CFNM à l'université Chapitre 08

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Elles ont tous les trucs pour le faire promener nu partout.
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Partie 9 de la série de 27 pièces

Actualisé 06/08/2023
Créé 03/05/2018
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Chapitre 8

Récit d'Arno

Je laisse les filles à leurs conversations, et je vais dans ma chambre. J'ai une pulsion, il faut que je retrouve les sensations de la semaine passée. Je n'ai même plus envie de voir mes copains, je veux vivre quelque chose avec les filles. Je retire mes vêtements et les range, comme Stéphanie aime bien. Il ne faut pas la décevoir, elle est dans une période assez dominante et je ne veux pas la contrarier. Alors, je sors et vais prendre vite une douche. Quand je retourne dans le couloir, je suis pratiquement déçu, personne. J'aurais aimé tomber sur Anne-Sophie et avoir un peu de temps tout nu dans sa chambre. Je me demande si j'oserais. Je vais jusqu'à la porte du salon. Non, me dis-je la main sur la poignée, je ne peux quand même pas arriver tout nu. Je me dégonfle, mais je reste un long moment devant la porte. Et puis celle-ci s'ouvre sur Virginie, étonnée.

— Arno? Que fais-tu là?

— Euh... Je suis désolé, j'allais retourner dans ma chambre.

— Ce n'est pas grave, je viens te chercher pour ranger mes albums. Allez, passe devant. Tu m'as promis et tu n'as rien fait.

Elle me pousse dans le couloir, je recule. Elle avance vers moi, l'air un peu fâchée.

— Tu promets d'aider, et voilà.

— Je suis désolé, réponds-je mal à l'aise.

— C'est bien d'être désolé. Il faut te rattraper. Allez!

Elle me pousse, je me retourne et elle me claque les fesses. Je n'en reviens pas. Je désirais quelque chose, mais c'est trop embarrassant. Nous arrivons à sa chambre, et finalement, je trouve excitant de me retrouver tout nu avec Virginie. Finalement, l'histoire des albums était très excitante.

Elle ouvre la porte et me pousse à l'intérieur, avec encore une claque sur les fesses.

— Va chercher le tabouret, m'ordonne-t-elle et ensuite, tu descends les albums, pour commencer. Tu vas beaucoup travailler ce soir, tu dois compenser.

— Oui Virginie, réponds-je penaud.

Je sors dans le couloir. Virginie a laissé la porte du salon ouverte. Je veux aller la fermer.

— Non, entends-je derrière moi, à la salle de bains, ne commence pas à faire autre chose que ce que je te demande.

Je suis paniqué, elle parle assez fort et les autres pourraient l'entendre. J'entre vite dans la salle de bains et trouve le tabouret avant de retourner vers elle.

— Je n'ai pas envie de me répéter tout le temps, Arno. Je suis énervée, tu promets de m'aider et tu ne le fais pas. Maintenant, j'espère que tu vas bien te comporter.

— Oui Virginie, murmuré-je en entrant dans sa chambre.

— Allez, commence par descendre tous les albums.

J'installe le tabouret et monte. Je recommence mon manège de jeudi soir. Virginie me laisse et va dans le salon. Je descends tous les albums sur le sol et attends son retour.

— Ah, tu as commencé. Bon, puisque tu m'as déçue, tu dois réparer, tu en es conscient?

— Oui Virginie.

— Prends tout ce qu'il y a sur les étagères. Tu vas tout ranger.

— Mais il y en a pour des heures.

— Et alors?

— Euh rien, me calmé-je pour ne pas qu'elle s'énerve plus.

Je ne croyais pas Virginie capable d'un tel comportement, je la voyais comme une fille très douce. Je remonte sur mon tabouret et descends tout ce qui se trouve sur le haut, des livres, des syllabus, des boites. Elle continue de me regarder.

Je passe à la deuxième planche accessible sans le tabouret.

— Tu n'en as plus besoin, me dit-elle rapporte-le dans la salle de bains.

Sans la contredire, je prends l'objet et vais dans le couloir. La porte est toujours ouverte et je vais vite le déposer dans la salle de bains avant de retourner. Virginie vient vers moi.

— Allez, continue, et travaille vite.

Je la vois aller vers le salon et je retourne dans la chambre.

Journal de Stéphanie

Nous étions toutes silencieuses dans la chambre, à voir et surtout écouter. Virginie envoie Arno dans la salle de bains, puis lui ordonne de continuer. Elle le laisse et vient nous rejoindre.

