CFNM à l'université Chapitre 14

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Arno se trompe de fille et crée toute une histoire.
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Partie 15 de la série de 27 pièces

Actualisé 06/08/2023
Créé 03/05/2018
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Chapitre 14

Journal de Stéphanie.

Sandrine nous attendait dans le salon. Elle avait attaché un foulard à la porte pour nous signaler qu'elle était occupée. Nous pensions pouvoir revenir vers 13h, mais finalement, il était presque 17h quand j'ai pu enfin entrer chez moi.

— Belle journée, elle a dit. Je suis allée le chercher il était nu, il a suivi tout de suite, je n'ai même pas dû le forcer. C'était naturel. Il a débloqué le PC et puis il a proposé de faire le travail, et il a tout fait. Je l'ai retenu tout le temps, je n'ai pas eu besoin de lui interdire l'accès à ses vêtements, il a tout fait tout nu avec plaisir.

— Tu l'avais bien dit, Stéphanie, Annick a commenté. Maintenant phase deux.

— Raconte en détails, a demandé Marie-Dominique.

— Je suis allée le chercher, tu vois, il était nu dans le couloir, il m'a attendue. Je lui ai pris la main en jouant la panique, et il était ravi. Il aimait la situation. Alors je l'ai assis sur la chaise, il a regardé le petit sabotage d'Annick, il a trouvé tout de suite et je me suis assise sur ses genoux pour le remercier. Il était mal à l'aise car son sexe était tout dur entre mes fesses. J'ai fait semblant de rien. Je l'ai remercié, puis j'ai « constaté » que c'était effacé. Il m'a tout de suite proposé de le refaire, et un peu plus tard, je me suis assise dans le divan et j'ai lu un magazine pendant qu'il travaillait. Enfin, je le regardais, je ne lisais pas trop. Et je lui ai demandé de mer servir à boire. Il l'a fait avec plaisir.

— Et il n'a rien dit que tu le faisais travailler pendant que tu ne faisais rien?

— Non, il a juste dit qu'enfin quelqu'un lui donnait un bon travail à faire, que les autres lui faisaient ranger leur chambre. Alors, je lui ai dit que s'il proposait son aide, il fallait accepter de faire ce qui nous arrangeait et non ce qu'il voulait.

— Tu as bien fait.

— Et j'en ai profité pour lui dire qu'il pouvait aller faire la salle de bains, mais comme il était l'heure de manger, il a rangé puis a préparé, m'a servie, a tout rangé, fait la vaisselle et ensuite il est allé dans la salle de bains. Je l'ai arrêté, il allait dans sa chambre. Et puis il a fait ma chambre, m'a servi une tisane et je l'ai laissé aller dans sa chambre il y a un quart d'heure. Il aurait bien continué, mais je pense qu'il avait peur que vous rentriez et que vous le trouviez nu dans le living.

— Quelle belle journée! Il l'a passée tout nu, dit Annick

— Oui, et il aime cela, répond Sandrine.

— Que cela continue, décrète Anne-Sophie, pas de vêtements pour lui ce soir, ni demain.

— Et nous commençons la phase deux, a dit sa sœur.

— Oui, il m'a dit qu'il m'attendait tout nu, il est donc nu dans la chambre. J'ai dit. Il faut faire en sorte qu'il reste nu jusque demain.

— Et ce soir?

— Nous allons défiler dans sa chambre, avec Stéphanie. Il faut le tenir nu tout le temps, parler à Stéphanie et voir sa réaction.

Nous avons ensuite décidé de l'ordre de passage. Nous avions de super idées, tout allait être fait ce soir et il n'allait pas s'habiller. Demain, c'était encore la fête.

Récit d'Arno.

Je ne sais pas si elles s'en rendent compte mais elles m'excitent en me faisant rester tout nu ainsi. On dirait que c'est normal pour elles, je suis tout nu et elles font comme si de rien n'était. Sandrine s'assied sur mes genoux, ses fesses bien sur mon sexe gonflé, elle ne dit rien, et puis elles commencent à profiter de mes services. Et bizarrement chaque fois je suis tout nu. Est-ce que Stéphanie a organisé tout cela? Non, elle ne pourrait pas. Cela voudrait dire que les six filles aient le même tempérament. J'attends nu sur le lit, comme je l'ai promis. J'aime être nu, surtout en présence de Stéphanie, c'est vraiment excitant, et elle adore, enfin, elle m'a convaincu que c'était bien et j'ai bien aimé. J'imagine parfois que je suis nu avec les six filles, et j'imagine souvent Anne-Sophie comme en novembre, et maintenant même les autres filles. En quelques jours, je suis resté tout nu plusieurs fois avec chacune d'entre elles. Depuis jeudi dernier.

