Carnets d'aventures Partie 01

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Récits d'aventures sexuelles (3)
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Valcour
Valcour
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Publié à l'intention des amateurs de sexualité vénale et insolite.

Avertissement au lecteur.

Les adresses ne sont pas publiées, mais je peux les communiquer sur demande, d'une manière discrète, à convenir.

Saïgon, juillet 2006, salon de massage.

Comme j'examinais avec attention l'affiche d'un salon de massage, un homme m'a abordé pour me proposer "Much better, very cheap, only 40 dollars, happy ending. This place, no happy ending." J'avais en poche environ 180 dollars, ni trop ni trop peu pour ce genre d'aventure. Il me prend à l'arrière de sa moto Honda et pendant un quart d'heure qui m'a paru durer une heure, il s'est faufilé à toute vitesse dans le flot des vélos, des motos et des camionnettes, tout en brûlant la plupart des rares feux rouges. Dans quelle banlieue éloignée m'emmenait-il? Dans quel coupe-gorge m'étais-je laissé entraîner?

Il a fini par garer sa moto devant une porte anonyme en aluminium et en verre dépoli. Il a poussé la porte, et m'a conduit par un long couloir humide qui sentait l'ordure et l'eau de vaisselle jusqu'à une autre porte, qu'il a ouverte en habitué sur un salon d'où a jailli un concert de cris de bienvenue. J'ai cru un instant que nous entrions dans une volière.

La patronne et ses filles qui regardaient une "série" en anglais sur un grand écran plat d'un modèle haut de gamme se sont empressées de nous saluer, chaque à son tour. La patronne nous a fait servir du thé vert.

J'ai payé 20 dollars pour le massage de base, les suppléments devant être discutés après. On m'a installé sur une table professionnelle assez haute, dans une pièce carrelée de blanc, froide comme un cabinet d'infirmière. Trois filles sont venues autour de moi, vêtues de courtes blouses de nylon blanc très mince sous lesquelles elles étaient nues. Ces oiselles se bousculaient en riant pour me faire tâter leurs fesses, leurs seins et leurs minous poilus. Elles voulaient toutes les trois s'occuper de moi. J'en ai retenu deux pour 70 dollars. Une jeune timide et frêle avec de tout petits seins dont les aréoles étaient très sombres, et une "grande soeur" plus charnue, avec des seins volumineux aux tétons roses et gonflés qu'elle avait auparavant glissés entre mes lèvres pour que je sente comme ils bandaient. Elles m'ont emmené dans une autre pièce plus chaleureuse, où brûlait de l'encens et nous nous sommes installés tous les trois sur un grand "futon" japonais, posé sur une moquette tachée.

Elles ont commencé un classique massage à quatre mains qui s'est vite centré sur mon bas ventre. La petite a pris mon gland entre ses lèvres et m'a sucé délicatement avec un art tout oriental, sans presser la cadence. Je pétrissais ses cuisses et j'introduisais mes doigts dans la moiteur de ses lèvres cachées au creux d'un buisson noir et touffu. L'autre me caressait la poitrine et le visage avec ses seins. La petite s'est accroupie sur mon visage. Elle a présenté sa chatte à ma langue. Sentant ma gourmandise, elle m'a offert son oeillet à lécher. Sa copine a pris ma main et l'a menée jusqu'à sa chatte tout aussi visqueuse que celle de la jeune. Elle l'a guidée avec autorité jusqu'à son trou du cul, qu'elle avait largement graissé de vaseline pour que je puisse y enfiler mes doigts. J'y ai enfoncé l'index et le majeur de ma main gauche pendant que mon pouce pénétrait son vagin, et j'ai vigoureusement remué ces trois doigts. Cela ne semblait pas lui déplaire, car elle accompagnait mes caresses déjà profondes de mouvements du bassin, comme si elle souhaitait que je m'enfonce en elle encore plus. La jeune se branlait sur mon nez et sa chatte me jutait abondamment dans les narines. Puis elle a repris son travail de la langue et des lèvres. A mesure qu'elle accélérait la cadence je serrais de plus en plus fort le téton gauche de la grosse entre mes dents, que j'enveloppais de mes lèvres pour ne pas le blesser. Par contre, elle me mordait l'oreille sans la moindre précaution.

