Au Restaurant de Toulouse

Informations sur Récit
Voyeurisme d'un client dans les toilettes d'un restaurant.
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C'était ce dernier hiver. Lors d'un de mes passages à Toulouse, la Ville Rose. Au moment du déjeuner, je m'arrêtais dans un petit restaurant situé non loin du centre ville. Je fus placé à une table et dans l'instant qui suivit, un couple accompagné d'un adolescent de 15-16 ans fut à son tour installé à la table voisine de la mienne. Le couple avait environ la quarantaine, lui assez replet, elle, plutôt fine et très B.C.-B.G., très classe même, châtain clair, assez petite et très soignée de sa personne. Je l'ai eue en face de moi, à la table à côté, tout le repas... Elle avait un joli visage fin et sensuel, aux traits réguliers et beaux... J'ai cru comprendre qu'elle s'appelait Marie-Pierre. Je me dis que ce prénom lui allait très bien.

A la fin du repas, alors que je venais de régler l'addition et que je m'apprêtais à repartir, elle s'est levée puis est descendue aux toilettes en sous-sol. Alors qu'elle s'éloignait vers l'escalier, j'ai pu voir qu'elle avait de très jolies jambes bien dessinées dont le galbe était souligné par des bas noirs fins et bien tendus. De très jolies fesses aussi. L'ensemble de sa belle silhouette confirmait ce que j'avais perçu durant le repas : elle était belle, soignée et attirante....

Je la suivais à quelques secondes et descendait derrière elle. C'était par intuition, car je ne connaissais rien du lieu. Quand j'arrivais en bas, je l'entendis fermer la porte de la toilette, puis la verrouiller. De ce fait, elle ne me vit pas arriver dans le local et donc se croyait seule, car je ne fis aucun bruit. Par chance, il n'y avait personne en bas. Comme c'est souvent le cas en ville, les toilettes sont exiguës et il n'y avait qu'une cabine et un urinoir dans un espace étroit à côté et un lavabo, le tout dans une petite surface... Vue l'exiguïté du lieu je pariais que le w.c. était à la turque.

La porte de la cabine ne descendait pas tout à fait jusqu'au sol et laissait un espace entre le bas de la porte et le bord du seuil de la toilette de 2 à 3 cm. Comme il y avait une petite marche de 8 à 9 cm qui surélevait le carrelage de la cabine par rapport au sol de la pièce, on pouvait parfaitement voir par-dessous le bas de la porte. Ainsi la personne à l'intérieur, même accroupie, avait le regard trop haut pour voir si un œil matait sous la porte. La situation était donc idéale. Mettant un genou à terre, je me baissais pour coller mon œil droit laissé au bas de la porte... Le w.c. était bien à la turque comme je l'avais imaginé... Elle venait de mettre ses pieds en position très écartée, même au-delà, sans doute, des repose-pieds. Je voyais à peu près jusqu'à hauteur de ses genoux, légèrement en dessous.

Comme plus rien ne bougeait, un moment je crus qu'elle allait uriner debout... En réalité sans doute était-elle en train de se trousser. Je vis ses jambes bouger un peu, probablement dans le mouvement qu'elle fit pour baisser sa culotte. Puis elle s'accroupit de la plus belle façon. Présentant à ma vue une image superbe qui s'encadrait dans le bas de la porte comme sur un écran panoramique : ses jolies fesses bien dessinées et lisses, ses cuisses magnifiques et fines joliment gainées de "Dim'up" qui les habillaient superbement. Ses bas, au-dessus du renfort de maintien, laissaient apparaître une chair fine et mate. Au niveau des genoux, les reliant avec délicatesse, l'éclatante blancheur d'un slip au tissu net et soyeux donnait au tableau une touche claire et immaculée. En dessous de cette ligne plus claire, s'offrait au regard une chatte superbe. Ce fut une vision magnifique et sans égal. Je pus détailler un instant toute la fine intimité de cette femme, aussi jolie et régulière de l'entrejambes que du visage... Sa touffe pubienne qui apparaissait sous le triangle très étiré du slip blanc, n'était pas très fournie. Les poils plutôt châtains avec des reflets roux à leur extrémité, étaient assez longs sans être drus. Fins, d'implantation clairsemée, ils étaient lustrés et soyeux car sans doute comprimés par le slip... Tous se rassemblaient en petites touffes qui bouclaient à leur extrémité, et donnant à cette jolie chatte des allures quelque peu romantiques...

