Contrainte 03 - Le Bistrot

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Les contraintes quotidiennes de la soumise.
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Le bistrot

Les premières expériences de Françoise avec son maître de mari n'avaient pas été faciles. Dès le début de leur relation, il avait posé le principe de la soumission féminine. " Tu décides de m'obéir ou tu pars, choisis. C'est un engagement sans retour, sans concession, sans facilité ".

Elle se souvenait tout particulièrement d'une séance dans un café de la ville.

Il faisait froid dehors, il faisait chaud dedans. A 10h du matin, seuls trois clients occupaient les lieux ; une jeune femme à une table près de la grande vitre et deux hommes au bar. Elle regardait évasivement la fumée de son café et écoutait un peu distraite les paroles de son mari. Ca ne l'intéressait pas trop mais elle faisait un effort.

Elle avait pris soin de relever sa jupe pour s'assoir comme elle en avait l'ordre permanent. Son mari, marqué par Histoire d'O, avait exigé qu'elle ne fût jamais assise sur ses jupes. Toutes les jupes ou robes, qu'elles fussent longues ou courtes, larges ou étroites, ne devaient jamais se trouver entre le siège et ses fesses. Ce n'était pas toujours facile, notamment dans les lieux publics où elle éprouvait toujours une grande gêne.

Ce jour là, elle portait une robe assez traditionnelle, beige, couvrant son cou et longue jusqu'en dessous des genoux. Mais, sous son apparente sagesse, la robe cachait une réelle difficulté. Certes, la robe était longue mais comme elle n'était pas très large, elle remontait haut sur les jambes.

Lorsqu'elle prit place en arrivant, son maître l'avait installée dos au bar. Les deux types qui y consommaient avait du voir ses poignets monter le tissu jusqu'aux reins et voir sa culotte noire. Maintenant, assise sur sa chaise, elle savait que les jarretelles noires, forcément visibles sur les côtés, devaient attirer les regards.

- Dis-moi, ma chérie, as-tu mis une culotte aujourd'hui?

- Eh... Oui... C'est-à-dire... Il fait froid... Je sais que tu n'aimes pas mais vu le temps... C'est vrai, j'ai oublié de te demander l'autorisation... Excuse-moi.

Visiblement mécontent de l'incident, il se leva et partit aux toilettes. Elle eut peur connaissant sa perversité pour la punir. Un homme entra et prit place un peu plus loin en face d'elle. Elle le vit porter un regard insistant sur ses jambes hautement découvertes.

Son mari revint à table, visiblement encore en colère.

- Excuse-moi, s'il te plaît. Je ne recommencerai plus, c'est promis.

- Tais-toi... Voici ta punition. BAISSE LES YEUX et écoute-moi bien!

Elle prit la position ordonnée non sans avoir vu l'homme en face scruter la situation plutôt étrange.

- Tu verras, aux toilettes, quand tu entres, il y a une petite fenêtre en hauteur juste en face de la porte... Tu t'y placeras en dessous.

Elle commençait à craindre le pire, ne comprenant pas encore où il voulait en arriver.

- Tu t'y placeras le nez collé au mur.

- Mais, ce n'est pas le lieu ici pour ça, répondit-elle... Si des gens arrivent, ils ne vont pas comprendre...

- TAIS-TOI! Tu remonteras ta robe dans le dos jusqu'à la cambrure des reins...

- Donne-moi une autre punition, s'il te plaît... Je ne peux pas faire ici... Si le patron vient, qu'est-ce que je vais dire?...

- Si le patron arrive, tu te débrouilles, je m'en fous. Une désobéissance pour la journée, c'est déjà trop! Alors n'en rajoute pas.

Elle se leva résignée en vérifiant que se robe était bien retombée dans son dos. Elle avait constaté qu'il n'y avait qu'une seule femme dans le bistrot, aussi le risque était-il limité. Mais il ajouta :

- J'oubliais : tu vas dans les toilettes HOMMES.

Elle ne put bouger pendant quelques instants, stupéfaite par le complément d'ordre. Elle n'eut pas le temps d'ajouter un mot : " FILE! ".

