Contrainte 04 - La Carotte Nantaise

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Les contraintes quotidiennes de la soumise.
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La carotte nantaise

En plus de son maître, Françoise vivait maintenant sous le joug de trois dominateurs : Philippe, Francis et Jean son voisin, qui l'avait sodomisée avec une bouteille de Perrier.

Le troisième était le pire de tous : brutal, vulgaire, sale, sans pitié. Il ne connaissait pas le milieu SM et ses règles d'attention à l'autre, il ne connaissait que son désir sadique. Désormais, à chaque fois qu'elle sortait ou entrait dans son appartement, elle prenait garde de ne pas le rencontrer sur le palier. De plus, elle ne prenait plus l'ascenseur pour ne pas se trouver nez à nez avec l'individu. C'était une angoisse quotidienne cat il avait ordonné qu'elle lui montrât son cul à chaque fois qu'elle le croiserait, quelque soit le lieu.

Jean avait bien remarqué que plus jamais il n'arrivait à croiser sa jolie voisine, alors qu'avant la séance de la bouteille, il la voyait de temps en temps. Même s'il n'était pas spécialement intelligent, il se doutait bien que la belle s'organisait pour lui échapper. Il aurait pu aller chez elle sous un prétexte quelconque mais il ne savait pas si le mari avait été averti de ses desseins : « j'élargirai le cul de cette salope... Elle va le montrer, son gros cul partout! ».

Soudain, il se souvint qu'elle remontait souvent à son appartement avec un sac de courses faites à la supérette du quartier. En effet, faute de grande surface proche, beaucoup allaient fréquemment chez celui que l'on appelle couramment « l'arabe du coin ». Et par chance, l'arabe du coin, il le connaissait bien.

- Allo? Rachid? Ouais, c'est Jean... Tu vas bien?... J'ai un service à te demander... Dans tes clientes, tu as une brune qui doit venir régulièrement. Elle a des gros nichons et un gros cul. Non, elle n'est pas grosse mais c'est une belle paire de loches et un cul d'enfer!... Ouais, c'est ça... Pas très grande... Une robe rouge? Oui, il me semble... Souvent, elle met un collier noir, ras du cou... Ah, tu vois qui c'est? Génial...

Il se caressa l'entrejambe en pensant à la fille.

- Ce que je lui veux?... Oh, juste l'élargir... Lui trouer le cul... Lui défoncer l'oignon... Tu vois ce que je veux dire... Elle m'énerve... C'est à peine si elle me disait bonjour, cette garce. Y a pas longtemps, je l'ai coincée et défoncée!

Il éclata de rire.

- Bon écoute bien, voici ce qu'on va faire...

Il exposa son plan à Rachid.

Il était 19h. Le noir de la nuit n'était pas encore tombé en ce début septembre. Rachid la vit entrer dans le magasin derrière un couple plutôt âgé. Il l'avait déjà remarquée à force de la voir venir faire ses achats. Il la salua. Il n'était pas encore certain qu'elle était la cible de Jean. Il constata qu'elle était effectivement bien foutue. Comme elle portait un petit blouson court, ses fesses bombaient diablement une jupe écossaise rouge évasée. Ses jambes bien galbées, gainées de noir, se terminaient sur des souliers aux talons moyens. Le blouson ne fermait pas le haut et laissait ainsi déformer le pull blanc par deux magnifiques seins, probablement un bon 100 de tour. Il se mit à bander durement.

On l'avait laissée tranquille depuis deux semaines. Elle se sentait joyeuse, relativement décontractée, même si en permanence elle vivait l'angoisse de quelque tourment des ses maîtres. Elle prit un panier.

- Bonsoir madame, voici nos promotions de la semaine... Profitez-en... Des promotions aux fruits et légumes... Des promotions au rayon des liquides... Du Perrier, Madame... Ca vaut le coup.

