Brian est en Irak Ch. 03

Informations sur Récit
Le calvaire de Kim continue.
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00

Partie 3 de la série de 6 pièces

Actualisé 05/05/2022
Créé 09/23/2007
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Brian est appelé en Irak Ch 3

Brian is gone Part 3

Coulybaca / Vulgus

Chapitre 3 : Kim se rend à la piscine et y distrait les baigneurs.

Je me ruais dans ma voiture et rentrais tout droit chez moi.

Je me rangeais dans ma place habituelle de parking et jetais un coup d'œil panoramique.

On était samedi, tard dans l'après-midi, il y avait foule de tous cotés.

Ils étaient assis ensembles à discuter, ou ils lavaient leurs voitures ou même allaient et venaient au gré de leur envie.

J'attendais qu'il y ait moins de monde me séparant de l'entrée de mon immeuble dans lequel mon appartement se tenait au second étage.

Lorsque ce fut le cas je sortais en trombe de ma voiture et me ruais tête baissée vers l'entrée.

L'idée de rencontrer une connaissance vêtue de cette ignoble tenue me terrifiait.

Et bien sur cela m'arriva, alors que j'arrivais à la porte de mon apparte-ment, les deux étudiants habitant l'appartement contigu au mien sortirent de chez eux et se dirigèrent vers moi.

Ils remarquèrent tout de suite ma minuscule jupe fendue sur les cotés et s'arrêtèrent subitement.

Je les ignorais et tâtonnais pour entrer ma clef dans la serrure de ma porte, ce qui leur laissa amplement le temps de lire l'inscription figurant sur ma micro-jupe et d'admirer mes nibards qui sortaient de toutes parts de ma courte brassière.

Nous avions l'habitude de nous saluer, mais n'étions pas pour autant des amis, l'un des deux me dit :

- "Hey Kim, j'adore ta tenue! ....."

Je grommelais un vague merci et me dépêchais d'entrer chez moi et de verrouiller ma porte, le dos appuyé contre la porte je glissais au sol et me mis à pleurer toutes les larmes de mon corps.

Je me réveillais une heure plus tard, lovée en position fœtale à même le sol, juste devant la porte d'entrée.

Dès que je me réveillais le souvenir de ma journée me revint.

Je me relevais, me dirigeais vers la cuisine et attrapais l'unique bouteille d'alcool qu'on avait dans la maison.

Il s'agissait d'une bouteille de rhum non ouverte, qui se trouvait rangée dans le frigidaire depuis notre mariage

J'ouvrais la bouteille et m'en servit une large rasade que je noyais dans du coca-cola et l'avalais séance tenante.

Mon estomac se réchauffa et mes esprits se calmèrent quelque peu, je me dirigeais alors vers ma chambre me déshabillais, puis je pris un long bain brûlant.

Je m'efforçais de ne pas penser aux épreuves sordides que je venais d'endurer ces 24 dernières heures.

Mais chaque fois que je commençais à me relaxer, mon esprit se rem-plissait de ces images immondes me plongeant de plus en plus profon-dément dans un désespoir sans limites.

Je ne pensais que je pourrais m'obliger à retourner à l'appartement de Tom le lendemain pour être de nouveau le jouet de ces salopards qui prenaient tant de plaisir à m'humilier et me dégrader.

Chaque fois que je repensais aux sordides épreuves que j'avais subies, je me remettais à sangloter désespérément.

Je restais assise dans ma baignoire jusqu'à ce que l'eau refroidisse, de-venant trop fraîche, je me relevais alors et me rinçais.

J'enfilais ma robe de bain retournais au salon ou je me servais un nou-veau verre de rhum-coca.

Je n'aimais pas particulièrement ce cocktail, mais c'est tout ce dont je disposais, et comme je ne voulais pas ressortir.

J'aurai voulu que Brian revienne à la maison pour me sauver.

Cependant le fait qu'il découvre ce que j'avais du faire me terrifiait. Ou plutôt ce que j'avais du subir.

Je savais que s'il venait à avoir connaissance du DVD, ce serait la fin de mon mariage.

Si qui que ce soit que je connaisse venait à voir ce DVD, je ne pourrai plus jamais affronter ces gens.

Je pensais que je ferai peut-être bien de prendre le revolver dont m'avait muni Brian pour flinguer Tom et ses 4 acolytes.