— C'est génial, lui dit Marie-Dominique.

— Je vais aller le voir, j'ai dit, pendant que tu es dans le salon.

Virginie est partie, je suis allée dans sa chambre. Arno était debout occupé de prendre des livres et des syllabus pour les déposer sur le sol jonché d'albums et de livres.

— Que fais-tu?

Il a sursauté et a laissé tomber ce qu'il portait.

— Euh... Euh...

— Je te trouve tout nu dans la chambre de Virginie, tu me dois une explication, non?

— Elle m'a demandé de l'aider.

— Tout nu?

— Non, mais j'étais nu quand elle est arrivée.

— Où étais-tu?

— Dans le couloir. Je lui avais promis de ranger ses albums, mais je n'ai pas encore eu le temps, alors je le fais maintenant.

— Tu en auras pour longtemps?

— Je ne sais pas.

— Bon, je vais me coucher, ne reviens pas trop tard, j'ai très envie de toi.

— Oui Stéphanie.

— Viens, accompagne-moi.

Il avait l'air paniqué. J'ai pris son sexe et l'ai tiré derrière moi. Nous sommes allés jusqu'à la porte de notre chambre et il a voulu entrer.

— Non, tu viendras quand tu auras fini.

— Je voulais prendre mes vêtements, il a répondu.

— Vraiment? Moi je trouve que tu es mieux comme ça, fais moi plaisir.

— D'accord, il a répondu très vite.

— Et avoue que tu aimes te retrouver nu.

Il a sursauté.

— J'ai peur que les autres me voient.

J'ai vu arriver Virginie et je l'ai embrassé, puis j'ai fermé la porte.

— Que fais-tu ici au lieu de travailler? Elle lui a dit assez sèchement et plutôt fort.

— Euh, il a marmonné, Stéphanie voulait me dire quelque chose.

— Retourne vite dans ma chambre, et au travail!

— Oui Virginie.

— Je vais parler à Stéphanie, elle lui a dit, n'en profite pas pour ne rien faire.

Elle a frappé et est entrée.

— Quelle plaisir, elle a soufflé. Je n'en peux plus, je suis trop excitée.

Arno croyait sans doute avoir la paix. Mais ce n'était que le début, après tout, il l'avait bien cherché en venant nu dans le couloir.

— Arno, Anne-Sophie a dit.

Il était surpris.

— Que fais-tu là?

— Evidemment, il ne pouvait pas lui dire qu'il rangeait la chambre de Virginie tout nu. Elle n'était pas censée être au courant.

— Euh... euh... je...

— Ce n'est pas très clair, tout cela. Viens à la cuisine me préparer une tisane.

Récit d'Arno.

Je n'en peux plus. Je n'ai pas été trois secondes seul, Anne-Sophie est sur moi. Elle a déjà pris mon poignet.

— Allons, me dit-elle, ne traine pas.

Je suis obligé de la suivre au salon dont la porte est toujours ouverte. Cette fois, je vais être nu devant les autres. Heureusement, personne. Je pousse un soupir de soulagement, et à la fois, je suis déçu. Nous allons à la cuisine.

— Allez, me dit-elle. Et regarde, la table n'est pas débarrassée, que fais-tu?

— Euh, Anne-Sophie, je...

— Ne me donne pas encore tes excuses bidons.

Je fais bouillir de l'eau et débarrasse rapidement la table. Je place le tout dans l'évier et sers une tasse à mon amie.

— Porte-la dans ma chambre.

Cette fois, je vais avoir un problème...

Nous allons dans le couloir et je la suis jusqu'à sa chambre. J'entends Stéphanie et Virginie parler. J'ai peur, mais je me sens si excité.

Nous pénétrons dans la chambre d'Anne-Sophie et elle s'assied.

— Retire mes escarpins.

Je dois m'agenouiller pour le faire, après avoir déposé sa tasse sur la table de nuit.

— Bien, laisse-moi. Et va tout de suite faire la vaisselle.

— Oui Anne-Sophie.

Je sors de la chambre. Que faire? Allez chez Virginie ou à la cuisine. Je décide d'aller au salon. J'y arrive tout seul et je fais rapidement la vaisselle.

— C'est un spectacle que j'adore, entends-je la voix de Marie-Dominique. Arno qui s'occupe du ménage. C'est très bien.

Elle revient de la douche et porte une sortie de bains qu'elle n'a pas très bien fermée. J'en suis encore plus troublé.

Elle vient contre moi et m'embrasse.

