De la Chimie des Corps Ch. 02

Informations sur Récit
La Nouvelle Vie de Walter le Chimiste Ch2.
8k mots
4.78
22.5k
2

Partie 2 de la série de 10 pièces

Actualisé 04/29/2021
Créé 01/17/2015
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Chapitre 2 : la Directrice

Walter terminait son jogging matinal . Il parvenait maintenant à couvrir les dix kilomètres qui séparaient l'appartement de Niki du gymnase largement en moins d'une heure mais surtout il arrivait presqu'en bon état au terme de sa course. En comparant avec son état d'épuisement deux mois auparavant, il n'était pas peu fier de ses progrès.

Au départ, il avait voulu protéger la réputation de sa directrice de Soumise en évitant qu'on les voie arriver ensemble et il s'était rappelé ses bonnes résolutions quant à sa condition physique. Les dix kilomètres étaient donc devenu un défi et il s'était senti aussi fier que Rocky le jour où il avait pour la première fois franchi les portes du gymnase en deçà des soixante minutes.

Arrivé dans les vestiaires, il se déshabilla et contempla son apparence physique d'un œil critique. Bien qu'il ait perdu dix kilos, il avait encore un peu de ventre et ses biceps n'avaient pas pris autant de volume que son entraînement forcené du midi aurait pu lui laisser espérer. Mais les progrès étaient visibles. Encore quelques semaines et il aurait retrouvé un corps à la hauteur de ses ambitions.

Et il avait grandement besoin d'une condition physique d'athlète! Depuis le fameux soir où il avait dormi pour la première fois chez Niki, sa merveilleuse Soumise, il avait fait l'amour au moins deux fois par jour et même jusqu'à quatre ou cinq fois. Il y avait la fellation matinale de Carine, une ou deux baises rapides avec l'une ou l'autre des membres du club des lesbiennes et il honorait au moins une fois par soirée Soumise qui restait de loin sa préférée.

Son cocktail, le 'pot lillois' comme il l'appelait lui permettait de faire face à toutes ses envies mais malgré cela, il lui arrivait régulièrement de refuser de jouir avec ses autres maîtresses pour se réserver pour Niki. Ce qui semblait d'ailleurs la stimuler car elle prenait un soin extrême à lui essorer les couilles lorsqu'elle se rendait compte qu'il n'avait pas joui de la journée. Maintenant qu'ils vivaient ensemble, il lui arrivait d'oublier à quel point la potion avait changé son caractère. L'autoritaire acariâtre avait laissé la place à une femme charmante . Même son lesbianisme semblait être passé aux oubliettes. S'il n'y avait eu le secret de leur relation, ils auraient pu passer pour un couple idéal . Ils étaient tous deux intelligents et cultivés. Elle l'incitait à se montrer plus ouvert au monde extérieur et il la rendait plus chaleureuse.

Il regarda sa montre : 08 :55 . Il avait juste le temps d'arriver au labo pour ce qu'il appelait sa « conférence matinale » . Comme d'habitude, il s'était débarrassé de sa transpiration à l'aide de lingettes et il les plaça dans un sac hermétique avant de se rhabiller et de prendre le chemin de son antre.

Carine et Francine l'attendaient en compagnie de Niki. Il sourit à cette dernière et alla s'assoir à son bureau en attendant le rapport des deux premières. Soumise servit deux tasses de thé à ses amies et une à Walter .Elle préférait boire le sien au réveil à l'appartement.

Il ne devait maintenant plus vérifier si elle avait bien mis les doses appropriées dans chaque tasse, elle semblait trouver cela naturel. Il dégusta la sienne, décelant l'arôme particulier de ses produits dopants. Parfait. Il avait justement envie de s'amuser avec Francine aujourd'hui.

C'était la seconde des ex-amantes de Niki qu'il avait subjuguées après Carine. Elle avait été en fait la première amante de Niki chronologiquement. C'était la plus âgée et sans doute la plus belle. C'était aussi la seule à s'être mariée avec un homme après leur rupture même si elle gardait un goût prononcé pour les femmes. Il avait pris grand plaisir à se faire sucer et à la sodomiser avant de la livrer à Fatima. C'était l'étape de sa vengeance qu'il préférait. Voir ces fringantes universitaires se faire chevaucher par la grosse technicienne de surface et jouir à son contact était un plaisir de fin gourmet. Mais il avait mis fin à ses relations avec Fatima après qu'elle se fut régalé avec le quatuor de lesbiennes. Il lui avait suffit de lui donner du thé normal pour qu'elle perde son intérêt pour le sexe. Elle avait même fini par ne plus venir au labo. Un problème de moins.

