CFNM à l'université Chapitre 02

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Virginie force Arno à l'aider dans sa chambre.
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Partie 3 de la série de 27 pièces

Actualisé 06/08/2023
Créé 03/05/2018
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Chapitre 2

Récit d'Arno.

Comme d'habitude depuis septembre, je sors nu de ma chambre pour aller à la salle de bains. Nous partageons une salle de bains pour sept. Comme je me lève toujours très tôt, cela n'a jamais causé de gros problèmes. L'appartement est grand pour le campus, et nous avons un grand séjour sur lequel donnent deux couloirs de trois chambres. De notre côté, nous avons accès à une grande terrasse qui domine la Grand-Place. Je suis avec Stéphanie, Anne-Sophie est notre voisine et Virginie est au fond du couloir, sa fenêtre donne sur les champs et sa chambre est contigüe à la salle de bains.

Je sors donc de ma chambre, je suis complètement nu. C'est court car ma porte est juste en face de celle de la salle de bains. Alors que j'ouvre la porte, celle du couloir venant du living s'ouvre et Virginie arrive.

— Excuse-moi, lui dis-je un peu confus. Je pensais être seul.

— Ne t'excuse pas, tout le plaisir est pour moi. Ce n'est pas la première fois, cher Arno, tu ne t'habilles plus jamais pour passer de ta chambre à la salle de bains.

Elle avance en me regardant et en souriant. J'entre dans la salle de bains et me retourne, pour la laisser passer. Elle trouve quand même le moyen de me frôler de ses hanches. Pour un peu, elle me touchait le sexe.

Alors qu'elle arrive à sa porte, elle s'arrête et se retourne.

— Arno?

— Oui?

— Tu en veux pas m'aider? Il faut prendre des albums en haut, c'est lourd.

— Bien sûr, dis-je, je vais faire cela pour toi. Je prends une douche et...

— Non, il faut le faire tout de suite, je dois montrer des photos aux filles. S'il te plait. C'est très rapide.

Je n'hésite pas longtemps. Je suis nu en face de Virginie, j'ai eu l'habitude avec les photos, mais pratiquement pas en dehors, dans une circonstance pareille. Comme si autre chose que mon cerveau me poussait, j'avance vers elle complètement nu. Elle sourit, et me prend la main pour me faire entrer dans sa chambre dont elle referme tout de suite la porte. Je n'en reviens pas, je suis nu dans la chambre de Virginie. J'essaie de me concentrer pour ne pas bander. Elle me montre sa grande étagère Ikea qui va jusqu'au plafond. Tous les gros albums de photos remplissent les planches supérieures, et si je veux les attraper, ce sera dur.

— Elle me désigne tous les albums du dessus.

— C'est un de ceux-là, mais je ne me souviens plus duquel, tu peux me les prendre.

— Il faudrait que je monte sur quelque chose, sinon je n'arrive pas.

— Tu peux aller dans la salle de bains chercher le tabouret?

Elle m'ouvre la porte. Je sors dans le couloir et entre dans la salle de bains pour y prendre le tabouret. Je n'en reviens pas, je reste nu. Quand je retourne dans sa chambre, elle en referme à nouveau tout de suite la porte. C'est un petit tabouret avec une vis sans fin pour ajuster la hauteur. Trois pieds, pas le plus pratique pour ne pas se casser la figure. Après l'avoir posé devant l'étagère, je grimpe dessus et m'aperçois de l'incongruité de la situation. Je suis tout nu en hauteur devant Virginie! Et d'ailleurs, ce n'est pas compliqué, pourquoi ne le fait-elle pas elle-même? Elle a des dizaines d'albums ici, et elle les manipule toujours toute seule.

Virginie approche, je me tourne vers les livres alors qu'elle se place pratiquement contre moi. Elle a son visage à hauteur de la moitié de mon dos.

Cela va durer, je pensais faire une petite passe rapide tout nu et aller prendre ma douche. Et puis, si jamais quelqu'un arrive et me trouve ainsi nu dans sa chambre. Virginie me montre un album et je l'attrape assez difficilement car évidemment, elle veut celui qui est coincé sous d'autres. En même temps, elle place sa main gauche sur le sommet de mes fesses. Se rend-elle compte de ce qu'elle me fait subir. Je ne parviens pas à suffisamment me concentrer pour ne pas bander. Je sens mon sexe se redresser.

