CFNM à l'université Chapitre 13

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Sandrine demande à Arno de l'aider.
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Partie 14 de la série de 27 pièces

Actualisé 06/08/2023
Créé 03/05/2018
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Chapitre 13

Récit d'Arno.

J'attends et n'entends plus de bruit, je sors de ma chambre et vais voir au living. Personne, je suis seul. C'est presque dommage, j'aurais voulu continuer. Je deviens complètement accro, je suis fou, mon cerveau bout et plus rien ne fonctionne, je comprends les gens qui prennent de la drogue. J'espère qu'il n'y a pas d'overdose de... je ne sais même pas comment appeler ça. Il y a un acte d'excitation extrême, ce n'est même pas du sexe.

Je vais dans la salle de bains, prends une douche rapide et me brosse les dents. Je suis bien. Que d'histoires en si peu de temps! Je sors nu, je me sens en pleine forme. J'ouvre la porte de ma chambre au même moment que celle du couloir s'ouvre. Je n'étais pas seul. Sandrine arrive et me voit. Elle fonce vers moi et entre dans ma chambre.

— Arno, Dieu merci tu es là.

Elle me prend dans ses bras.

— Est-ce que tu peux m'aider? C'est urgent.

— Bien sûr, tu es seule? Je croyais que tout le monde partait.

— Je suis toute seule, enfin, avec toi.

Elle me prend la main.

— Tu veux bien m'aider?

— Bien sûr.

— Tout de suite, je suis hyper stressée!

La dernière, me dis-je, Il fallait que je sois nu avec Sandrine. Je dois avoir un bon karma, elle ne semble pas s'en rendre compte, ou alors, c'est normal pour elle comme pour les autres. Enfin, nous sommes allés en Israël en septembre, tous les deux, elle m'avait fait passer pour son petit ami, et les gens nous avaient mis dans la même chambre. Pendant dix jours, elle m'avait vu tout nu dans cette chambre. Sans compte la Mer Morte, Stéphanie lui avait demandé de me photographier nu dans l'eau.

— Dans ce cas, je ne peux que venir tout de suite, lui réponds-je en souriant.

Elle parait presque étonnée quand je sors de la pièce, complètement nu. Sandrine me suit. Elle est superbe, elle porte une combinaison en soie bleue très sexy, avec de courtes bottes noires à talons hauts. Quand nous arrivons dans le living, elle passe devant moi, frôle mon corps. Le tissu qui la couvre est vraiment fin. Tout de suite, elle me montre l'ordinateur sur le bureau.

— Regarde, tout est bloqué, j'ai peur, j'ai perdu mon travail.

Je m'assieds. Sandrine panique, elle se place derrière et contre moi,

— Tu sais arranger?

— Attends.

C'est fun, je suis tout nu pour aider Sandrine. Elle se colle derrière moi en passant ses mains autour de mon cou jusqu'à mon ventre, et ses seins dans mon dos.

Je tape plusieurs touches. Et puis je parviens à débloquer, facilement.

— Voilà.

— Merci.

Elle passe devant et m'embrasse, puis s'assied sur mes genoux et regarde l'écran.

— Oh, tout ce que j'avais fait a disparu.

Elle panique un peu. Elle bouge et mon sexe est dans ses fesses.

— Regarde

— Je ne sais pas ce que tu avais fait, lui dis-je.

— Toute une partie de mon mémoire.

— Ne t'en fais pas, je vais le refaire pour toi, où sont tes notes?

— Ici, mais ce sont surtout les graphiques.

Elle me montre un tas de papiers, et je vois où elle est arrivée.

— Si tu veux que je le fasse, tu devrais peut-être te lever.

— Oh? Pardon.

Elle reste quand même un long moment sur mes genoux en me regardant de très près. Je déglutis, son corps m'excite et je ne sais que faire. Elle ne peut ignorer mon érection qui pousse ses cuisses. Elle ne peut ignorer l'effet qu'elle a sur moi, elle est belle, bien maquillée, elle sent bon. J'aime beaucoup Sandrine, elle a de beaux cheveux noirs mi longs, un visage un peu basané avec quelques petites taches de rousseur sur les joues, et surtout de magnifiques yeux très clairs. Et en plus, on dirait qu'elle n'a pas mis de sous-vêtements. Sa poitrine est libre.

