Au Nom Du Père

Informations sur Récit
L'avide Julia ne peut qu'obéir à son beau père...
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Partie 1 de la série de 2 pièces

Actualisé 10/23/2021
Créé 07/16/2011
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Translated from Literotica US, by the author AStropirate, story's name In The Name Of The Father 01, with the agreement of the author.

Traduit de Literotica US, par l'auteur AStropirate, histoire au nom de In The Name Of The Father 01, avec l'accord de l'auteur.

Scène 01 : Premières Soumissions

Alors que David se tenait dans le cimetière de Hilton, non loin de Tiverton, Devon, tandis que son épouse bien-aimée, Anne, était transporté à son ultime demeure. David Elligham réfléchi alors sur sa vie. A l'âge de seize ans, il avait fait fortune dans la spéculation boursière, grâce aux informations qu'il a acquise d'une connaissance de son oncle, ainsi que l'aide d'un faux nom, et d'un mensonge sur son âge. A dix-huit ans, il bénéficiait toujours de ses connaissances d'initié lors d'un effondrement imminent, et vendait ses actions pour doubler sa fortune. Il investissait alors cette fortune dans une entreprise de transport de marchandise, qui se diversifia bientôt dans le domaine maritime, puis aérien. Et puis, âgé de 25 ans, il s'était également investit dans l'ingénierie et l'électronique. Sa fortune personnelle est depuis estimé à 5 milliards de livres sterling, l'équivalent de cinq milliards six cent millions d'euros. Tout cela, il l'aurait volontiers abandonné, si cela aurait pu lui rendre son épouse. Le seul regret qu'il puisse avoir à son sujet était les deux fils ingrats qu'elle lui avait léguée.

John et Paul Ellingham étaient ses deux fils, deux jumeaux de 28 ans. Ils avaient été pourri gâté par leur mère. Ils dilapidait l'argent que leur éducation princière leur permettaient. Ils n'avaient jamais travaillés de leur vie, bien sûr, pourquoi donc? Après tout, Papa était bien assez riche comme sa, et sa fortune serait tôt ou tard entre leurs mains.

David Ellingham, cependant, avait d'autres plans en tête. Il n'avait pas de temps a perdre en paresse. Il avait insisté sur le fait que si ses fils désiraient vraiment sa fortune, ils feraient bien de commencer par la mériter. Pour ce faire, ils les envoya tout deux dans la compagnie de transports, et non pas comme cadre, bien à l'aise en bureau, mais bel et bien comme conducteur de longue distance. Ils pouvaient se plier à sa volonté, ou bien partir. Leurs flemmardise le dégoutait. Pour parfaire ce tableau répugnant, tout deux s'étaient entichés et s'était mariés avec deux belles petits aimants à diamants.

Julia avait 26 ans, et épousa John après de brèves vacances romantiques, contre la volonté de son père. Esther avait épousée Paul. Elle l'avait convaincu qu'elle l'aimait autant que lui l'aimait. Si les deux jeunes femmes avaient un point commun, c'était d'avoir cru, comme les contes de fées, avoir épousées des princes d'un royaume prospère, et leur réveil des milles et unes nuits allait être brutal, mais nécessaire.

La regrettée Anne Ellingham pensait que son mari avait persuadé ses deux garçons à rester vivre dans les appartements particulièrement adaptés du manoir Ellingham afin d'être proche de leur mère. Ce qui n'était qu'en partie vrai. En réalité, David avait fait pression sur ses deux enfants. si ils ne venaient pas s'installer à leur résidence, ils ne toucheraient pas un sou de l'héritage, et les deux femmes avaient acceptée en ronchonnant. Dorénavant dans le cadre familial et l'hypocrisie de la solidarité familiale, les belles-filles de David Ellingham se tenaient à ses côtés, le réconfortant en lui tenant les bras.

Ces deux femmes complotaient dans son dos, en usant des moyens légaux, et plus récemment, de flatterie pour le manipuler, mais en vain. David Ellingham n'avait certainement pas passé la meilleure partie de ses 40 ans à faire sa fortune pour ne pas déceler des connivences lorsqu'elles se déroulaient sous son toit. Mais bientôt elles payeraient, et elles payeraient le prix fort.