Les toilettes se trouvaient au fond du café, dans le prolongement du comptoir. Elle longea celui-ci, passa à côté de quatre tables inoccupées, arriva devant les deux portes des toilettes H et F. Elle laissa volontairement tomber son mouchoir et en le ramassant, s'assura que le patron ne la regardait pas. Comme il était occupé à discuter avec les deux types du bar, elle se précipita dans les toilettes hommes.

L'endroit était vieillot mais propre. Il formait un couloir avec, à gauche, trois urinoirs qui faisaient face à un lavabo, suivis de deux cabines. La fenêtre était bien en face de l'entrée.

Celui qui était assis devant elle se nommait Jean. Il l'avait suivie du regard et noté qu'elle s'était trompée de porte. Il avait vu qu'elle portait des bas ; il bandait ferme déjà car ces situations sont rarissimes. Il avait aussi noté que la fille semblait très perturbée, pâle, les poings serrés. Les seuls mots qu'il avait pu entendre étaient punition, reins, comprendront pas, toilettes.

Elle attendit quelques instants, toute ouïe pour savoir si quelqu'un l'avait suivie. Pas de bruit. Elle se lava les mains, une façon de repousser l'échéance. Finalement, disciplinée, elle se plaça sous la fenêtre, nez au mur. Sans même avoir relevé sa robe, elle se sentait déjà malséante dans cette position. Elle temporisa encore ; personne ne le saurait si elle n'obéissait pas. Mais, elle se décida à attraper la robe tous en bas et la tirer jusqu'aux creux des reins. Elle devait obéir, son mari vérifierait sûrement. La fraicheur de la pièce vint glacer les fesses peu protégées par la culotte.

Elle n'avait même pas demandé combien de temps elle devait rester dans cette situation. " Il viendra me chercher " pensa-t-elle. Nul ne peut imaginer, à moins de l'avoir vécu, comment chaque minute semble durer une heure dans ces conditions. Le regard détaille les moindres détails du mur, le cœur bat la chamade, les oreilles perçoivent chaque bruit.

Soudain, la porte s'ouvrit et il lui sembla que ce fut un coup de tonnerre.

Un sifflement donna immédiatement le ton.

- Oh, ma salope, t'aime bien montrer ton cul toi! Ton mec, il le sait que tu montres ton cul dans les chiottes?... Ouais, il est beau, un peu gros, j'aime bien...

Il empoigna les fesses brutalement avec ses deux mains, les malaxa, les pressa. Il baissa la culotte d'un seul mouvement des deux mains et continua à pétrir les fesses nues. Très vite, un doigt s'insinua entre les lèvres.

- T'es sèche ... vais améliorer ça...

Il se cracha dans la main, la porta sur le sexe poilue et entra cette fois deux doigts qu'il agita de haut en bas.

- Pas le temps d'attendre, dit-il.

Il retira ses doigts et appuya sur la tête de la fille jusqu'à la mettre à genoux. Elle se rendit compte qu'il s'agissait de l'homme assis en face d'elle dans le café. Il eut à peine le temps d'ouvrir son pantalon et sortir son sexe que le sperme gicla sur le visage de la victime. Entre deux mouvements, il força l'ouverture buccale et s'y poussa jusqu'au fond, pour terminer son soulagement.

Puis, il s'essuya sur les joues de la fille, ne dit pas un mot et quitta les toilettes.

Elle s'empressa de remonter sa culotte, de s'essuyer le visage avec la serviette du lavabo ainsi que sa robe qui restait tâchée au col. Elle n'eut pas le courage de reprendre sa position bien qu'elle n'avait pas l'ordre de la quitter. Elle ouvrit la porte, le cœur encore battant de son aventure.

- Mais que faites-vous là, demanda le patron?... Il y a des toilettes pour les femmes...

- Oh, excusez-moi, répondit-elle en faisant semblant de découvrir la seconde porte, je ne l'avais pas vue.

Voila qui ajoutait encore à sa honte mais que ne ferait-elle pas pour mériter l'estime de son maître.

Elle ne le trouva pas à la table. Il avait déposé un petit mot " Je suis parti faire quelques achats. Attends-moi ici. ". Elle en fut très déconcertée. L'avait-il laissée seule à sa punition? Ne s'en était-il pas inquiété? D'un coup d'œil rapide, elle constata que l'homme des toilettes avait repris sa place quelques table en face de la sienne. Il la regardait, un sourire narquois sur la face.

