CFNM à l'université Chapitre 09

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Annick détruit les vêtements d'Arno pour le garder nu.
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Partie 10 de la série de 27 pièces

Actualisé 06/08/2023
Créé 03/05/2018
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Chapitre 9

Journal de Stéphanie.

Lundi matin, tout était prêt quand je me suis levée. Il avait préparé le petit déjeuner et avait pris sa douche. Mais il n'était nulle part, il avait osé quitter l'appartement, nous qui voulions le garder nu toute la semaine.

— C'est bien ma veine, a dit Annick en râlant.

Nous lui en voulions, et ce n'était pas de sa faute.

— Si jamais il est dans un café avec ses copains, a dit Sandrine, je l'étripe.

Mais nous avions de mauvaises paroles. Alors que nous avions décidé de partir à sa recherche, il est arrivé avec plein de sacs. Il était allé faire les courses à la CIDEC.

— Je vais vous préparer quelques bons petits plats, il a dit. Comme ça vous ne devez plus penser à la nourriture, je m'en occupe.

Sans être nu, il avait déjà une dévotion. Nous étions toutes soulagées. En dehors de notre jeu récent, il avait toujours tenu une place importance parmi nous, et je me rappelle de nombreuses engueulades qu'il avait dû subir des filles parce qu'il était absent, et parfois, elles ne l'avaient pas mis au courant. C'était leur Arno, et il le leur fallait tout le temps.

Nous ne sommes pas restées longtemps. Nous avions toutes des choses à faire, surtout laisser Annick seule. Nous l'avons embrassé affectueusement et l'avons laissé, il se croyait seul. Annick était encore dans sa chambre. Et lui, il a commencé un travail pour Marie-Dominique.

————————

Récit d'Arno.

Seul.

Je regrette presque, j'aimerais qu'Anne-Sophie soit là et qu'elle fasse comme la semaine passée, mais je n'oserai jamais. Je range toutes les courses alors que les filles viennent de partir. J'entends un peu de bruit et Annick entre dans la pièce en venant de sa chambre. Elle est magnifique, porte une jolie robe rouge et noire que je ne lui avais encore jamais vue et de superbes escarpins rouges assortis à sa robe.

— Oh, je ne savais pas que tu étais là.

— Où croyais-tu que je sois?

— Je ne sais pas, je viens d'arriver avec les courses, et je pensais que vous étiez toutes parties. Mais je suis content, ce n'est pas un reproche.

Elle sourit et vient contre moi, encore un air séducteur. Depuis longtemps, les filles sont très intimes avec moi. Je pourrais croire qu'elle veut me draguer dans un bar, voire ici, et son décolleté est plongeant. Elle s'est maquillée. Pourquoi? Pour rester ici et étudier?

— Tu veux me donner un coup de main?

— Bien sûr, tout ce que tu veux.

Elle s'approche encore et me montre un flacon de laboratoire.

— C'est un produit que Marianne m'a donné, La chimiste, pas la biologiste. J'en ai besoin mais c'est coincé. Comme tu es très fort.

Une flatterie inutile, souris-je.

Je prends le flacon et tourne le bouchon dans mes mains. Quand je parviens à desserrer, ce qui m'est très aisé, quelque chose casse et tout le liquide ammoniaqué se déverse sur moi. J'en ai sur les mains, ma chemise, mon pantalon.

— Oh non, Arno, désolée, c'est dangereux, retire vite tes vêtements.

Je me regarde. Mes habits sont occupés de se consumer comme si c'était un acide puissant. Je panique un peu, et pourtant j'en ai sur les mains. Annick vient sur moi et m'arrache la fiole vide de la main et la jette dans l'évier, puis elle prend mes vêtements. Ma chemise est trouée, mon pantalon et mes chaussures aussi, tout. Ce sont presque des lambeaux qui tombent sur le sol. Je me retrouve en slip devant elle.

— Ton slip aussi, vite.

Je n'ai pas le temps de penser, elle se penche et me l'arrache, elle le fait tomber avec le reste de mes affaires abîmées. Cela devient presque excitant, je suis nu et elle a son visage à moins de dix centimètres de mon bas-ventre.

A nouveau nu devant une fille de l'appartement. Elle m'inspecte puis se relève.

— Viens vite

Elle me prend par la main et m'emmène dans sa chambre presque en courant.

Elle me laisse debout et commence à examiner ma peau, centimètre par centimètre

— C'est un produit dangereux, j'espère que tu n'as pas été touché, je suis désolée.

— Ne t'en fais pas, je n'ai pas mal.

— Tu as vu tes vêtements? Je ne veux pas que ta peau soit brûlée.