Une semaine après l'enterrement, David était assis dans son bureau. Il réfléchissait. On frappa à la porte et Julia, la femme de John, entra avec un plateau de thé et une collation.

"Et voila, Monsieur Ellingham, quelque chose de léger à manger."

David ne permettait jamais a Julie ou Esther de l'appeler autrement que par son nom. Il insistait fermement sur ce point. Il l'étudia alors du regard, intensivement. A vingt-six ans, c'était une créature pour le moins intéressante. sur son mètre soixante-quinze se tenait fièrement une taille mince, une poitrine ample ainsi que de longues jambes. Elle était vêtue d'un chemisier noir et d'une jupe noir à longueur des genoux, des bas sombres glissant sur ses jambes. Sa courte chevelure blonde reflétait la lumière du soleil. Le simple fait de la regardait lui donnait envie.

"Merci, Julia".

"Vous désirez autre chose?"

David se leva et se rapprocha d'elle.

"En fait, oui. Je tiens à lécher ta chatte."

"Je vous demande pardon?" Demanda Julia, étourdis par l'audace de son beau père

"Tu m'as bien compris. Descend ta culotte."

"Espèce de salaud immonde" criait elle, avant de se tourner brusquement vers la porte.

"Si tu passe cette porte, vous pourrez faire vos valises et quitter cette maison, toi et ton vaut rien de mari."

"Vous me jetteriez dehors? Je vais demander le divorce."

"Vas-y, ne te prive pas. La moitié de rien, c'est toujours rien, ma chère Julia." sourit-il.

"Que voulez-vous dire?"

"Demande donc à ton précieux John ce qui lui appartient? Il te répondra qu'il ne possède rien. Tout est à mon nom. La maison, les sociétés, l'argent, tout. Il ne possède pas même les chemises qui sont dans son armoire."

Julia se mis sur la défensive.

"Il a bien de l'argent sur son compte."

David secoua la tête

"C'est ce qu'il t'a dit? Chaque fois qu'il a besoin d'argent, il doit venir me voir. tout est à mon nom."

Julia était a présent muette de stupeur. Elle ne savait plus quoi dire.

"Alors, qu'est ce qu'on fait, traitresse? Tu vas me laisser lécher ta chatte, ou bien préfères-tu aller te terrer dans tes gouttières?"

Julia voulait exploser. Une partie d'elle mourrait d'envie de sortir de cet enfer, mais une autre partie lui murmurait que David Ellingham avait raison. Elle finirait au trottoir, sans un sou. Elle pris sur elle de ravaler sa fierté et, soulevant sa jupe, fit rouler ses bas et sa culotte, exposant sa chatte rasée à son beau-père pour la première fois.

D'anticipation, David Ellingham se léchait les lèvres. " Une chatte fraichement rasée. Au moins ton mari a du goût."

Julia frissonna lorsque la langue de cette homme ignoble commença a explorer son intimité. Ses mouvements rapides, puis sa langue qui se frayait un passage entre ses lèvres intimes faisaient son petit effet , et elle sentait son clitoris vibrer de bonheur. Elle mouillait.

"Uurgh.."

Elle ne pouvait que proférer des gémissements, qui devenaient de plus en plus profonds à chaque inspiration. "Oh merde..." répétait elle a plusieurs reprise.

Soudain, tout cessa alors et David se rassit dans son fauteuil. Elle le vis défaire son pantalon. Julia resta béat face à l'imposante stature du sexe de son beau-père.

"Bien, agenouille toi et suce-la."

Humiliée, Julia tomba à genoux comme il lui avait ordonné, prenant l'énorme bitte dans sa bouche et commença alors a la sucer doucement, avant d'accélérer progressivement les vas et viens de sa tête, qui était entre les mains de David, la faisant aller et venir. Au bout d'un moment, elle sentit le gland vibrer, puis une explosion de semence remplissait sa bouche. Elle ne pu le recracher, car il repoussa son visage en arrière, la forçant à l'avaler jusqu'à la dernière goutte.

