Contrainte 02 - Le Voisin

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Les contraintes quotidiennes de la soumise.
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Cette histoire, bien qu'indépendante, est la suite de : Contrainte 1- Les deux amis.

Elle est complètement inventée. Les personnages sont fictifs et majeurs.

Si vous n'aimez pas les situations de contrainte, d'humiliation, voire de viol, ne lisez pas.

Le voisin

Il était 13h lorsqu'elle servit le plat. Elle le présenta d'abord à Monsieur RICHMOND.

Il était un client de l'entreprise de son mari. Rarement ce dernier invitait des clients mais il avait expliqué que pour celui-là, il tenait à un geste particulier. RICHMOND était sympathique, très loquace, probablement plus de 60 ans.

Elle s'était habillée élégamment pour l'occasion d'une robe droite rouge qui descendait aux genoux. Elle participait peu aux débats, se contentant de servir les hommes. Elle ne mangeait pas et se tenait prête à satisfaire toute demande en restant debout à deux ou trois mètres de la table.

RICHMOND avait bien été surpris par cela mais son mari avait expliqué qu'il était d'usage chez eux que l'épouse s'occupât du service et mangeât ultérieurement.

- Belle tradition, mon cher! J'aurais aimé que mon épouse fût aussi serviable et... charmante.

Et d'ajouter quelques instants plus tard :

- Auriez-vous du Perrier s'il vous plaît?

Elle revint de la cuisine :

- Je suis navrée monsieur, je n'en ai pas! Nous n'en buvons jamais.

Son mari intervint :

- Il est trop tard pour aller au magasin et ce serait trop long. Va demander au voisin... au n°4... A mon avis, il a tout ce qu'il faut.

- Mais... Chéri... je n'aime pas ce type... Je vais demander aux jeunes à côté.

- NON! Tu vas au numéro 4 et dépêche-toi, ne fais pas attendre notre invité!

Elle n'aimait pas ce voisin à qui elle avait du déjà obéir une première fois, un type malsain. Mais surtout, elle se souvenait de l'ordre qu'il avait laissé : « ...la prochaine fois que vous venez me voir, je veux la même tenue!... Avec des talon-aiguilles noirs de 12 cm au moins... ».

Elle se pressa à la lingerie, fouilla au plus vite une armoire de vêtements et en retira tout froissé le pull blanc qu'elle avait porté lors de la séance de tennis. Elle fut plus rapide pour choisir une paire de souliers aux talons démesurés. Elle dévêtit totalement, se couvrit du pull et monta sur les chaussures. Le miroir de l'armoire fut intraitable! Allongées de quelque 12 centimètres, les jambes nues et blanches remontaient jusqu'au pubis complètement découvert, noir de poils. Le petit caraco blanc dégageait le nombril et sa finesse exposait les tétons du 100 de tour de poitrine. Lors de la première séance chez le voisin, elle n'avait pas de souliers et ne s'était pas regardée dans un miroir. Elle n'avait pas imaginé alors la violence de sa tenue.

Elle ne passa que la tête à la porte du séjour.

- Chéri! Veux-tu venir un instant?

Il siffla de surprise et d'admiration. Elle s'expliqua.

- Tu sais, tes copains, Philippe et Francis... ils ont voulu que je... que je sonne chez le voisin... Et... lui... il a voulu que je revienne comme ça! Dans cette tenue!... Tu te rends compte! Laisse-moi me couvrir et aller au n° 6 ou même au 8... Ils sont sûrement moins malades que ce type!

- Ca ne va pas! Tu veux nous fâcher avec le voisin! C'est lamentable! Tu reçois un seul et premier ordre de ce monsieur et tout ce que tu trouves à faire c'est me demander de ne pas obéir! Mais qu'as-tu donc appris, ma pauvre!

Il parlait fort, criait presque, sûrement pour que son invité entende. Elle se mit à regretter sa requête. Elle aurait du se douter de la colère de son maître, se douter qu'il lui aurait refusé toute facilité.

- File chercher du Perrier! Et tu me fais tous les appartements s'il le faut! En commençant par le 4!

