Bain de foule

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Une femme se rend a un concert extérieur.
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FlyDave
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Cela faisait des semaines qu'elle n'était pas sortie : en fait pas depuis ce fameux soir qu'elle avait vu Maxime en conversation, disons très intime, avec une autre femme. Et elle n'osait plus sortir par peur de le revoir. Pire encore, de le revoir encore une fois avec une autre. Bien sûr qu'elle avait refusé de lui reparler depuis, mais elle ne l'avait pas pour autant oublié. Comment pouvait-elle oublier toutes ces nuits de passion, les nuits les plus intenses qu'elle n'ait connues. Jamais un homme ne l'avait touché, ne l'avait fait réagir et se dévoiler, comme lui ne l'avait fait.

Et maintenant il était avec une autre...

Voici le dilemme : il avait éveillé quelque chose en elle qui ne c'était pas éteint depuis son départ. Elle continuait de bruler, de désirer, d'être cette femme hors contrôle qu'il ait éveiller. Elle commence doucement à réaliser que cette passion, cette audace l'habitait depuis toujours, mais qu'elle refusait d'admettre ce côté d'elle même. Elle se surprit même à se demander s'il y avait beaucoup de femmes, qui tout comme elle n'osaient pas reconnaître la nature même de leur désir par peur d'être jugé par la société et, finalement, par elle même.

Maxime n'a été que le catalyseur. L'élément déclencheur, c'est tout.

C'est peut-être une bonne chose de l'avoir croisé malgré cette fin plutôt difficile!

C'est pour cela qu'elle décida de sortir ce soir. Mais elle fût tout de même hésitante, non seulement par peur de le revoir (et de ne pas pouvoir lui dire non) mais aussi de ne pas le voir et de ne pas pouvoir dire non à un inconnu. Au moins avec lui c'est un terrain déjà connu. Avec tout cela en tête, elle décida de sortir avec des copines qui sont, disons, comme elle, mais elle avant de connaître Maxime... Donc les parfaites « Bodyguard » pour la garder bien sage.

Elles décidèrent d'aller faire un tour au Festival d'été de Québec. Le temps était parfait et le spectacle annoncé était un groupe latino bien chaud.

Elle était bien heureuse d'être sortie après tout. Les copines aussi semblaient de bonne humeur. Tout s'annonçait pour le mieux si ce n'était que d'une chose près : Il y avait beaucoup de monde. Trop même. Mais enfin, c'est ce qu'elle voulait après tout, voir du monde, alors elle était servit. Elles déambulaient, écoutaient les différentes scènes tout en observant la foule. Elles constataient avec joie que les soirées chaudes et humides d'été rassemblaient une diversité de personnes fortes intéressantes...

Finalement il est l'heure du spectacle et elles se dirigent vers la scène principale. Malgré le fait qu'elles étaient arrivées assez tôt, elles se retrouvent au milieu de la foule. Il semble qu'elles ne sont pas les seuls a vouloir voir ce groupe se produire sur scène. Peu importe, avec la bière et l'atmosphère qui est à la fête, c'est tout de même plaisant.

Finalement le spectacle commence. Et là, la foule est à son comble, tellement qu'elles ne peuvent pas vraiment bougés beaucoup. La musique commence et la foule, elle, bouge. À quelques reprises elle se sentit bousculée par derrière, mais elle ni portait pas vraiment attention. De toute façon elle ne pouvait même pas se retournée tellement elle était serrée par les gens qui l'entourent et tout le monde bouscule un peu tout le monde par la force d'être si collé. Après un certain moment elle commença même a y prendre un certain plaisir. De sentir tous ces inconnus, tous ces corps contre elle. Cet espèce d'anonymat public.

Le spectacle se poursuivait de plus bel et elle s'amusait bien. Ses copines aussi semble être prisent par le moment. Elles riaient et chantaient comme des adolescentes en feu. On leurs passe un joint qu'elles acceptent volontiers. Elle ne se le permet pas souvent mais aime bien la sensation que cela provoque. Une espèce de libération, d`insouciance très enivrante. C'est d'ailleurs la raison pour laquelle elle n'ose pas en prendre trop souvent . Cette fois est comme toutes les autres, elle se sentit légère et libre.

Elle continua de danser ou plutôt de bouger, le peu qu'elle le pouvait. La foule n'avait définitivement pas diminuer. Même, il lui semblait, qu'elle est encore plus à l'étroit qu'avant et elle réalisa qu'elle est maintenant à une quinzaine de pieds de ses copines. Jamais elle n'avait senti le fait qu'elle s'éloignait. Peut-être que ce sont les autres qui se soient déplacés? Peu importe elles n'étaient pas loin. Elle remarqua que les personnes qui l'entouraient maintenant étaient en majorité des hommes. Elle sentit un frisson la traverser, mais plus d'excitation que de peur.