— Que ferais-je sans toi, me dit-elle.

Un baiser appuyé sur mes lèvres, et elle se lève. Elle ne va nulle part, elle reste contre moi

Après un moment, je commence à créer ses graphiques.

— Tu es si gentil, c'est vrai que tu as promis de m'aider.

— Oui, et tu demandes une vraie aide, pas comme les autres.

— Comment ça?

— On m'a demandé de ranger des chambres ou de nettoyer la salle de bains.

— Mais c'est gentil de faire ça, si tu veux nous aider, tu dois faire ce qui nous arrange, pas ce que tu veux, sinon cela n'aide pas.

— Tu crois?

— Evidemment, si tu ne laves pas la salle de bains aujourd'hui, c'est moi qui vais devoir le faire. Et j'ai autre chose à faire.

— Bon, je le ferai pour toi.

— Merci.

Je me retrouve encore nu, et Sandrine ne dit rien, ne fait aucune réflexion. C'est peut-être mieux, je ne saurais quoi répondre. Pendant de longues minutes, elle reste contre moi puis, elle va s'asseoir dans le divan et prend un magazine.

Un comble! Je me tape son travail et elle lit un magazine. Je ne dis pourtant rien, après tout, je ne vois pas ce qu'elle pourrait faire, elle ne peut même pas me dicter un graphe...

Je suis concentré, et en plus son mémoire est très intéressant. Au bout d'une heure, elle m'appelle.

— J'ai soif, tu peux m'apporter un verre d'eau?

Un comble, elle ne fait rien et je peux encore me lever. Soit, c'est fun. Je le lui apporte et elle me remercie.

— Tu avances bien?

— Oui, réponds-je en louchant sur ses seins.

Elle sourit.

Je retourne à ma place. Peut-être une demi-heure plus tard, elle m'appelle encore.

— Tu veux me faire un café?

— Bien sûr.

Je me lève et lui prépare et apporte une tasse.

— Merci, je ne te dérange pas?

— Pas du tout, je t'ai promis de t'aider, je le fais.

— Tu as raison.

Lorsque je termine ce qu'elle avait perdu, il est près de midi, pratiquement quatre heures de boulot.

— Voilà, l'appelé-je. Tu peux venir voir?

Elle se lève rapidement et vient s'asseoir sur mes genoux.

— Wow, merci, c'est encore mieux qu'avant.

— Tu veux que j'imprime?

— Oui, merci. Tu es génial, en plus, tu vas vite.

— Si tu veux, je vais taper le reste pour toi.

— Vrai?

— Bien sûr. Je le fais pour Marie-Dominique et Stéphanie. Et Anne-Sophie.

— Merci, tu es si gentil, cela m'aide beaucoup.

Elle m'embrasse sur les lèvres. Sa poitrine est à nouveau juste sous mon nez. Elles n'avaient jamais eu beaucoup de pudeur avec moi, mais depuis quelques jours, j'ai des vues privilégiées sur leurs corps.

— Maintenant, me dit-elle, comme tu l'as promis, va laver et ranger la salle de bains. Et ce matin, tu as préparé le petit déjeuner, mais tu n'as pas débarrassé ni fait la vaisselle.

— Euh, oui, j'allais justement venir quand...

— Nous avions fini de manger depuis longtemps, tu aurais pu venir dans le living et faire le travail.

Elle se lève et je fais de même.

— Sers moi encore un café, et range la table.

Je lui apporte une nouvelle tasse, elle ne cesse de m'observer. Puis, je débarrasse la table du petit déjeuner et commence la vaisselle. Je n'arrête plus d'effectuer les corvées ménagères tout nu, depuis quelques jours.

Sandrine me regarde ou bien lit un magazine pendant que je la sers. Je ne dis rien, c'est assez sexy. Je suis juste embarrassé de mon sexe en érection qui me précède.

— Avant de faire la salle de bains, tu peux aussi me préparer un truc à manger? Il est midi.

— Bien sûr.

Je lui prépare vite fais et la sers à table.

