Café Beyrouth

Informations sur Récit
Trois étudiantes ont eu tort de prendre de haut un Arabe.
2.4k mots
4.01
38.2k
5
Partagez cette Récit

Taille de Police

Taille de Police par Défaut

Espacement des Polices

Espacement des Polices par Défaut

Face de Police

Face de Police par Défaut

Thème de Lecture

Thème par Défaut (Blanc)
Tu dois Connectez-Vous ou Inscrivez-Vous pour enregistrer votre personnalisation dans votre profil Literotica.
BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

Traduit de Café Beirut de Cindy Silver Eyes

Cindy et Shannon s'approchèrent du comptoir avec leurs deux packs de six bières — Cindy se força à sourire et posa les Heineken...

« Hmm... De la bière importée! Des filles de la haute! » sourit en retour le jeune arabe avec ironie. « Vous avez vos cartes d'identité?

— Eh bien... répondit Shannon sarcastiquement... Tu penses vraiment qu'on viendrait dans ce trou si on avait nos cartes? » Le Café Beyrouth donnait des frissons aux deux étudiantes, mais dans les environs du Boston College, c'était le seul endroit qui acceptait de regarder ailleurs. Surtout depuis que les amandes pour servir de l'alcool à des moins de 21 ans s'étaient accentuées.

Cindy essaya d'apaiser les choses - Shannon avait la répartie féroce.

« Tenez, cinq de plus comme pourboire, dit-elle en glissant un billet au jeune employé.

— Oh, un billet de cinq dollars, voilà qui devrait tout arranger, hein? Laisser tomber... même si vous aviez 15 ans je m'en ficherais — Rien à foutre de vos lois américaines idiotes... Prenez les bières. »

L'employé devait être dans la vingtaine -- Il avait la peau foncée, couleur olive et était solidement charpenté. Il devait être adepte du levé d'haltères comme le prouvait le t-shirt qui le moulait... Il avait cette barbe de trois jours typique des Magrébins, mais ses cheveux à la brosse coupés courts et une boucle d'oreille à l'oreille gauche le différenciait du djihadiste typique...

Cindy ramassa le pack- « bon, merci alors... » Elles quittèrent le bâtiment et retrouvèrent Jennifer dehors. Elle n'avait toujours pas fini sa glace... « Vous avez les bières? » demanda-t-elle.

L'employé aussi était sorti, apparemment pour une pause cigarette. Il commença à bavarder avec ses amis, deux autres Arabes tout aussi costaux. Ils devaient aller à la salle de gym ensemble.

« Hey, les potes d'Al-Queda, merci! » leur cria Cindy, faisant pouffer ses amies. « Heureusement qu'on aura plus à vous voir le mois prochain... »

Elles partirent vite fait, heureuses d'avoir leur pack de bière.

« Al-Qaeda? Putain d'Al-Qaeda? murmura Ahmad à ses amis. Mon oncle s'est fait tuer par Al-Qaeda...

— Sans dec'... En tout cas, la blonde doit avoir ses 21 ans le mois prochain, hein? C'est pour ça qu'elles ne viendront plus dans le coin...

— Faut croire que le quartier ne sera plus assez bien pour cette pette salope gâtée une fois qu'elle pourra utiliser sa carte d'identité

— Elle a essayé de me refiler cinq dollars. Putain de sa mère! cinq dollars... s'étrangla Ahmad. Elle me prend pour quoi? un putain d'employé? »

Kamal et Hamid hochèrent la tête. Le père d'Ahmad possédait le Café Beyrouth, ainsi que trois grandes concessions auto. La BMW flambant neuve garée en face du café était la sienne... Son père ne gardait le Café Beyrouth que pour des raisons sentimentales. C'était la première affaire qu'il avait montée après avoir émigré aux États-Unis. Et puis gérer un établissement sur le déclin était censé instiller de la force de caractère en Ahmad, même si lui détestait ça...

« On serait à l'époque... déclara Hamid. On pourrait prendre des putains chrétiennes, comme ces salopes canon là, et on en ferait nos esclaves... Genre, des esclaves sexuelles, comme cette blonde qui se la joue, elle sucerait nos zgegs au moindre signe... elles ne moufteraient pas, elles ne diraient plus de conneries, ce serait juste nos esclaves à baise...