Elle se retrouva seule dans la cuisine de l'appartement, seule avec son désarroi, seule avec ses peurs.

Après avoir écouté d'éventuels bruits sur le palier, elle ouvrit la porte du hall, passa une tête. Personne. Elle bloqua sa respiration et sonna chez le taré. Pas de réponse. Elle prêta l'oreille et, derrière la porte, entendit des personnes parler, des pas claquer. Puis

silence. Son cœur battait à tout rompre. Que dirait-elle si un autre voisin sortait! Elle sonna à nouveau. Rien ne bougea.

Elle se remémora son précédent passage lors duquel elle avait du tourner le dos à la porte pour présenter ses fesses. C'est donc ce qu'elle fit en espérant avoir bien supposé. « Ouais, gagné! » pensa-t-elle lorsque la serrure se fit entendre. Elle fit face.

Il était là, petit, gras, le sexe dans la main.

- Ma parole, c'est ma belle voisine... QUEL CUL! GROS CUL... Tourne-toi... T'es sacrément poilue de la chatte... Tourne encore!

- Parlez doucement... je vous en prie... si... si...

Une large main claqua les fesses fortement et bruyamment.

- Qu'est ce que tu veux, salope?

Elle refit face.

- Je... je voudrais du Perrier? Est-ce que vous en avez? Une bouteille s'il vous plaît.

Elle pria pour qu'elle n'ait pas à sonner aux autres portes.

- EST-CE QUE JE T'AI DIT DE TE RETOURNER?

Affolée par la voix puissante et résonnante, elle se tourna immédiatement.

- Je vais voir! Attends là!

Le salaud! Il la laissait sur le palier.

Soudain, elle entendit une clé dans la porte de l'appartement en face, au n° 8. Elle entra précipitamment chez le petit, gros voisin et referma. Des pas martelèrent l'escalier quelques instants.

- Qu'est ce que tu fous chez moi! Qui t'a dit d'entrer!... Bon, puisque tu y es, suis-moi!

Elle rejoignit le type et entra dans son séjour.

Ils étaient 3 autour de la table : une femme et deux hommes qui la fixèrent non sans surprise en admirant la belle, droite, rouge, silencieuse. Il la présenta comme « sa putain de salope de voisine toujours à poils ». Ils éclatèrent de rire. Il partit chercher la boisson.

Elle attendait, debout devant eux, les bras le long du corps, la tête basse. L'un des hommes claqua des doigts pour la faire venir à ses côtés. Sa main fila dans la touffe de poils noirs et aussitôt un doigt puis un second pénétrèrent son intimité.

- Elle mouille la garce!

Elle ne pouvait hélas pas contrôler ses sécrétions. Les situations humiliantes lui faisaient toujours cet effet même si elle ne les aimait pas. Son maître de mari l'avait bien compris. Le second se leva et vint se placer derrière la fille.

- Putain! Elle a un gros cul! Gros mais beau!

Il est vrai qu'elle avait des fesses vraiment bien rebondies. Hilare, il les tapotait pour les faire bouger, trembler, sauter. L'autre lâcha sa prise poilue, se leva et fit comme son collègue mais sur la poitrine.

- He! Jean, viens voir ça...

Jean, puisque tel était le nom de son dégoûtant voisin, arriva avec une bouteille de Perrier à la main. Il admira les seins et les fesses durement secoués de droite à gauche, de haut en bas au gré des claques.

- Laissez-moi! Arrêtez!... Puis-je avoir la bouteille?

- Ouais... tu peux... mais tu me ramènes la consigne dans 5 minutes exactement.

Elle put ainsi échapper aux mains vicieuses et courut jusqu'à la porte de l'appartement. Elle prêta l'oreille avant de sortir et rentrer chez elle.

Elle fila à la cuisine en vitesse. Son mari devait s'impatienter. Il fallait qu'elle vide la bouteille pour la rendre dans les 5 minutes. Elle trouva une carafe, en principe dédiée au vin, y versa le Perrier. Puis elle se couvrit d'un imperméable et alla servir monsieur RICHMOND. Elle s'excusa de son retard.