Est arrivé ce qui s'annonçait peu résistiblement. La pipeuse a tout avalé, après avoir prolongé ma jouissance le plus longtemps possible avec sa langue experte. Cette langue divine a nettoyé mon gland, et puis la fille m'a enfilé mon slip et mes chaussettes. Gentille attention. J'en profitais pour continuer à la caresser. Elle riait en tentant de cacher sa bouche avec sa main. Délicieuse timidité factice enseignée aux femmes orientales.

Elles ont ensuite réclamé des "tip" en minaudant. 30 dollars après discussion. Nous sommes redescendus au salon où les autres, avec force sourires et caresses, m'ont demandé en s'accrochant à mes bras "Come with me, nice girl, very sweet" ce que j'étais prêt à croire, mais mes bourses étaient vides, de dollars comme de sperme.

"Look at her, she's virgin" m'a déclaré la patronne en appelant une toute jeune qui cachait son visage. Elle l'a couchée sur un canapé (défoncé) lui a relevé la jupette plissée bleu-marine (sans doute a-t-elle souvent des clients japonais) et lui a fait écarter les jambes pour que la vue de ses lèvres roses et couvertes d'un mince duvet me convainque de sa virginité. "400 dollars, very cheap for a virgin. Her parents badly need money". La fille était mignonne. Même si elle n'était pas vierge, ce devait être un coup délicieux à tirer. "I will think. Later, another day perhaps". Méfiance, ce pouvait être un piège. Je ne connaissais pas assez cette maison pour me risquer jusque là. Il me restait 20 dollars pour le chauffeur. Il en réclamait 50 mais après une longue discussion , il s'est estimé satisfait.

Cette expérience très positive m'a incité à y retourner tout seul (l'utilisation au Vietnam des caractères latins nous permet de mémoriser les adresses). J'ai été accueilli avec le même enthousiasme. Je n'ai pris qu'une fille. Elle avait une longue chevelure noire, un regard très doux et des manières nonchalantes.

Massage préliminaire, caresses, vrais baisers (pour l'encourager dans cette voie prometteuse : "I will give you a good tip", le "good tip" facilite bien des choses) et 69. Je l'ai chatouillée en promenant ma langue dans son dos. Je l'ai longuement sucée. Son adorable clitoris était tout raide, mes lèvres le retenaient prisonnier pour son plus grand bonheur. La jouissance lui a tiré de grands soupirs du fond du ventre, elle a gigotté comme une folle et m'a griffé le dos de ses grands ongles, mais je la tenais solidement par les fesses et j'ai continué en écrasant son clitoris avec ma langue pour prolonger le plus possible son orgasme. Profitant alors de ce qu'elle reprenait son souffle, je l'ai pénétrée sans lui demander son avis. Etroite, glissante, et gémissante, comme si c'était sa première fois. Elle a joui intensément comme dix minutes auparavant, et moi avec elle.

Nous sommes restés enlacés, continuant à nous embrasser à la française, mais la patronne est venue pour me rappeler que les meilleures choses ont une fin. J'ai donné 100 dollars à cette douce chatte, cela faisait 120 avec la mise initiale, et 30 à la patronne, pour qu'à l'avenir elle me réserve ses meilleures filles.

Conclusion générale : Excellente adresse. Prix corrects par rapport à la qualité des prestations. On peut trouver moins cher à Saïgon mais pour des passes expédiées. Accueil : très chaleureux, mais prestations un peu chrono. Propreté des lieux : correcte sans plus. Propreté des personnes : excellente. A noter : rapports non protégés, mais aucun désagrément en est résulté.

Paris 15ième, septembre 2007, l'art du corps.

Au cinquième étage d'un immeuble parisien propre mais sans charme, j'ai sonné tout en examinant la plaque "Conseil en développement corporel". Une voix rauque et maussade, plutôt mâle à moins que ce ne soit celle d'une grande fumeuse a demandé "C'est qui?" "Nous avons rendez-vous, je suis Valcour."

La porte s'est entrouverte. J'ai distingué dans la pénombre une créature aux muscles énormes, nue sauf un assemblage d'étroits rubans verts fluo qui lui passait entre les cuisses, lui ceinturait la taille et lui couvrait tout juste les tétons accrochés en avant de gros seins fermes et visiblement siliconés.