Rachid déposa lui-même un encart publicitaire, un feuillet plus haut que large, plié en son centre comme un petit cahier. Tout à fait surprise, elle le remercia car jamais l'arabe ne mettait des produits en promotion mais le mot PERRIER lui donna un frisson d'horreur au souvenir de la séance chez Jean. Elle entama ses achats avec un malaise naissant.

Le petit magasin comptait 3 allées séparées par des rayons. C'était un foutoir à la propreté douteuse. Il est certain que de vieux produits restaient présentés, des produits parfois périmés ou certainement « tombés du camion ».

Rachid avait repris son rôle derrière son comptoir mais aussi derrière son écran de contrôle des caméras. Dès l'arrivée de Françoise, il avait enclenché le bouton ENREGISTREMENT du magnétophone comme le lui avait demandé Jean. Son comptoir donnait sur l'allée de gauche et elle avait emprunté l'allée de droite mais grâce à son matériel, il pouvait la surveiller.

Pour pouvoir déposer une boite de haricots verts dans le panier, elle en retira le tract publicitaire et pour son malheur ouvrit le feuillet. Voici ce qu'elle lut, rédigé manuellement.

Te voila enfin ma grosse pute de voisine

Tu pensais pouvoir m'échapper, tu planquais ton gros cul

Tu aurais du venir voir tonton Jean et te faire élargir!

T'as eu tors de te tirer, maintenant tu vas payer! CHER!

Garde ton panier avec mes ordres visibles dedans

Mets-toi immédiatement le MAJEUR DANS LE CUL, bien profond

Après ça, tu cherches la suite de tes ordres sous une boite de couscous

INTERDICTION D'OTER TON DOIGT DU CUL

Lève ton museau vers le haut du rayon et tu verras la caméra

Y en d'autres dans le magasin. On enregistre tout. On contrôle tout

Alors t'as intérêt à bien obéir sinon ce sera pire encore ... comme jamais t'as vécu

Suis sûr que Rachid est en train de bander comme un âne

Elle se mit à trembler, un incontrôlable et quasi perceptible tremblement de tout le corps. Elle dut se tenir au rayon ; ses jambes allaient se dérober. Un client assez corpulent et chauve qui venait d'arriver s'inquiéta de sa pâleur et lui proposa son aide. Elle déclina. Il s'éloigna dans le rayon.

Rachid la regardait avec attention, souriait. Elle se pencha légèrement en avant et passa sa main droite sous sa jupe, derrière elle. Il constata qu'elle portait des bas. Il comprit qu'elle obéissait à Jean et se mettait un doigt dans l'anus. Il éclata de rire. Le couple qui s'approchait de la caisse s'étonna de cet éclat.

Celui qui avait voulu l'aider nota immédiatement la bizarre démarche de Françoise qui s'avançait alors vers lui. Les épaules, quelque peu tirées en arrière pour garder le doigt, faisaient saillir la poitrine. Le bras droit emmenait le tissu de la jupe en le remontant. Il fit semblant de consulter un article pour garder l'œil sur la pauvresse.

Le couscous était à quelques pas. Toutes les boites se trouvaient sur l'étagère du bas. Il devait bien y en avoir une trentaine! Elle s'accroupit de trois quart face au type pour tenter de se cacher et commença à bouger boites, une par une avec sa main gauche, pour trouver les ordres sous l'une d'elles. Le chauve nota qu'elle portait des bas mais resta intrigué par la main visiblement sous les fesses. Il entreprit de revenir derrière elle mais en passant par l'allée centrale pour qu'elle ne s'en aperçoive pas. Il pressa le pas.

Gagné! Il pouvait nettement voir la main se courber sous les fesses accroupies! Il faillit lâcher la purée dans son pantalon tant la surprise était grande et faillit encore lorsqu'elle se redressa en lui tournant le dos, après avoir trouvé un papier sous une boite du fond, en manquant de tomber de déséquilibre.