- Je dois encore m'absenter pour rendre la consigne! Notre voisin l'a exigé... Tu sais, mon Chéri, il est très spécial...

Elle espéra un instant qu'il la dispenserait de l'obligation. Mais hélas, il l'encouragea à retourner à ses turpitudes.

Et une seconde fois, elle se trouva devant la porte, en mini caraco blanc et souliers noirs, à attendre que Jean daigne l'ouvrir, ce qu'il fit qu'après qu'elle eut montré son cul à l'œilleton. La femme était partie, seuls les deux autres types étaient encore présents. Ils ne perdirent pas un instant pour la coller devant et derrière. Ils recommencèrent le jeu des claques sur les seins et les fesses. Jean se masturbait.

- Attend, dit l'un d'eux... J'ai une idée!... Recule-toi... Elle va sauter... sauter sur place... Allez salope, fait bouger tes loches et tes fesses... T'es molle! SAUTE... PLUS HAUT... PLUS VITE.... Ouais... ENCORE...

Jean éjacula droit devant lui avec un énorme juron. Un des deux appuya ses mains sur les épaules de la fille qui comprit qu'elle devait se mettre à genoux. Une longue bite arriva devant ses yeux, devant sa bouche, dans sa bouche. L'homme était beaucoup trop excité pour se contenir. Elle n'eut pas le temps de se retirer quand le liquide jaillit abondamment. Elle en

avala un peu et reçu le reste sur le visage. Alors elle prit conscience des doigts qui fouillaient sa chatte, vivement, en entrées et sorties, en frottant son clitoris en même temps.

Elle se maudit de ressentir un plaisir à ces attouchements. Déjà à genoux, elle dut plonger en avant en portant ses mains de chaque côté de

l'homme assis par terre devant elle. Elle dut enfourner en bouche la grosse bite présentée. Ses fesses, finalement plus hautes que son visage, n'en furent que plus exposées aux deux autres. Une cuisse passa sous son ventre tandis qu'un bras enserra sa taille par dessus. Elle était tenue dans un étau puissant.

- On va l'enculer... Je m'étais juré de l'enculer...

- Attend, répondit l'autre... Moi j'viens de cracher... Faut que je récupère!

- T'inquiète, pas besoin... File-moi la bouteille!

- Tu vas lui foutre dans le fion?

- Ben oui connard... C'est pas pour boire!

En entendant ces mots, elle se débattit pour essayer d'échapper à la presse des bras, mais en vain, ils étaient bien trop forts. Voyant Jean approcher le goulot de la bouteille, le type assis devant elle retira son membre de la bouche.

- Faudrait pas qu'elle me morde, la chienne!

Un bout froid vint se poser au bord de l'anneau. Elle se débattait encore.

- NON... PAS CA... ARRETEZ...

- Bâillonne-la... Elle va ameuter tout l'immeuble cette poufiasse!

Sa bouche fut bourrée d'un tissu et une main ferme vint la presser pour étouffer tout cri.

Le bout froid tourna sur lui-même, de gauche à droite puis inversement. Il se fraya un premier passage qui ouvrit le sphincter. Déjà les 3 premiers centimètres du goulot lui firent très mal. Elle n'eut pas le temps de s'habituer. La bouteille s'enfonçait.

- Qu'est-ce qu'elle est serrée! Jamais vu ça... Il doit pas l'enculer souvent son mec...

La douleur fut rapidement terrible. Elle avait l'impression qu'un énorme pieu la pénétrait. Elle sentait ses chairs étirées, et encore, et encore. L'homme assis devant elle en eut un orgasme et éjacula sur le visage en pleurs. Et puis, tout lui sembla flou et puis plus rien! Elle venait de s'évanouir.

- Merde, elle flanche la conasse! Arrête d'enfoncer... Faut la réveiller tout de suite...

- Ouais, répondit cyniquement Jean... Faudrait pas l'enculer et qu'elle sente rien!

- Va chercher de l'eau.

Lorsqu'elle ouvrit les yeux, elle se vit allongée sur le côté, libre de ses bras, une terrible douleur au cul. Elle n'osa pas bouger mais vit autour d'elle les trois individus. Jean prit la parole.