La soirée se poursuivait de plus belle, elle dansait avec le groupe et continuait de prendre des dragues des joints offerts. Les hommes ne semblaient avoir aucune inhibition. Elle sentait l'excitation montée en elle. Elle faisait même tout pour les allumer avec ses corps à corps tous plus langoureux les uns que les autres. Elle savait qu'il n'arriverait rien. Ils étaient en public après tout! Mais juste à l'idée de penser qu'ils la désiraient tous, lui faisait monter de plusieurs crans l'excitation.

À l'occasion elle sentait les hommes se coller contre elle et elle ne pouvait ignorer leurs état, disons plutôt exciter. C'était assez excitant pour elle aussi. Ils voulaient tous la prendre et elle le savait. Mais vu l'anonymat et la quasi sécurité de la situation, que pourrait-il se produire?

Les attouchements et frottements se poursuivaient encore quelques minutes. Mais à un certain moment elle senti des mains remonter le long des ses cuisses jusqu'à ses fesses. Elle voulait se retourner pour voir celui qui avait eu le courage de la toucher ainsi, mais elle resta immobile. Les hommes qui l'entouraient semblaient de connivences car ils s'étaient placés tout autour d'elle. Elle se retrouva isolé au milieu d'une marée masculine. Ils regardaient ce délicieux spectacle qui s'offrait à eux. Elle sentit des mains qui lui caressaient le ventre et qui effleuraient sa vulve. Ils étaient deux à lui retirer son string. Les sensations qu'elle ressentie étaient étrange : à la fois effrayé et très excité.

Elle s'abandonna alors telle une proie. Un homme bien bandé s'approcha d'elle, lui prit la taille, la souleva et lui rentra d'un long coup sa queue. Il dû réaliser qu'elle n'était pas réticente du tout car elle était si mouillé qu'elle coulait le long de ses cuisses. Rapidement elle se retrouva à genoux. Elle offrais volontiers son petit cul bien cambré à celui ou ceux qui voulaient bien l'honorer. Tant pis pour sa dignité d'ailleurs... Ils étaient un peu surpris de la facilité qu'elle se donna à eux, mais cette surprise ne dura pas longtemps et ils profitèrent de cette proie si ouverte, si disponible. Celui qui la pénétrait, il y a un instant, s'avançait maintenant vers son visage, elle ouvrit sa bouche les yeux à moitié fermés et elle sortit sa langue. Il était tout près, à quelques centimètres, quelques millimètres... Sa queue, effleurait doucement son visage, contournait sa bouche, insistait mais ensuite reculait, finalement s'enfonça tout au fond de sa gorge. Elle ne faisait que recevoir, ce qui faisait bien son affaire car elle adore se sentir prise, surtout des deux bouts à la fois. C'est une des choses que Maxime lui a fait découvrir, son côté soumise, même plus que soumise. Par moment elle ne désire qu'être qu'un objet de plaisir et elle se raffole dans cette sensation. Comme a ce moment, elle n'existait que pour servir au plaisir de ces hommes. Elle adorait se sentir prise comme une pute. En pensée, elle remercia Maxime d'en avoir fait une femme si libérée.

Elle sentit soudain ses muscles se contracter et une intense sensation s'empara d'elle. Les deux hommes qui la prenaient jouissaient aussi. La foule n'existait plus, le bruit non plus. Il ne restait que leurs voix et les quelques spectateurs qui les entouraient se réjouissant d'une telle scène. Après quelque secondes de répit, elle sent les hommes se retirés de son corps toujours brulant malgré cet orgasme incroyable. Elle leva les yeux et vit les autres qui se masturbaient tout autour. C'est à genoux qu'elle se rapprocha du premier et le prit dans sa bouche assoiffée. Combien de queue a-t-elle avalé, a-t-elle gouté? Elle l'ignore, mais rien n'était au delà de ses forces cette journée là! Un a un ils se vidèrent dans sa bouche, sur son visage et elle en voulait encore.

Puis un des hommes la souleva, lui offrit un mouchoir, l'embrassa et parti. Ils étaient tous évaporés dans la foule.

Peu après elle a retrouvé ses copines qui lui demanda où elle était parti. Elle leurs sourit et dit qu'elle s'était bien amusée avec de nouveaux amis. Par chance aucune d'entres elles n'avaient remarqué l'absence de ses sous-vêtements ni les quelques trace de sperme dans sa chevelure...

Finalement qui a besoin de Maxime?

FlyDave
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