CFNM à l'université Chapitre 21

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Marie-Dominique s'occupe d'Arno.
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Partie 22 de la série de 27 pièces

Actualisé 06/08/2023
Créé 03/05/2018
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Chapitre 21

Récit d'Arno.

Je n'en peux plus. Cela n'arrête pas, j'ai toujours trois filles avec moi. Elles bougent, changent et je ne sais plus où j'en suis. C'est trop excitant. J'ai presque envie de les appeler, qu'elles soient toutes là en même temps. Marie-Dominique me prend soudain la main et me fait aller dans son couloir, j'y vois Sandrine et Annick. Mais elles me sourient et me cajolent un peu.

— Tu as déjà eu une longue journée, me dit Sandrine en m'embrassant.

Et je me retrouve dans la chambre de Marie-Dominique. Seuls tous les deux.

— Voilà, me dit-elle. Depuis que tu m'as avoué que tu aimais te montrer nu à moi, j'en ai rêvé. Maintenant, tu as enfin ce que tu veux.

— J'étais nu dans le salon, depuis que tu es entrée.

— Mais ce n'est pas la même chose, il y avait d'autres filles.

Elle me fait asseoir sur le lit et s'assied sur mes genoux, à califourchon et j'ai ses gros seins dans le visage.

— Alors, aujourd'hui, j'ai vu Sophie et Carine pour le travail, et j'ai accepté de compiler et de tout mettre en page, car je sais que ce sera toi qui feras tout pour moi.

— Oui, réponds-je, tu as raison, je ferai ton travail.

— Dis donc, tu aimes tant que cela être tout nu? Cela fait quoi? Quatre jours que tu ne t'habilles plus?

— Euh...

Je me sens rougir.

— Il n'y a rien de mal à cela, tu aimes être tout nu en face de nous toutes?

Je sursaute. Je ne sais plus où me mettre, mais elle est assise sur moi et je ne peux rien faire.

— Il ne faut pas avoir peur de m'en parler, je ne suis pas stupide, je vois bien que tu aimes être nu, pas uniquement devant moi mais devant nous toutes. Stéphanie est au courant?

— Oui.

— En tout cas, Sophie a hâte de travailler avec toi, elle est ravie que tu vives nu avec moi.

— Tu le lui as dit?

— Sophie est comme moi. D'ailleurs, rappelle-toi, tu as promis un repas. La semaine prochaine, nous allons chez elle pour parler de gynarchie. Il y aura quelques tests.

— Quelques tests?

— Oui, nous verrons comment cela fonctionne, un gouvernement exclusivement féminin et la réaction des hommes, enfin toi, tu seras tout seul avec nous.

— Mais... euh...

Tout seul avec elles. S'attend-elle à ce que je sois nu? Non, c'est impossible.

— N'oublie pas que tu as promis d'assister à ce dîner, tu te souviens que je suis venue te chercher alors que tu étais tout nu dans leur appartement, et tu as promis beaucoup de choses.

— Oui, mais c'était pour te faire plaisir, pour arrêter.

— Et bien continue de me faire plaisir, nous irons au dîner. Tu aimes toujours être nu avec moi?

— Oui, j'adore, réponds-je trop vite.

— Et lorsque je suis venue te chercher, tu aimais être tout nu devant moi?

— Oui... avoué-je.

— J'ai trouvé très érotique de te voir ainsi attaché sans défense. Tu voudras bien un jour que je t'attache?

— Pourquoi?

— Juste pour une expérience.

— Je ne sais pas... Ce n'est pas normal.

— En tout cas, tu es devenu le meilleur ami de Sophie et ses amies. Elles me demandent toujours de tes nouvelles. Je lui ai dit ce matin que je te voyais tout le temps nu.

Que va-t-il arriver si cela sort de cet appartement? Je tremble, Marie-Dominique a ses gros seins contre moi, et mon sexe est serré entre ses cuisses, contre son pubis. Je ne vais plus pouvoir tenir longtemps.

— En tout cas, je suis ravie que nous sommes mariés depuis Ibiza.

— C'était un canular.

— Sans doute, mais nous avons pris cela au sérieux. Aucune de nous ne parvient à trouver un mec. Nous sommes toutes tout le temps avec toi. C'est normal.

Je ne dis rien. Quand elles sont dans leurs élucubrations, il vaut mieux les laisser dire. Marie-Dominique se lève et m'embrasse sur les lèvres.

— Je te laisse, sinon tu vas avoir une attaque!