— Quelle époque, crétin? se marra Kamal. Tu crois qu'on est quoi? Des Berbères envahissant l'Espagne? Ou genre des Ottomans en Serbie? T'es né dans le New Hampshire, arrêtes de rêver... » Il alluma une clope « Mais il y a un truc vrai... elles devraient être nos esclaves... des salopes américaines aussi minables? Je devrais baiser la brune aux gros nibards entre les seins chaque matin... » Des trois types, il était le seul avec une grande barbe.

Ahmad tira sur sa clope : « Vous savez, c'est possible... »

Ses deux amis le regardèrent le visage perplexe, avant d'éclater de rire.

« Et on ferait quoi? demanda Hamid. On les enlève la prochaine fois qu'elles viennent chercher des bières et on les jette au sous-sol? On les frappe jusqu'à ce qu'elles soient nos favorites...? Si on était en Arabie Saoudite, peut-être... ou au Moyen-Age... Quand on n'avait pas à s'inquiéter de la police... Alors ouais, on pourrait les baiser comme des dingues... puis on les battrait et on les punirait. On menacerait de les tuer si elles refusaient d'être nos concubines de harem, mais, mon pote, on est dans ce bon vieux Boston...

— Il y a d'autres méthodes... répliqua Ahmad.

— Quelle méthode?

— Ma grand-mère... elle parle toujours d'une potion... qui aurait été faite selon une recette datant du temps du Prophète... elle est supposée asservir les femmes. »

Kamal et Hamid se regardèrent l'un l'autre à nouveau, et éclatèrent de rire : « Mec, toi et les contes de ta grand-mère... Allez! On vide la caisse et on se fait un club de strip-tease... »

Ahmad tira une autre bouffée de sa clope -- « Et j'ai la recette. »

* * *

Les filles entrèrent dans le Café Beyrouth deux jours plus tard, chuchotant entre elles...

« J'arrive pas à croire qu'on revienne ici, se plaignit Jennifer, cet endroit me file des frissons...

— Écoute, on prend juste les bières pour la fête et on se tire... lui répondit Cindy. Et après ma fête d'anniversaire, on n'aura plus à venir ici pour chercher des bières...

— Tant mieux, ces Arabes nous matent comme s'ils s'apprêtaient à nous violer à tout moment... continua à objecter Jennifer.

— Ils ne vont pas nous violer! On n'est pas à Bagdad... On est à deux pâtés de maisons de l'avenue centrale, bon sang...

— Ben... intervint Shannon, je suis d'accord avec Jeny pour le coup - celui avec la barbe me regarde comme s'il voulait me mettre dans son harem, ou autre chose...

— C'est répugnant...! s'écria Jennifer dégoûtée

— De toute façon, il ne va pas te toucher, c'est qu'un boloss d'Arabe dans un café minable, on prend les bières et on file direct...

— Très bien, on prend trois packs de six d'Heineken... précisa Shannon

— Et tu fais bien d'ignorer que tooooon tout "petit" copain à l'air d'une fille comparé à cette grosse bête d'Arabe...

— Scott est tout à fait bien... protesta Shannon.

— Il devrait mettre les pieds dans une salle de gym, c'est tout ce que je dis... continua à l'asticoter Cindy. T'en penses quoi Jeny?

— Ça serait fantastiiique... pouffa Jennifer. Allez, payons les bières qu'on s'en aille.

— Ouais, ouais... »

Cindy posa les packs sur le comptoir

« Hmm - nos fans d'Heineken... sourit sournoisement Ahmad --- J'ai une offre spéciale aujourd'hui : vous goûter à notre nouvelle tisane, vous dites ce que vous en pensez et l'on vous offre un pack supplémentaire gratis...

— On ne va pas boire votre sale thé, répondit sèchement Shannon.

— Eh, c'est un pack gratuit... protesta Cindy. On a besoin de toute la bière qu'on peut trouver pour la fête.

— Je suppose qu'une petite tisane ne peut pas faire de mal, » approuva Jennifer en prenant un gobelet en plastique — elle semblait plus intéressée d'en finir rapidement que de la tisane... Cindy se joignit à elle en prenant son propre petit gobelet.

« Oh, bon, après tout pourquoi pas - les filles vous viendrez me distraire à l'hôpital... » Shannon fut la dernière à boire...

Et elle fut la première à se sentir étourdie.