Mais si je faisais cela, en fait, je perdrai tout.

Je comprenais qu'il n'y avait pas moyen de faire machine arrière doréna-vant.

Je n'avais pas d'autre choix que de retourner dans les griffes de Tom et de faire ce qu'il voulait, quoi qu'il m'ordonne de faire pour le distraire.

C'était la seule façon de protéger autant faire que se peut, la vie que j'avais bâtie, je ne pouvais que prier pour que Tom sente qu'il m'avait suffisamment tourmentée et que je ne pourrai pas supporter grand chose de plus, mais il ne fallait pas que j'y pense trop.

Il était très tard et je doutais de ma santé mentale, je ne pouvais m'arrê-ter de gémir et de pleurer, les images de mes pires épreuves de la jour-née passant et repassant dans mon esprit.

Je vidais mon verre et je réalisais que j'étais éméchée lorsque je me le-vais pour gagner la cuisine, je me rappelais alors que la seule chose que je n'avais que deux bières et deux rhums cocas bien corsés dans l'esto-mac depuis ce matin, et dieu sait quelle dose de foutre.

Je ne pouvais pourtant pas supporter l'idée de nourriture, aussi me réfu-giais-je dans mon lit m'enroulais dans mes couvertures et pleurais jus-qu'à ce que je m'endorme.

Il était encore tôt pour se coucher, vraisemblablement 18 heures, je ne me réveillais que vers 8 heures le lendemain matin.

J'avais un horrible mal de tête, je me secouais et me rendais dans la salle de bain, je pris une douche puis, je me brossais longuement les dents.

J'enfilais ma robe de chambre, je ne supportais plus de porter la tenue que j'avais du enfiler en quittant la maison, je gagnais la cuisine et me servais un bol de céréales avec un jus de fruit frais.

Je rinçais les plats ère me lavais à nouveau les dents.

Je mettais du rouge à lèvres, brossais mes cheveux et finalement me forçait à enfiler ma tenue de salope.

Je me regardais dans le miroir et vis que lorsque je bougeais, la fente de coté offrait une large vue de mes fesses, cela promettait lorsque je mar-cherais dans la rue.

Je savais qu'on voyait une bonne part de ma croupe lorsque je la portais la veille, mais je ne pensais tout de même pas qu'on pouvait voir l'inté-gralité de mon cul.

Le haut me vêtait à peu prêt autant que le bas.

Si on exceptait l'horrible maxime écrite sur le devant, le tissu était si fin qu'on distinguait clairement mes nichons et était si court, qu'il les décou-vrait jusque sous les mamelons.

Pire encore, à chaque pas la brassière remontait encore, je devais la maintenir d'une main pour ne pas me retrouver les miches à l'air! .....

Le tout mettant en valeur l'horrible sentence : "otez-moi"

Je jetais un oeil sur l'horloge ne me décidant à démarrer qu'à la dernière minute.

Je me rappelais la veille, et me ruais dans la salle de bain pour empoi-gner ma brosse à dents et du dentifrice que je fourrais dans mon sac à main.

J'ouvris ma porte et sortis, puis je verrouillais ma porte cherchant à igno-rer le grand nombre de gens qui s'arrêtait pour me regarder faire.

Je me précipitais vers ma voiture consciente que mon cul était largement exposé à chacun de mes pas.

Je me forçais à ne pas pleurer alors que je me rendais à l'appartement de Tom.

Je me garais aussi prêt que possible de la porte d'entrée et je jetais un nouveau coup d'œil sur ma montre.

Il ne me restait plus que 5 minutes pour toquer à sa porte. Je demeurais dans ma voiture jusqu'au dernier moment.

Je sortais de la voiture et frappais à sa porte à 10 heures pétantes.

Steve m'invita à entrer.

Tom se trouvait dans la cuisine, il buvait une tasse de café, Rory et Steve se tenaient dans le salon, ils regardaient à nouveau le DVD.

Je ne regardais pas la télé, mais j'entendais le son de mon viol, appa-remment ils appréciaient ce Film.

Je vis qu'ils avaient tous une sacré bandaison, j'eus alors une bonne idée de ce que j'allais faire ce matin.

J'étais heureuse de constater qu'Harry et John n'étaient pas là, enfin pour l'instant.