"Tu est une très bonne suceuse." dit il, un peu haletant.

"Mais sa je le savait déjà lorsque tu t'est mariée avec John. Je suis vraiment impatient de te baiser ce soir. Je parie que tu est très chaude au pieu."

"Mais et John!"

"Il est parti à Glasgow et ne sera de retour avant demain, non pas que cela fasse la moindre différence. Il peut se plier à mes volontés ou partir, peut m'importe. Assure-toi que tu porte ta lingerie la plus sexy ce soir. A présent sort, j'ai à faire."

Julia le laissa sans un mot. Derrière la porte, elle le maudit dans un souffle. "Ce bâtard, putain..."

* * * * *

A dix heures du soir, David Ellingham était assis dans son fauteuil de chambre, en pyjama et vêtu d'une robe de chambre rouge lorsque l'on frappa à la porte. David s'approcha et l'ouvrit. Julia se tenait devant la porte dans la même tenue noire qu'elle portait plus tôt. David la fit entrer.

Il se mit derrière Julia et, posant ses mains sur ses épaules, embrassa son cou. La sensation fit sursauter la demoiselle. Tout en continuant ses baisers, une de ses mains fit son chemin sur la chemise sombre, faisant tomber un à un chaque bouton, jusqu'à son ventre. Puis sa main vint presser ses seins à travers son soutien gorge.

"Mmmm, tu sent bon. Tu t'est admirablement préparée."

"S'il-s'il vous plait.. Monsieur Ellingham, ne faites pas sa.." l'implora Julia. Ce fut en vain. Elle su, à l'éclat du visage de David qu'elle avait fait un faux pas.

"Maintenant écoute moi. Je ne vais pas te le redire. Soit tu joues selon mes règles, ou bien tu vas me foutre le camp d'ici. C'est à toi de voir."

Julia baissa la tête, vaincu.

David repris alors ses baisers à son cou, ainsi que ses caresses à son ample poitrine. Il força son chemisier à s'ouvrir, révélant sou soutien-gorge en dentelle légère, noir qui contenait à peine ses deux seins énormes. Sa main se rendit alors à l'arrière de sa jupe sombre et Julia senti la fermeture éclair être tiré, puis le vêtement tombait au sol, la laissant en porte jarretelles noir, string étriqué et bas.

"Ma belle, je vais te dire ceci. Tu sais donner une bonne trique à un homme." Indiqua David en prenant place sur le lit.

"Retire le reste."

Julia lui obéit docilement mais à contrecoeur. Elle dégrafa son soutien-gorge à l'avant et ses seins bondirent en avant, ses mamelons durcissant presque aussitôt. Son porte-jarretelles suivi le mouvement et elle du glisser son string dans la foulée, dans un long et lascif mouvement. Lorsque ses bas furent à ses pieds, David lui intima l'ordre de s'allonger sur le lit et sonda plusieurs secondes durant ses formes à nue. Il se dévêtit vivement et la monta.

A nouveau David commença par embrasser son cou. Cet fois cependant, ils glissait le long de ses épaules pour s'attarder à sa poitrine. Il pris soin alors de sucer, lécher et titiller a intervalles réguliers ses tétons, et malgré ses efforts, Julia ne pouvait se retenir de gémir. L'action de sa langue entre ses seins la faisait trembler de désir.

Ses baisers, puis sa langue continuèrent leurs chemin jusqu'à sa fin taille.

"Oh bon sang", s'exclama la jeune femme, cédant simplement à ses envies.

Julia sentait ses longues jambes s'écarter légèrement et la langue de son beau-père forçait son chemin jusqu'aux lèvres de sa chatte et, comme avant, vint titiller son clitoris, la sensation la faisant crier de plaisir.

"Oh mon dieu, encore, s'il vous plait, oui... Aaargh..."