Et depuis hier matin, je ne me suis pas encore habillé.

J'entends enfin du bruit. Quelques cris de filles joyeuses. Cela me fait un peu paniquer, heureusement je suis dans ma chambre. Il me semble qu'elles discutent longtemps, mais je ne sais rien de ce qui se dit. J'ai envie de Stéphanie, et enfin j'entends sa voix dans le couloir. Je me lève et me cache derrière la porte. Elle s'ouvre et je prends Stéphanie dans mes bras par derrière.

— Comme promis, dis-je, je t'attends tout nu.

Mais c'est Anne-Sophie, elle se retourne en riant. Je l'avais juste reconnue, elle est brune et Stéphanie blonde, mais je l'avais prise trop vite.

— Merci, quel accueil, tu as enfin décidé de te présenter tout nu?

Je me sens complètement mal à l'aise, confus.

— Excuse-moi, je croyais que c'était Stéphanie.

— Mais ne t'excuse pas, je suis ravie. Tu commences à être nu avec moi, j'adore. Et puisque tu me proposes de m'aider, viens ranger ma chambre.

— Mais Anne-Sophie, j'attends Stéphanie, je lui ai promis.

— Elle comprendra. Allez viens

Impossible de me désister. Elle me tire par la main et m'emmène dans le couloir.

— Allez, ne traine pas. Tu as promis de m'aider, tu le feras.

— Laissez-moi m'habiller, plaidé-je.

— Certainement pas, tu aimes travailler pour moi tout nu, je te fais une faveur.

Elle s'arrête devant sa porte et se retourne.

— Regarde, fait-elle en touchant mon sexe, tu bandes, c'est que la situation te plait. Si tu parviens à être au repos, je te permets de t'habiller.

Je déglutis mal.

— Anne-Sophie, c'est impossible, je ...

— Si tu veux nous attendons ici.

— Non, entrons dans ta chambre

— C'est bien ce qu'il me semblait.

Nous pénétrons dans sa pièce.

— N'ai-je pas raison? Tu préfères être tout nu, non?

— Oui, m'entends-je avouer.

— Enfin, tu oses le dire. Allez, au travail. Tu veux le faire comme en novembre?

— Non, réponds-je paniqué.

— Dans ce cas, travaille bien. Tu veux m'aider, tu dois le faire correctement.

Je n'ose rien dire, je suis trop excité, j'adore la situation. Mon ventre semble palpiter d'une douce douleur. Je retrouve les sensations de novembre, mais je ne pourrai jamais le lui dire. Elle me montre le lit non fait, et tout ce qui traine, je m'applique pendant tout un temps, jusqu'à ce que je sois à terre à ses pieds pour ranger des chaussures. Anne-Sophie me regarde et me donne des instructions. Et à ce moment, la porte s'ouvre sur Stéphanie.

Journal de Stéphanie

Arno était avec Anne-Sophie depuis près d'une demi-heure. Nous riions en pensant à tout ce que nous avions fait, nous parlions de ses réactions et de ce que nous avions aussi ressenti. Et puis, nous imaginions plein de choses pour le futur. Elles adorent.

Je suis entrée directement dans la chambre d'Anne-Sophie. Arno était à ses pieds, tout nu comme prévu.

— Et alors, tu m'avais promis de m'attendre tout nu dans la chambre, quelle déception, tu n'y es pas, et je te retrouve ici!

— Je... je... je... suis désolé, il a bégayé, je t'attendais, mais Anne-Sophie m'a demandé un service.

Je me suis penchée et je l'ai embrassé sur les lèvres.

— Finis ton travail, que nous puissions aller dans la chambre, j'ai aussi quelques trucs à te faire ranger, et en plus tu n'as pas fait le lit.

— Ah? Je ne savais pas que je devais faire le lit.

— Tu as proposé de m'aider. Fais le lit tous les jours, tu sais comme j'aime dormir dans un bon lit.

— Oui Stéphanie.