Tu as trouvé ma pute, c'est bien, tu mérites une gâterie... au chocolat

Retire ton doigt de ton trou et SUCE-LE, face caméra, puis remets-le bien profond

La suite des ordres se trouve dans une boite d'allumettes, en haut des laitues

Rachid ne décolla pas les yeux de son écran lorsqu'il vit le doigt entrer et sortir plusieurs fois de la bouche. « J'espère pour elle qu'elle avait le cul propre », pensa-t-il. L'autre, toujours derrière elle, la vit repasser sa main droite sous la jupe et pousser un doigt dans l'anus.

Après cette dégoutante obligation qui lui laissa évidemment un sale goût dans la bouche, effarée par la perversité de Jean, elle se rendit aux rayons des fruits et légumes au bout de l'allée de gauche, celle de la caisse. Le chauve suivait, elle le devinait.

Le meuble présentoir dédié uniquement aux salades n'était rien d'autre qu'une table posée contre un miroir pour donner un effet de profondeur. Elle était couverte de laitues, de scaroles et autres feuilles de chêne bien luisantes Elle n'était pas large mais assez profonde, de façon à pouvoir donner l'impression d'une grande quantité avec juste quelques articles. Pas si bête Rachid même s'il n'avait pas étudié dans une école de commerce.

Elle ragea silencieusement lorsqu'elle fut devant l'étal. Elle avait bien vu la boite d'allumettes mais elle ne pouvait arriver « en haut des laitues » sans se pencher complètement en avant pour l'atteindre avec sa main gauche. Elle attendit quelques secondes, le cœur battant à tout rompre, consciente du type derrière elle qui ne devait pas en manquer une miette. Et puis elle entendit parler et même rire. Il n'était plus seul! Elle n'osa pas se retourner. A quoi bon en savoir plus! Elle devait obéir, son maître l'avait exigé ; elle devait être à la hauteur de ses désirs même si à cet instant précis elle le trouvait monstrueux de l'abandonner ainsi aux jeux vicieux d'un malade.

Le sol était très humide. Elle devait prendre garde à ne pas glisser et tomber. « Il pourrait essuyer quand même! », pensa-t-elle en un réflexe de bonne maîtresse de maison. Elle plongea le buste et la main gauche pour trouver la maudite boite.

Cette fois, le chauve éjacula dans son pantalon. Impossible de se retenir devant un cul parfaitement nu et transpercé d'un doigt! Ses deux voisins gardèrent la bouche entièrement ouverte de surprise. Rachid, qui avait choisi la bonne caméra, jura un « putain ».

Ce fut au moment où sa main atteignait la dernière rangée de laitues que la surprise la saisit à la poitrine. Les salades étaient trempées d'une humidité qui imbiba aussitôt son pull. Elle comprit pourquoi le sol était tellement mouillé ; Rachid avec arrosé les salades avec une vicieuse générosité. Par reflexe, elle se redressa, mais elle n'avait pas le choix, elle devait continuer, aller jusqu'au bout. Avec son doigt de la main droite toujours dans le fondement, elle replongea en avant et rapidement trouva la boite avec sa main gauche.

Rachid, qui utilisait une caméra de face, fut émerveillé par les tétons jaillissants à cause du froid. Le pire, en cette circonstance, était qu'elle avait d'incroyables bouts de seins, gros et longs. Elle n'avait pas mis de soutien-gorge, elle en mettait rarement. Les trois voyeurs profitèrent du miroir de la table pour constater que le pull était devenu totalement transparent et collant.

- Putain! qu'est-ce qu'elle dégage comme nichons! C'est au moins du 100 et je m'y connais! Oh la garce! Elle a toujours son doigt dans le cul! Elle nous allume la salope! Je vais me la faire!... Attends... Voyons la suite... On a le temps...

Elle ouvrit la boite d'allumettes et déposa le papier blanc des ordres dans le panier.

Bravo, tu as trouvé la boite.

Tu mérites un nouveau délice chocolaté, nettoie ton doigt dans ta bouche.

Laisse ton panier sur place, tes admirateurs y liront tes obligations

Et ton numéro de téléphone...