« Alors Francine, qu'a donné le test d'hier soir? » « Echec sur toute la ligne patron. Le nouveau vaporisateur n'a rien donné. »

Francine était chargée des tests à l'insu du plein gré de son mari dont l'équipement sportif imbibé de sa transpiration avait permis de fabriquer pour la première fois des échantillons destinés à un autre mâle. Lors du premier essai, une dose dans du thé avait permis à Paul de réaliser un vieux fantasme en se retrouvant au lit avec sa femme et la meilleure amie de celle-ci.

« J'ai attendu qu'ils aient bu leur thé » avait-elle raconté le lendemain « et je me suis éclipsée à la toilette. Je suis restée absente dix minutes et quand je suis revenue, Emilie était à genoux devant Paul et le suçait comme si sa vie en dépendait. Il s'attendait certainement à ce que je hurle mais au lieu de cela, je les ai emmenés dans la chambre à coucher et je l'ai laissé baiser Emilie en premier lieu. Puis je me suis offert un délicieux 69 avec elle. Ensuite on a sucé Paul à tour de rôle et il l'a prise en levrette pendant qu'elle me léchait. Comme j'ai joui la première, on a échangé et j' ai fait jouir mon amie pendant que mon mari me baisait comme un sauvage. Heureusement qu'il me reste de la potion pour d'autres visiteuses! »

« Encore un échec avec le vapo » commenta Walter. « Francine, ouvre ta blouse et viens me sucer. Nicole, prépare Petite Garce, elle connait sa punition en cas d'échec de ses gadgets! »

Francine ouvrit sa blouse, montrant à Walter qu'elle ne portait rien en-dessous, il joua un peu avec ses petits seins pointus avant de la faire s'agenouiller. Il extirpa sa verge déjà tendue hors de son pantalon de jogging et laissa la jeune femme s'en emparer et la sucer avec une dextérité hors pair. Il avait interrogé Niki sur toutes ses ex-amantes et elle lui avait confié que Francine avait de loin la langue la plus experte « C'est la seule qui pouvait me faire partir rien qu'avec sa langue ; les autres avaient besoin d'y ajouter leurs doigts mais la langue de Francine, c'est extraordinaire! »

Walter était bien d'accord avec elle, il avait l'impression qu'un feu follet courrait tout autour de sa verge , achevant d'éveiller celle-ci et la portant à son érection maximum. Elle lui administra cette magistrale fellation pendant cinq bonnes minutes, jusqu'à ce qu'elle jouisse en feulant. C'était quand même le plus bel effet secondaire de sa potion, cette capacité de ses conquêtes à jouir rien qu'en lui taillant une pipe.

La laissant prostrée sur le sol, il se dirigea vers Carine. Niki l'avait obligée à se pencher sur le bureau et avait troussé sa blouse de laboratoire jusqu'au-dessus des hanches, dévoilant les fesses rebondies de la plus jeune. Elle avait ensuite lubrifié son rectum à l'aide d'un gel que Walter avait acheté en quantité pour faciliter les nombreuses sodomies qu'il pratiquait sur son harem. C'était d'ailleurs assez curieux cette pulsion vers la sodomie. Il n'y avait en fait qu'avec Niki qu'il pratiquait le coït classique. Carine était vierge et Francine mariée, ce qui lui avait semblé de bonnes raisons d'épargner leurs vagins . Mais Anne et Geneviève étaient toujours célibataires et hormis un essai avec chacune, il s'était rapidement tourné vers leurs culs à elles aussi. Seule la brûlante vulve de Soumise avait encore le don de l'émouvoir. Il ne se privait d'ailleurs pas de la visiter tous les jours, l'épuisant sous ses assauts avant de la combler d'une ou plusieurs éjaculations.

