De la Chimie des Corps Ch. 06

Informations sur Récit
La Nouvelle Vie de Walter le Chimiste Ch6.
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Partie 6 de la série de 10 pièces

Actualisé 04/29/2021
Créé 01/17/2015
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Avant-propos

Dans ce chapitre, les aventures de Walter rejoignent les tribulations de Léa & Co ( Voir les Jumeaux Croisés et les Jumeaux d'Amour). Leur lecture n'est cependant pas indispensable à la compréhension de cette histoire. Je vous souhaite une lecture divertissante.

Lazarus

Chapitre 6 : Le Colonel

Les gorilles du Colonel le recagoulèrent en montant dans la voiture et deux heures plus tard -- ou un peu moins -- ils déposaient Walter devant son domicile. A sa grande surprise, il faisait nuit noire et il se dépêcha de rentrer. Françoise surgit aussitôt la porte d'entrée refermée

« Walter! Qu'est-ce qui t'est arrivé? On se faisait un sang d'encre! Viens tout de suite chez Niki, elle ne dort toujours pas! »

« Viens avec moi, je dois vous parler à toutes les deux! »

Arrivés dans sa chambre, il embrassa d'abord sa femme avant de faire le résumé de son éprouvante journée. Françoise n'avait l'air qu'à moitié étonnée. Elle connaissait l'existence du trafic organisé par le couple même si elle n'en connaissait pas tous les détails.

« Le bon côté des choses, c'est qu'entre tes émoluments d'administratrice et ma production de tous les types d' 'Irrésistible' -- même à 10% du prix actuel - , nous aurons toujours de quoi payer le prêt hypothécaire et le salaire de Françoise. Et en cas de coup dur, on a toujours le compte à Jersey. La mauvaise nouvelle , c'est qu'il me faut presque deux heures par trajet et qu'il me faudra parfois passer quelques jours là-bas . On ne pourra pas être aussi souvent ensemble que je ne l'avais rêvé. »

« Wally, tu n'avais pas le choix et je trouve que tu t'es bien débrouillé jusqu'à présent surtout pour toutes nous tenir à l'écart du scandale et de la prison mais tu aurais dû me mettre dans le coup. Négocier avec l'Administration, c'est mon domaine. Il faut que je voie ton Colonel dès que possible. Je veux de meilleures conditions financières .. et de meilleures conditions de vie pour mon mari! »

Sur ces bonnes paroles, un bébé se mit à pleurer dans la chambre voisine, puis un second et Niki demanda à Françoise

« Tu ne veux pas aller chercher les petits vampires? Autant les nourrir maintenant comme ça on aura quatre heures de sommeil devant nous avant la prochaine tournée! »

La rouquine se précipita

« Et il faut que l'on se décide pour les prénoms! Pour les filles, j'ai décidé que ce serait 'Bethany' et 'Cheyenne' . je te laisse le garçon »

« Antoine, bien entendu »

« Lavoisier? »

« Lavoisier! »

« Autre chose, tu sais que Soise est enceinte? »

« Oui, elle me l'a dit après le mariage. Père indéterminé » .

« Entre mes relevailles, sa grossesse et sans 'Irrésistible' , tu risques de devoir te faire un nœud dans le kiki ... «

« Hum, je ne t'ai pas tout dit » . Et il lui résuma la scène dans la salle de contrôle du S.E.C.S.

« Aha, mon mari me trompe déjà, 3 jours après la naissance de ses enfants! ... mais non gros bêta! Je te taquine. En plus, comme dirait un ancien président des USA , une fellation n'est pas un acte sexuel! Ecoute, tu vas être soumis à une forte tension sexuelle avec ce 'job' . Tant que tu me reviens et que tu es capable de me faire l'amour, je ne m'en ferai pas. Tu pourras même me raconter les épisodes les plus croustillants ; cela pourrait exciter la vieille mère de famille que je suis! »

A ce moment, Soise entra avec deux des nourrissons , les passa à Niki qui dégrafa son soutien-gorge d'allaitement et les installa aussi confortablement que possible. Les minuscules mains tâtonnèrent sur ses gros seins tandis que deux bouches avides cherchaient ses mamelons. Françoise l'aida à trouver de meilleures positions puis dit

« Le garçon dort encore ; j'espère qu'il attendra encore dix minutes pour se réveiller »

« Ouch! » dit Niki, « qu'est-ce qu'elles sont affamées? Tu veux bien préparer du lait de complément? Sinon je n'aurai plus rien pour Antoine! »

« Antoine? Et les filles? »