- T'es vraiment trop serrée du cul ma pauvre! Aussi, on t'a laissé ta bouteille... dans le cul bien sûr, histoire de t'habituer...

Ils éclatèrent de rire.

- Tu pourras la montrer à ton mec et lui dire que je vais m'occuper de toi dorénavant... Crois-moi, dans quelques temps, tu sauras la prendre sans te plaindre...

Elle ne pouvait pas resserrer son trou et même n'osait pas essayer de peur de réactiver la terrible douleur.

- Toi, dit-il à son compère, enlève lui son gode... Elle risque d'y prendre du plaisir!

Ils rirent à nouveau.

Il ne fut guère tendre pour retirer la bouteille mais prévoyant, il lui avait fermé la bouche d'une main ferme. Nul hors de l'appartement n'entendit son hurlement.

- Allez dégage maintenant... N'oublie pas de dire à ton mec que je vais m'occuper de ton cul... d'ailleurs, la prochaine fois que je te croise, tu me le montreras tout de suite! Compris?

Elle acquiesça, se releva très péniblement et s'en alla, non sans marcher avec difficultés.

Elle retraversa le palier de l'étage et rentra chez elle. Monsieur RICHMOND était parti. Son mari buvait un dernier whisky au salon.

- Mon chéri, ce qui vient de m'arriver est terrible... Je... J'ai été violée chez le voisin! Il faut déposer plainte... J'ai très mal! Ils étaient trois... Je ne pouvais rien faire pour leur échapper.

- Comment t'ont-ils prise? T'ont-ils prise par la chatte?

- Eh... non... dans la bouche et derrière... derrière avec... la bouteille de Perrier... Je suis peut-être blessée.

- Fais-moi voir.

Elle se pencha en avant pour lui monter l'anneau anal.

- Mais non, ça va, pas de blessure... Ton trou est un peu ouvert, c'est tout! Rien de bien méchant... Dans une heure ou deux, il n'y paraîtra même plus. Que de manières pour pas grand-chose!

- Mais tu es fou! Je te dis qu'ils m'ont fait très mal! Je me suis même évanouie...

Il se mit en colère.

- Tu n'as pas été prise dans la chatte et tu n'es pas blessée, alors cesse de pleurer, ça m'énerve. Crois-tu donc qu'être ma compagne soit un acte de pur plaisir? Jamais ça ne le sera. Je veux tes larmes, tes peurs, tes douleurs, surtout pas ton plaisir. Si tu n'es pas capable de me donner ça, tu peux partir, tu ne vaux rien pour moi. Tu mériterais que je te renvoie chez lui!

- Non, pitié, pas ça... Excuse-moi, je ne me plaindrai plus... Promis... Mais garde-moi à tes côtés... Je... je lui obéirai si tu veux, comme à Philippe et Francis. D'ailleurs c'est eux qui m'ont envoyée chez le voisin.

- Ils ont été bien inspirés, déclara-t-il un peu magistral

- Encore... le voisin a exigé que je te dise qu'il... qu'il allait s'occuper de... de mon cul... Je devrai lui montrer si le je rencontre...

- Et bien voila! C'est beaucoup mieux. Ca, j'aime. Donc, c'est réglé : tu lui obéiras comme aux deux autres et tu lui montreras ton cul si tu le rencontres, n'importe où, je dis bien n'importe où!... Maintenant, tourne-toi que je t'encule à mon tour.

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6 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a presque 6 ans
Wouaaaa

Wouaaaa c'est diabolique !

Rudy

AnonymousAnonymeil y a plus de 7 ans

Elle est bien sympa cette petite epouse...

CocuforeverCocuforeveril y a plus de 7 ans
Soumission et plaisir

Chouette récit. Oui soumission et plaisir, car comment expliquer cette totale obéissance? Bien écrit. Merci à l'auteur

chdecrivainchdecrivainil y a plus de 7 ansAuteur
Merci

Merci à ceux qui ont laissé un commentaire.

elkoelkoil y a plus de 7 ans

trop bon jusqu'ou va aller sa soumission ?

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