— J'aime que tu t'occupes de l'appartement. C'est très sexy. Tu peux me préparer une tisane?

— Oui Marie-Dominique, avec plaisir.

J'en oublie le reste. Elle me regarde, et au moment où cela va être prêt, elle va s'installer au salon. Je la suis et lui donne la tasse. Je ne peux m'empêcher de regarder ses seins qui jaillissent presque de son peignoir.

— Tu veux bien aller dans la salle de bains chercher ma brosse et mon peigne?

— Oui Marie-Dominique.

Je retourne dans mon couloir. J'entre dans la salle de bains et trouve tout de suite sa brosse et son peigne. Au moment où je sors, je tombe sur Anne-Sophie.

— Je vais prendre un bain. Va chercher ma tasse et lave-là.

— Oui Anne-Sophie.

Cela commence à bien faire. Je suis nu. Je regarde ma porte, et entends toujours la voix de Virginie. Je vais vite à la chambre, prends la tasse et vais au salon donner les ustensiles de Marie-Dominique avant de laver la tasse de sa sœur.

— Viens, me dit Marie-Dominique, tu vas me brosser les cheveux.

Elle me tire à elle, cette fois, son peignoir est ouvert, et j'ai une belle vue sur tout son corps. Elle sourit.

— Ne sois pas si timide, je t'ai déjà dit. Nous nous connaissons depuis longtemps. Allez, brosse mes cheveux, Stéphanie a vanté ton talent.

J'approche, je me retrouve en face d'elle au lieu de derrière, elle se colle presque à moi, mon sexe est tendu sur sa poitrine.

— Allez, commence, Stéphanie a vanté des dizaines de fois ta manière de s'occuper de ses cheveux.

— Stéphanie parle trop, grommelé-je.

— Stéphanie raconte encore ce qu'elle veut, et il me semble que ce qu'elle dit de toi est toujours très bien.

Elle prend mes fesses en mains et se colle à moi, complètement groggy, brûlant du bas-ventre, je commence à brosser doucement sa belle chevelure brune. Ses cheveux sont moins longs que ceux de sa sœur ou de Stéphanie. Elle garde une même coiffure depuis cinq ans. Avant, elle avait également de longs cheveux mais ils lui arrivent désormais sous les épaules.

En tremblant je passe la brosse et puis le peigne.

— Merci, tu es un amour, me dit-elle en se levant tout à coup et en me poussant de son corps.

Je dois avoir l'air con avec mes yeux ébahis qui admirent sa poitrine ferme à quelques centimètres. Elle ne peut que le faire exprès, me dis-je dans un moment court de lucidité. Elle agit comme si tout était normal, mais je suis complètement nu face à elle.

Elle se dirige vers sa chambre. Je reste un moment paralysé en la regardant, en l'admirant. Elle ouvre la porte de son couloir, me sourit une dernière fois avant de disparaitre. Je vais devenir fou, me dis-je en continuant à bêtement regarder la porte.

— Mais! Je n'en reviens pas! Crie Virginie depuis l'autre porte. Tu es ici à bayer aux corneilles et tu n'as absolument rien fait dans ma chambre.

Je parviens à sortir de ma torpeur pour voir mon bras tiré par la main de Virginie qui m'emmène encore vers notre couloir.

— Tu vas me le payer, me dit-elle, je comptais sur toi, tu n'as pas de parole.

Je ne parviens pas à parler, et pour dire quoi? Etre nu me donne une position d'infériorité, et elle en profite sans doute, je ne peux pas lui dire que je brossais les cheveux de son amie.

— Regarde! Au travail.

Elle me pousse dans sa chambre et me claque fortement les fesses. Encore une fois, et encore jusqu'à ce que je sois occupé de prendre des livres.

— Trie les livres. Tu vas faire un tas avec tous les syllabus et tous mes cours, je vais les mettre dans une caisse et les emmener.

Je dois être complètement fou, me dis-je, j'obéis ainsi à Virginie qui me prend pour un domestique, et encore, on ne parle pas comme ça à un domestique. Je l'aide et voici les remerciements. Oui, mais je suis excité, je suis nu devant elle. Je poursuis donc mon travail, empiler des livres sur le sol. Elle ne fait que me regarder, elle ne fait absolument rien pour aider.

— Tous cela devra aller dans une caisse pour que je puisse ramener chez mes parents, reprend-elle d'un ton adouci. Classe-les par année. Je n'ai que les deux dernières. Ensuite, lave les étagères avant de remettre les albums. Va chercher le chiffon à la cuisine!