Nous l'avons regardé terminer le rangement de la chambre, en discutant entre nous. Il s'est enfin levé et s'est placé devant nous, mais nous étions devant la porte.

— Voilà, j'ai fini.

— Anne-Sophie me dit que tu lui as sauté dessus quand elle a ouvert la porte? Tu l'as prise par derrière?

— Non, il a dit confus.

— Non? Alors elle a menti?

— Non, mais enfin, elle est entrée et je croyais que c'était toi, j'étais derrière la porte et je l'ai prise dans mes bras en pensant que c'était toi.

— Et tu étais content de la voir, tu lui as dit que tu aimais être nu en sa présence.

Il a rougi, il a réfléchi à ce qu'il avait bien pu dire, et finalement j'ai pris sa main.

— Allez viens, tu vas un peu travailler pour moi aussi. Je suis contente que tu lui aies fait ce compliment.

— J'adore, lui a confirmé Anne-Sophie.

J'ai ouvert la porte et je l'ai emmené dans notre chambre. Anne-Sophie lui a donné une petite claque sur les fesses.

— Merci, tu pourras toujours recommencer, et n'oublie pas novembre, tu étais très heureux.

Je l'ai mis dans notre chambre et j'ai fermé la porte. Puis je l'ai pris dans mes bras.

— Il me semble que tu es bien souvent tout nu. Ce matin, sur la terrasse et puis le petit déjeuner, et maintenant.

— Euh... oui, il a répondu.

— Donc tu admets enfin que tu aimes cela?

— C'est agréable, mais c'est privé.

— Privé? Mais tu as été tout nu devant toutes les filles cette semaine, sauf Sandrine.

— Euh, Sandrine aussi.

— Ah? Quand?

— Ce matin.

— Raconte-moi.

— Je sortais de la salle de bains et...

— Et tu étais tout nu?

— Oui.

— C'est bien, tu étais nu.

— La porte est juste en face, je le fais depuis le début de l'année. J'ai toujours été seul.

— Soit, et alors?

— Sandrine est arrivée, paniquée, elle avait besoin de moi et m'a pris la main pour m'emmener à l'ordinateur, il était bloqué.

— Et tu as suivi tout nu?

— Euh oui, je n'avais pas le choix.

— Non. Donc, tu n'as pas pu lui dire, Sandrine, attends, je m'habille?

— Non, c'était très vite.

— Et ensuite?

— Elle m'a montré le PC, ce n'était pas bloqué, juste une page bizarre, j'ai tout de suite trouvé la solution, mais apparemment, son travail avait été effacé, mais en regardant bien, elle n'avait rien fait.

— Comment tu le sais?

— Parce qu'il n'y avait rien, une feuille blanche, si elle avait fait quelque chose, je l'aurais vu.

On ne pouvait pas le bluffer, sauf quand il était nu, il ne comprenait pas que nous avions tout imaginé.

— Et je lui ai donc proposé de faire son travail. Elle m'a remercié en s'asseyant sur mes genoux.

— Et tu étais encore tout nu?

— Oui, il a répondu gêné, s'attendant sans doute à ce que je sois fâchée qu'il ait été nu avec son sexe dans les fesses de Sandrine.

— Et alors?

Il m'a regardée.

— Quoi? Tu crois que je devrais être fâchée?

— Non, mais enfin, ce n'est pas normal.

— C'est entre nous, et tu sais que mon grand fantasme c'est que tu sois nu ici, et donc ces choses-là arrivent.

Il était troublé.

— Et alors?

— Et bien, je lui ai demandé ce qu'il fallait que je fasse, elle m'a montré ses pages manuscrites et ses graphiques, et je lui ai demandé de se lever.

— Et tu as tout fait?

— Oui, le plus difficile c'était ses graphiques. Mais tu sais quoi? Elle me demande de l'aider, et pendant ce temps-là, elle a lu un magazine.

— Et alors?

— Ben... je l'aide et elle s'amuse. Surtout qu'après, j'ai dû faire à manger et lui préparer un café.

— Tout nu?

— Oui, il a fait de plus en plus mal à l'aise.

— Mais pourquoi n'es-tu pas parti t'habiller?

— Je ne sais pas,

— Mais si tu sais, tu aimais te retrouver tout nu avec elle, avoue!

Il a rougi, j'ai dû prendre son sexe en main pour insister.

— Oui, il a dit finalement, j'aimais bien. Je ne voulais pas m'habiller.

