Carole et Le Chauffard

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Carole apprend à ses dépends ce qu'est un chauffard énervé.
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Carole sentait que la migraine la guettait. Les gens gueulaient et klaxonnaient à tout-va pendant que des motards slalomaient dangereusement entre les voitures. Elle se maudissait d'avoir choisi de prendre l'autoroute pour se rendre en cours. En 10 minutes, la jeune fille n'avait parcouru qu'une centaine de mètres et le bruit des klaxons avaient fini de l'énerver. Elle se mit à son tour à crier sur tout ce qui bougeait et à pester contre les autres automobilistes. L'étudiante prit quand même un moment pour appeler une de ses amies et prévenir les professeurs de son retard.

Âgée de 18 ans et de taille moyenne, Carole était une toute nouvelle étudiante dans une prépa infirmière. De beaux yeux bleu-vert, des traits qui sans être fins n'étaient pas grossiers et surtout une bouche pulpeuse aux lèvres bien roses. Son visage était surmonté par une chevelure châtain épaisse et bouclée qu'elle disciplinait à grand peine tous les matins en la peignant en chignon. L'ensemble donnait un visage plutôt plaisant, bien qu'encore adolescent, et empreint d'une sorte de beauté naturelle et langoureuse. Son corps par contre n'était plus celui d'une adolescente avec ses courbes voluptueuses, des seins bien fermes et ronds qui remplissaient plus que généreusement les bonnets de ses soutiens-gorge, débordant de leur 90C, et des hanches appétissantes surmontant une jolie paire de fesses rebondies. Ce matin-là, elle avait choisi d'enfiler un ensemble soutien-gorge/culotte en dentelle rouge et noire, un top noir en simili soie moulant ses formes tout en offrant un décolleté généreux et un jean moulant parfaitement ses jolies fesses.

Après avoir passé ses appels, toujours énervée, elle balança son téléphone sur le siège arrière en remarquant à peine qu'il était tombé sous les sièges. Elle retira sa veste, se laissa aller contre le dossier de son siège et se massa les tempes un long moment tandis que la voiture en plein soleil se réchauffait rapidement.

Son calvaire dura encore presque une demi-heure puis la circulation se refluidifia d'un seul coup. Soulagée, Carole se remit en route et sentit une nouvelle énergie la parcourir. Elle allait être en retard mais elle pourrait quand même aller en cours! Elle ouvrit sa vitre pour avoir un peu d'air frais. Autour d'elle, les autres conducteurs semblaient aussi contents de voir repartir leurs véhicules mais très rapidement quelques excités se firent remarquer. Comme s'ils pouvaient rattraper le retard accumulé pendant l'embouteillage, ils conduisaient comme s'ils étaient seuls sur la route, doublant sans clignotants et klaxonnant furieusement ceux qui avaient le malheur de se mettre devant eux.

L'un d'eux se déporta violemment juste devant Carole pour doubler une autre voiture un peu lente par la droite. L'étudiante pila et cria:

«Mais putain quel fils de pute!!!»

Carole était folle de rage, elle avait failli le percuter et le mec semblait s'en foutre complètement. Submergée par la colère elle ne put s'empêcher de la laisser sortir.

Furieuse, Carole accéléra brutalement pour pouvoir rattraper le chauffard. Elle ne quitta pas le gros 4x4 des yeux et le doubla par la gauche pour l'empêcher de se déporter. Bloqué entre sa voiture et un camion-citerne, il ne pourrait pas la manquer! Un homme d'une quarantaine d'année et au visage sévère conduisait le véhicule et tourna la tête en fronçant les sourcils pour l'observer. Carole le gratifia de son plus magnifique doigt d'honneur et ouvrit la vitre côté passager pour pouvoir le traiter de fils de pute. L'homme réagit au quart de tour, virant à l'écarlate et lui renvoyant une bordée d'insultes. Satisfaite de sa petite vengeance, elle accéléra encore pour doubler le camion et pour se réinsérer dans la circulation.

