CFNM à l'université Chapitre 05

Informations sur Récit
Marie-Dominique surprend Arno nu sur la terrasse.
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Partie 6 de la série de 27 pièces

Actualisé 06/08/2023
Créé 03/05/2018
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Chapitre 5

Journal de Stéphanie.

Vendredi matin.

Je m'étais éveillée pendant la nuit pour bloquer notre fenêtre, et ensuite, je m'étais couchée sur lui pour qu'il ne puisse pas sortir du lit sans m'éveiller. Bien m'en a pris. Je me suis éveillée alors qu'il me bougeait doucement pour se lever. Je l'ai vu aller vers son armoire.

— Tu as promis d'aller t'entrainer tout nu, je lui ai dit tout de suite. Tiens ta promesse!

Il s'est arrêté. Je le savais, il n'osait pas.

— Je veux te voir t'entrainer tout nu, tu sais pourtant comme cela m'excite. Tu aimes m'exciter?

— Oui, il a répondu tout troublé.

— Alors, tu vas me faire plaisir? Je vais te regarder par la fenêtre.

— Mais et les autres?

— Elles dorment, et il n'y a qu'Anne-Sophie qui pourrait te voir de sa fenêtre, et si tu te souviens, c'est déjà arrivé. Et puis, elles t'ont déjà toutes vu tout nu.

Je lui ai dit de se raser, je le voulais tout lisse pour l'admirer.

— Tu vas m'exciter, et ensuite tu reviendras me faire l'amour tout de suite!

Il a voulu sortir par la fenêtre, mais évidemment c'était impossible.

— Va par le couloir, je lui ai dit.

Il a un peu tiqué, mais je l'ai envoyé.

Il est sorti, je l'ai entendu dans la salle de bains. Puis, je l'ai entendu sortir et aller lentement dans le living et puis sur la terrasse qui s'est illuminée. Je me suis installée à la fenêtre. J'étais dans le noir, et il avait allumé la terrasse, donc il ne pouvait me voir. Mais j'avais une vue parfaite sur son corps nu. La porte s'est ouverte derrière moi et Virginie et Anne-Sophie sont entrées, elles étaient encore en chemise de nuit et se sont installées à mes côtés.

— C'est vrai, il devrait lui être interdit de s'habiller.

— Tu crois que nous sommes folles? A demandé Virginie. Quelle perversion quand même.

— Pourquoi? Nous sommes de jolies filles normalement constituées qui aimons voir un beau garçon tout nu. Rien de pervers.

— Sans doute. De toute façon, même si c'est pervers, je m'en fous, j'adore!

— Un relent de notre éducation chrétienne, a dit Anne-Sophie en riant. Je ne me sens pas du tout anormale.

— Dans ce cas, péchons et nous irons nous confesser!

Nous avons ri en imaginant raconter ce que nous faisions à un curé assis derrière une grille dans un confessionnal.

— Tu crois que les autres filles font comme nous?

— Elles n'osent peut-être pas. Nous connaissons Arno si bien, et puis nous sommes en puissance.

— Nous ne sommes pas seules, a décrété Virginie, il y a déjà tout le « Pussy Power », c'est déjà pas mal.

— Et il y a toutes les filles de mon cours qui me demandent si je vois parfois Arno tout nu dans l'appartement. Si nous voulons faire de l'argent, il suffit de vendre ses photos. Déjà son poster de jeans... Et il n'était pas encore aussi superbe!

Arno faisait des exercices d'échauffement puis il a commencé tout ce qu'il faisait d'habitude depuis que Sylvie lui avait montré la musculation sans utilisation de poids. Je me souviens notre premier été à Saint-Tropez chez papy et mamy. Ils ont une salle de sports qu'ils n'utilisent plus, je l'ai fait aller sur un engin pour soulever des poids, et voir son corps nu et luisant bouger m'avait excité très fort, je l'avais violé comme une folle, et il avait failli se faire écraser par les poids.

Très érotique comme entrainement.

— J'ai presqu'envie d'aller le chercher tout de suite et de le laisser tout nu une bonne fois pour toutes, a dit Anne-Sophie avec une voix trop rauque.

— Attendons, a dit Virginie, laissons le jeu. C'est très agréable.