— Ce n'est pas grave, je te dis.

— Tu me pardonnes?

— Il n'y a rien à pardonner. Tu es une déesse, et donc parfaite.

Elle me regarde, impressionnée. Je ne sais pourquoi je lui dis cela, mais elle me remercie.

— C'est bien de me considérer comme une déesse c'est la première fois qu'on me le dit.

— On devrait te le dire plus souvent.

Elle continue à m'examiner, et particulièrement près du sexe, elle passe vraiment tout près et avance ses mains sur ma peau, partout autour sans jamais le toucher.

— On dirait que ça va, mais il vaut mieux aller prendre une douche et éliminer les traces possibles.

Elle me prend la main et m'emmène dans le salon.

— Je t'ai interrompu, tu rangeais?

— Oui, je suis allé faire quelques courses.

— Tu pourras continuer après.

Elle sourit. Elle m'excite aussi. Encore une fois, je n'aurais jamais cru que je serais nu en face d'Annick. C'est déjà arrivé bien sûr. Nous vivons ensemble, et puis, il y a eu toutes les histoires depuis la première.

Mais je pense que c'est une première, une telle situation. Et elle semble aussi apprécier. Nous allons dans la salle de bains, et elle me fait aller dans la baignoire. Puis, elle prend la douche et commence à m'asperger le corps. Elle me rince ainsi longuement puis coupe l'eau. Elle me fait sortir, s'occupant de moi comme elle le ferait d'un enfant. Je me laisse faire, je ne vois d'ailleurs pas ce que je pourrais dire.

Alors, elle prend une petite brosse et elle commence à frotter mon corps centimètre par centimètre. Elle utilise aussi un de la lotion d'un flacon sans étiquette. C'est long. Elle me parle de son mémoire avec mon sexe qui a pris grande forme à quelques centimètres de son visage. A nouveau, pour elle cela semble normal.

Au bout d'un moment, je sens sa main sur mon sexe. Je sursaute.

— Doucement, il faut que j'applique cette lotion partout. Ne bouge pas.

Je déglutis. Mon sexe dans la main d'Annick, elle le tient d'une main et le masse délicatement de l'autre, plutôt deux doigts.

— Je suis désolée, mais c'est important.

Je déglutis. C'est trop fort.

— C'est rien, lui dis-je.

— C'est vrai, tu n'aimes pas qu'on s'excuse.

— Voilà, tu as tout compris.

— Je croyais que ce n'était que pour Stéphanie.

— Non, c'est vous six, je vous mets sur un même piédestal, des déesses à adorer. Vous êtes sublimes et mes meilleures amies. Je ne pourrai jamais me passer de vous, je ne parviens pas à vous en vouloir, je ne sais pas comment on fera l'année prochaine.

— Nous pourrions continuer à habiter ensemble, me dit-elle, nous y avons déjà pensé.

— Oui, sans doute.

Sa main va partout y compris entre mes jambes et dans la raie de mes fesses. Elle a tout nettoyé en une bonne heure.

— Voilà, à mon avis tu es bon pour le service. Tu veux bien nettoyer la salle de bains?

— Oui, bien sûr.

Je lave, comme Anne-Sophie me l'a montré. Annick me regarde tout le temps et quand c'est fini, elle me prend la main pour aller au salon. Mes affaires sont encore par terre.

— Ramasse-les, tu peux tout jeter.

Je les prends, en faisant attention de ne pas toucher les endroits avec du produit et les jette à la poubelle. Il n'y a rien de récupérable. Puis, je continue le rangement de la cuisine et des courses.

— Oh il est déjà midi, tu nous prépares à manger?

J'ai peur, et si les autres revenaient et me voyaient nu dans la cuisine?

— Rien que pour moi, personne ne vient ici ce midi.

— Et Stéphanie?

— Non plus, nous sommes tous les deux.

Ouf. Si c'est ainsi, pas besoin d'aller m'habiller. Je vais rester nu le plus possible, on verra bien ce qu'elle dit.

Je prépare à manger. Elle ne dit rien sur le fait que je ne vais pas chercher de vêtements. Quand c'est prêt, je dépose son assiette sur la table et elle s'assied, puis je la regarde manger. Elle semble apprécier que je reste à ses côtés à attendre.

Je lui sers à boire et enfin je débarrasse et fais la vaisselle.

— Tu es si doué, me dit-elle en me prenant dans ses bras. Tu sais tout faire dans une maison, tu vaux plusieurs mecs. Tu pourrais avoir un harem finalement, tu n'aimerais pas nous avoir toutes les six?

— Euh... Nous sommes déjà mariés, non?