C'était bien une femme, comme en témoignaient les grosses lèvres de son sexe qui émergeaient d'une fente ménagée entre les rubans qui jouaient le rôle de bikini. Comme je regardais sa peau bronzée, qui luisait comme passée à l'huile solaire :

-- Si t'aimes la viande, tu vas être servi.

Elle faisait jouer ses pectoraux et ses biceps. Le moindre de ses mouvements mettait en action des muscles surdimensionnés. D'énormes veines apparentes parcourraient ses cuisses et ses mollets. La contraction des muscles les faisaient ressortir.

-- C'est 200.

-- Pour une heure? (hasardais-je timidement).

Grand rire :

-- ça dépendra si tu m'plais! C'est moi qui déciderai.

J'étais embarqué.

-- Vous êtes superbe.

-- Pas de manières, mon chou, moi c'est Gina. Et toi?

-- Valcour.

-- C'est pas un prénom ça!

-- C'est mon nom de guerre, ou plutôt d'explorateur, je n'fais la guerre à personne.

-- Avec moi tu vas en découvrir. Montre ta saucisse.

Elle commençait à défaire ma ceinture et à plonger sa main dans mon slip pour tâter ma raideur.

-- Tâte moi donc, t'a payé pour ça. T'es timide comme un préado.

Je dirigeais ma main vers son bas-ventre et sa chatte dont les grosses lèvres pendaient, mais elle a vite interrompu mon exploration.

-- A la douche, mon chou, j'aime pas les odeurs de sueur. Surtout des mâles.

Elle a surveillé que je me savonnais bien partout. Elle m'a emmené dans une pièce dont les murs étaient décorés de photos en noir et blanc de nus musculeux, mâles et femelles plus grands que nature, tout encombrée de matériel de culture physique. Elle s'est allongée sur un mince matelas de mousse recouvert d'un drap blanc, propre et imprimé de caractères chinois rouges et noirs. Elle avait du goût malgré des manières assez brusques. Elle m'a offert à tâter ses gros seins fermes et ronds comme des ballons trop gonflés, ses cuisses, sa chatte.

-- Tu peux y aller, c'est pas de la guimauve.

En empoignant rudement la chair (flasque) de ma cuisse, elle me montrait comment elle attendait que je la prenne. Je lui ai enlevé son string minimal mais élaboré, j'ai tenté de pétrir sa "viande", mais elle s'appliquait à durcir ses muscles pour résister à mes tentatives de massage. J'ai commencé à trifouiller dans sa chatte dont les grandes lèvres pendantes me fascinaient. Elle devait les étirer tous les jours comme en Afrique on s'étire les oreilles. Ses fesses étaient comme des billes de bois, et tout son corps huilé semblait se dérober à mes caresses exploratoires. Un gros clitoris émerge, décalotté comme un pénis de bébé.

J'ai approché ma langue;

-- Suce, je t'ordonne. Et si c'est pas bien, je ratatine tes couilles.

Ce qu'elle commençait à faire en malaxant durement ma queue raide et mes roubignolles. J'ai attrapé ses lèvres entre mes dents, j'ai introduis ma langue le plus loin possible, elle s'est amusée à contracter son bas-ventre pour me barrer le passage. J'ai mordu sa "viande". Elle a relevé les cuisses pour dégager son œillet. Je l'ai humecté d'un maximum de salive, j'y ai aventuré mes doigts, il était souple, et s'ouvrait comme une motte de beurre.

-- Assez joué, c'est mon tour.

Elle s'est emparée de ma queue qu'elle a vigoureusement branlée, sucée, tout en pétrissant mes couilles. Elle l'a prestement recouverte d'un préservatif qu'elle avait préparé discrètement. J'étais allongé sur le dos, elle s'est enfilée sur moi et m'a chevauché. J'avais l'impression qu'elle me branlait à la main, tant elle serrait et desserrait tour à tour les muscles de son vagin. Je n'ai pas tardé à jouir, elle a continué à me branler, elle voulait me vider jusqu'à la moelle de mes os.

J'étais épuisé. Elle se rhabillait, c'est à dire se paraît à nouveau de son entrelac de rubans. Voyant que je tardais à me relever, elle est revenue à moi :

-- C'est mou tout ça, c'est rien qu'du gras. La prochaine fois, je te ferai faire de l'exercice. La baise, faudra qu'tu la mérites.