Celle-ci était maintenant plus fluide même si l'autoroute restait chargée. Carole regarda l'heure sur son tableau de bord et fut un peu soulagée de voir qu'elle n'aurait pas temps de retard que ça. La jeune étudiante vit du coin de l'œil une voiture se rapprocher dangereusement du côté gauche et elle fit un écart en jurant pour l'éviter. Mais l'autre continua à se rapprocher et Carole fut obligée de continuer à se décaler sur la droite. L'étudiante reconnut le chauffard qu'elle avait insulté et qui la regardait avec des yeux haineux. La jeune fille sentit une boule se former dans son ventre ainsi qu'un pic d'adrénaline mais tout ce qu'elle pouvait faire pour l'instant c'était de continuer à partir sur la droite.

L'autre la força à s'engager sur la sortie d'autoroute et lui emboita le pas. Elle comprit qu'il la suivait mais elle ne comprenait pas bien pourquoi. Elle tenta de le semer dans les rues de la ville mais il avait nettement plus d'expérience de conduite qu'elle et il ne la lâcha pas d'une semelle. L'étudiante voulut attraper son portable mais ne le trouvant pas elle se souvint qu'il était tombé sous le siège derrière elle. Pas d'échappatoire de ce côté-là. Ce petit jeu dura une dizaine de minutes durant lesquels la peur de Carole ne fit qu'augmenter. Ils avaient quitté les rues principales pour de petites rues secondaires peu fréquentées et finalement à un carrefour la jeune conductrice fit une erreur et s'engagea dans une voie sans issue. Se retrouvant face à un mur de briques, Carole voulut faire marche arrière mais l'imposant 4x4 de son poursuivant eut tôt fait de lui bloquer la sortie.

L'étudiante vit la porte s'ouvrir et l'homme sortir, un cric à la main. Il était assez fort et portait un costard cravate. Grisonnant, il souffrait d'un début de calvitie et portait la moustache. Carole se pencha en arrière et voulut récupérer son téléphone pour appeler les flics mais le chauffard frappa un grand coup sur sa portière qui la fit sursauter.

«Sors de là salope!!!».

Carole hésita un instant mais il remit un grand coup de cric dans sa portière et celle-ci déverrouilla la porte en tremblant. L'homme l'ouvrit d'un seul coup et attrapa l'étudiante par le bras.

«Coupe le contact et sors de ta caisse connasse!!!».

Elle obéit fébrilement et se retrouve bientôt en dehors de sa bagnole, tremblante et en face d'un homme furieux qui brandissait un cric devant son visage.

«J'sais pas qui t'a appris à être aussi malpoli mais je vais te donner une leçon...

- Pitié laissez-moi tranquille...

- Ta gueule! Leçon n°1: appelles moi monsieur.

- Mais...»

Il lui mit une baffe et lui rappela:

« Oui monsieur! Et t'a intérêt à faire ce que je dis.

- Ou...oui monsieur..., parvint-elle à articuler.

- Leçon n°2 c'est pas une salope de ton genre qui va m'insulter alors t'as intérêt à te faire pardonner...»

Il la reluqua des pieds à la tête en sifflotant et utilisa son cric pour palper ses seins.

« Salope oui mais pas la plus moche... Ca à l'air bien ferme sans être dur... C'est des vrais?

- Ou...oui! répondit une Carole terrifiée.

- Oui qui? demanda-t-il en brandissant le cric.

- Oui monsieur! ajouta-t-elle précipitamment.

- Bien je vois que t'apprend vite. Montre un peu ta lingerie, enlève-moi ton haut salope et à genoux!»

Carole s'exécuta mais trop lentement à son gout et il lui enleva lui-même. Son soutif en dentelle rehaussait juste un peu sa poitrine et accompagnait somptueusement le galbe généreux de celle-ci. L'homme siffla encore d'admiration puis il défit sa ceinture et sortit son sexe. L'étudiante secoua la tête en demandant pitié mais l'autre menaça de «tabasser sa p'tite gueule en cœur» et elle obtempéra. Écartant à contrecœur ses lèvres, Carole pris en bouche le sexe dodu du chauffard.

« Applique toi salope... Sinon je te refais ta jolie p'tite gueule.»

Alors elle s'appliqua, faisant rapidement gonfler le sexe de l'homme dans sa bouche. Il n'était pas spécialement long mais très large, avec un gros gland. Tandis qu'elle le suçait, l'autre lui malaxait les seins, glissant sa main entre la peau et le tissu du soutien-gorge. Parfois il attrapait sa tête à deux mains pour mieux l'enfoncer sur sa queue et, de temps en temps, l'homme lui faisait lécher ses deux grosses couilles ou entre ses cuisses et son anus. Carole avait envie de vomir mais elle parvint à se retenir, prenant les deux grosses boules dans sa bouche ou nettoyant avec application l'entrecuisse de l'homme.