Je remarquais qu'elle avait la fente assez basse, c'est à dire un pubis qui descendait bas ; peut-être était-ce dû à sa position accroupie assez en avant, puisque je ne percevais d'abord que le capuchon clitoridien, bien développé qui faisait saillie entre les fesses...

Elle se laissa aller et s'accroupit bien sur ses talons, et là, elle s'ouvrit très largement écartant encore davantage les cuisses, me faisant voir une très, très jolie fente, au milieu de formes superbes... Quelle vue magnifique!

Je vous dessine de mémoire son bel entrejambe, mais ma mémoire est fidèle!

Au bout d'un long instant après qu'elle se fut accroupie, ce qui me laissa bien le temps de détailler cet admirable point de vue, l'urine commença à perler. A peine pour commencer, à l'extrémité des petites lèvres, juste en dessous du clitoris très saillant, humidifiant les poils qui le débordaient de part et d'autre. Elle péta bruyamment, sans aucunement se retenir puisqu'elle se croyait seule dans le local, et un premier jet violent, net, franc, direct et fin comme une mine de crayon fila avec force de dessous le clitoris et s'écrasa sur la faïence avec un bruit caractéristique, éclatant en mille projections entre ses jambes écartées. Ce premier jet brutal, releva un peu le clitoris au passage. Celui-ci se rengorgea une fois, deux fois, puis elle donna libre court à son ondée, qui enfin libérée, fut expulsée en un jet continu, tout aussi violent que le premier, net et sans brisures ni tergiversations. Elle pissait bien, droit et d'aplomb, sans s'arroser les cuisses ou les pieds, comme c'est souvent le cas de bien des femmes... Quelques gouttes pourtant coulaient en arrière du trou ouvert, suivaient une touffe de poils un peu plus longs et s'égouttaient dans l'arrière plan de l'entrejambes comme un goutte à goutte rapide. Le jet s'arrêta très soudainement, aussi brutalement qu'il avait commencé. Il y eut 2 jets de rappels, intenses, forts et brefs, séparés d'une à deux secondes. Puis plus rien, le trou resta béant, le clitoris se rengorgea longuement encore une fois indiquant ainsi la fin de la miction. Elle avança sa main droite entre ses cuisses et à l'aide du papier toilette qu'elle tenait, elle s'essuya de deux allers et retours précis et efficaces, d'avant en arrière. Je vis nettement un doigt passer dans la fente pour assécher l'intérieur des lèvres le plus possible. Elle essuya aussi brièvement les poils autour restés humides et luisants. Puis elle se releva, enlevant ainsi prestement à mon regard, l'image si fantastique qu'elle m'avait offerte... Elle tendit ses bas, ses pieds se rapprochèrent ; elle devait remonter son slip et se rajuster. Déjà, elle s'avançait vers la porte...

Je me relevais vivement et je fis mine de me laver les mains quand elle sortit. Avec un sourire aimable et de remerciement, je lui laissais la place au lavabo et entrait dans la cabine. En tirant la porte, je la regardais une dernière fois. Un bref instant j'eus très envie de lui dire qu'elle avait une fente superbe, tout aussi belle que l'image féminine et sociale qu'elle renvoyait, qu'elle urinait très bien et de façon très soignée!!... Je rentrais et m'enfermais dans la cabine. Je l'entendis remonter ; et moi je commençais à me masturber longuement en revoyant les images extraordinaires qu'elle m'avait offertes et en me remémorant la scène de sa superbe miction...

... Merci, Marie-Pierre!

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