Je me relève pour sortir de sa chambre. Tant pis, après tout, je fonce. Advienne que pourra. Je vais à la cuisine, m'attendant à tout moment à voir apparaitre les filles, mais uniquement Stéphanie vient à ma rencontre.

— Tu n'as toujours pas fini?

— Non, elle veut que je lave ses étagères.

— C'est très gentil, ce que tu fais pour elle. J'adore te voir si serviable avec mes amies.

— Surtout parce que je suis à poil? Laisse-je tomber assez sèchement.

— C'est encore mieux, mon chéri, tu me connais bien.

Elle m'embrasse. Evidemment, j'oublie toute ma rancœur, comme d'habitude. Depuis onze ans maintenant que nous nous connaissons, elle pouvait toujours me vexer, ou bien nous nous disputions, elle me prenait dans ses bras, et je ne pouvais plus lui en vouloir. D'ailleurs, quand je ne voulais pas tomber dans ses filets, je m'enfuyais loin d'elle. Stéphanie est dangereuse.

Nous retournons ensemble et elle me laisse devant la porte de sa chambre. Je vais chez Virginie. Elle sourit maintenant, et me regarde encore laver ses étagères avant de remettre les albums et les livres sous ses directives.

— Et bien voilà, tu l'as fait, tu vois? Ce n'était pas si dur.

— Il ne fallait pas m'engueuler, lui réponds-je. Ce n'est pas sympa.

Elle vient me prendre dans ses bras.

— Es-tu triste? Tu m'en veux?

— Non pas du tout, tu sais très bien que je suis incapable de t'en vouloir.

— Tant mieux. Je le fais pour ton bien, tu vois, tu promets d'aider, et puis tu ne le fais pas. Je compte sur toi, ce n'est pas très sympa de trahir ma confiance.

— Je suis désolé, réponds-je troublé. Je ne voyais pas ça comme ça.

— Allons, ce n'est pas grave, va ranger le chiffon, et apporte une des caisses pliées que j'ai laissées dans le vestiaire.

Heureusement, personne ne me voit pendant mon petit trajet. J'apporte la caisse, la monte et la remplis des anciens cours de mon amie.

— Voilà, une dernière chose, va la déposer dans l'entrée. Je la prendrai cette semaine.

Et un dernier voyage. Virginie m'embrasse encore devant sa chambre.

— Merci pour tout, tu es un amour.

Encore un grand trouble. Elle me laisse devant sa porte. Un moment, je reste sur place pour me remettre. Je ne m'y ferai jamais. C'est de plus en plus sexy. Marie-Dominique a collé son corps au mien, elle avait mon sexe sur ses gros seins pendant que je la coiffais. Je ne vais pas pouvoir tenir, et c'est comme une drogue, j'ai envie de plus.

— Tu rêves?

Anne-Sophie vient de sortir de la salle de bains. Elle a pris un bain et s'est lavé les cheveux.

— Tu as l'air libre, me dit-elle. Viens dans ma chambre, tu vas me sécher les cheveux.

Je n'en aurai donc jamais fini.

Nous entrons dans sa chambre, alors que j'entends Virginie sortir derrière moi. Heureusement, elle ne me voit pas. Elle dit un mot à Anne-Sophie et celle entre et ferme la porte.

Elle s'assied sur son lit et me désigne son sèche-cheveux et sa brosse.

— Installe-toi derrière moi.

Je ne sais comment faire, à genoux ou bien avec mes jambes écartées autour d'elle. Je choisis finalement la deuxième solution. Je m'installe contre elle, autant me faire un peu plaisir.

— Recule, m'ordonne-t-elle, ne me mets pas ton sexe dans les reins.

Je suis assez étonné, et frustré. Mais j'accepte et commence à sécher ses cheveux et à la brosser.

On frappe à la porte. Je panique.

— Cache-toi derrière la porte, me dit-elle en se levant.

Elle ouvre et se trouve face à sa sœur.

— Tu veux bien me rendre mon rouge-à-lèvres Chanel. Tu ne me l'as pas rendu ce week-end.

— Dès que j'ai fini de me sécher les cheveux, lui dit-elle en attrapant tout à coup mon sexe.

— J'ai aussi pris un bain, poursuit sa sœur. Cela m'a fait du bien. Et j'ai eu un moment de rêve ensuite, Arno m'a brossé et peigné les cheveux.

— Vraiment? Tu en as de la chance.

