CFNM à l'université Chapitre 10

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Arno raconte ses déboires à Stéphanie.
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Partie 11 de la série de 27 pièces

Actualisé 06/08/2023
Créé 03/05/2018
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Chapitre 10

Journal de Stéphanie.

— Comment s'est passée la journée? Demandé-je à Annick après avoir vu Arno s'enfuir tout nu vers notre couloir.

— Il vient de s'enfuir en vous entendant arriver. Mais c'était super, il n'a même pas cherché à aller dans sa chambre, et il nous considère toutes comme des déesses. Je me suis excusée, et il a refusé, j'étais trop parfaite pour devoir présenter des excuses. Le nec plus ultra, tu vois, nous étions dans ma chambre, je l'ai envoyé au salon, et il est revenu tout nu, il a eu plusieurs occasions d'aller s'habiller et il est resté tout nu.

— Il est mordu, a dit Sandrine. Mon tour demain, je suis impatiente et puis les choses sérieuses commencent.

— Il peut encore se passer plein de choses ce soir, a dit Virginie.

— Vous allez vous amuser sans moi, elle s'est plainte alors.

— Demain c'est ton tour.

— Je le garderai toute la journée.

— Bah, après cela, nous serons dans une meilleure phase, nous continuerons tout le temps.

— Il ne se rend pas compte, dit Virginie, nous agissons comme si tout était normal, et c'est bien, il faut qu'il sente qu'être tout nu est normal.

— Oh oui, a ajouté Annick. C'était génial. Aujourd'hui, il était à l'aise, un peu intimidé, gêné, mais très mignon.

— Il s'habitue, il ne faudrait pas qu'il soit trop habitué, sinon, il aura sa verve et son leadership.

— C'est vrai. Il faut maintenir une certaine pression.

— Oui, a conclu Marie-Dominique. Ce matin, il était habillé. Il faut que ce soit la dernière fois cette semaine.

— Absolument. Dès demain, il faut surveiller cela. Je fermerai son armoire, j'ai dit. Bien, je vais aller voir ce qu'il fait et je reviens.

J'ai ouvert la porte du couloir, et Arno était là, devant la porte, tout nu.

— Que fais-tu là? Je me suis exclamée.

Il était perdu.

— Tu veux venir nous rejoindre? Viens!

Les autres ont commencé à approcher alors qu'il s'est écrié : « non ». Et il est vite entré dans notre chambre.

— Il était nu? Demande Sandrine.

— Oui, mais il a eu peur.

— Il aimerait venir au milieu de nous, a dit Anne-Sophie.

— Nous pourrions aller le voir une par une, sauf Sandrine.

— Et dans l'histoire, dit Virginie, faisons-le dresser la table et préparer le dîner.

— Evidemment.

Je suis allée le voir dans la chambre. Il ne s'était même pas habillé, donc il était prêt à continuer le jeu.

— Que faisais-tu tout nu?

— Toute une histoire, il m'a répondu en regardant la porte que j'avais laissée ouverte. Ce matin, Annick est venue me trouver.

— Tu étais nu?

— Non.

— C'est une mauvaise histoire alors.

— Non, j'étais dans la cuisine. Je rangeais, et elle a voulu que je lui ouvre un flacon. Tout le produit s'est répandu sur moi et mes vêtements se sont un peu désintégrés.

— Tes vêtements se sont désintégrés?

— Oui, une crasse, comme de l'acide ou en tout cas de l'ammoniac. Bon, je me suis retrouvé tout nu, et elle en a profité, elle a voulu me soigner, mais je n'avais rien. Et de fil en aiguille, je suis resté avec elle. Elle n'a fait aucune mention, pour elle, à poil ou habillé, c'est la même chose.

— Cela m'étonnerait, mais tu sembles vouloir rester tout nu. Que faisais-tu nu dans le couloir?

— Je ne sais pas, il a répondu très gêné. C'était comme si... je voulais y aller, mais j'étais bloqué.

— Je comprends. Bon, je vais aller prendre l'apéritif. Retire mes escarpins.

Il s'est mis à genoux devant moi, j'adore cela. C'est vraiment trop sexy. Il a retiré mes chaussures et les a rangées, puis il m'a déshabillée et mis une robe d'intérieur.

— Tu ne veux pas venir?

— Non non, je ne peux pas me montrer ainsi.

Il aurait pu penser à s'habiller, mais il n'a rien dit. Je l'ai embrassé et puis je suis sortie.