Je lui donne l'album. Elle doit utiliser ses deux mains pour l'ouvrir.

— Non, pas celui-là.

Elle le dépose par terre et me désigne un autre.

Je reprends mon travail qui consiste à soulever tous les albums pour prendre celui qui est sous la pile et chaque fois, elle place sa main sur le haut de mes fesses et me désigne un livre. Chaque fois elle s'est trompée. Je suis vraiment resté longtemps dans sa chambre, et ce n'est pas fini. Alors que je prends le dernier album d'une bonne vingtaine, elle se rapproche encore, cette fois, elle entoure ma taille de son bras et sa main vient se placer sur mon ventre. Je sursaute un peu, mon sexe est dressé, et sa main n'est même pas à deux centimètres du gland. J'ai trop chaud, mon cœur bat trop vite. Trop d'intimité avec des amies amène à de telles situations.

Cette fois, elle ne regarde même pas l'intérieur.

— Suis-je bête, Arno, l'album que je chercher est au-dessus de ma penderie.

Je descends du tabouret, elle se place tout de suite contre moi. Je mesure 1m85. Les filles de l'appartement sont toutes très grandes, Virginie doit faire 1m78, et elle a de hauts talons, donc elle se trouve juste à ma taille. Elle a toujours sa main sur ma hanche.

— Tu m'en veux?

— Non, réponds-je en déglutissant mal. J'ai promis de t'aider, je le fais.

— Oui, c'est très gentil. Et puis, tu me l'as déjà demandé de nombreuses fois.

— Quoi?

— De faire des choses pour moi, parce que tu étais en congé.

— Oui, et tu n'en profites jamais.

— Maintenant, je le fais.

— Tu comptes cela pour de l'aide?

— Si tu ne m'aides pas, que fais-tu?

— Je pensais à des choses plus importantes.

— Tu sais, en ce moment, tu m'aides beaucoup, c'est très gentil, comme d'habitude. Mais tu as raison, je devrais plus en profiter, cela semble te faire très plaisir.

Je tremble un peu, elle est fort proche et très belle. Son parfum délicat titille mes narines et en bougeant un peu, ses cheveux blonds et soyeux caressent mon torse.

— Euh, je vais bouger le tabouret, parviens-je à balbutier.

Elle ne bouge pas, je suis obligé de reculer et je tombe pratiquement à la renverse en butant dans le tabouret oublié derrière moi. Elle me retient et rit.

— Attention, je ne voudrais pas avoir ta chute sur ma conscience!

Je me remets. Elle agit comme si tout était normal, mais je suis nu. Déjà habillé, c'est une situation tangente, mais je suis complètement nu devant elle. Après avoir attrapé le tabouret, je contourne mon amie et vais le placer devant sa penderie. Alors que je monte, je sens qu'elle est à nouveau contre moi avec sa main sur mon ventre et l'autre sur mes fesses.

— Tu le vois? C'est un gros classeur rouge.

— Oui.

Je le prends. Il est écrit « Arno intime ».

— Tu as un album sur moi?

— Oui, ce sont des photos intimes, que j'ai de toi depuis cinq ans.

— Et qui voit cela?

L'album est différent des autres... Elle aurait pu me le dire. Et heureusement, il est fermé par un petit verrou dont la clef est absente.

— Uniquement moi, et Stéphanie bien sûr. Tu veux le voir? Assieds-toi, je vais tout te montrer.

Je descends.

— Euh non, je me connais. Je vais aller prendre la douche que je voulais prendre quand tu m'as appelé.

Elle me prend dans ses bras et m'embrasse en me serrant contre elle. Elle me prend tout nu dans ses bras! Je sais que nous sommes devenus très intimes, mais c'est une première, et pourtant combien d'heures n'avons-nous pas passées comme cela ensemble pour des photos? Je suis nu dans ses bras et mon sexe tendu est comprimé contre son ventre, contre son sexe même. Comment fait-elle pour garder son sang froid?