Elle sourit et me jette un regard avant de serrer mon sexe plus fort et alors elle l'agite un peu. J'aperçois Marie-Dominique par l'interstice, je tente de me retirer du mieux que je peux, elle pourrait me voir.

— Il est si doux, Stéphanie a beaucoup de chance.

— Il est surtout canon, ajoute sa sœur. Tu l'as vu tout nu dernièrement?

— Non, enfin oui, au ski. Je l'ai vraiment vu de tout près et je l'ai même séché quand il est revenu du sauna avec sa course dans la neige.

— Oui, c'est un phénomène. Nous devrions demander à Stéphanie de nous le montrer nu, cela fait longtemps... se lamente Marie-Dominique.

— Elle acceptera tout de suite. Bon, je termine de me sécher les cheveux et je t'apporte ton rouge-à-lèvre.

Elle ferme la porte.

— Continuons!

Je m'installe à nouveau derrière elle juste après qu'elle ait lâché mon sexe.

— J'aime te tenir comme ça, me dit-elle. Cela me donne beaucoup de contrôle. J'adore te contrôler.

— Oui, j'ai remarqué.

— Et tu aimes que je te contrôle, n'est-ce pas?

— Sans doute, biaisé-je. Parfois, c'est agréable.

— Sauf dans les toboggans du Six Flag?

— Tu y étais allée un peu fort. Anne-Sophie, je t'aime comme ma sœur ou plus, il y a tout entre nous. Et tu me connais, j'aime te faire plaisir.

— Je sais. J'adore que tu sois tout nu. Cela me donne tout le contrôle sur toi. Aïe, fais attention.

— Excuse-moi.

— Alors, tu as coiffé ma sœur?

— Oui.

— Ce soir?

— Oui.

— Donc tu l'as coiffée en étant tout nu?

Merde. Je ne peux pas lui avouer cela, je commence à trembler.

— Non, non, dis-je.

— Dis-moi quand était la dernière fois que tu étais habillé? Tu nous as laissées vers 20h, il est presque 1h du matin.

— Je me suis habillé entre temps, mens-je.

— Soit. Ce n'est pas grave. Tu crois qu'elle aimerait te voir nu?

— Je ne sais pas, de toute façon, c'est déjà arrivé.

— Et tu aimais bien? Je veux dire, comment trouves-tu ma sœur?

— Elle est très belle, très intelligente, je l'aime beaucoup.

— C'est réciproque. Tu ne lui as jamais fait l'amour?

— Mais non. Uniquement Stéphanie.

— Et Sylvie et moi.

— Forcé par Stéphanie. Enfin, quand je dis forcé, elle voulait absolument.

— Et si elle veut que tu fasses l'amour à ma sœur?

— Je n'en sais rien, je ne veux pas y penser.

Pendant un moment, nous nous taisons. Je termine de brosser ses beaux cheveux châtains, si semblables à ceux de Stéphanie qui est blonde.

— Merci. Tu es un amour.

Elle se lève et me regarde. Son peignoir s'est aussi ouvert et elle me donne un accès visuel sur le devant de son corps magnifique.

— Tu trouves que je suis belle?

— Tu es magnifique, m'exclamé-je.

Elle s'assied sur mes genoux.

— Merci. Je t'ai dans la peau. Et Sylvie aussi. Je devrais presque en éprouver de la jalousie. Bien, je vais dormir, demain je dois partir toute la journée. Avec Stéphanie d'ailleurs. Tu vas te retrouver tout seul.

— Je vais avancer dans tes travaux. J'espère taper une bonne cinquantaine de pages.

— Merci, je me demande ce que je ferais sans toi.

Elle se lève et me tire. Alors, elle s'accroche à moi et m'embrasse longuement. Mon sexe touche son ventre doux et moite de son bain.

— Je t'aime mon bel Arno. D'une manière que tu ne pourras jamais imaginer. Tiens, voici le rouge-à-lèvre, va le porter à ma sœur.

En une seconde, elle a repris un autre ton.

— Euh oui, d'accord, réponds-je un peu surpris.

— Tu peux aller t'habiller, me dit-elle. Ne reste pas nu. Moi, j'adore.

Elle ferme son peignoir devant moi et noue la ceinture.

— Ah, si tous les garçons étaient comme toi, je pourrais avoir une vraie relation, mais il n'y a que toi.

— Tu trouveras certainement quelqu'un, et puis, tu as Sylvie.

— C'est une fille. Un garçon, ça se contrôle facilement, même toi, tu es président et meneur, leader partout, mais tu es obéissant avec Stéphanie, avec moi, et même avec les autres.

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