Cela a duré une bonne heure, il était en transe et s'est aspergé d'eau froide de la terrasse. Il est venu à ma fenêtre mais il ne pouvait me voir, nous nous sommes reculées. Alors, sans doute pour me faire plaisir, il a fait des tractions juste devant la fenêtre.

— Trop sexy, a dit Virginie en approchant.

Nous avions son corps qui montait et descendait en face de nous. Il souriait, croyant que j'étais seule. Son sexe montait et descendait.

Il a arrêté et a essuyé son corps avec la serviette et il l'a laissée sécher sur le parapet. Puis, il a regardé le soleil se lever, tout nu face à la ville.

— Pff, c'est trop fascinant, a dit Virginie. Une heure, et je n'en suis pas lasse.

—————————

Récit d'Arno

J'avais oublié comme c'était si agréable de m'entrainer nu et d'offrir mon corps à la nature. Heureusement que je suis seul. Je regarde la fenêtre de notre chambre, mais ne vois pas Stéphanie, normal je suis dans la lumière. Elle aime me voir? Je vais contre la vitre et me tire en hauteur devant elle. Je vais en profiter dans quelques instants. Elle sera sauvage et elle réveillera encore tout le monde.

J'entre enfin dans le salon et ferme la porte puis éteins la lumière de la terrasse.

— Mais quel beau spectacle!

Je me retourne. La lumière de la pièce se fait et j'aperçois Marie-Dominique qui vient vers moi.

— Euh excuse-moi, je me croyais seul, je ne savais pas que tu te levais si tôt.

— Je voulais me faire un café.

Elle vient contre moi, se colle à mon corps nu et passe ses bras autour de mon cou. Puis elle m'embrasse sur les lèvres.

— Mon bel Arno. J'ai bien fait de me lever tôt, j'ai assisté à un beau spectacle. Tu t'entraines souvent le matin?

— Oui, presque tous les matins, après avoir couru.

— Je sais, tu cours tout le temps, mais je ne savais pas que tu passais du temps sur la terrasse.

Il me semble qu'elle le sait, ce n'est pas la première fois qu'elle me voit, mais je n'étais pas nu. En tout cas, elle me trouble, elle n'est jamais si affectueuse, elle adore me prendre dans ses bras, mais pas comme ça, pas quand je suis tout nu. A nouveau, je sens mon sexe dur contre elle, et comme sa sœur et Virginie, elle ne fait aucune remarque.

— Puisque tu es là, est-ce que tu peux me préparer le café, il n'y a que toi qui sais bien en faire.

Elle me garde contre elle, je suis complètement tétanisé nu dans ses bras.

— Euh...

— Allez, me dit-elle, tu ne prendras pas longtemps, viens. Je t'ai vu te rincer sur la terrasse, tu n'as plus besoin de douche.

Elle rit et prend ma main pour m'emmener à la cuisine.

— Tu fais le meilleur café, et même en te regardant, je ne parviens jamais à faire le même.

— Merci, balbutié-je en cherchant la bouilloire.

Je mets bouillir l'eau et elle me regarde. Je suis encore nu en face d'une fille de l'appartement. Marie-Dominique maintenant. Cela n'arrête pas. Un moment, j'imagine qu'elles arrivent toutes dans la pièce. Quelle excitation! Mais je ne veux pas que ça arrive, je serais trop ennuyé. Je prends la cafetière et la prépare avec le filtre et le café. Rien de spécial.

— C'est bien cette nouvelle génération, tu ne trouves pas?

— Quelle nouvelle génération?

— Et bien les garçons qui cuisinent. Tu es le meilleur cuisinier de l'appartement, impensable il y a sans doute dix ans.

— Euh oui, sans doute.

— Et tu es doué dans plein de choses qui étaient uniquement pour les filles d'avant. J'aime ce monde moderne. Un garçon qui sait avoir tellement confiance dans sa fiancée et même ses amies.

Elle parle. Excité, je prépare déjà la table du petit déjeuner pour toutes les filles.

— C'est super gentil. Tu es adorable.

L'eau bout et je fais passer le café. Elle me regarde encore, et me parle. Cela fait un quart d'heure que je suis ici avec elles. Quand les autres se réveillent-elles? Et si Stéphanie décide de venir voir pourquoi je ne la rejoins pas?