Tom revint dans le salon et m'ordonna de me foutre à poil, je n'étais pas longtemps restée vêtue.

Lorsque je fus entièrement nue, il posa sa tasse à café, descendit son short et le fut signe d'approcher d'un geste du doigt.

J'avais abandonné toute idée de révolte, d'ailleurs sinon je ne serai pas là.

Mon corps avait récupéré de façon surprenante des abus de la veille, ma gorge était encore légèrement endolorie, mais pas suffisamment pour m'empêcher de m'en servir.

Je m'agenouillais entre ses cuisses et entrepris de lui sucer la bite.

J'eus du mal à la prendre en pleine gorge au début, mais après un mo-ment je me débrouillais pour lui faire franchir ma luette, et une fois que j'eus brisé cette barrière tout devint plus facile.

A coup sur ce n'était pas plaisant, mais je pouvais faire une gorge pro-fonde sans trop de mal.

Une fois que j'eus entamé sa pipe, il m'ignora et regarda mon viol qui dé-filait à la télé, ils regardaient nouveau le premier DVD.

Le son de mes gémissements enamourés et mes supplications de me faire baiser de long en large, mes réclamations pour obtenir d'être foutue par plus de bites, majoraient fortement mon humiliation.

Mais je savais déjà à quel point ils aimaient m'humilier.

Les bruits en l'arrière-plan troublaient et me dégoûtaient, mais ils appré-ciaient visiblement le spectacle.

J'en étais heureuse.

Je n'ais pas autant apprécié ce qui arriva ensuite.

On me dit d'enlever ma brassière de pute et Tom me tendit le bas du bi-kini que j'avais laissé chez eux en rentrant chez moi la nuit dernière.

ils l'avaient modifié. Ils avaient viré la doublure.

Je l'enfilais et regardais ce que cela donnait. C'était un bikini convenable à l'origine, et c'était maintenant une culotte de bikini aussi provocante que la brassière.

Pour aggraver la situation, il le remonta de façon à détailler ma foufoune et il entreprit de promener ses doigts dans ma fente.

Sec le fond de la culotte était opaque, je ne pouvais empêcher des poils pubiens de dépasser, mais je savais ce qui se passerait dès que j'irai dans l'eau, mon minuscule cache-sexe deviendrait transparent, et je sa-vais que de toute manière c'est ce qu'il avait en tête! .....

Tom empoigna un sac de voyage contenant quelques lotions solaires et des cannettes de bière et nous nous dirigeâmes vers la piscine.

Le complexe résidentiel comportait plusieurs piscines, une était plus par-ticulièrement destinée aux enfants en bas âge, la seconde était tout pu-blic, et la troisième était réservée aux adultes.

Non pas qu'il fut permis de se baigner nue ou autre licence de ce genre, il était seulement recommandé aux enfants de ne pas la fréquenter, je suppose que cela ne demandait pas d'explications superflues.

Nous gagnâmes la piscine réservée aux adultes, ils m'enjoignirent de m'installer sur une chaise longue à quelques pas d'eux.

Ils m'intimèrent aussi de me tremper dans la piscine toutes les demi-heures, et, en sortant de l'eau je devais trouver un volontaire pour m'ap-pliquer de la lotion solaire sur le ventre et le dos.

Je ne devais refuser ce plaisir à personne.

Si l'on m'invitait à quitter l'aire de la piscine, je devais m'exécuter en un quart d'heure et revenir à ma place.

Je jetais un coup d'œil circulaire, j'attirais déjà l'attention des baigneurs.

Il y avait quelques couples, mais il y avait surtout des hommes assis au-tour de la piscine et quelques rares femmes seules, ou des groupes de femmes cherchant à rester entre-elles.

Tom me tendit un flacon de lotion et une cannette bière, me dit de la vi-der, et d'aller nager quelques minutes.

Puis, en compagnie de Rory et Steve, il s'allongea sur une chaise lon-gue, toute proche de la mienne. Ils étaient assez de prêt de moi pour épier la moindre de mes conversations.

Je posais le flacon de lotion au sol et m'installais aussi confortablement que je le pus.

Je sirotais ma bière en essayant de ne pas penser à ce que j'allais de-voir faire! .....

Je savais ce qu'il adviendrait du minuscule fond de mon bikini ainsi que du haut.