« Bethany et Cheyenne »

« Ca c'est déjà plus original. Walt, si Antoine se réveille, je compte sur toi! »

« Mmmh » soupira Niki après son départ. « Ces petits monstres pourraient me faire jouir avec leurs succions . Je suis toute mouillée mais c'est encore trop tôt pour que tu me soulages Wally ... C'est dur la vie d'une maman! »

Walter bandait comme un bouc en rut mais n'osa rien dire. Il ne pouvait décemment pas demander à son épouse déjà surchargée de le satisfaire avec un 'Clinton'. Françoise revint avec le lait de complément et nourrit Bethany que Walter fit ensuite roter et changea. Ensuite, ce fut le tour de Cheyenne au moment même où Antoine donnait de la voix.

« Si ils pouvaient toujours se relayer de la sorte, ce serait merveilleux » commenta Walter à Françoise en recouchant sa première fille. »

« N'y compte pas trop et quand j'aurai mon bébé, il faudra sans doute engager du renfort » dit-elle « mais je payerai ma remplaçante tant que je ne serai pas en état de retravailler »

« Ahem, il y a deux jours, je t'aurais dit que c'était hors de question mais maintenant, j'ai peur de ne plus pouvoir assumer ce genre de dépenses supplémentaires! A moins que Niki n'obtienne de bien meilleures conditions financières»

Dix minutes plus tard, Antoine avait rejoint ses sœurs. Françoise s'apprêtait souhaiter la bonne --courte -- nuit aux jeunes parents quand Niki l'arrêta.

« Soise, tu veux bien t'occuper de mon mari jusqu'à la prochaine tétée? Le pauvre a eu une journée plutôt excitante et si je me souviens bien de mon état à partir du premier mois, tu ne devrais pas être contre une petite partie de jambes en l'air, non? »

« Mais Niki .. » commença Walter

« Tais-toi Wally, ce que femme veut ... » l'interrompit Soise en le tirant derrière elle vers sa chambre « repose-toi bien ma chérie » dit-elle à Niki qui fermait déjà les yeux.

Trois heures plus tard, c'est un Walter essoré qui s'endormit dans le lit de la rouquine comme une souche au moment où le babyphone appelait une Soise complètement requinquée dans la nursery. Lorsqu'elle réveilla Walter une heure plus tard, il dut lutter contre le mur de brique qui fermait ses paupières.

« Wally, va prendre une douche, tu n'as qu'une demi-heure avant qu'on ne vienne te chercher! »

Une demi-heure plus tard, la longue Citroën noire se garait devant la maison mais le chauffeur avait changé

« Salut Doc! »

« Toussaint, quelle bonne surprise! »

« Le Colonel a conclu un contrat avec Claude pour mes services! Je bosse maintenant pour l'Etat mais avec un salaire du privé! Oups, vous avez l'air crevé Doc! Faites une sieste ; on en a presque pour deux heures ..»

Walter obéit avec gratitude et ne se réveilla qu'une heure et demie plus tard alors que la voiture roulait dans une forêt . Il aperçut vaguement dans le lointain une colline dominée par un imposant château fort de style hollywoodien avant que le véhicule ne se présente devant un modeste hangar à l'aspect délabré.

« Mettez la cagoule, Doc ; vous n'êtes pas encore autorisé à voir l'entrée de la base! »

Walter obtempéra et comme la veille, il sentit le véhicule descendre une pente et rouler à nouveau quelques minutes à vitesse réduite sur une route macadamisée.

(« On doit rouler dans un tunnel qui part du hangar et toute la base doit se trouver sous terre » se dit-il)

La voiture s'arrêta, la porte s'ouvrit et la voix du Colonel retentit

« Alors Lévèque, content de votre nouveau chauffeur? Enlevez cette cagoule ; c'est la dernière fois que nous vous l'imposons. L'opération d'hier a été un tel succès que vous avez gagné tous vos galons de sécurité en 24 heures. «

Derrière le colonel, se tenaient la Hauptmann Ulla Votsôrr presque, méconnaissable, sanglée dans un uniforme de parade impeccable et la petite laborantine qui l'avait aidé la veille.

« Je vais rendre une visite de courtoisie à votre épouse avec mon adjointe et surtout la rassurer quant à votre avenir commun. Toussaint nous servira d'homme de confiance pour cette première visite. Je vous laisse entre les mains d'Anne-Sophie Terclavers. »

Il prit sa place dans le véhicule suivi de la hiératique blonde militaire et Toussaint fit demi-tour pour reprendre le tunnel en sens inverse.