— Je peux leur demander si elles veulent bien que tu vives nu.

— Oh non, s'il te plait pas ça, ce serait la honte totale.

— Et tu es enfin revenu ici?

— Oui, après avoir nettoyé la salle de bains.

— Tu es un amour, et tu as passé toute la journée tout nu? C'est vraiment sexy, dire que je n'étais pas là.

Je l'ai embrassé en l'excitant encore plus.

— Dire que nous aurions pu te voir, nous venons de rentrer, mais nous voulions déjà revenir vers 15h. Tu étais nu dans le salon à cette heure-là?

— Oui.

— Dommage, nous aurions pu te voir. C'eut été vraiment très sexy.

Je me suis assise sur le lit.

— Fais-moi un petit massage des pieds, je lui ai demandé.

Il s'est agenouillé devant moi.

— Tu aimes ça, hein? Je lui ai demandé.

— J'adore, il a dit. Quand nous sommes tous les deux. J'aime cela, te traiter, te laver, d'habiller. Je le fais depuis longtemps, non? Tu es ma déesse.

— Je sais. J'en profite, je suis une déesse.

Il a retiré mes chaussures et a commencé à me masser.

— Hmmm, c'est vraiment bon. Quand tu auras fini, tu rangeras, et tu déballeras mes colis, je suis allée faire du shopping avec Anne-Sophie. Nous avons ramené des petits trucs très sexy.

— J'aime tes trucs sexy, il m'a dit tout en massant mes pieds.

— Cette fois, c'est beaucoup de cuir, Anne-Sophie aussi. Elle aimerait vraiment refaire le coup de novembre. Tu ne pourrais pas accepter?

— Non, il a dit. C'est trop humiliant.

— Humiliant? Cela fait plaisir à toi, à moi et à Anne-Sophie.

— Tu ne peux pas comprendre, Stéphanie, ce n'est pas déplaisant, j'ai vraiment bien aimé avec Anne-Sophie, et je voudrai toujours continuer avec toi, mais je ne peux pas faire cela avec les autres.

La porte s'est ouverte, et Virginie est entrée. Il a eu un choc, s'est retourné et a rougi. Tétanisé, il ne s'attendait pas à cela.

— Stéphanie, a dit Virginie avec un large sourire en voyant Arno à mes pieds, et en venant se poster juste à ses côtés, pour qu'il ait la vue de ses jambes chaussées d'escarpins juste sous ses yeux. Oh, ça c'est formidable, un bon massage de pieds après une journée de travail.

Il a voulu se relever.

— Continue, je lui ai ordonné, tu viens à peine de commencer.

Il n'a pas osé parler, je le voyais si embarrassé nu à nos pieds. Il ne le savait pas, mais les quatre autres étaient à la porte, elles regardaient Arno nu à nos pieds.

— Arno, tu as toujours demandé à m'aider, il faudra que tu me fasses un bon massage de pieds.

— Euh... Ce n'est pas de l'aide.

— Comment? Tu me proposes de m'aider, je dis oui, je te demande ce qui pourrait vraiment m'aider et tu refuses? Ce n'est pas très sympa.

— Ce n'est pas de l'aide, il a dit.

— Ne pense pas ce que je ressens. Pour moi, j'ai passé une longue journée dehors, je porte des chaussures à hauts talons, le soir, cela m'aiderait d'avoir un bon massage. Mais soit, tant pis.

— Ne t'en fais pas, intervins-je, Arno te fera un bon massage. Hein oui?

— Oui, il a marmonné.

Virginie m'a montré un petit papier. Nous avons regardé ensemble le papier en discutant de courses à faire et de repas à organiser. Je me suis levée assez rapidement, tout en demandant à Arno de continuer à me masser les pieds.

— C'est divin, je l'ai complimenté. Tu devrais faire breveter tes massages. Puis à Virginie :

— Oui, tu as raison, il faudrait organiser cette fête.

— Il parait que la fois passée, Arno avait tout rangé tout seul.

— Qui t'a dit cela?

— Anne-Sophie, elle m'a dit qu'Arno avait proposé de le faire pour elle, je n'ai pas compris toute l'histoire, elle a ajouté avec un clin d'œil puisqu'elle était parfaitement au courant depuis peu, mais Arno avait bien travaillé.

— Tu as raison.