Maintenant, avec tes deux mains, tiens-toi la jupe remontée dans le dos

Et va chercher la suite des ordres à Rachid.

Tu t'adresses à lui avec déférence

Tu y vas EN COURANT!

Allez ma grosse, fais nous balloter tes miches et ton cul bien dodu!

Elle ne douta pas un instant que le sadique laisserait son téléphone écrit sur le bout de papier et cela l'inquiéta plus encore que sa situation actuelle. Dans le miroir de l'étalage des fruits et légumes, elle vit les trois voyeurs en attente. Au bout de l'allée, devant elle, le gérant attendait aussi. Elle déposa son panier à terre, monta la jupe jusqu'aux reins, « Heureusement qu'elle est large, ça reste caché devant » pensa-t-elle et elle partit en accélérant sur ses hauts talons.

Rachid, toujours à la caisse, vit deux masses d'une centaine de centimètres arriver vers lui avec un incroyable balancement, totalement obscène. Non que sa poitrine fut molle ou relâchée mais en raison de sa taille, elle ballotait de gauche à droite et de haut en bas. Il avait pris soin de fermer le magasin. La perversité de Jean devenait trop grande pour d'éventuels clients, d'autant plus qu'il connaissait la suite des événements.

- Monsieur... Rachid, commença-t-elle essoufflée et rouge de honte,... vous... vous avez des... ordres pour moi?

- Répète, j'ai pas bien entendu!

- Eh... Maître Rachid... S'il vous plaît... Avez-vous des ordres pour moi?

- Ouais, c'est mieux... Tu retournes en courant au rayon des légumes... Tu verras, y a une carotte réservée pour toi... Elle a un petit nœud blanc comme repère... Prends-la et reviens ici... toujours en courant... T'as compris?

- Oui... Maître

- Plus fort!!

- OUI MAITRE

C'était très difficile, très humiliant de dire « maître », elle devait avaler sa salive pour prononcer ce mot. Une nouvelle fois, elle fut surprise de constater avec quelle vitesse les dominants tutoient leur victime. Elle repartit, en courant encore, offrant cette fois à Rachid ses globes fessiers tressauter et aux trois autres ses gros seins sous le pull transparent.

Au rayon, elle trouva effectivement une carotte entourée d'un ruban blanc. C'était une belle, grosse carotte encore assortie de ses longues branches vertes. En maîtresse de maison, elle savait qu'il s'agissait d'une carotte nantaise, cette variété à racine longue, cylindrique, peu élargie du collet, à bout arrondi. Elle refit le chemin vers la caisse, encore plus ridicule avec la carotte dans la main. Ses tétons devenaient douloureux car tendus et durcis, ils se frottaient au pull humide. Rachid, cette fois, attendait devant sa caisse. Il avait baissé son pantalon et arborait un sexe imposant et à l'évidence prêt à l'emploi.

- Suce, ordonna-t-il... Et les autres, approchez... Ouais...

Elle se pencha sur l'objet pour le prendre en bouche tandis que ses mains tenaient toujours la jupe et la carotte dans son dos. Rachid était malodorant de sa queue, très humide et coulante à force de durcir dans le pantalon. Il donnait ses ordres.

- Tenez-lui les bras... Bien... Y en a qui veulent l'enculer?... Tous!!... Ok, allez-y...

Le premier fut le plus douloureux car son anneau n'était évidemment pas préparé. Pour les deux autres, elle eut moins mal. Mais quand même, par trois fois, elle eut cette terrible impression d'être déchirée, ouverte en deux par un objet étranger. Elle faillit même mordre Rachid. Aucun ne tint longtemps car ils étaient déjà particulièrement échauffés depuis son arrivée.

- Bon, les mecs... Maintenant, y en a un qui lui fout la carotte dans le cul... Va-y-toi... Suce à fond... Encore...

Rachid s'épancha en même temps que la carotte pénétra. Il maintint la tête en place ; elle dut tout avaler.