Il embrassa Niki, lui dévorant la bouche pour lui faire sentir l'intensité de son désir et lui demanda «Est-elle prête, Soumise? »

« Oui Maître, elle est bien ouverte et glissante à souhait »

« Dans ce cas, tu peux procéder à l'intromission »

Selon un rituel maintenant bien au point, elle plaça le gland à l'entrée du sphincter puis vint se placer derrière Walter. Toujours entièrement habillée d'un de ses éternels tailleurs, son corps épousant étroitement le sien, le pubis femelle imbriqué dans les fesses du mâle, elle donna un puissant coup de reins, propulsant la verge de son Maître dans l'anus de son ex-amante qui glapit « AAÏÏÏE! » Walter ne dit rien ; la suite du rituel était entièrement aux mains de Soumise.

« Silence Garce! C'est la bite de ton Maître qui t'honore! Dis merci et attends qu'il te fasse cadeau de sa semence pour jouir comme une truie »

Elle s'agrippa au hanches de Walter et commença à diriger les va et vient de sa verge dans l'anus dilaté de Carine. Walter était complètement passif dans cet accouplement pourtant délicieux; sa verge était plus le prolongement du corps de Soumise que du sien propre. Elle commençait d'ailleurs à haleter comme si c'était vraiment elle qui enculait la jeune laborantine. Souvent dans cette position, elle jouissait avant Walter et il devait achever seul son voyage vers la délivrance.

« Mer.. ci Maître! » gémit Caro

« Remercie plutôt Nicole, c'est-elle qui t'encule avec ma bite »

« Mer .. ci Nico..le . Je .. sens ta grooosse .. bite ... dans mon ... cul aaah! »

« Tu veux qu'elle te prenne plus fort? »

« Oui oooh oui .. plus fort .. s'il te plait Ni .. cole, défonce-moi! aaah , oui, comme .. ça AAAH!

« Tu entends Soumise, Petite Garce en veut plus! »

« Oui Maître, ..Han ... Je vais .. Han ... la satis ..Han ... faire avec ... Han ... votre grosse ... Han ... bite ... AAAAH .... MAÎTRE, JE VAIS JOUIR ... C'EST BON! AAAAAAAHHH »

« OUI SOUMISE, JE VIENS AVEC TOI .... DANS L'CUL DE UUH CETTE GARCE! »

La garce en question se joignit au concert en émettant un piteux « uuuggh » avant de s'écrouler sur la table sous le poids de Walter et de Niki qui s'étaient laissés aller sur elle.

Ils se dégagèrent et Soumise nettoya la verge de son maître à l'évier pendant qu'il donnait ses instructions à Carine.

« Pour l'instant , seule la version « thé » et l'injecteur à haute pression fonctionnent ;ce n'est pas suffisant. Ni l'un ni l'autre ne peuvent être utilisés sans la collaboration de la cible. Il nous faut un vaporisateur ou un aérosol »

La jeune femme se releva et ferma sa blouse. « Maître, j'ai bon espoir que le diffuseur de micro-particules permette une absorption par la peau humaine mais j'ai des difficultés à transformer la potion en micro-particules. »

« Fais venir Anne. Après tout, les nanotechnologies, c'est son rayon »

« Bien Maître »

Walter regarda Francine qui s'était relevée, la blouse ouverte puis se tourna vers Nicole

« Soumise, est-ce que tu as encore envie de cette femme? »

« Je préfère sentir votre verge me prendre Maître »

« Que tu ne pourras pas l'avoir avant ce soir! Veux-tu cette femme pour patienter? »

« Alors oui maître, merci » Soumise s'approcha de Francine, l'accula contre le bureau et lui écarta les jambes. Elle caressa sa vulve pour bien l'exciter tout en mordillant ses petits seins. Lorsqu'elle commença à haleter, Soumise s'arrêta net et s'assit sur le bureau, remonta sa jupe jusqu'à son pubis parfaitement exposé en l'absence de slip et lui dit « si tu veux que je te termine, fais-moi d'abord bien jouir avec ta bonne langue! » Elle se coucha en arrière sur le bureau et attira le visage de Francine vers sa vulve trempée.