— Et bien, si nous organisons encore cette soirée, Arno pourra ranger tout avec Anne-Sophie.

— Et il y a toujours ce dîner chez Sophie. Heureusement finalement qu'Arno se soit réconcilié avec elle, maintenant, nous pouvons nous voir.

Nous avons évoqué l'histoire d'Arno abandonné et attaché tout nu chez elles, avec plein de détails donnés par Marie-Dominique.

— Arno, j'ai dit, c'est bon, tu peux remettre mes chaussures.

Il a délicatement remis mes escarpins pendant que les filles allaient se cacher. Puis il s'est relevé.

— La suite est encore dans ma chambre, a dit Virginie, tu viens?

— Bien sûr. Viens Arno.

Il s'est rendu compte que la porte était encore ouverte, il était indécis.

— Allons mais qu'est-ce qui t'arrive, je lui ai dit, je te demande de venir.

Je lui ai pris la main et nous sommes sortis dans le couloir, à la suite de Virginie pour aller dans la chambre du fond. Evidement personne n'était là, mais il ne le savait pas et il avait peur. Nous sommes entrés chez Virginie et elle m'a encore montré des papiers, puis m'a parlé d'une nouvelle idée de photos que j'ai trouvée géniale.

— Il faudra juste que tu me prêtes Arno.

— Il est là, tu peux le lui demander.

— C'est vrai, Arno, j'ai absolument besoin de toi, je vais faire un nouveau livre et j'ai besoin de toi comme modèle. Tu veux bien?

— Euh...

— Allez, s'il te plait, cela m'aiderait, et me ferait très plaisir.

— Oui, il a dit.

— Oh merci.

Elle s'est jetée à son cou, et l'a serrée contre elle puis l'a embrassé.

— Tu es merveilleux, je t'adore. Ce sera génial. Et pour ne pas trop te déranger, je ferai des photos ici et à Bruxelles. Et il me faudra des photos en externe.

— Photos de nu? Il a demandé.

— Evidemment. Enfin, toi tu seras nu, les modèles féminins seront habillés, comme en septembre.

Elle est restée dans ses bras assez longtemps, en pressant son corps contre le sien et surtout son bassin sur son sexe gonflé. Il n'osait pas bouger et était tout confus. Je me demande s'il n'était pas avec moi s'il n'en profiterait pas. Sans doute, dans son ancien Arno, avant de sortir avec moi. Mais il n'a jamais été trop agressif, et je sais que dans la plupart des cas, les filles se jetaient sur lui, sinon il ne comprenait pas les signaux.

Elle l'a laissé.

— Viens, je lui ai dit, tu dois encore ranger la chambre, faire le lit et je dois te montrer ce que j'ai acheté.

— Merci, lui a dit Virginie en l'embrassant encore. Et pour te faire plaisir, j'accepterai ton aide. Stéphanie m'a dit que tu étais triste de ne pouvoir nous aider. Tu peux compter sur moi.

Il était confus et abasourdi. Presque un automate quand il s'est retrouvé dans le couloir avec moi.

— Et bien. Que t'arrive-t-il?

— C'est euh... Stéphanie, je suis tout nu, et les filles me voient.

— Ce n'est pas grave, j'aime bien, sinon tu penses que je me fâcherais.

— Mais oui, mais d'abord Anne-Sophie, et maintenant Virginie.

— Dis donc, tu as passé ta journée tout nu avec Sandrine, et hier tout nu avec Annick. Sans compter la semaine passée. Qu'est-ce qui change aujourd'hui?

— Rien, il a dit.

— Tu aimes bien?

— Oui, mais je ne peux pas le dire.

— Ce n'est pas grave, ne t'en fais pas. J'aime ce caractère, et je suis toute excitée que tu aies été comme ça tout nu. Tu verras, j'ai très envie de toi. Et j'ai adoré que tu aies préparé le petit déjeuner tout nu ce matin.

Il suffoquait de plaisir. Le fait de me dire qu'il aimait bien la situation le libérait un peu. Je l'ai embrassé.

— C'est bien tu as enfin avoué que tu aimais te retrouver tout nu avec nos amies.

— Non, il s'est rétracté.

Mais nous avons dû arrêter la conversation. Marie-Dominique est entrée dans le couloir, comme prévu. Il a encore été plus paniqué et il s'est tu.

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1 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a environ 6 ans

Toujours aussi génial, j'aimerais tant être Arno!

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