— Tu aimes t'entrainer sur la terrasse? Me sort elle de mes pensées.

— Oui, j'ai trouvé un moyen de faire des exercices sans les poids, pour avoir de la puissance et de l'équilibre. C'est Sylvie qui m'a montré tout cela.

— Ah oui, Sylvie. Je l'adore, c'est dommage qu'elle ait déménagé en Finlande. Mais tu ne te bats plus.

— Non, pas d'opportunité. Enfin, ce ne sont pas des opportunités, mais il n'y a plus personne qui manque de respect à Stéphanie ou à vous. Sauf la dernière fois à Paris, dans le métro, nous avons dû nous défendre contre huit Maghrébins qui voulaient nous dépouiller.

— Tant mieux, c'est mieux que tu sois entier. Dire qu'un jour, tu m'as sauvé la vie.

— Je ne sais pas si je t'ai sauvé la vie, lui réponds-je en lui donnant une tasse de café.

— Tu n'en sais rien, j'aurais pu être violée, et après traumatisée, et puis je me serais sans doute suicidée.

— Mais non, je t'aurais surveillée, et tu aurais repris goût à la vie.

— Vraiment? Nous n'étions pas encore si proches.

— Je sais... Mais tu es la meilleure amie de Stéphanie, j'aurais tout fait.

— Tu es si gentil.

Elle vient encore se coller à moi avec sa tasse de café qu'elle dépose sur la table pour pouvoir utiliser ses deux mains. Elle se colle contre moi et passe ses bras autour de mon coup.

— Tu es si génial. A un moment, je t'ai considéré comme mon frère.

— Et maintenant plus? Fais-je un peu triste.

Elle m'embrasse

— Maintenant c'est encore mieux, ne sois pas triste. Tu es mon meilleur ami. J'ai tout le temps envie de te voir, quand je ne te vois pas, c'est comme un vide. Tu es mon petit ami putatif. Je t'aime plus que mon petit ami. Je voudrais que tu sois présent tout le temps.

Elle dit cela en me tenant nu dans ses bras. Je ne sais que répondre. A ce moment, il y a du bruit dans mon couloir, et j'entends les voix de Virginie et Anne-Sophie. Je panique.

— Qu'est-ce qu'il y a?

— C'est que... Euh... Il ne faut pas qu'elles me voient.

— Pourquoi?

— Euh. Marie-Dominique, je n'ai rien sur moi, ce serait incongru si elles me trouvaient ici comme ça.

— Viens!

Elle prend ma main et m'emmène dans son couloir, juste à temps.

— Oh, entends-je la voix de Virginie, on dirait qu'Arno a tout préparé pour nous.

Heureusement, elles ne me voient pas. Marie-Dominique ferme la porte et maintenant il y a du bruit dans la chambre de Sandrine. La porte commence à s'ouvrir lentement et Marie-Dominique tire vite dans la sienne.

— Bonjour Marie-Dominique, dit Sandrine.

Puis Annick est aussi présente. Elles se parlent dans l'entrée de la porte.

— Tu as déjà un café?

— Oui, Arno m'a fait un bon café, et il a déjà préparé le petit déjeuner.

— Quel garçon super, entends-je Annick. Je me demande comment je ferai sans lui après juin.

— Nous nous reverrons toute notre vie, dit Marie-Dominique.

— Oui, mais nous n'habiterons pas ensemble. Et cette année est encore plus géniale, nous n'avons jamais été aussi proches, et il fait tellement pour nous.

— Il veut toujours nous aider.

— Et il propose de faire plus.

— Il faudrait accepter, dit Sandrine, si cela lui fait plaisir.

— Mais alors nous l'empêchons de faire la fête.

— Vous savez, si nous pouvons lui faire plaisir en acceptant qu'il nous aide, moi je le fais tout de suite, déclare Sandrine.

— Bon on te laisse, poursuit Annick, allons goûter ce fabuleux petit déjeuner.

— Je vous rejoins dans quelques instants, je meurs de faim.

Marie-Dominique ferme la porte et me regarde.

— Je t'ai sauvé... Tu ne voulais pas les voir?

— C'est que... Je ne suis pas présentable.