Elle fut rapidement suivie par Jennifer, puis finalement par Cindy alors qu'elle commençait à articuler : « Qu'est-ce qui se pa... »

* * *

Après, il y eut un grand flou... Aucune des filles ne sut combien de temps il dura... Elles se souvenaient des Arabes descendant au sous-sol, où elles avaient repris connaissance, puis s'étaient à nouveau évanouies encore et encore... Elles se rappelaient toutes entrer et sortir des brumes. Se rappelaient boire encore plus de tisane... il leur semblait que des jours entiers passaient. Elles se rappelaient écouter Ahmad... encore et encore, pendant de longues périodes de temps, mais tout ça était confus... Elles ne se rappelaient rien de ce qu'Ahmad leur avait dit... Seulement que ç'avait été la vérité... que ce qui sortait de sa bouche était permanent et indélébile... c'était leur nouvelle réalité...

Trois jours avaient passé quand elles se réveillèrent pour de bon...

* * *

Ahmad descendit les escaliers, dès qu'il fut entré dans le sous-sol, il fut accueilli par trois jeunes femmes nues se précipitant à genoux vers lui.

« S'il vous plaît, baisez-moi Sahib! » Cindy parlait doucement, ses yeux fixant le sol alors qu'elle était agenouillée, nue, ses mains serrées dans le creux de ses reins. Sa poitrine était poussée en avant, offrant ses seins plantureux. Ses cuisses étaient écartées de part et d'autre, exposant son centre...

Shannon ayant assumé la même position répéta la même phrase :

« S'il vous plaît, baisez-moi Sahib! » gémit-elle rapidement suivit par Jennifer :

— S'il vous plaît, baisez-moi Sahib!

— Hmmmm... ricana Ahmad. Quelle belle sélection... »

Il saisit le menton de Cindy pour lui faire lever la tête : « Pour commencer, tu peux sucer la bite de ton Maître, esclave blanche... » dit-il en s'asseyant sur un fauteuil en cuir qui était presque de la dimension d'un trône.

« Si tel est votre volonté, Sahib, » répondit Cindy, marchant à quatre pattes jusqu'à Ahmad.

« Quant à mes deux autres concubines... » Ahmad regarda Shannon et Jennifer : « amusez-moi en vous baisant l'une l'autre... »

Les deux filles brunes s'embrassèrent et se caressèrent presque immédiatement, pendant que Cindy défaisait le jeans d'Ahmad - elle baissa la tête et sa chevelure blonde recouvrit l'entrejambe. Elle détestait ce qu'elle avait à faire - mais elle savait ne rien être d'autre qu'une concubine, une méprisable et malheureuse esclave, la propriété de ses Maîtres. Elle n'avait d'autre choix que d'obéir - obéir sans condition et avec plaisir... elle était une simple esclave... l'esclave de son Conquérant, son Sahib, Ahmad....

Elle prit la puissante virilité dans sa bouche et commença à sucer comme seule une esclave sexuelle pouvait le faire, avec appétit, passionnément, sans honte... Elle pouvait entendre derrière elle les baisers mouillés et les gémissements de ses deux meilleures amies, qu'elles produisaient uniquement pour distraire Sahib.

La porte du sous-sol fut de nouveau ouverte - c'était Kamal et Hamid qui descendaient les escaliers. Leurs yeux firent le tour de la pièce, ils jubilaient. Depuis trois semaines maintenant, ils avaient eu plus de plaisir dans ce sous-sol qu'ils n'auraient jamais pu l'imaginer : le sous-sol était décoré comme un Harem arabe. Il y avait des tapis persans au sol et aux murs... des peintures orientales... des chaînes et des fouets aussi, pour discipliner les concubines désobéissantes...

« Allez accueillir vos seigneurs, » ordonna Ahmad à Shannon et Jennifer, alors qu'il grognait de plaisir grâce aux talents buccaux de Cindy.

Les filles s'arrêtèrent de jouer l'une avec l'autre et se ruèrent sur leurs genoux en face de Kamal et Hamid, pour répéter la salutation rituelle à l'unisson : « S'il vous plaît, baisez-moi Sahib! »

Kamal sourit largement, regarda Shannon nue à ses pieds - il lui leva la tête : un coup d'œil à ses yeux suffit pour la voir qu'elle était consumée par la haine et l'humiliation - et le désespoir. Elles étaient des concubines soumises, défaites et conquises, prêtes à tout pour plaire à leurs Conquérants sans aucune objection...

« Qu'est-ce que tu en penses, Hamid, je baise celle-ci entre les nichons comme ce matin? Et tu baisses à nouveau celle-là dans le cul - elle braille comme une truie...