Après s'être rhabillé, Rachid ouvrit la porte aux trois violeurs qui filèrent immédiatement. Bêtement, elle se demanda comment ils expliqueraient à leurs épouses l'absence d'achats!

- Toi, tu te casses tout de suite... Tu gardes ta carotte dans le cul et tu te présentes à Jean avec ce DVD... T'as vraiment pas de temps à perdre... Il t'a donné 5 minutes pour arriver chez lui... Je le préviens que tu pars maintenant... Encore un détail : si tu reviens faire tes achats ici, je ne veux pas que tu aies des sous-vêtements, ni bas, ni culotte, ni soutien-gorge. Fous le camp maintenant!

Elle fut prise de panique! 5 minutes pour arriver chez Jean! Elle devait courir. Dehors, seulement deux ou trois personnes. Elle se lança sur le trottoir en décidant d'ignorer le monde, de penser qu'il n'existe pas, qu'elle était invisible. Une main tenait et cachait ses seins, l'autre tenait la carotte en appuyant la jupe dessus. Un œil attentif ne pouvait toutefois ignorer la monstruosité de la situation.

Elle arriva à son palier, commun avec l'appartement de Jean, complètement essoufflée de sa course et de la montée au 3ième par l'escalier. Par chance, elle n'avait rencontré personne de ses connaissances. Elle sonna à la porte du sadique et attendit. Pas un mouvement, pas un bruit. Pourtant, il devait bien être chez lui! Et puis elle se souvint de son ordre : « tu me le montreras tout de suite ». Alors, elle tourna le dos à la porte et remonta la jupe aux reins.

Jean apprécia le spectacle. « Elle a un cul comme DRUUNA », pensa-t-il, cette héroïne de bande dessinée aux formes généreuses. Le feuillu de la carotte pendait d'une trentaine de centimètres, excroissance anachronique qui devenait très irritante car les chairs s'étaient séchées et serrées dessus. Il finit par la faire entrer.

- Alors pute de mes deux, t'as apprécié? T'as été élargie? Ouais? Combien de fois?... Répond!

- Eh... trois fois monsieur et... la carotte...

- Bien : Donne-moi le DVD. Fous ta gueule devant mon canapé... A quatre pattes!

Il prit place dans son canapé, la télécommande à portée de main droite, une bière à portée de main gauche. Il déboutonna son pantalon et dégagea un sexe qui semblait petit par rapport à sa corpulence mais qui intrinsèquement était plutôt gros. Elle s'en rendit compte lorsqu'elle le prit dans la bouche.

- Bon... On va regarder tes exploits maintenant... J'espère que t'as bien obéi sinon...

Il enfonça la tête soumise plus loin entre ses jambes et enclencha le lecteur.

Il prit tout son temps et toute la bouche de la victime pour regarder l'enregistrement de Rachid. Il se lâcha par deux fois, d'abord lorsqu'il la vit courir dans l'allée, puis lorsqu'il la vit sodomisée par la carotte. Jamais elle ne put retirer sa bouche et du ingurgiter une grande quantité de sperme.

Elle se releva enfin avec la carotte toujours en place, de plus en plus inopportune.

- T'as vu ce qu'il en coûte de me fuir? T'as compris la leçon? Casse-toi maintenant.

Lorsque, le soir même, elle raconta sa mésaventure à son mari, il vérifia immédiatement l'état du trou du cul. Il le trouvant légèrement rouge, un peu contusionné mais somme toute, en bon état. Il appréciait qu'il restât serré, même trop serré, histoire de ne point s'habituer à l'intromission. Cyniquement, il lui ordonna de préparer le repas en commençant par une salade... de carottes.

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Anonymous
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3 Commentaires
Genco22000Genco22000il y a 8 mois

Bien sympathique cette visite chez "L'arabe" !

AnonymousAnonymeil y a presque 6 ans
escellent

j'aime ce genre de situation dégradante en fantasmagorie

encore

trouchardtrouchardil y a plus de 7 ans

Tout cela ferait un bon scénario pour un film. Merci et continue :)

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