— Ah bon? Cela fait 30 minutes que nous parlons et une heure que je te vois sur la terrasse. Tu es très présentable au contraire.

Je me sens rougir. Elle rit et s'assied sur son lit.

— Et maintenant?

— Euh... je ne sais pas.

— Elles sont toutes dans le salon, tu vas devoir rester ici.

— Merci.

— Vraiment? Et si elles restent toute la journée au salon?

— Euh...

— Cela ne me dérange pas du tout, au contraire. Tu peux passer la journée dans ma chambre. Mais si elles s'inquiètent et qu'elles viennent voir?

Elle continue à boire son café. Je ne pense pas à cela. Quelle horreur! Elles entrent dans la chambre et je m'y trouve tout nu. Je n'aurai jamais aucune explication. Comment ai-je pu me laisser embobiner? Oui, en fait, je le sais, c'est très excitant et je n'ai pas trop réfléchi.

— Tu as peur de moi?

— Hein? non, non.

— Viens t'asseoir sur mon lit.

J'approche, et m'assieds loin d'elle.

— Ici, me dit-elle près de moi!

Je me rapproche un peu.

— Je n'en reviens pas, tu as toujours peur de moi et nous nous connaissons depuis presque aussi longtemps que Stéphanie.

Elle finit son café et dépose la tasse sur la table de nuit. Puis elle me serre contre elle et enfin me pousse dans son lit, je me retrouve couché nu dans son lit et elle vient près de moi.

— Voilà, nous sommes bien comme ça, non?

Je n'en peux plus. Est-ce qu'elle sait ce qu'elle fait?

Elle se met dans mes bras, un peu plus en hauteur et me regarde. Je sens sa volumineuse poitrine qui tend le tissu de sa chemise de nuit sur mon torse, et le sommet de ses seins est pratiquement sous mon nez. Je suis tétanisé. Comme si ce n'était pas suffisant, elle passe sa cuisse sur mon sexe. Je sursaute. Comment résister? Je ne peux pas violer la meilleure amie de Stéphanie!

— Je n'en reviens pas, tu es tout timide.

Elle m'embrasse sur les lèvres en appuyant encore plus sa poitrine sur moi.

— Tu es trop mignon, tiens. N'aie pas peur de moi, et puis, je te protège, tu peux bien rester un moment ici. Cela tient toujours ton offre de service?

— Oui, réponds-je.

— Je veux que tu ranges ma chambre dans ce cas.

— Ah? D'accord, je viendrai tout à l'heure.

— Pourquoi tout à l'heure? Tu es ici maintenant, fais-le maintenant.

— Euh oui Marie-Dominique, fais-je en entendant son ton de commande.

Je voudrais bouger mais elle est sur moi.

— Alors? Tu vas le faire?

— Maintenant?

— Oui maintenant, allez!

Son ton est très impérieux.

— Oui, j'y vais.

Elle reste sur moi. Puis-je la bousculer. Je bouge un peu et parviens à la déplacer. C'est frustrant, pour cela, je dois me décoller de sa poitrine. Elle ne bouge pas et me regarde me dépêtrer en souriant. Je parviens à la laisser étendue sur le dos, et je passe au-dessus d'elle pour sortir du lit. Marie-Dominique bouge un peu et je perds l'équilibre, je tombe sur elle tout nu.

— Et bien? Que fais-tu?

— Désolé.

Elle rit et s'accroche à moi. J'ai ses gros seins dans les yeux, je ne vois plus, mon nez est coincé entre les deux globes et mon sexe est entre ses cuisses, juste un peu plus haut que les genoux. Elle le fait exprès. Elle sourit alors que ses genoux se resserrent tel un étau autour de mon sexe. En même temps, elle s'accroche de ses mains à mon dos.

— Et bien? Que veux-tu faire? Je t'ai demandé de ranger ma chambre.

Je parviens à sortir mon visage de son giron.

Incapable de parler, j'ouvre la bouche et aucun son ne sort. Marie-Dominique prend pitié sans doute et elle relâche son étreinte, je parviens à m'extirper à regret de cette place fabuleuse. Je tombe presque du lit.

Je viens à peine de me lever qu'elle s'assied et pose ses pieds par terre.