— Excellent, me dit-elle. Oh, ma serviette est tombée.

Je la lui ramasse.

— Où vas-tu?

— Dans la salle de bains.

— Attends que j'aie fini, comme ça tu pourras faire la vaisselle. Tu sais, j'aime que tu m'aides ainsi, cela me fait très plaisir, en ce moment, j'ai beaucoup de travail et quand tu fais mes corvées, et que tu m'aides dans mon travail, cela me permet de me détendre et d'être plus performante ensuite.

— Je ferai mon possible pour t'aider, lui confirmé-je en la regardant manger.

Dix minutes plus tard, je débarrasse et lave et range, puis vais vers la salle de bains, elle me suit.

— La salle de bains est à droite, me dit-elle quand je veux entrer dans ma chambre.

— Je sais.

— Qu'allais-tu faire dans ta chambre?

— Rien de spécial, je...

— Dans ce cas, pas la peine d'y entrer, allez, au travail!

Elle me donne une claque sur les fesses, puis y pose sa main. Finalement, c'est très plaisant, je n'ose trop me l'avouer, mais j'adore la situation.

Je lave et frotte partout, arrange les serviettes sous sa supervision. J'adore me retrouver à quatre pattes à ses pieds et je prends plus de temps qu'il n'en faut.

— C'est bien tu es fort consciencieux, tu pourras faire toutes mes corvées, tu fais cela si bien et cela me fera vraiment plaisir.

— Oui, d'accord, réponds-je en me relevant un peu face à elle.

— Cela m'aidera vraiment beaucoup. Tu me l'as proposé si souvent, et je n'en ai pas profité, mais cela va changer. C'est vrai, après tout, tu n'as absolument plus rien à faire, je pourrai remplir une partie de tes journées.

— Oui, réponds-je comme si cela coulait de source, comme si je la remerciais.

Je suis à genoux devant elle, Sandrine est venue se coller pratiquement à moi et j'ai son ventre à quelques centimètres de mon visage.

— C'est dit, je te confierai tout. Merci pour ton aide. J'espère que je peux compter sur toi.

— Bien sûr.

Je poursuis et termine le travail. J'en suis presque fier de moi, avant, je n'aurais jamais pu faire ça.

— Parfait, tu es un champion. Viens maintenant.

Je n'ai pas l'heure, mais il doit être tard dans l'après-midi, les autres risquent de rentrer. Je n'ose rien lui dire, elle a pris mon poignet gauche et me fait marcher à sa suite, nous allons dans son couloir et enfin dans sa chambre.

— Voilà, range ma chambre maintenant, tu m'auras bien aidée.

Elle supervise, encore une fois, elle ne fait rien, elle me regarde et parfois lit un article dans un magazine. Je n'en peux plus, c'est vraiment trop excitant. Quand je termine sa chambre, elle m'emmène cette fois dans la cuisine. Il est 16h30. Cela fait donc huit heures que je suis nu avec Sandrine. Je ne regrette rien, je me sens si excité par une journée pareille.

— J'ai vraiment adoré passer tout ce temps à nous deux, me dit-elle.

— Moi aussi.

— Peux-tu encore me faire une tisane? Me demande-t-elle en venant se placer contre moi. Tu as été épatant aujourd'hui, je ne sais pas comment je pourrai te remercier.

— Euh, fais-je troublé, c'est naturel, tu ne me dois rien.

— Tu continueras donc à m'aider comme j'aime bien?

— Oui, tout ce que tu veux.

— Merci.

Elle me serre contre elle et m'embrasse longuement sur les lèvres. Elle ne peut ignorer mon état, elle a son pubis contre mon sexe en érection. Je n'en peux plus.

Quand je lui ai donné sa tisane au salon, je prends congé, cette fois elle ne dit rien. J'entre enfin dans ma chambre et m'étends sur le lit. J'ai envie de me masturber, il le faut, je deviens fou. Mais Stéphanie va arriver, je pourrai lui faire l'amour. Comme promis, j'attends tout nu dans la chambre.

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AnonymousAnonymeil y a environ 6 ans

A présent ça va passer à la vitesse supérieure ... deux filles, voir plus en même temps.

Arno sera comblé.

Rudy

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