Elle tâtait mes biceps maigrichons et les bourrelets de graisse de mes hanches. Je me suis rhabillé, elle m'a raccompagné à sa porte. Et juste au moment d'ouvrir, elle m'a sussuré d'une voix sucrée :

-- Tu r'viendras mon chou?

O surprise, elle m'a serré contre elle et a enfoncé dans ma bouche une langue aussi active et musclée que le reste.

Dans la rue, je titubais, tout étourdi de fatigue et du souvenir de son baiser d'adieu inattendu.

Conclusion générale : Très bonne adresse pour changer des câlins. Prix élevé pour 42 minutes mais prestations originales et musclées. Accueil : surprenant. Peut-être différent pour les habitués. Propreté des lieux : très bonne. Propreté de la personne : excellente. Douche et rapports protégés.

Tamil Nadu (Inde), Décembre 2007, au temple.

C'était un temple peu fréquenté des touristes, situé dans un quartier pauvre au cœur d'un labyrinthe de ruelles sans nom et encombrées d'ordures. J'ai fini par l'atteindre après avoir demandé plusieurs fois sa direction.

J'ai d'abord caressé longuement du regard les seins roses et gonflés des déesses et des danseuses qui s'ébattaient aux différents étages de l'énorme bâtiment qui constituait l'entrée monumentale. Les figures de stuc étaient peintes de couleurs criardes, mais grâce à cela, on pouvait les distinguer de loin.

Au centre de la grande cour rectangulaire que je devais bien sûr traverser pieds nus, se dressait le temple. C'était comme une pyramide bâtie en pierres ocres, elle aussi décorée d'une multitude de statues probablement plus anciennes. Mais c'étaient les mêmes seins ronds et les mêmes cuisses dodues qui occupaient les frises à tous les étages. La lumière déclinante mettait en valeur les formes voluptueuses et leur donnait une couleur cuivrée, comme celle de la peau de beaucoup de femmes du pays.

Je pensais avoir vu le principal, mais je suis entré néanmoins par routine touristique dans un dédale de salles obscures, encombrées de meubles à l'abandon. Plus j'avançais, plus les couloirs se faisaient étroits et l'atmosphère étouffante. Les odeurs d'huiles brûlées, de fleurs pourrissantes et de transpiration humaine prenaient à la gorge. Dans chaque petite chapelle, les fidèles offraient des fleurs aux prêtres qui en échange marmonnaient des prières et décoraient leurs fronts de poudres colorées.

"What is your name?" "Valcour"

Sacrifiant au rituel j'ai donné quelques roupies pour reconnaître mon nom au milieu des invocations à Shiva et mon front s'est retrouvé décoré après l'échange de nombreux saluts.

Alors que j'attendais mon tour au milieu de fidèles pour entrer dans la salle suivante, un jeune prêtre au crâne complètement rasé m'a attiré dans un couloir discret.

"Strong man, need you,???, fertility,???"

Son anglais était difficile à comprendre. Il a rejoint un petit groupe de quatre femmes en sari qui attendaient à l'entrée d'une chapelle tout juste éclairée par une dizaine de bougies. La statue de pierre noire, imposante, était décorée de fleurs, de tissus colorés et de pacotille.

Un homme nous a croisé qui sortait en se rajustant comme s'il venait d'uriner. Une femme était au centre de la chapelle, debout face à la statue, elle relevait son sari comme si elle voulait lui montrer son sexe. Le prêtre avait parlé de "fertility". Peut-être était-elle en train de frotter son sexe nu à un lingam (gros cylindre de pierre terminé par un hémisphère, et qui symbolise le phallus). La femme poussait de petits cris comme si elle voulait contenir sa jouissance. Puis elle s'est rajustée, elle a donné ses roupies en échange d'une bénédiction.

"Fertility, you now, your turn".

Au pied de la statue, il n'y avait pas de lingam, mais une femme, assise sur une banquette de pierre, complètement enveloppée de tissus noirs et décorés de bijoux dorés. Seul son visage cuivré en émergeait. Ses sourcils étaient noirs et brillants et ses lèvres colorées de rouge vif.