Hamid sembla réfléchir à la proposition de son ami...

— Non, échangeons les esclaves... trancha-t-il en jetant Jennifer aux pieds de Kamal — les filles semblaient si faibles et chétives en comparaison des Arabes aux muscles saillants...

— Très bien -- on va voir si j'arrive à faire crier cette salope d'Américaine plus fort que toi... Tu vas hurler pour moi esclave?

— Oui, Sahib, selon votre commandement Sahib. » Répondit Jennifer, le visage rouge de honte...

Shannon avait déjà pris la verge d'Hamid dans sa bouche...

Bientôt, il n'y eut plus rien d'autre que du sexe frénétique dans le sous-sol transformé en harem, comme c'était déjà le cas depuis trois semaines...

* * *

« J'arrive pas à y croire. Vous travaillez ici?? »...

Cindy, Shannon, et Jennifer servaient les clients au Café Beyrouth...

Ahmad avait expliqué à ses amis que les concubines n'étaient pas que des esclaves pour baiser, elles servaient aussi les hommes - et avoir trois belles étudiantes faisant le service pouvait aider les affaires... même si elles disparaissaient à l'occasion dans le sous-sol avec un des Arabes dirigeant le café...

La fille bouche bée devant elles n'était nulle autre que Natalie Kays - la reine de beauté de la sororité PXO, et une garce accomplit pour autant que les files pouvaient en juger. Avec sa fière chevelure rousse, elle ressemblait à une jeune Nicole Kidman. Elle était accompagnée de deux autres filles de PXO... et elles semblaient toutes trois très amusées :

Cindy, Shannon et Jennifer étaient habillées dans des tenues d'esclaves de harem : des bikinis en soie noire, à peine dissimulés par des écharpes, ainsi qu'un voile transparent sur le visage... Le tout accompagné par des talons hauts dorés et des colliers d'esclave plaqué or...

« Vous avez l'air de putes de harem...! » ricana Natalie en s'adressant à Cindy.

Shannon portait un plateau avec quatre bières, elle les posa sur l'une des tables - un robuste Arabe lui frappa les fesses, ce qui fit rire les autres hommes. Le Café Beyrouth avait connu un sursaut d'activité ces derniers temps. La plupart des clients étaient des Arabes qui adoraient voir trois jeunes occidentales les servir comme des concubines de harem.

Un jeune Arabe dit quelque chose à Jennifer qui baisa la tête et dit « Sükran! » les filles avaient déjà appris tous les mots de déférence qu'une concubine devait connaître...

« Bon, on est là pour prendre des bières, expliqua Natalie. Est-ce nos petites concubines peuvent nous en procurer? Ses amies se mirent à glousser.

— Bien sûr! » répondit Cindy avec un large sourire. Elle s'éloigna et revint avec un plateau de boissons chaudes. « Sahib Ahmad dit que vous pouvez avoir un rabais de 10 % si vous essayez ces tisanes libanaises... »

Les membres de la PXO se regardèrent quelque peu perplexe : « Sahib Ahmad! C'est ton grand patron velu? » Il y eut encore d'autres éclats de rire parmi les filles... « Pourquoi pas... dis Natalie. Comme puis-je refuser une offre aussi agréable, d'une aussi agréable et obéissante concubine..? »

Bientôt, les filles eurent toutes bu de la tisane.

Et Cindy sourit vicieusement...

Fin.

Veuillez évaluer cet récit
L’auteur apprécierait un commentaire de votre part.
  • COMMENTAIRES
Anonymous
Our Comments Policy is available in the Lit FAQ
Publier comme:
3 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a plus de 6 ans
génial

Très bonne histoire

Dommage qu'il n'y est pas de suite.

merci à toi pour le travail

mefistoxxmefistoxxil y a plus de 6 ans

bonne histoire comme je les aime

trouchardtrouchardil y a plus de 6 ans

encore un bon texte. Merci.

Partagez cette Récit

Histoires SIMILAIRES

Plaisir Monstrueux Une créature tentaculaire soumet les femmes légères.
Une Princesse en Esclavage Une princesse et sa mère à la merci d'une bande.
Anglefrique 06: La famille Macfish. Une famille tombe aux mains des révolutionnaires.
Famille Vendue Une famille se perd dans le monde de la traite des esclaves.
Malmenée Dans La Dépanneuse Voiture en panne en pleine campagne.
Plus d'histoires