Comme elle était seule, elle ne releva pas sa robe pour s'assoir. " Je le ferai lorsqu'il arrivera ", pensa-t-elle. Elle garda les yeux bas, tant pour ne pas voir l'homme devant dont elle sentait le regard persistant et moqueur que pour respecter les ordres de son maître.

Son portable émit le bip caractéristique des messages reçus. Elle ne connaissait pas le numéro. Elle lut : " Ecarte les fesses, salope ". Inquiète, sans suivre les directives, elle rangea son appareil dans son sac à main. Qui pouvait bien lui envoyer un tel message! Au bip suivant, tourmentée, elle laissa l'appareil dans son sac, les yeux rivés sur son verre.

Au troisième message, elle s'obligea à consulter sa messagerie.

1er message " T'ai dit d'écarter salope. Tu ne sais pas lire? "

2ième message " Ton mec m'a donné ton numéro alors tu dois m'obéir. Ecarte les fesses pour me montrer que tu es d'accord, sinon, je le préviens tout de suite."

Que faire? Devait-elle obéir? Partir? L'homme ne pouvait avoir son numéro que si son maître le lui avait effectivement donné? Il voulait donc lui faire subir cette soumission. C'était bien dans son style très vicieux.

Elle écarta les jambes et aussitôt un nouveau message arriva : " Bien. Enlève ta culotte sur place. Laisse-la sur la table. Ecarte encore plus tes jambes ".

Elle se maudit de l'avoir remise aux toilettes car ce n'était pas chose aisée que de l'ôter publiquement dans le café. Elle sentait plus qu'elle n'entendait les trois types du bar discuter dans son dos et l'autre en face probablement rivé sur son entrejambe. Elle glissa sa main droite sur le côté de la robe et remonta le vêtement jusqu'à ce que sa main arrive au sous-vêtement. Elle dut décoller ses fesses de la chaise pour que le tissu glisse sous les cuisses. Puis, elle fit de même de l'autre côté. Maintenant, la robe ne couvrait plus les bas et laissait un filet de peau blanche trancher la couleur noire des bas. Elle réussit enfin en quelques contorsions à amener la culotte au niveau des genoux puis, rapidement, la descendit jusqu'aux chevilles et la prit en main.

Elle était rouge de confusion, de honte. A coup sûr, les hommes au bar avait vu son manège! Que dirait-elle au patron s'il l'interpelait? Elle descendit sa robe bien impudique et n'omit pas d'écarter les genoux, un peu plus qu'auparavant.

Et un nouveau message arriva : " Avons tous bien apprécié, beau cul. Désormais, nous t'appellerons Beau Cul. Commande un cocktail de fruits, Beau Cul. Mais ton cul sur la chaise, pas sur ta jupe. ".

Elle se prit le visage entre les mains comme pour masquer la réalité de l'instant, poussa un long soupir de colère contre son maître et contre elle-même si obéissante. Elle dégagea la robe d'entre ses fesses et la chaise, s'avança au bord de celle-ci pour cacher ses jambes sous la table. Elle se retourna vers le bar et héla le serveur. Il s'approcha une première fois pour prendre la commande. Elle vit son regard surpris par la culotte posée devant elle mais il ne dit mot. Il revint quelques minutes plus tard et cette fois, plongea son regard sur les jambes en déposant le verre.

Le message suivant arriva, plus terrible que les précédents : " Beau Cul, va donc reprendre ta place dans les chiottes des mecs - tout de suite ".

En rage, elle tapa rapidement trois lettres sur son portable : " NON ".

La réponse ne se fit pas attendre : " T'as intérêt à obéir tout de suite, Beau Cul - Sinon ton mec sera pas content - File tout de suite dans les chiottes - j'arrive ".

Toujours tête basse sur ton téléphone, elle tenta la gentillesse : " Svp monsieur pas ça ".

Et de lire : " Obéis - Fous le camp dans les chiottes ".

