Black en Chaleur

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Pour celles qui connaissent leur place.
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Avertissement : si les humiliations raciales, les dégradations, les insultes et le sexe brutal vous rebutent, passez votre chemin...vous aurez été prévenus.

Gardez à l'esprit que ceci est une fiction et que vous n'êtes pas arrivés ici par hasard.

Cette histoire n'est pas réelle mais certains de ces éléments le sont et ont été expérimentés avec des personnes on ne peut plus consentantes.

Les messages de femmes tentées par ce genre d'expérience sont les bienvenus (contact par mon profil).

W.W.

----------------------------

Je l'avais rencontré sur un tchat spécialisé. Sérieusement, pas l'un de ces sites où des animatrices sont payées pour vos bourrer le mou mais juste un tchat classique où l'on dialogue entre personnes réelles.

J'ai levé plusieurs filles sur ce genre de tchat au cours des ans.

Souvent, on s'y ennuie mais de temps en temps des contacts se créent et vous pouvez avoir des dialogues très hot qui en vaillent la peine.

Persister est la clef.

Et dans quelques cas cela débouche sur des rencontres réelles, encore que pour être honnête, si vous voulez du sexe, il est beaucoup plus facile de prétendre être sensible et délicat. Je ne m'embarrasse pas avec ce genre de choses.

Habituellement, je prends ma voix la plus grave et je leur dis que je cherche une "vilaine fille".

La plupart des filles veulent être "vilaines", du moins tant que leurs amies n'en savent rien et les négresses et asiates ne font pas exception.

Généralement, à peu près 3 quarts des blacks avec qui je parle en ligne aiment l'idée qu'un homme blanc et fort les utilisent ou tout du moins la moitié d'entre elles acceptent d'être appelées négresses quand elles sont en chaleur. Sur cette moitié, 50% en ont honte rétrospectivement et refuse de rediscuter. Mais pour le restant, elles réalisent que j'ai découvert la bonne façon de les traiter dans la vie.

Bien... quoiqu'il en soit je l'avais rencontré sur un tchat de sexe et nous étions vite passés à Skype. Elle était une de ces "honteuses", pas de celles qui se mettent en colère mais qui aiment se sentir honteuse et humiliée. J'adore ce genre de salope.

Après quelques minutes à échanger je pouvais entendre sa voix vibrer comme elle me racontait qu'elle sale chienne noire elle était et je savais quelle réponse j'aurais en la traitant de négresse.

Elle me répondit et sa voix se brisa tandis qu'elle m'avouait être une stupide négresse et combien elle voulait une queue blanche.

Au même moment je l'entendis sangloter.

Je lui dis de me donner son numéro de téléphone ou je ne lui parlerais plus jamais. Elle s'exécuta immédiatement - la négresse savait où se trouvait sa place et qu'elle avait plus besoin de moi que moi d'elle.

Après tout, trouver un Blanc qui à la fois, voit les nègres tels qu'ils sont mais qui ne les hait pas et apprécie de les utliser de la façon dont les esclaves le désirent et qui de plus à les couilles pour agir comme tel n'est pas chose aisée.

N'importe quelle salope soumise vous dira que la plupart des hommes qui se perçoivent comme dominant se révèlent être des faibles chochottes. La société a rendu les hommes encore moins capables d'assumer leur position et de briser les poupées black.

C'est pourquoi même un paquet de ces salopes de négresses hautaines que vous croisez dans la rue et qui n'accorderaient pas une minute à un blanc deviennent soudainement mielleuses, baissent leurs yeux et parlent d'une petite voix quand elles sont confrontées à un Blanc qui ose les traiter comme les chiennes le devraient.

Elle me donna son numéro parce qu'elle reconnut le ton sévère d'un vrai Dominant, sa volonté de prendre immédiatement les choses en main et d'utiliser tous les mots qu'elle a très envie d'entendre et qui sont devenus tabous...

Je l'appelais et sa voix tremblait toujours.

- "Salut, salope de négresse"

- "Bonjour Monsieur"

- "Qu'est ce que tu portes, salope?"

- "Juste une culotte et un soutien-gorge, Monsieur"

- "Enlève-les espèce de singe...les animaux ne portent pas de vêtements."

- "Désolée Monsieur...juste un instant.

La négresse était bien dressée ou était naturellement docile. Elle revint rapidement en ligne après s'être déshabillée, m'assurée qu'elle était nue... et humide.

Je lui dis de frapper fort sa chatte pour moi et ses gémissements se firent plus intenses.