Lorsque je plongeai une tête dans la piscine, je savais qu'effectivement ils deviendraient totalement transparents, en qu'en sortant de la piscine je pourrai tout aussi bien être nue, on ne pourrait rien ignorer de mes ni-bards et de mon intimité.

Je mis autant de temps que possible pour siroter ma bière. Puis je me levais et gagnais l'échelle qui permettait de descendre dans la piscine, puis lentement je me plongeais dans l'eau fraîche, les commentaires sa-laces fusèrent dès ma mise à l'eau! .....

Vous devez, tout comme moi connaître ce type de commentaires ma-chos, que tous ces jeunes gars immatures poussent à la vue d'une jolie femme.

Je feins de les ignorer et m'enfonçais dans l'eau jusqu'au cou, je m'ap-puyais pendant quelques minutes sur le rebord de la piscine savourant le contact de l'eau fraîche sur ma peau.

Je craignais fort ce qui allait suivre.

Je jetais des coups d'œil angoissé à Tom, il me regardait tout sourire, lorsqu'il en eut marre d'attendre, il me fit signe de sortir de l'eau, j'ac-quiesçais d'un hochement de tête.

Je revenais lentement vers l'escalier, grimpais les trois marches de bé-ton et sortis de la piscine.

Je baissais les yeux et vis que mon bikini était aussi transparent que je l'avais craint. J'aurai tout aussi bien pu être entièrement nue.

Je me dirigeais rapidement vers mon transatlantique en cherchant à ignorer les regards concupiscents que me jetaient mes voisins.

Pour l'instant plus personne ne parlait, toutes les conversations avaient cessé.

Je me félicitais de porter des lunettes de soleil sombre, c'était tout ce qui me permettait de me cacher.

En passant, j'entendais le sourd bourdonnement des conversations de ces jeunes gens excités comme des poux.

Je les ignorais et retournais à mon fauteuil comme si de rien n'était et m'installais sur le transat.

Une seconde plus tard un de mes admirateurs faisait quelques pas cher-chant à lier conversation avec moi, je devais l'y encourager.

Il se présenta et me félicita pour ma tenue qu'il adorait, je le remerciais et me rappelais alors de ce que je devais faire.

Je lui demandais s'il aurait la gentillesse de m'enduire de lotion solaire, cela ne semblait pas le déranger, bien au contraire si vous voyez ce que je veux dire.

Je lui tendais le flacon d'huile solaire m'allongeais sur ma chaise longue, fermais les yeux voulant ignorer qu'un complet étranger allait avoir accès à mes charmes les plus intimes.

Une fois le flacon débouché, il me demanda :

- "Tu as vraiment une fantastique brassière! ... L'inscription, Est ce vrai? ...."

Je baissais la tête sur l'inscription en larges lettres noires "Otez-moi", je notais que mes tétons étaient dardés et clairement visibles.

Je savais que Tom épiait notre conversation et j'opinais :

- Oui c'est vrai! ..."

Ce gars travaillait rapidement, il n'avait pas encore étalé de lotion sur mon corps qu'il me proposait les yeux braqués sur mes charmes :

- "J'en ai le souffle coupé, aimerai-tu venir dans mon appartement et l'ôter? ...."

Je lui souris nerveusement et répondis :

- "C'est d'accord, mais je dois être de retour dans un quart d'heure! ...."

Je lui pris le flacon de lotion des mains et le posais au sol.

Il m'aida à me relever, et fit un signe à ses copains qui nous contem-plaient incrédules.

Comme il m'aidait à me lever, je pensais :

- "Finalement c'est pas si mal, il n'est ni gros, ni laid ni âgé, comme tous ces hommes avec qui j'ai du coucher hier! ...."

En fait il était plutôt mignon, il semblait terriblement jeune, il ne devait pas avoir beaucoup plus de 18 ans, je me figurais que cela valait mieux, il serait certainement incapable de se contrôler bien longtemps.

En quittant la piscine il posa son bras autour sur mon épaule, puis il le laissa glisser prestement sur ma taille puis plus bas encore sur ma croupe joufflue.

Voyant que je ne protestais pas, il me pelota les fesses tout le long du chemin nous menant à son appartement.