La sensation stoppa un instant, remplacé par son membre durci, plongeant profondément en elle. Lentement mais surement, sa fougue augmentant à chaque aller-retour. Le corps de Julia réagit vivement à ces attentions et elle commença alors a accompagner le mouvement. Leurs soupirs d'exaltation s'alourdirent. A présent, tout deux étaient perdus dans un désir viscérale, animal, et peut leur importait si le monde entier les avaient regardé. Ils étaient déterminés à voir leurs besoins sexuels assouvis. Le jus intime de Julia entourait le sexe de David et elle sentit que son beau-père était sur le point de jouir. La rencontre de sa cyprins avec la semence de cet homme fit pousser à la jeune femme un soupir de soulagement et d'intense satisfaction. David, lui aussi, exhalait en long soupirs.

"T'est un sacrée bon coup, Julia. Je vais prendre plaisir à te baiser." déclarait il, hors d'haleine. Il sourit.

il tourna Julia à son flanc et l'enveloppa de son bras, l'embrassant une dernière fois.

"Bonne nuit, mon bébé."

Il se colla a la jeune femme et s'endormi. Julia finit par s'endormir également, d'épuisement.

Elle fut la première à se réveiller. Le soleil matinal rayonnait à travers la fenêtre. Son bon père avait son bras enroulé autour de son corps mince, une main sur sa poitrine. Elle de dégagea doucement et sorti du lit, avec l'intention de s'habiller aussi vite qu'elle le pouvait. Cependant, avant qu'elle ne puisse s'échapper, David leva les yeux.

"Ou pense tu aller?"

"J'ai besoin d'une douche."

"C'est une bonne idée." Il sauta alors hors du lit et tira la jeune fille vers la douche de sa suite.

"S'il vous plait, Monsieur Ellingham!" Plaidait elle.

Le froncement de sourcils de David fut suffisant pour qu'elle sache qu'elle avait perdu la bataille avant même de commencer à le supplier. Alors que les jets d'eau chaude et humide remplirent la douche, David la poussa sous la douche et la suivi.

Debout derrière sa belle bure nue, il commença par masser ses seins et les frotter à l'aide du savon. Julia pouvait sentir le sexe raide frotter contre ses fesses, bien qu'il ne força pas son chemin entre elles.

Ses mains glissèrent le long de son corps, de sa taille vers sa chatte. il glissa alors ses doigts en elle, la faisant couiner de surprise, puis ses attentions à son clitoris l'excitèrent. Soudain, la la retourna et saisit ses cheveux, pour la forcer à tomber à genoux.

"Commence par me sucer, petite chienne, et fait sa bien."

La bouche de Julia se vit forcée de recevoir l'énorme queue alors que l'eau chaude continuait de tomber en cascade le long de son corps. Elle commença alors ses vas et viens. Une éternité sembla passer et elle devait sautiller sur ses genoux, qui lui faisaient mal. Enfin, son sperme se déversa entre ses lèvres et Julia avala chaque goutte du liquide désagréable. David la repoussa alors.

"Comme je te l'ai dit la nuit dernière, tu est une sacrée suceuse. J'ai hâte de coucher à nouveau avec toi. Vas t'habiller maintenant, je vais t'expliquer mes règles."

Julia fit ce qu'il voulait et retourna dans la chambre de David, alors qu'il prenait place dans son fauteuil, vêtu de son riche peignoir.

"Premièrement, tu ne portera plus de pantalon. Tu n'a le droit qu'a des robes, ou des jupes. Je veux admirer tes belles jambes. Ensuite, tu ne portera plus que des dessous sexy. J'ai bien l'intention de te baiser, toi et ta belle-soeur quand je le désirerais, et vous baiserez avec qui je choisirais, sans question. Est ce bien clair?"

Julia se contenta de hocher la tête docilement, silencieusement.

"Sa sera tout pour le moment. Dégage."

A nouveau, la pauvre Julia, humiliée, sortie sans dire un mot.

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1 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a plus de 12 ans
Du bon boulot!

Une traduction très appréciable, j'attend la suite avec impatience..

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