— Il est prêt, j'ai tout de suite dit. Il meurt d'envie d'être nu en face de nous toutes, mais allons-y quand même doucement.

Récit d'Arno

Stéphanie me laisse. Je reste nu, je ne parviens pas à prendre des vêtements, je rêve que je sors, je tombe sur toutes les filles.

Je n'ai pas trop le temps de penser, la porte s'ouvre sur Annick.

— Arno, me dit-elle tout de suite, je venais voir comment tu allais.

— Je vais bien, réponds-je, nous étions encore ensemble il y a dix minutes.

— Oui, mais tu t'es encouru tout à coup, comme si quelque chose n'allait pas. Je croyais que tu avais mal.

Elle vient placer sa main sur mon ventre.

— Non, réponds-je confus, non, tout va bien.

— Alors, pourquoi t'es-tu enfui?

— Parce que... enfin, quelqu'un entrait dans l'appartement.

— Mais tu es chez toi... Et en plus avec la clef, cela ne pouvait qu'être l'une de nous.

— Oui mais...

Je ne parviens pas à lui dire que j'étais nu, et que je ne pouvais pas me trouver ainsi devant les autres. Et elle, je ne sais pas, elle a bien dû noter que j'étais nu, que ce n'est pas normal de me retrouver nu dans l'appartement. Toute la journée en plus. Si c'était au moment de l'incident, c'était OK, mais le soir?

— Tu sembles troublé? Tu vois que quelque chose ne va pas? Viens, je vais encore regarder ton ventre, on ne sait jamais.

La porte de ma chambre est encore ouverte. Elle prend ma main le long de mon corps, bougeant légèrement depuis mon ventre et me tire dans le couloir. Je n'ai pas le temps de résister, je suis déjà nu dans le couloir. Je panique. Elles sont toutes dans l'appartement, et Stéphanie vient juste de quitter la chambre. Mais personne. Annick ne va pas loin, elle me fait entrer dans la salle de bains.

— Voilà, installe-toi, reste ainsi debout, je prends ma lotion.

Elle a laissé la porte ouverte et je vois Virginie passer avec Sandrine, elle ne regardent même pas dans la pièce, elles sont occupées de rire ensemble.

— Il faudrait fermer la porte, la supplié-je.

— Pourquoi? Nous ne sommes pas occupés de nous laver. Je voulais juste prendre la lotion spéciale. Oh! J'ai oublié la petite brosse dans ma chambre, ne bouge pas, je vais la chercher.

Elle sort de la salle de bains en laissant bien sûr la porte ouverte. Je panique encore, les filles sont partout. C'est trop excitant et à la fois, je n'ose pas. Je vais pour sortir et retourner dans ma chambre mais j'entends Annick discuter avec Anne-Sophie. Elles sont devant la porte du salon. Je ne peux sortir maintenant. J'attends un peu et entends en plus Marie-Dominique. Je ferme alors la porte de la salle de bains, mais elle est bloquée, Marie-Dominique pousse la porte et entre.

— Oh bonsoir, Arno, tu es là?

— Euh oui, réponds-je confus. Oui.

— Tu prends un bain?

— Non, j'allais rejoindre ma chambre.

— Tu as passé une bonne journée?

— Oui, et toi?

— Excellente. J'ai vu Sophie et Carine, elles attendent de te revoir avec impatience, tu as laissé une excellente impression la dernière fois.

— C'était un peu scabreux.

— Mais tout s'est bien terminé, non?

— Oui, murmuré-je en me rappelant la journée.

En février, au retour des sports d'hiver, nous avions organisé une tournée des bars. Nous étions une bonne cinquantaine. Le but, en commençant à 9h le matin, était de terminer la journée en ayant un verre dans chaque débit de boisson de la ville. Et il y en avait des bars.

Je tenais assez bien l'alcool, et d'ailleurs, nous ne buvions que des bières. Avec les heures, notre groupe s'était dégrossi.

Nous avions plaisanté beaucoup sur des commissions qui devaient me revenir pour des filles que j'avais présentées. Avec mon aura portée par Stéphanie et ses amies, les filles m'aimaient bien, et je présentais mes amis à d'autres filles canons. Tout était sérieux, je ne voulais en aucun cas favoriser des coups d'un soir.

Et donc plusieurs de mes amis proches étaient en couple avec une fille sublime du groupe de Stéphanie.