— Mets-moi mes pantoufles, ordonne-t-elle.

Je suis sans volonté, elle pourrait me dire n'importe quoi, je crois que je l'exécuterais sans penser. J'ai subi comme un lavage de cerveau. Fébrilement, je me mets à genoux devant elle et je lui mets ses pantoufles. Je reste à genoux, assez indécis.

— Et bien! Commence à ranger, ne reste pas ainsi sans rien faire!

Je reste au sol pour ramasser ce qui traîne. C'est aussi assez en désordre, elle qui est si soignée. Alors, on frappe à la porte. J'ai presque un arrêt cardiaque.

Marie-Dominique sourit en se levant et va vers la porte.

— Cache-toi sous la couette, me chuchote-t-elle.

Elle va vers la porte, comme si je n'étais pas là, elle l'ouvre alors que je suis encore visible. Heureusement, personne ne me voit, et j'ai le temps de me cacher sous la couette, et l'arrangeant comme une saucisse. Je place vite l'oreiller sur ma tête et ne bouge plus. Mon cœur bat plus vite que lorsque je force trop en cardio, moi qui suis brachycarde! J'espère que je suis discret! La honte si on me trouve ici.

J'entends qu'on entre dans la pièce.

— Tu ne viens pas déjeuner? Détecté-je la voix de Virginie.

— J'arrive.

— Arno a préparé.

Annick et Sandrine entrent à leur tour. Virginie s'assied sur le lit, elle me touche pratiquement les pieds.

— C'est délicieux, nous t'attendons. Je vois que tu as déjà pris un café?

— Oui, J'ai eu la première tasse.

— Tu as vu Arno?

— Oui, mais il est parti.

— Il doit être dans sa chambre, j'aimerais le remercier.

— Oui, il fait tellement de choses pour nous.

— Et il veut en faire plus.

— Nous devrions accepter, dit Annick en venant s'asseoir également sur le lit à hauteur de mon ventre. Ce serait très agréable et cela nous soulagerait.

— Il a beaucoup de temps libre et dort peu, s'il fait des trucs en plus ce ne sera rien pour lui, dit Sandrine.

— Oui, sans doute, répond Marie-Dominique.

J'ai peur, elles vont s'apercevoir de ma présence. Et alors? Que dirai-je si elles me voient nu dans le lit de Marie-Dominique? Je sens que j'étouffe. Et en plus, je me sens excité ainsi, je suis tout nu, et elles sont si proches. J'en viens presque honteusement à espérer qu'elles me voient.

Et maintenant, Stéphanie et Anne-Sophie entrent également dans la pièce. Sandrine s'assied pratiquement sur l'oreille. Elle pose même ses mains sur mon torse. Elle va me remarquer, ce n'est pas possible.

— Vous venez? Que faites-vous? Demande Anne-Sophie.

— Nous discutions d'Arno.

— Oui, nous devrions accepter qu'il fasse des trucs pour nous.

— Je vous le dis depuis un mois, commente Stéphanie. Il est parfois triste.

— Mais non?

— Dans ce cas, il faudra lui faire plaisir, répond Sandrine.

— Oui, nous allons devoir lui confier plein de tâches. Moi, j'ai des idées.

— Mais il faut que cela nous aide vraiment, dit Virginie.

— Oui, qu'il fasse ce qui nous arrange et pas ce qu'il pense devoir faire, reprend Anne-Sophie.

Elles rient. Trois filles sont assises sur le lit, elles me touchent presque, et comme par miracle, elles ne m'ont pas encore vu. Je sens même les fesses d'Annick sur moi.

— Bon, allons donc profiter de cet excellent petit déjeuner, propose Virginie en se levant.

Elles quittent finalement la pièce. La couette se soulève.

— Range ma chambre, me dit Marie-Dominique, et fais le bien, que ce soit fini quand je reviens!

Elle me laisse seul et désemparé.

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2 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a environ 6 ans

J'adore cette histoire, de mieux en mieux.

Dire qu'il existe des filles comme ça!

AnonymousAnonymeil y a environ 6 ans

C'est l'excitation qui rend Arno aussi naïf ...

Quelle chance il a sans s'en rendre compte d'être ainsi exposé nu à toutes ces jolies filles !

Rudy

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