« Je suis contente que vous ayez obtenu votre accréditation de sécurité » lui dit Anne-Sophie, cela nous simplifiera la vie et nous pourrons aller prendre l'air au château de temps en temps! »

« Le château? Celui qu'on aperçoit avant d'entrer dans le tunnel? »

« Vous ne l'avez pas reconnu? C'est le Château de Pierrefonds. Quand Napoléon III a mandaté Eugène Viollet-Le-Duc pour la reconstruction du château dans le style médiéval, il a ajouté un codicille confidentiel concernant la création de passages secrets et de salles souterraines . Depuis 1895, ces couloirs et ces salles sont un des QG opérationnels des Services français et maintenant européens. »

Elle le mena directement au labo où ils avaient travaillé la veille. Elle lui montra deux boîtes sur la planche de travail

« Voici les deux suivants de ces messieurs. C'est le sergent Matthew qui mènera la danse ce matin. Cette après-midi, nous ferons un test avec deux femmes »

« Si vous avez la possibilité d'influencer le commandement militaire, on pourrait s'y mettre sans attendre ; il suffit que quelqu'un nous ramène leurs sécrétions vaginales sur un coton tige! »

« Moi je n'ai pas d'ordre à leur donner mais vous oui , Professeur, vous avez été nommé Chef de la nouvelle 'Division Scientifique C' . Vous êtes l'équivalent d'un Major! Le caporal Gomez a été désignée pour être votre ordonnance ; elle est à votre disposition pour transmettre ou exécuter vos ordres ... et pour toute autre mission d'ailleurs»

Walter regarda la blonde laborantine d'un œil torve, se demandant si elle était au courant de l'épisode de la fellation . Il imagina un instant sa collaboratrice dans le même exercice puis secoua la tête.

« Convoquez Gomez et mettons-nous au travail! »

Le caporal Gomez surgit dans le labo moins d'une minute plus tard. Comme son patronyme le suggérait, elle avait une ascendance ibérique marquée et portait d'ailleurs un treillis différent de celui des gardes (« les Espagnols sont dans le coup aussi? ») mais elle était aussi jolie dans son genre qu'Anne-Sophie.

Walter soupira intérieurement (« Heureusement que Niki est compréhensive! Ces deux-là sont une tentation permanente! »). Il lui donna ses instructions pour les prélèvements sur les deux captives et lui demanda

« Est-ce que les deux ..euh... patients de ce matin ont déjà été soumis au 'M'? »

« Le sergent Matthew s'en occupe depuis l'aube. Ils sont presqu'à point! »

« OK ; on va se dépêcher. Anne-So, au travail! »

Ils travaillèrent de concert sur les deux échantillons à la fois et les incubèrent en même temps dans le mûrisseur

« Bon » dit Anne-Sophie « On a trois quart d'heure à attendre ; c'est le moment de faire plus ample connaissance! »

Elle se colla contre Walter et lova son corps mince et souple contre celui de son patron

« Vous savez Professeur, le seul désavantage de cette base, c'est qu'il n'y a aucune distraction valable ... à part le sexe ; ce qui devient évidemment un avantage quand on aime ça! »

Walter l'enlaça et l'embrassa. Elle répondit à son baiser avec enthousiasme et en profita pour palper ses fesses.

« Carmen m'avait dit que vous avez des fesses bien dures et musclées...et que le reste est à l'avenant! »

Walter défit le premier bouton de la blouse blanche immaculée de la jeune femme puis le deuxième et continua en la regardant dans les yeux. Quand il eut ouvert tous les boutons, il écarta les pans de la blouse et siffla

« Si toutes mes collaboratrices ont la même tenue de travail, je vais finir par aimer cet endroit! »

La jeune laborantine ne portait en tout et pour tout qu'un porte-jarretelles et des bas noirs.

« J'ai lu dans le dossier de votre femme qu'elle appréciait ce genre de lingerie. Quant à l'absence du reste, je ne fais que respecter mes instructions : je dois être à votre entière disposition! »

Elle lui prit la main et l'entraîna dans le fond du labo et ouvrit une porte dissimulée par un paravent. Elle alluma la lumière via un interrupteur placé sur le côté et la lumière tamisée qui jaillit révéla non pas une nouvelle pièce de travail mais une véritable chambre avec un lit plutôt spacieux pour une seule personne.