On ne fit pas plus de quelques mètres dans son appart,

Dès que nous fumons entrés dans cet appart qu'il co-louait avec deux copains de la fac toute proche, il m'enleva ma brassière et s'attaqua gauchement à mes nibards.

Il s'y prenait grossièrement et visiblement ne savait pas comment s'y prendre.

Après avoir malaxé mes nichons pendant quelques minutes, il descendit mon bikini et me fit pencher sur le dossier d'une chaise, puis il se déme-na pour trouver l'entrée de mon fourreau d'amour.

Il pressait sa grosse bite à l'aveuglette dans ma fentine, cela finit par me meurtrir.

Je tendis la main, empoignais sa bite et la guidais dans mon vagin alors qu'il se promenait du coté de mon anus.

Dès qu'il sentit ma chatte se refermer sur sa hampe, il jura sourdement et se mit à me pistonner frénétiquement, comme un jeune chien fou.

Je ne crois pas qu'il sut se contrôler un minute pleine, Dieu merci.

Il se servait de ma chatte pour se masturber, je savais maintenant qu'en fait, il était vierge, finalement il avait réussi à introduire sa bite dans la foufoune d'une femme mais on ne pouvait pas dire pour autant qu'il ait fait l'amour! .....

Je pensais cela alors qu'il venait de juter en moi avant de se retirer rapi-dement, ce n'était vraiment pas baiser.

J'utilisais quelques mouchoirs de papiers pour m'essuyer la fentine et comme je remontais mon bikini il me demanda :

- "Je n'aurai jamais cru que t'étais une salope... Pourquoi te conduis-tu ainsi? ...."

Je ne pouvais pas lui dire qu'on me faisait chanter, finalement je lui dis que j'avais perdu au jeu et évitais de répondre plus clairement à sa ques-tion.

Avant que nous quittions l'appartement il m'ajouta :

- "Ainsi tu dois baiser avec tous ceux qui te le demandent? ...."

J'hésitais

Je ne voulais pas que cela prenne plus d'importance que cela n'en avait! ....

Je terminais en hochant la tête, il grimaça un sourire et dit :

- "T'es drôlement chaude ma chérie! ..... C'était extra! ...."

- "Extra? ....."

Personne ne m'avait jamais dit cela! ...."

Comme nous retournions vers la piscine, je lui demandais :

- "Voudrais-tu encore m'enduire d'ambre solaire? ...."

- "Bien sûr! ..." me répondit-il avec enthousiasme.

Le pur langage restreint des collégiens.

Il me suivit jusqu'à mon transat, je m'étendais sur le ventre tandis qu'il m'enduisait le dos de lotion solaire.

Lorsqu'il en eut terminé, il m'enjoignit :

- "Au tour du coté face maintenant! ...."

Je jetais un coup d'œil sur Tom qui me souriait, ce qu'il avait en tête ne pouvait que m'humilier.

Je me retournais, précautionneusement, veillant à ce que mes nibards restent couverts.

Le jeune gars commença par étaler la crème sur mon ventre, mais rapi-dement il glissa ses mains sous mon soutien-gorge de maillot et entreprit de me malaxer les nichons après s'être assuré que ses potes le regar-daient faire.

Lorsqu'il eut bien graissé mes miches il descendit ses mains et les glissa dans ma micro culotte enduisant de lotion toute une partie de mon ana-tomie qui n'était pas exposée au soleil.

Il était ravi de me caresser devant ses amis, et cela enthousiasmait ses potes de le voir faire.

Il était assis le long de ma chaise tandis qu'il étalait la lotion, et lorsqu'il eut fini il me dit :

- "Merci pour le coup qu'on a tiré! ...." et il partit rejoindre ses co-pains ébahis.

Il était temps.

Avant même que j'eus le temps de me redresser pour piquer une tête dans la piscine, un autre de cette petite bande de collégiens me rejoignit les yeux braqués sur mes appâts.

Il lut la maxime écrite sur ma brassière et me demanda :

- "Est-ce vrai? .... Ted m'a dit que vous baisiez avec tous ceux qui en faisaient la demande! ...."

Je levais la tête et le regardais, puis je fixais Ted, il ne m'avait pas dit son prénom, mais cela importait peu.

Ted et six de ses copains nous reluquaient avec excitation alors que je me tournais vers mon interlocuteur lui répondant :

- « Ou c'est vrai! .... »

Il me sourit et ajouta :

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