"Living goddess, blind. ... Parvâti, goddess Parvâti"

Ses pupilles bougeaient en tous sens lorsqu'elle ouvrait les yeux. Elle était sans doute vraiment aveugle et avançait ses lèvres à hauteur de ma braguette. Le prêtre m'a fait signe de la défaire, et j'ai glissé mon sexe entre les lèvres qui l'attendaient pour un curieux culte de la fertilité. Je n'ai pas refusé l'aubaine. Elle m'a très habilement sucé le gland. Sa langue et ses lèvres expertes faisaient merveille. Ses mains pressaient mes couilles avec délicatesse et fermeté, au rythme des caresses de sa langue. Un ou deux doigts se glissaient jusqu'à l'anus et me massaient la prostate au passage.

Elle n'a pas tardé à recevoir en récompense de ses efforts le flot crémeux de mon foutre. Elle m'a soigneusement nettoyé le gland de sa langue, mais je ne l'ai vue ni avaler ni cracher. Sans doute le gardait-elle pour en faire profiter les femmes qui attendaient derrière moi.

"Money please"

J'ai donné 10 dollars, le prêtre était enchanté et il a multiplié les bénédictions en mon honneur.

"To morrow, boum-boum" et il frappait son poing fermé dans la paume de l'autre main de manière suggestive.

"Better gal, for you, come again, another gal"

J'y suis retourné. Il m'a demandé d'avance 30 dollars et m'a emmené par les couloirs étroits dans une autre chapelle dont il a fermé derrière nous la lourde porte avec une énorme clef. Le long des murs s'alignaient une dizaine de lingams, qui suintaient d'huile. De la pénombre, émergeaient les grosses fesses blanches d'une femme qui attendait d'être prise en levrette. Ce n'était pas la déesse réincarnée de la veille, mais certainement une femme du Nord vue la couleur de sa peau. Ses fesses, ses cuisses et ses mollets étaient seuls visibles. Sauf l'arrière-train, elle était complètement recouverte d'un grand tissu bleu très sombre, qui donnait à la scène une allure de messe mortuaire ou satanique, comme Clovis Trouille en a peintes.

Le prêtre lui a fait écarter les cuisses et cambrer le dos pour que ressortent ses fesses et pour me faire admirer son buisson dense de poils noirs. Il a commencé à la branler sans délicatesse et m'a montré ses doigts luisants:

"She, ready, for you".

Je me suis agenouillé (comme il se doit dans une chapelle) et je l'ai moi aussi caressée, mais avec la douceur dont je fais toujours preuve avec les femmes. (Avis aux lectrices). Des gémissements significatifs se sont faits entendre malgré le drap qui la recouvrait.

Entre ses fesses un anneau d'argent permettait d'extraire de son anus une sorte de bouchon, qui avait pour fonction de m'interdire cette voie. Mais l'autre était déjà suffisamment alléchante. Sa chatte jutait abondamment. Mes doigts sentaient bon la sueur, la cyprine, l'urine (un soupçon) et les fragrances épicées de sa peau d'indienne. Pas le moindre relent de savon ou de déodorant.

Je l'ai enfilée sous les yeux attentifs du prêtre qui faisait peut-être une étude de sexologie comparée (pourquoi pas?). Elle était délicieusement étroite, ce qui était une bonne surprise, alors que je m'attendais à un tunnel autoroutier, vu le volume de ses fesses. Un très bon coup.

Pendant que je la pistonnais, le prêtre se tripotait. A peine étais-je ressorti du ventre enchanteur, et sans laisser à la femme le temps de reprendre son souffle, il l'a brutalement enfilée, et s'est mis à la baiser sauvagement en lui assenant sur les deux fesses des claques magistrales. Elle criait mais ce n'était pas de plaisir. Il riait de ma timidité, et me montrait comment j'aurais pu faire. Il m'a encore béni, il m'a demandé un "tip" supplémentaire et m'a proposé de revenir le lendemain.

"Another girl, very fresh, full night"

Mais je devais m'envoler pour la Thaïlande le lendemain matin très tôt. A l'occasion d'un prochain voyage, je ne manquerai pas d'y retourner.

"Very fresh, full night", ces mots continuent de traverser mes rêves.

Conclusion générale : Très bonne adresse dans le genre insolite. Prix très modique. Accueil : aléatoire. Propreté des lieux : médiocre, comme dans tous les temples. Propreté des personnes : difficile à évaluer. Rapports non protégés, mais pas de problèmes.

Valcour
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