- "Où habites-tu, sale black?"

Elle me donna son adresse. Un quartier pas trop loin de chez moi et facile d'accès...c'est la raison pour laquelle j'aime ces tchats en ligne - il y a toujours assez de salopes du coin.

- "Tu es seule, négresse?"

- "Oui Monsieur...mon mari" est absent.

- "Je veux te rencontrer. Tu as besoin de sentir une grosse queue blanche bien dure en toi, pas vrai négresse?

Sa voix tremblait et je pouvais presque la voir vaciller. Elle avait besoin de ça, elle le voulait. Et elle en était terrifiée. Je souris.

- "Où puis-je te rencontrer sac à foutre? Je sais que tu as peur. Rencontre moi dans un lieu public et quand tu me verras tu décideras si tu oses me ramener chez toi."

- "D'accord Monsieur...je peux vous rencontrer près de la station de métro. Je..je..je ne peux pas croire que je fais ça!"

Je pouvais entendre ses gémissements alors qu'elle disait ça.

- "J'y serai dans une heure pétasse. Tu ferais mieux d'y être...et tu ferais mieux d'être propre et habillée comme la sale trainée que tu es."

Je raccrochais après qu'elle m'eut rassurée à ce sujet et me préparais.

Il y a d'habitude à peu près 50% de chance de se faire poser un lapin pour une première rencontre de ce type...les salopes ont peur à juste titre de rencontrer un étranger, surtout un dont elles savent qu'il va se comporter de manière affreuse avec elles.

S'il y a bien quelque chose que j'admire à propos des chiennes black c'est qu'elles vont beaucoup plus loin dans leur manière de se révéler que les salopes blanches...ou elles sont plus braves, ou elles se fichent des conséquences.

Les asiates sont les pires. Elles et les "pakis" sont trop préoccupées par le fait que quelqu'un l'apprenne...

Quoiqu'il en soit, j'arrivais à la station comme convenu. J'attendais depuis 5 bonnes minutes quand une négresse arrêta sa voiture et ouvrit la portière. Je m'approchais pour voir s'il s'agissait bien de la bonne.

Elle me regarda et se mit à frissonner. Je lui donnais mon nom et la salope me confirma que c'était bien elle que j'attendais. Sans un mot je montais à côté d'elle.

Au début, elle resta assise sans rien faire et je la parcourus des yeux. Elle était plutôt bien foutue. Petite trentaine, des cheveux courts et crépus qui partaient dans tous les sens. Probablement un bon 90D qu'immédiatement j'entrepris de peloter.

Elle ouvrit la bouche pour m'arrêter mais un un regard froid de ma part lui fit baisser les yeux et accepter ce traitement.

Elle s'était habillée avec une jupe noire courte et un petit haut serré qui faisait ressortir ses grosses mamelles. Au touché, elle ne portait pas de soutien-gorge.

Je l'attrapais par le menton et lui relevais la tête.

- "C'est le moment de décider, négresse. Oses-tu me m'inviter chez toi ou est-ce que tu m'as fait perdre mon temps?"

Elle osait à peine me regarder en face mais je la tenais fermement par le menton. Elle me murmura finalement :

- "Je vais nous conduire chez moi Monsieur..."

Je posais ma main sur sa cuisse et la glissais sous sa jupe peandant qu'elle démarrait.

Nous y arrivâmes en quelques minutes. Alors que nous entrions elle me pria d'être très silencieux à cause de ses voisins indiscrets. Cela me surprit un peu mais je me dis que la chienne devait être juste nerveuse.

A l'intérieur, je me mis à l'aise, m'installais sur son lit sans lui demander et lui dis de se retourner et s'assoir. Je sentais qu'elle était sur le point de devenir dingue aussi je ne lui ordonnais pas de se désaper comme je l'aurais normalement fait.

Aussitôt qu'elle fut assise, j'attrapais ses cheveux et lui murmurais à l'oreille que je savais ce dont elle avait besoin, ce qu'elle voulait que je lui fasse. Je tripotais son corps...pétrissant ses grosses mamelles de négresse.

Avant qu'elle ne s'en rende compte, j'avais déboutonné son chemisier et je jouais avec ses seins nus.

Je les triturais et les pinçais avant de baisser sa jupe. Elle gémissait et fermait les yeux alors que je glissais mes doigts le long de sa chatte noire à moitié épilée.

Ma main se resserra autour de sa gorge la laissant à peine respirer alors que j'insérais 3 doigts dans sa fente.