Et nous avions parlé pour rire de mes commissions. Depuis la première année, nous avions une blague débile, celui qui buvait trop et tombait pendant la fête était déshabillé et attaché à poil quelque part. Au début, nous avions attaché des copains nus dans les bureaux des professeurs, ou bien dans les amphithéâtres, mais nous avions reçu une note de la faculté à ce sujet. Alors, il restait les appartements nous entrions nuitamment pour laisser quelqu'un nu dans la cuisine. Le mieux c'était quand c'était un appartement de filles, ou alors un truc genre Opus Dei.

Et cette fois, pour la première fois en cinq ans, je m'étais fait avoir. Ils avaient bien joué leur coup et je m'étais réveillé nu dans un appartement de filles. Pas n'importe lequel.

Depuis la première, une fille, amie de Marie-Dominique me détestait, elle me le montrait bien et jamais je n'avais su pourquoi. Chaque fois qu'elle me voyait, elle me montrait sa haine. Parfois, frustré, je lui montrais également ma haine, elle a été plusieurs fois dans la piscine toute habillée, ou elle a reçu une centaine d'œufs sur elle, j'ai fait des scandales dans des milieux huppés que nous fréquentions. Donc, elle m'en voulait encore plus, ainsi que toutes ses amies vivant dans le même appartement.

Je me suis réveillé dans un état scabreux, mal de tête, envie de vomir, et attaché les bras en croix au plafond de leur appartement. Et j'étais à poil. J'ai tenté de crâner un long moment, j'ai gueulé, mais elles étaient six autour de moi, ravies de se venger. Elles ont tenté des humiliations, elles m'ont même frappé les fesses et le dos avec une tige ou une cravache. J'ai gueulé, je suis assez populaire sur le site, même si on me retrouvait dans une situation pareille, je n'aurais pas eu de honte.

Le problème c'était que ce n'était pas trop désagréable, et sans doute, heureusement que j'avais une solide gueule de bois, j'aurais été plus réactif.

Au bout d'un moment, j'avais éclaté.

— Vous êtes étudiantes en dernière année de droit, leur avais crié, vous êtes occupées de commettre un crime, un enlèvement, une séquestration. Alors, vous avez le choix, vous me détachez tout de suite, et je ne fais que me venger moi-même, vous continuez, et je porte plainte à la police et à votre faculté, à quatre mois du diplôme, vous ne serez jamais avocates, cinq années d'étude pour rien.

Elles avaient paniqué. J'avais raison. Elles étudiaient avec Marie-Dominique, et après encore des palabres, deux d'entre elles étaient parties la chercher. Stéphanie était à New York pour son mémoire. J'avais dû attendre près d'une heure le retour des filles avec Marie-Dominique. Pendant ce temps, les filles avaient un peu paniqué, elles m'avaient donné de l'aspirine et de l'eau. Elles avaient dû porter le verre à mes lèvres, elles avaient touché mon corps nu.

Marie-Dominique était arrivée. Elle m'avait vu et avait gueulé sur ses amies. Mais son regard était trouble, elle avait crié puis les sept filles avaient eu un long conciliabule et finalement mon amie était venue près de moi, toute seule. Je voyais bien son trouble de me voir ainsi, et pourtant, je devais avoir une tronche de zombie après la journée et la nuit passées.

— Bon, avait-elle commencé. Sophie t'en veut à cause de sa sœur, elle croit que tu l'as violée il y a six ans. Non, ne dis rien, je sais que malgré ton passé de dragueur, tu n'es pas capable de forcer une fille. Je viens de le lui certifier, et je pense, j'espère qu'elle me croit. Alors, tu as raison, si tu le veux, tu peux aller voir la police et la faculté de droit, et porter plainte. Mais je sais que tu n'es pas comme ça. Tu ne voudrais pas arrêter tout de suite le futur de six filles, ce sont mes amies, nous avons effectué des travaux ensemble pendant cinq ans. Est-ce que tu voudrais gâcher leur futur pour une petite erreur?

— Tu feras une excellente avocate, mais je n'appelle pas cela une petite erreur.

— Ecoute, sois le plus grand ici. Tu es très sexy, elles sont troublées. Elles ont voulu se venger, mais elles sont excitées, Arno, tu es très beau et c'est sexy de te voir ainsi à notre merci.

— Que veux-tu que je fasse?

— D'abord, que tu promettes que tu n'iras pas porter plainte?

— Je le leur ai déjà proposé, mais elles n'ont pas voulu.

