfants jouaient dehors. Wendy était assise sur le genoux d'Edward qui parcourait ses cheveux d'une main affectueuse. Elle avait pris l'habitude de laisser le collier noir où une petite boucle de fer permettait de l'attacher à une laisse. Elle était resplendissante de sérénité et ses yeux noisette lumineux faisaient presque oublier son sourire allègre.

Alors avec une légère appréhension, elle lui annonça qu'elle n'avait pas eu ses règles depuis longtemps, et qu'elle pensait être enceinte. D'un côté elle avait peur de la réaction d'Ed, qui avait souvent vanté son indépendance et sa liberté vis à vis du monde, mais d'un autre côté, Wendy avait toujours voulu être mère. En plus de ressentir une disposition innée à la maternité, celle-ci symbolisait à ses yeux le véritable passage dans le monde adulte, auquel Edward malgré son âge plus jeune, lui faisait goûter.

Ed resta d'abord les yeux fixés sur elle dans un silence pesant, puis en une fraction de seconde, la prit vigoureusement entre ses bras et l'embrassa avec passion. D'abord surprise, Wendy savoura le baiser et sa signification.

Quand le grincement de la porte d'entrée interrompit l'instant intime, Wendy pouvait voir que les yeux du jeune homme étaient quelque peu embués.

Chapitre dernier : Comment la jeune Gwendolyn devint femme

Wendy était adossée à la tête de lit. Elle tenait de ses mains ses deux jambes grand-écartées, et sous le ventre visiblement arrondi, on distinguait une vulve rougie et gorgée, couronnée d'un duvet blond. Un œuf en plastique vibrait dans sa cavité anale, et l'abricot luisant semblait réclamer lui aussi de l'attention. « Viole moi » imploraient les lèvres exquises. Ed approcha, et sortit de sa poche un tissu rose pâle ; elle reconnut sa culotte. Il l'enfourna dans la bouche de la jeune femme ; elle semblait avoir un goût d'orange. Alors il entra en elle, encore et encore, dans les hurlements à peine étouffés qui envahissaient la pièce. Les seins rebondis, qui suivaient un mouvement pendulaire, n'échappaient pas à l'emprise des mains gourmandes d'Edward. Plus vite que d'habitude, elle sentait la vague de chaleur monter en elle. Chaque fois qu'ils le faisaient, Ed avait mieux appris les points sensibles de la jeune femme et se perfectionnait. Un pincement de téton ou une fessée au moment opportun avait sur elle un prodigieux effet. Les mamelons rose dressés étaient en effet pétris par les doigts habiles, à la limite de la douleur perçante. L'orgasme survint en un éclair, et la contraction de ses muscles faisait onduler le corps de Wendy sur l'instrument de plaisir. Mais Edward n'avait pas fini, et alors qu'elle se remettait tout juste de sa décharge, les va-et-viens brûlants recommençaient. À l'aide de son pouce et de son index, il appuya des deux côtés de la chair autour du clitoris puis relâcha la pression ; il accompagna ainsi chaque coup de boutoir. Toutes ces stimulations transportaient la jeune femme dans un au-delà vaporeux, et rapidement, elle sentit se construire dans son bas-ventre un nouvel orgasme. Seules des plaintes épuisées et saccadées résonnaient désormais dans la chambre, et alors qu'il accélérait frénétiquement ses coups de bassin, elle sentit dans son corps un choc électrique. Elle fut de nouveau parcourue de spasmes, et agitait la tête de haut en bas les yeux retournés avec des airs de Pythie. N'y tenant plus, Ed explosa en elle et déchargea son nectar par jets puissants.

Wendy était à demi évanouie. Une huile blanchâtre commençait à couler de son antre dilatée. Edward y inséra deux doigts, et récolta un peu de ce précieux liquide, mêlé avec ses propres jus. Il approcha ses doigts gluants du visage de Wendy, qui se mit à les sucer et à les lécher circulairement pour y recueillir le plus de fluide chaud.

Il embrassa son front et murmura :

« C'est bien, tu es tout à fait disciplinée ».

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1 Commentaires
trouchardtrouchardil y a plus de 6 ans
Merci

Une histoire très bien imaginée et très bien écrite. Merci.

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