- "Tu n'es qu'une petite chienne de négresse n'est-ce pas?" Et le la façon dont je le dis tenais plus de la constatation que de la question.

- "Je....je...je suis...." murmura-t-elle doucement, rougissante et les yeux baissés.

Je gifflais sa chatte. Pas fort mais suffisemment pour la surprendre. la suivante était plus dure et elle se mit à pleurnicher alors que je recommençais encore et encore. Se gémissements se firent plus forts mais elle ne protesta pas.

- "sshhh...abandonne salope....tu es faites pour servir tes supérieurs...tout va bien, tu es juste une négresse après tout."

Après quelques frappes supplémentaires je la retournais et la clouais sur le dos, me plaçant au dessus d'elle en 69 et forçais ma queue dans sa bouche noire. Dans cette position elle ne pouvait rien faire pour me repousser et je commençais à lui baiser le visage en même temps que je goûtais sa petite chatte encore rouge et sensible de mes coups.

Ma bite frappa plusieurs fois le fond de sa gorge et elle avait des hauts le coeur à chaque fois mais jamais elle ne tenta de me repousser.

Finalement je me me retournais et la salope black se redressa immédiatement, attrapa ma queue et se mit à la branler en me disant combien elle avait besoin d'être utilisée.

- "Tu es vraiment en manque de bites blanches" lui dis-je. Elle acquiesça silencieusement et me regarda droit dans les yeux.

- "S'il vous plait, baisez moi Monsieur".

Je décidais de la pousser un peu plus loin en lui expliquant ce que je pensais d'elle.

- "Tu as besoin d'une bonne grosse queue blanche pour te démonter et te changer des animaux avec qui tu couches d'habitude hein?"

Je l'entendis prendre une inspiration et la vis frissonner une seconde. Je m'attendais à moitié à ce qu'elle crie ou qu'elle vérouille la porte.

Au final elle murmura d'une petite voix : "oui Monsieur, s'il vous plait abusez de moi....Je suis juste une sale pute black pour Blancs" pendant qu'elle fixait le sol et continuait à frissonner. La honte et l'humiliation qui transparaissait dans son comportement et sa voix rendaient clair le fait qu'elle en mourrait d'envie; qu'elle était née pour ça.

Je souris, satisfait d'avoir eu raison et l'aggrippais par ses cheveux crépus. Avec mon autre main, je relevais ses jambes et m'insinuais entre elles. Ma queue était dure comme du bois et humide de la salive qu'elle y avait déposé pendant sa gorge profonde.

Ma bite glissa directement à l'intérieur de sa chatte qui dégoulinait de mouille. Elle poussa un soupir de bonheur alors que je poussais ma verge toute entière dans sa petite moule de black.

- "Peut-être que je devrais faire regarder ton mari la prochaine fois, pétasse".

Je crachais sur son visage et rit quand elle me remercia, alors que je la baisais de plus en plus violemment, faisant de mon mieux pour élargir au maximum son vagin avec ma grosse queue.

La bouche grande ouverte elle se figea un instant puis commença à aller à la rencontre de mes vas et viens.

- "Violez moi avec votre queue blanche, s'il vous plait...violez moi...utilisez moi je ne suis qu'une moins que rien". Plus je la baisais fort et plus la salope devenait incohérente.

Je lachais ses cheveux pour attraper sa gorge et la giflais avec mon autre main. Je ne tenais plus ses jambes mais elle les maintenait relevées d'elle même presque au niveau de sa tête pendant qu'elle encaissait mes coups de bites acharnés.

- "J'aimerais que ta mère et tes soeurs soient là pour te voir. J'apprendrais à ces singes à être des bonnes chiennes de négresses comme toi. Je planterais des bébés métisses dans chacune de vous"

Elle trembla et gémit plus fort.

- "Je me demande si leurs chattes et culs sont aussi serrés que la tienne. Tu crois qu'elles pourraient prendre ma grosse queue Blanche sac à foutre?"

- "Ouiiii"elle siffla "nous sommes nées pour servir les bites Blanches....engrossez moi"

Je pouvais la sentir devenir folle, se cabrer et tressauter sous moi, sa chatte aspirant littéralement mon sexe.

-" Je vous ferais bouffer mon sperme directement de vos trous et le recracher dans vos bouches" lui murmurais-je à l'oreille.

J'étais proche de jouir et décidais de ne pas la remplir pour cette fois. Je ressortais et bougeais pour me positionner face à son visage.