Lors d'une soirée il y a dix-huit mois à Ibiza, dans un état avancé d'éthylisme et d'effet d'ecstasy, nous avions eu une cérémonie de mariage à sept, dans une chapelle tout près de la boite de nuit. Nous avions beaucoup plaisanté avec cela, et j'avais dû beaucoup réalisé de tâches que je ne faisais exclusivement que pour Stéphanie. Avec le temps, cela s'était un peu estompé, mais nous en parlions encore souvent.

— Bien sûr, mais nous pourrions avoir plus, maintenant, certaines d'entre nous ont des petits amis.

— C'est bien, elles étaient seules, toi aussi.

— Je ne cherche pas. Il n'y a personne qui soit à la hauteur.

Elle me serre dans ses bras.

— Je me souviens de la première fois que nous avons parlé, je t'avais flanqué une gifle.

— Oui. Je la méritais. Enfin je ne le savais pas à ce moment.

— Mais tu continues à mater les seins des filles.

Je rougis.

— Même les miens, tu regardes tout le temps, je t'ai vu.

Mal à l'aise.

— Je je je suis désolé.

— C'est bon, mais ce qu'il ne faut pas faire, c'est regarder les seins des autres filles. En dehors de ton harem. Nous avons beaucoup discuté de cela, et nous avons décidé de te reprendre à l'ordre, même en public.

— J'aurai l'air d'un con, et tout le monde le fait.

— Et bien, si tu ne veux pas avoir l'air d'un con, tu arrêtes de mater.

— Oui Annick.

Elle m'embrasse, et se presse contre moi. Elle sent très bon et m'excite encore plus.

— Tant mieux, nous sommes très jalouses en fait. Arno nous appartient.

— C'est vrai, j'ai déjà remarqué. C'est très flatteur en fait.

— Mais tu as droit à notre considération. Tu es notre Arno, si beau, si prévenant. Prépare-moi une tasse de thé, s'il te plait.

Je me défais de son étreinte pour aller prendre la bouilloire. Elles aiment toutes se faire servir. Mais c'est assez excitant de le faire tout nu pour elles. Elle attend en me parlant, vient même contre moi et place sa main sur mes fesses. Elles aiment le contact, comme si c'était normal et courant de toucher quelqu'un tout nu.

Je lui sers son thé et elle s'assied à la table. J'attends.

— Délicieux, ton thé. Merci.

— C'est un sachet Lipton, me défends-je, rien de spécial.

— Je sais, mais un thé que tu prépares et me sers aussi gentiment a un goût spécial. J'ai fini, merci, me dit-elle quand sa tasse est vide. Tu viens dans ma chambre?

Je n'ai pas le temps de répondre, elle me prend la main et me tire à sa suite pour retourner dans sa chambre.

— Oh, suis-je bête, tu n'as pas pu laver et ranger, retourne vite et reviens tout de suite.

Je retourne seul à la cuisine et lave sa tasse et range deux ou trois choses. Puis, je retourne toujours nu à sa chambre. Je dois être fou, je serai bloqué ici si les autres reviennent. Et pendant un moment, j'en rêve. Après tout, Stéphanie aimerait bien. Elle ne dit rien quand ses amies me touchent le corps. J'entre dans la chambre, Annick semble surprise de me voir.

— Oh, tu es revenue tout n... Enfin, tu es là, se reprend-elle. Merci.

— Merci pourquoi?

— Pour passer tout ton temps avec moi. Tu sais ce que tu pourrais faire?

— Ranger ta chambre?

— Exactement, merci. Je vais te regarder.

Effectivement, elle s'assied sur son lit et prend un magazine. Elle m'indique les choses à faire, le rangement, je dois même prendre les poussières et passer l'aspirateur en allant chercher le matériel dans le vestiaire. Je me plais, je suis nu avec Annick toute la journée. Vers 15h30, je crois, nous retournons au salon, sa chambre est propre et rangée. C'est le truc de chacune d'elles, me faire ranger leur chambre et la salle de bains. Je m'habitue bien à Annick, et je lui prépare encore du thé et la sers au salon. Alors que nous sommes occupés de discuter, j'entends la clef dans la porte d'entrée. Je me rends compte de la situation et je cours rapidement vers mon couloir. A temps j'espère. Je vais vite dans ma chambre.

Et puis? Pourquoi me suis-je enfui? Ce serait sans doute bien de se faire pincer tout nu. Chaque fois, elles font semblant de rien. Je ressors de ma chambre.

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1 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a environ 6 ans
Super

Super le coup de l'acide sur les vêtements d'Arno.

Maintenant il faudrait trouver un truc pour lui supprimer la totalité de ses vêtements.

Rudy

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