Walter les abandonna en plein délire et se hâta vers le bureau du président du Conseil d'Administration. C'était un de ses premiers clients depuis qu'il avait lancé sa spin-off secrète avec Niki « Irrésistible » . Hormis Paul qui avait bénéficié gratuitement de la potion, Niki avait levé huit clients à 1.000 euro par semaine de traitement complet : potion pour les femmes-cibles plus 'pot lillois' pour les mâles en manque de vitamines. En un mois et demi, cela leur avait rapporté 25.000 euro et la demande ne faiblissait pas. Le plus gros problème était de détecter et d'éliminer les prédateurs type souteneurs ou psychopathes. Walter n'avait pas beaucoup d'état d'âme quant à forcer la volonté de quelques femmes mais de là à les livrer à un trafiquant ou à un sadique, il y avait une marge.

Le Président de Commines en était un bel exemple. De par ses fonctions exécutives, Niki avait depuis longtemps remarqué qu'il était le jouet de sa jeune secrétaire qui utilisait toutes les ressources de sa féminité pour le manipuler, obtenant avantages matériels et pécuniaires pour elle et ses séides tout en suggérant des restrictions dans les services opérationnels de l'Institut.

Niki avait réussi à persuader le Président de tester les deux produits avec sa secrétaire, organisant même une réunion à trois où elle servit le thé pour s'assurer de la parfaite réussite de la première séance. Lorsqu'elle les avait quitté, la jeune femme dépoitraillée était agenouillée devant le vieil homme et s'étranglait de plaisir en suçant sa verge érigée pour la première fois depuis des années.

De Commines l'avait invité pour discuter de la situation de deux de ses amis de son âge qui vivaient à peu près les mêmes affres que lui avant la potion. Sa clientèle se divisait d'ailleurs en deux : les plus âgés qui voulaient conquérir une nouvelle maîtresse et les plus jeunes qui espéraient simplement retrouver la passion du début de leur mariage avec leur épouse légitime ou une petite amie.

Toute la difficulté de son procédé était de les faire venir discrètement dans son labo pour qu'il puisse recueillir de la transpiration en les faisant pédaler sur le home trainer qu'il avait installé derrière un paravent, revêtus d'une combinaison en latex pour accélérer la sudation. A l'âge de de Commines, il devenait de plus en plus difficile de le faire vraiment transpirer sans risquer la crise cardiaque.

Il passa par le bureau de la secrétaire en question qui était vide et alla toquer à la porte qui le séparait du bureau présidentiel. Il entendit la voix étranglée de la secrétaire « Qui ... qui est-ce? » « C'est Walter Lévèque ; le Président m'a convoqué » et la voix de de Commines de répondre « Walter! Entrez cher ami ... et fermez la porte derrière vous! »

Le spectacle en valait la peine : le vieux de Commines était debout derrière sa secrétaire allongée à plat ventre sur le grand bureau directorial . Le pantalon sur les chevilles, il besognait la jeune femme troussée jusqu'aux hanches mais autrement toujours habillée.

« Désolé de vous déranger monsieur mais ... »

« mais vous ne me dérangez pas cher ami ... han .. A mon âge, il me faut de toute façon plus de temps qu'aux jeunes gens comme vous pour ... aah ... répandre ma semence . Si cela ne vous dérange pas d'aah ssister à ma séance avec Linda (« ah, elle s'appelle Linda! ») , nous pourrons discuter de mes eeh amis dans quelques minutes »

« Pas du tout monsieur, est-elle bien obéissante? »

« Elle est maintenant parfaite mon bon . Après toutes ces ... han ... années où elle s'est gaussée de moi avec ses tenues uh uh dévergondées, c'est un plaisir de lui rendre la monnaie de sa aah pièce . D'ailleurs, que diriez-vous de précipiter un peu les choses? Vous pourriez vous occuper de ses magnifiques jeunes seins »

« Volontiers »

Walter s'approcha de la jeune femme et la força à s'appuyer sur les coudes pour lui présenter sa poitrine . il déboutonna le chemisier et deux belles mamelles en forme de poires apparurent à son regard. Bien que pendant dans le vide, elles avaient l'air bien fermes et il s'en assura en les malaxant vigoureusement

« Belle marchandise Président! »

« Han .. en effet , mon jeune ami .. aaah! Et elle est fort sensible des tétons! Assurez-vous en! »

Walter pinça les deux tétons offerts et Linda gémit « uuugh , c'est bon Sire!» Walter alterna le malaxage des seins avec la torture des tétons et interrogea le Président « Elle vous appelle Sire? » « Sur mon ordre, c'est mon côté Royaliste! Continuez mon ami, ... humpf ...je sens son réceptacle qui se crispe, cette ribaude est ..aaah... proche du plaisir et .. moi AAAAH! AAAH OOOH ssi! »

Le vieil homme se pétrifia, accroché aux hanches de Linda qui s'agitaient en tous sens tandis que le jeune femme s'écroulait sur le bureau en lâchant un « aaahh » étouffé qui ne dénotait pas d'un orgasme aussi foudroyant que celui que ses propres femmes connaissaient lors de leurs séances. Il abandonna ses seins et , sur un signe de de Commines, s'assit sur une des massives chaises rembourrées qui faisaient face à l'imposant bureau.