Elle se résigna, vaincue tant par les ordres que par son incapacité à refuser ; quelque chose en elle qui la révulse et pourtant l'attire. Elle se leva, s'approcha des portes Hommes et Femme des toilettes en passant entre les quatre tables à sa gauche et le bar à sa droite. Elle constata que le patron n'était plus derrière son comptoir et les deux autres hommes discutaient sans lui prêter attention. Elle se glissa rapidement dans les toilettes hommes et se retrouva à compter les défauts du mur, les fesses bien présentées.

A nouveau, le coup de tonnerre de la porte la fit sursauter. Des pas s'approchèrent, une main puissante emprisonna ses poignets dans le dos tandis qu'une autre faisait tomber la robe pour couvrir les fesses. Elle espéra un instant qu'on lui épargnerait l'exposition honteuse et anachronique de son postérieur mais des bruits de ciseaux anéantirent son espoir. Elle comprit immédiatement qu'on découpait la robe!

Il était fier de son intuition lorsqu'il avait remarqué la colère du mari et suivi la fille aux toilettes. Il en avait tout de suite profité auprès de l'homme : " Si vous voulez, je complète votre punition. Donnez moi son téléphone et revenez dans 1 heure ".

- Pitié monsieur, arrêtez... Je n'ai pas de veste... Je ne peux pas sortir comme ça...

- TA GUEULE! Rien à foutre... Tu vas le montrer ton cul, fais-moi confiance... Salope...

Il avait commencé par le côté droit, du bas jusqu'à la hanche. Maintenant, il coupait en travers, au creux des reins. Il bandait comme un fou à l'idée de la voir se balader fesses nues. Sans lâcher les poignets, il entreprit le côté gauche de la robe, les ciseaux remontèrent jusqu'à la coupe transversale ; un rectangle d'étoffe tomba au sol.

Une grande claque vint clôturer la séance. Il s'empara de la coupe de tissu.

- Attends deux minutes et repars à ta place, beau cul.

Elle était effondrée. Jamais son amant ne l'avait tenue à telle exhibition. Comment allaient régir les gens du café? Lorsqu'elle ouvrit la porte, elle trouva le barman à sa gauche derrière son comptoir et un couple installé devant lui à une table. Soit elle montrait son cul au premier, soit elle montrait son cul aux seconds. Elle choisit les seconds en plaçant quand même les mains en cache de son impudeur. Elle s'avança vers sa place en longeant le bar. Tant bien que mal, elle tenta de ne pas tourner le dos aux deux buveurs ainsi qu'au patron.

Mais arrivée au bout du bar, elle n'avait guère le choix pour rejoindre sa place : soit elle marchait à reculons jusque la table mais alors toute la salle en profitait, soit elle tournait le dos au bar. Elle choisit cette seconde solution et les trois hommes, non sans surprise, ne manquèrent pas de constater la jupe coupée et les fesses découvertes.

Elle reprit sa place assise, rouge de honte, furieuse. Du coin de l'œil, elle remarqua que son tortionnaire avait une mine particulièrement réjouie.

Le patron arriva furieux.

- Toi la pute, va faire ton travail ailleurs! C'est pas un bordel ici. Tu pourrais faire attention, salope! Allez, dégage... Incroyable...

Et le tourmenteur d'ajouter :

- Je m'en occupe, ne vous inquiétez pas. J'avais vu son manège. Elles viennent jusqu'ici pour trouver des clients, c'est honteux.

Il prit le bras de la pauvre humiliée et la tira hors de son siège protecteur. Elle ne put que se laisser emmener dehors, les fesses si peu couvertes par une seule main libre.

Son mari l'attendait devant le café.

- La prochaine fois, tu obéras sans rechigner. File à la voiture, j'arrive.

Elle parcourut quelques mètres pour se cacher dans le véhicule tandis que son mari donnait un billet à l'homme pour le remercier du service.

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5 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a presque 6 ans
excellent

toujours aussi bon

une certaine virtuosité dans l'exhib humiliante

AnonymousAnonymeil y a presque 6 ans
Ouiiii

Excellent chapitre !

Rudy

AnonymousAnonymeil y a plus de 7 ans

Excellent !!

AnonymousAnonymeil y a plus de 7 ans
Simplement

Excellent !

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