Pendant près de 10 minutes il parvint à se retenir avant de lui demander d'arrêter.

«Pas tout de suite... non... Tu n'aimerais pas que je jouisse aussi vite non?

- Non... non monsieur.» Murmura Carole en devinant la réponse.

Il lui fit retirer chaussures et jean et la caressa un moment avant de lui retirer son soutif. Il fut émerveillé par la masse ronde des seins de Carole et suçota les mamelons jusqu'à ce qu'ils deviennent durs et pointus.

« Une telle paire de seins... C'est actrice porno que t'aurais dû faire ma salope! T'es d'accord avec moi?

- Oui monsieur...

- Apprendre dans les bouquins c'est pas ton truc... Toi la seule chose pour laquelle tu sois douée c'est ouvrir tes cuisses et te faire tringler!

- Ou...oui monsieur..., souffla Carole, rouge de honte et sentant des larmes couler sur ses joues.

- Attends un peu... répète moi pour quoi t'es doué? Rappelle-toi, j'hésiterais pas à cogner..., dit-il menaçant.

- Je suis douée qu'à ouvrir mes cuisses et me faire tringler monsieur..., lâche-t-elle en pleurant.

- Bien! Maintenant il est temps que tu sois punie!».

Carole ne comprenait pas comment ça pourrait être pire mais il la fit s'allonger à plat ventre sur le capot brulant de sa voiture et lui retira son string, dévoilant son sexe rasé en ticket de métro. Il commença à palper le cul bien ferme et dit:

«Je vais être bien claire, à chaque fois que tu sentiras ma main sur ton joli p'tit cul de salope, je veux que tu dises merci compris?

- Oui monsieur...» sanglota-t-elle.

Et il se mit à la fesser, avec force et sans pitié. Carole disait «Merci monsieur!» à chaque fois et elle ne s'arrêta pas de le dire avant d'avoir les fesses rougies et douloureuses. Puis il passa à sa chatte et ses grandes lèvres charnues et leur donna quelques claques. L'étudiante hurlait à chaque coup puis hoquetait péniblement ses remerciements. Ensuite l'homme lui dit que la fin de sa punition approchait et empoigna sa queue gonflée et encore luisante de la salive de Carole.

« Tu as envie que j'enfonce ma grosse queue dans ta p'tite moule de pute?

- Ou-oui m-monsieur... pleura-t-elle.

- J'en étais sûr! Toutes les putes aiment s'en prendre une grosse dans le con!».

Et là-dessus il la pénétra sans délicatesse, par derrière, en la plaquant de tout son poids sur le capot brûlant. Carole gémissait tandis que le métal chauffée faisait souffrir son ventre et sa poitrine. L'autre se mit alors à la limer sans tendresse, comme une pute que l'on payerai pour se décharger. Il la baisa comme ça pendant près d'un quart d'heure, sans jamais se fatiguer. Par moment il l'agrippait par sa chevelure épaisse pour lui tirer la tête en arrière et la faire se cambrer. La jeune fille passa son temps à pleurer et à dire merci. Au bout de ce qui sembla une éternité à Carole, il s'enfonça au fond de son vagin et finit par l'inonder de sperme chaud avant de s'affaler sur elle de tout son long. L'étudiante était secouée de spasmes, aussi bien dus à sa douleur physique que psychologique. Quand il daigna la laisser tomber au sol, ses seins et son ventre étaient rougis, meurtris par le métal chaud. Elle se roula en boule et continua à pleurer tandis qu'il se rhabillait tranquillement et repartait. Carole reste prostrée sur le sol un long moment avant d'arriver à se redresser et repasser ses vêtements en pleurant.

Tarham
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1 Commentaires
misterbonemisterboneil y a presque 12 ans
Coup de poing

Voici une histoire coup de poing direct et sans compromis qui brille et dérange par son réalisme cru. Ma seule critique serait de vous dire que l'introduction était un peu longue, mais ça resterais mineur.

Bon travail

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