Le Président se rajusta et s'assit à son tour. Il donna une petite tape sur les fesses de la secrétaire toujours affalée et lui dit « Linda ma chère, où sont vos manières, allez-vous occuper de mon invité!»,

La poitrine nue au milieu de son chemisier grand ouvert, elle se précipita vers Walter, s'agenouilla devant lui et fit glisser le zip de son pantalon après avoir écarté da blouse de labo. Elle farfouilla sous son caleçon et en sortit son sexe à moitié érigé et le prit en bouche. Walter se laissait faire, continuant sa conversation avec le Président avec autant de détachement que précédemment.

« Pour ma commande de la semaine prochaine, j'aimerais que vous doublassiez la dose de 'pot lillois ' par rapport à la potion. J'ai grand besoin de renfort car il m'a été impossible jusqu'à présent d'envahir le fondement de ma ribaude par manque de fermeté, ce qui me navre au plus haut point »

« Voyons Président, soyez prudent, ce n'est pas du jus de fruit! »

« Mon jeune ami, je suis parfaitement suivi sur le plan médical et on ne m'a décelé aucune faiblesse cardiaque significative . Je vous serais donc gré de me fournir les quantités désirées, votre prix sera le mien »

« Ce n'est pas -- seulement- une question de prix , Président mais soit, nous vous fournirons ce que vous nous demandez » Walter se pencha et broya un des seins de Linda « Elle a en effet des seins très agréables à martyriser. Tiens, est-ce qu'elle jouit lorsqu'elle vous suce? C'est la cas de toutes les jeunes personnes de mon entourage proche! »

« Maintenant que vous m'y faites penser, elle semble en effet tirer un énorme plaisir de ses attentions buccales. Linda ma chère, si vous arrivez à l'extase dans le présent exercice , veuillez nous le faire savoir.»

« Mmmh mmood! » répondit la jeune femme, la bouche toujours occupée par la verge maintenant en pleine érection du chimiste. »

« Pour en revenir à mes amis, mon cher Lévèque, il y a un léger problème quant à la partie transpiration . Vu leur grande notoriété, il est beaucoup trop risqué de les faire venir à l'Institut. Est-ce que vous pourriez imaginer une alternative à votre présente méthode? »

« Humpf ... excusez-moi Président mais votre ... euh aah ribaude .. est passée à la vitesse supérieure. Pour répondre à votre question, je pourrais transporter mon équipement en un lieu plus discret aah, c'est très bon Linda! »

« mmmmh , MMMMH , OOOH! C'EST TROP BON! SIRE, JE JOUIS ... VOTRE ... RI ... BAU .. DE ... JOU... »

Elle s'effondra aux pieds de Walter qui se retrouva un peu ridicule avec sa verge dressée face au vieil homme.

« Je vous en prie » dit celui-ci non sans une certaine ironie dans la voix, « remettez Linda sur le bureau et faites en sorte de vous soulager »

Walter décida d'en mettre plein la vue à son interlocuteur. Il aida la jeune femme à se relever et l'étendit sur le dos en travers du grand bureau. Fouillant dans la poche de sa blouse, il en tira un tube de gel lubrifiant qui ne le quittait plus depuis quelques semaines et s'en enduit généreusement la verge.

« Appelons cela un service après-vente , Président, je vais élargir son passage étroit. »

Le vieil homme ne répliqua pas mais se pencha pour mieux observer. Walter roula la jupe de la jeune femme autour de sa taille et lui fit prendre ses jambes en main jusqu'à les plaquer sur sa poitrine. La voie dégagée, il dirigea sa verge vers le sphincter de la jeune subjuguée et s'introduisit lentement en elle, maintenant son gland au niveau du sphincter pour le dilater au maximum.