— Ensuite, tu vas t'excuser, pour tout ce que tu as fait à Sophie depuis cinq ans.

— Et puis quoi encore?

— Arno, joue le jeu. Tu es le plus fort, tu as toutes les bonnes cartes en main.

— Justement, je peux demander ce que je veux.

Elle s'était approchée, pratiquement contre moi.

— Tu ne sens pas bon, elle m'avait dit. Alors voilà, nous allons procéder comme suit : tu vas t'excuser, et tu vas leur promettre de ne pas porter plainte. Ensuite elles te libéreront, et tu iras prendre une douche. Tu sens vraiment mauvais. Ensuite nous discuterons.

— Et elles me rendent mes vêtements quand?

— Tu étais tout nu attaché à leur porte d'entrée. Arno, elles n'ont fait que te prendre à l'intérieur et t'attacher.

— Que?

— Ne revenons pas là-dessus. S'il te plait, fais-le pour moi, à titre de meilleur ami.

Elle avait pressé sa poitrine contre moi. J'avais souri en comprenant son manège, mais je n'avais rien dit, j'avais laissé un moment.

— D'accord, chère Marie-Dominique, je vais faire ce que tu veux. Commande et j'obéirai.

— J'adore ces mots... Il est d'accord, a-t-elle poursuivi en se tournant vers ses amies.

Les six filles sont venues se placer en face de moi, en une sorte de demi-cercle, complété par mon amie.

— Nous t'écoutons, avait dit Sophie, la plus vindicative.

— Mesdemoiselles, je vous prie de m'excuser pour tout ce que je vous ai fait ou dit pendant nos cinq années d'études. Vous êtes de charmantes jeunes filles et je suis vraiment désolé d'avoir douté de vous.

— Et pour le restaurant? Avait demandé Carine que j'avais fait passer pour une pute dans son endroit favori.

— J'irai leur dire que j'ai menti, que c'était une erreur ou une blague, ce qui vous sied le mieux.

— Et tu nous inviteras à un bon repas.

— Et je vous inviterai à un bon repas.

Elles avaient souri d'un air triomphant. Elles avaient réussi à me faire plier. Et moi, je m'en foutais en fait, je ne faisais que faire plaisir à Marie-Dominique.

Il avait fallu du temps pour me détacher. J'avais vite pris un grand verre d'eau, j'étais allé dans leurs WC pour vomir le trop-plein de bière et j'avais pris une douche. Ensuite, il y avait eu une réconciliation, elles avaient apprécié de me voir nu avec elles. Et il avait fallu promettre un dîner ensemble bientôt. Le regard de Sophie avait changé.

J'avais finalement pu partir avec une djellaba rose.

J'étais allé au restaurant, et j'avais payé le repas aux filles, et j'avais signalé au patron que c'était un malentendu. Elles avaient pu m'apprécier, et maintenant, elles m'adoraient. J'avais même été invité à une soirée chez les parents de Sophie, et nous devions avoir un dîner chez elles la semaine prochaine.

— Tu étais très sexy attaché ainsi.

— Vous avez de drôles d'idées, trouver un mec attaché sexy?

— D'abord, tu es très sexy, même quand tu n'es pas attaché, et ensuite, un homme puissant qui est en notre pouvoir, c'est vraiment très sexy.

Je la regarde un long moment.

— Donc tu aimes attacher ton mec?

— J'adore.

— Vous n'êtes pas banales. Stéphanie adore ça aussi, et pourtant, je ne suis pas un type qui la force, ou si elle me demande de ne pas bouger, je fais ce qu'elle aime.

— Oui, mais tu es quand même libre de l'arrêter si tu ne veux plus, tandis que si tu es attaché, tu es en son pouvoir total.

— J'en apprends tous les jours sur la libido féminine.

Avec tout ça, j'oublie que j'attends Annick. Et je suis nu dans la salle de bains.

— Que venais-tu faire finalement?

— Je venais chercher ma brosse. Dis donc, tu es doué pour brosser les cheveux des filles. Tu veux venir encore le faire?

— Oui, m'entends-je répondre trop vite parce que mon cerveau a dû réagir au souvenir de son corps contre le mien, de sa poitrine contre mon sexe.

— Excellent, merci beaucoup.

Elle se calle une nouvelle fois dans mes bras et m'embrasse sur les lèvres.

— A tout à l'heure. Après le dîner?

— Oui.

— Je compte sur toi.

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