- "Ouvre la bouche chimpanzé"

Elle s'exécuta servilement et attrapa ma queue pour la branler rapidement. J'explosais en quelques secondes, aspergeant son visage, sa bouche ouverte et ses seins. Elle en avait même un peu dans les cheveux.

- " Merci Monsieur" elle murmura, la bouche pleine de mon jus avant de l'avaler.

Je lui fourrais une fois de plus la bite dans la bouche pour qu'elle la nettoie et lui ordonnais ensuite de me lécher les couilles. La truie noire n'hésita pas et bientôt je savourais ses coups de langue sur mes boules.

Mon pantalon était resté sur le lit et j'en détachais la ceinture pour en donner quelques petits coups sur sa chatte et ses seins.

Elle jappa, mais continua son travail.

- "Lève toi, pute. Traine toi à quatre pattes jusqu'à la salle de bain. N'essaye même pas de marcher".

Elle s'exécuta immédiatement et je marchais derrière elle alors qu'elle rampait comme une chienne. Une fois dans la pièce je lui dis de s'assoir sur ses genoux et d'ouvrir grand. Je visais alors et lui pissais dessus.

La salope sursauta mais resta où elle était bien qu'elle ferma les yeux de honte. Son visage était presque rouge tant elle était gênée et humiliée.

J'aime vraiment abuser des négresses mais rien n'est meilleur que de voir comment une pute peut se sentir souillée et dégradée.

Une partie de ma pisse arrosa son visage et ses seins, la lavant du sperme séché, mais la plupart rempli sa bouche.

Je lui jetais une serviette à la figure en lui disant combien elle était dégueulasse. Pendant qu'elle se nettoyait, je retournais sur le lit.

Quand elle revint, j'étais assis sur le coin de son lit et je lui fis signe d'approcher. Elle était toujours à 4 pattes. Quand elle fut proche de moi, je lui fis serrer ses seins autour de ma queue et les remuer de haut en bas.

Je lui crachais à la gueule et sur ses loches pendant qu'elle me faisait une branlette espagnole. Cette fois, la pute black ne tressaillit même pas. Il était clair qu'elle apprenait rapidement sa place et elle continua à faire coulisser ses mamelles sur ma bite.

Ma queue était presque à nouveau totalement en érection et soudain je l'attrapais et la balançais sur le lit.

Je ne lui demandais rien et ne lui donnais aucun avertissement, je lui fourrais juste ma bite dans le cul et serrais son visage entre mes doigts. Je la sentais tressauter sous moi et elle tenta de crier mais elle ne tarda pas à se détendre pendant que je lui violais son petit trou.

Au bout d'un moment elle encaissait mes violents coup de reins avec une telle facilité que je décidais de faire pire....Je giflais durement sa chatte humide alors que je forçais ma bite tout au fond.

"Je paris que le cul de ta soeur est plus serré" lui murmurais-je à l'oreille alors que je la défonçais. Je pouvais la sentir trembler comme je lui disais ça, s'imaginant sans doute ma grosse queue blanche élargir sa petite soeur.

Le pistonnage brutal que je lui prodiguais commençait à m'épuiser et après quelques minutes je me retirais de son trou béant, la queue toute gluante. Je la fis se retourner et elle se pencha rapidement, les yeux baissés pour prendre ma bite en bouche sans même un ordre de ma part.

Elle s'étouffa en goûtant son propre cul dès qu'elle eut mon gland dans sa bouche mais se força à tout bien nettoyer.

Je lui ordonnais alors de s'allonger sur le dos les jambes écartées. Je glissais à nouveau ma verge dans sa chatte fertile, me penchais en avant et lui murmurais "c'est le moment de devenir ma vache reproductrice, négresse".

Je recommençais à la baiser, lentement cette fois, faisant coulisser mon pieu tout au fond de sa fente trempée, lui expliquant que si elle avait une fille elle devrait lui apprendre ce qu'elle savait déjà : qu'elles sont faites pour servir les hommes Blancs.

Elle cria et je sentis son vagin se contracter et exploser alors que je lui plantais mon jus dans l'utérus.

Son corps encore secoué de spasmes, je la trainais à genoux sur le sol et posais mon pied sur l'arrière de son crâne " as-tu compris ce que tu es et où se trouvait ta place, chienne?"

A voix basse, elle me répondit en gémissant "je suis une négresse et vous êtes mon supérieur, Monsieur".

Je la laissais sur le carrelage, les trous ouverts et dégoulinants de nos sécrétions. J'avais faim et j'avais une furieuse envie de manger africain.

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