Alors que je pensais en avoir fini, elle me tient toujours contre elle.

— Tu veux bien remettre les autres albums à leur place?

— Bien sûr.

Elle reste contre moi avec ses bras autour de ma nuque. C'est un calvaire de me détacher et d'aller placer le tabouret de l'autre côté. Elle laisse sa main sur mon corps d'une manière très naturelle. Je ne parviens plus du tout à cacher mon émoi.

Cela fait longtemps que je suis dans sa chambre et je suis tout nu. Je ne peux pas retourner maintenant. Elle me sourit, comme si tout était normal. C'est bon. Après tout, elle m'a déjà vu ainsi de si nombreuses fois. C'était devenu naturel, je me rappelle notre première session de photos dans son appartement. Je m'étais déshabillé, j'étais assez timide et embarrassé, mais je sais que j'ai un corps qui plait beaucoup aux filles. A l'époque, même si je m'en doutais, c'était quand même embarrassant. Elle m'avait pris en photos pendant des heures, me permettant parfois d'arrêter pendant qu'elle changeait d'objectif ou d'éclairage. Elle me permettait d'aller boire de l'eau dans la cuisine. Et je me souviens de l'arrivée d'Anne-Sophie, qui habitait avec elle et Marie-Dominique. Elle était fâchée sur moi à l'époque, et était restée comme pour tenter de m'humilier et m'embarrasser. Elle avait réussi et depuis lors, Anne-Sophie avait créé de plus en plus de situations où je me retrouvais tout nu face à elle.

Sans compter l'arrivée de sa sœur, Marie-Dominique, et deux filles de son cours qui venaient pour un travail de droit. Ma réputation avait été faite.

Je monte sur le tabouret, m'attendant à ce qu'elle me passe ses albums, mais elle reste à me regarder tout en cherchant la clef du petit cadenas.

Je descends donc et prends les albums, puis remonte sur la chaise. Je me retrouve plusieurs fois nu à ses pieds pendant que je prends les albums restés sur le sol. Elle me regarde, ravie il me semble. Cette fois, je compte trente albums que je remonte deux par deux.

Finalement tout est rangé, pas tout à fait comme avant, mais cela devrait aller.

— Voilà, tout est à sa place, lui annoncé-je.

— Tu es un amour.

Elle me serre encore contre elle et m'embrasse sur les lèvres. Je suis un peu confus.

— Je ne vais pas t'ennuyer maintenant parce que les autres m'attendent, mais tu n'as pas rangé les albums comme ils étaient. Il faudra revenir, si tu veux m'aider, fais le correctement, d'accord?

— Oui Virginie, fais-je embarrassé.

Pourquoi suis-je embarrassé? Je l'aide et elle ne fait absolument rien.

— Tu reviendras?

— Oui.

— Quand?

— Je ne sais pas... Demain sans doute.

— Bon, tu es vraiment un amour, je sais que je peux compter sur toi.

J'empoigne le tabouret et vais vers la porte. Elle prend son album et me suit dans le couloir. J'entre dans la salle de bains, mon cœur bat à tout rompre, et mon ventre me fait mal d'excitation. Je sens tout de suite les mains de mon amie sur mes fesses.

— Tu es super. Je te revaudrai cela.

— Mais non.

— Pourquoi? Je pourrais te faire un massage. Ou bien te donner un bain. Tu n'aimerais pas?

Je me sens rougir et demeure incapable de répondre.

— C'est dit, tu auras les deux, un bain et ensuite un bon massage. Quand tu auras vraiment rangé les albums. N'oublie pas, je serais très déçue!

Elle m'embrasse encore sur les lèvres en se pressant contre moi et me laisse tout seul. J'entends la porte s'ouvrir et les cris des filles.

Wow!!!! Quelle aventure! Nu avec Virginie. Cela a bien duré une heure!

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Anonymous
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2 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a environ 6 ans

Amusant les albums photos en haut de l'armoire ... La virilité d'Arno bien en vue et à disposition.

AnonymousAnonymeil y a environ 6 ans
J'adore

J'adore ces histoires d'exhibition et de domination féminine un peu consensuelles. Et c'est bien écrit en plus.

Vivement la suite!

A.N.

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