Elle rit en pinçant le haut de mon sexe.

— Dis-moi encore que tu aimes être nu en face de moi!

— J'aime être nu en face de toi.

— Tu sais ce que j'aime? C'est que tu sois tout nu pendant que tu me rends des petits services, comme me servir à manger ou un apéritif, et j'adore que tu t'occupes de l'appartement. Tu sais, pendant un an et demi, nous avons pratiquement tout fait.

— J'ai beaucoup aidé.

— Tu es un garçon, pour toi, certains choses ne sont pas très importantes. Pour nous, avoir un endroit propre et rangé est primordial. Mais c'est vrai, tu as souvent aidé, tu prépares le petit déjeuner, tu nous aides dans nos travaux, et tu es assez propre, tu laisses les WC dans un bon état. Enfin, tu sais, c'est génial d'avoir décidé de nous aider. Dorénavant, tu pourras toujours ranger et nettoyer et nous préparer à manger. Et tu le feras tout nu, j'adore te voir tout nu. C'est comme si tu m'avais droguée, je ne vois pas comment il pourrait en être autrement.

— Oui Marie-Dominique.

— Baise-moi les pieds, j'ai adoré quand je t'ai vu le faire à ma sœur.

— Oui Marie-Dominique.

Je m'agenouille.

— J'ai bien vu que tu adorais cela, tu trouves que j'ai de jolis pieds?

— Oui, m'étranglé-je.

— Retire mes chaussures, et passe-moi mes mules, mais avant, embrasse mes pieds.

J'obéis, je retire ses jolis escarpins que je lui avais passés aux pieds ce matin et me penche encore pour les embrasser. Elle semble apprécier, et me laisse faire longuement. La porte s'ouvre et j'entends Anne-Sophie entrer directement dans la pièce.

— Arno, j'ai besoin de toi, viens.

— Mais Anne-Sophie, répond sa sœur, qui te dit que j'ai fini avec lui?

— C'est vrai excuse-moi, je peux le prendre?

— Bien sûr. Arno, tu peux arrêter. Pourquoi en as-tu besoin? Poursuit-elle à l'adresse de sa sœur.

— Tu as vu l'heure? Il a quitté le living sans faire la vaisselle.

— Ce n'est pas sérieux, Arno, me dit sèchement Marie-Dominique alors que je me remets debout. Allez, tu me déçois!

Anne-Sophie prend mon sexe pour me tirer à sa suite. Je ne peux que me lever et la suivre. Dans le couloir, Annick et Sandrine entrent du living.

— Ah, Arno est avec toi?

— Oui, il était avec Marie-Dominique.

— Arno, demain j'aurai besoin que tu me tapes une partie de mon mémoire, me dit Sandrine.

— Oui, bredouillé-je.

Je me sens encore perdu. Pendant près d'une demi-heure, j'ai eu comme un répit, j'étais seul avec Marie-Dominique, et même si c'était une conversation et une situation bizarres, c'était comme un repos temporaire.

— Justement, j'en ai besoin pour cela aussi, reprend Anne-Sophie.

— Maintenant?

— C'est pour cela que je le prends avec moi. Et il doit faire la vaisselle.

— Le pauvre, dit Marie-Dominique derrière moi, il a déjà tellement travaillé aujourd'hui, tu pourrais le laisser se reposer.

— Mais non, dit Anne-Sophie, il va me le faire, hein oui.

Elle se colle à moi et m'embrasse.

— Oui, parviens-je à bredouiller.

— Tu vois, c'est un type extra, il ne me laissera jamais tomber.

Marie-Dominique est contre moi aussi.

— Peut-être, mais moi je tiens fort à lui, et je trouve qu'il faudrait le laisser se reposer. D'ailleurs, il avait une réunion avec ses amis.

— C'est vrai? Me demande Annick.

— Oui, réponds-je.

— Pourquoi ne l'as-tu pas dit? Me reproche Sandrine.

— Je ne sais pas, je ne voulais pas vous ennuyer avec cela.

— Je suis désolée, fait Sandrine en m'embrassant. La prochaine fois, il faudra le dire.

— Oui Sandrine.

— Promis?

— Oui Sandrine.

A quatre elles sont contre moi. Finalement, Anne-Sophie donne le signal du départ, elle tient toujours mon sexe en main et me tire à sa suite. Elle ouvre la porte et nous entrons dans le living.

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2 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a presque 6 ans

Génial!

AnonymousAnonymeil y a presque 6 ans

ça y est .... quatre filles ensemble !

Rudy

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