« Voici notre pièce de repos au cas où nous ne pouvons pas rentrer chez nous et qui peut également servir à la relaxation »

Tout en s'approchant du lit, elle déboucla sa ceinture et défit le bouton de son pantalon . Elle palpa ensuite l'intérieur du vêtement, trouvant immédiatement l'objet de sa convoitise.

« Vous avez en effet besoin de relaxation, Professeur » dit-elle en s'attaquant aux boutons de sa chemise. En moins de deux, il se retrouva torse nu et le pantalon sur les chevilles. Elle s'assit sur le lit et emboucha sa verge dressée. Il posa ses mains sur sa tête pour guider ses mouvements, surpris que malgré sa séance prolongée avec Soise quelques heures auparavant, il soit encore aussi en verve.

Après quelques minutes d'une délicieuse succion, il décida de rendre la pareille, enjamba son slip et son pantalon et poussa Anne-So sur le lit. Il s'installa entre ses cuisses grand ouvertes et s'attaqua de la langue à son clitoris tout en pénétrant sa vulve avec deux doigts. Sa chatte était couverte d'une fine toison blonde soigneusement taillée qui était déjà bien humectée par ses sécrétions intimes.

« Uuugh » fit-elle dès le premier contact « Vous avez du talent Professeur! Cela me change agréablement de mon ancien uuh patron! »

Assez rapidement, elle commença à haleter puis à geindre

« Je .. vais ... aah ... venir .. » dit-elle sans que Walter ne sache si elle voulait qu'il arrête ou qu'il continue. Il choisit la deuxième option et après deux trois minutes de léchage intense, elle se cabra sur la couche, plaquant son sexe sur la bouche de son supérieur hiérarchique

« AAAAH! JE JOUIS! ... C'EST BON ... PROF!... VOUS ...TU .. ME .. FAIS ... AAAH! »

Walter attendit que les spasmes se calment et qu'elle arrête d'embrocher son vagin sur ses doigts pour remonter le long de son corps et venir l'embrasser une nouvelle fois, lui offrant ses lèvres couvertes de cyprine.

« Vous avez des coutumes d'accueil plus qu'intéressantes » lui dit-il , moqueur.

« Ce ne sont pas seulement des coutumes d'accueil, Professeur, c'est comme cela tout le temps. Comme je vous l'ai dit, il n'y a pas d'autre distraction dans la base et on s'est organisés pour lutter contre l'oisiveté. Carmen Gomez et moi, on fait équipe pour vous servir ... ou nous satisfaire entre nous quand vous ne serez pas présent. Le sergent Matthew et son peloton féminin s'occupent du Colonel tandis que l'Hauptmann bénéficie des services des pelotons de gardes mâles ... qui occupent les dortoirs à côté du peloton de Matthew. Je vous dis pas les orgies qui s'y organisent. »

« Il n y a que nous dans la base? »

« Dans la zone C, il n'y a que nous mais il y a sept autres départements soigneusement compartimentés où seul le Colonel a accès et d'après ce que je sais, ils sont au moins aussi actifs que nous sur le plan sexuel! Mais vous avez encore l'intention de parler ou est-ce qu'on pourrait poursuivre notre pause relaxation?»

Il la fit basculer sur lui en lui disant « Je suis un peu fatigué, Anne-Sophie, je préfère que vous preniez les commandes ce matin! »

Amusée, elle s'empara de sa verge et la présenta à l'entrée de son vagin puis s'empala sur le membre roide de son patron.

« Mmmh , Prof, vous devez rendre votre femme heureuse avec cet engin! Aah, ça fait du bien ...! Qu'est-ce que vous ... aah... préférez , jouir dans ... ooh .. mon con ou dans le ... aah .. cul de Carmen ...? »

« Votre con me satisfera ..humpf ...pleinement ce matin, .. han ... très chère! Nous envisagerons ... le cul de aah .. Carmen un autre .. jouir .. jour .. humpf! »

« Alors.. ooh . ; dépêchez ..aah .. . vous .. Prof ... ooh ... Je pars ... ENCORE ... OUIIII! .. PROOOF! »

« JE ... VIENS... AUSSI! .. ANNE-SOOO ... OOH .. AARGH! »

La laborantine blonde se laissa retomber sur Walter , les yeux fermés, reprenant son souffle. Elle caressa son torse et ses épaules.

« Pour un scientifique, Prof, vous avez le corps d'un garde! Cela me change agréablement et Carmen va être ravie! »

« En parlant de la louve, elle est justement là!» se rendit compte Walter en découvrant la soldate dans l'embrasure de la porte. Elle montra les deux boîtes d'échantillons .

« J'ai ce que vous m'avez demandé Major! Et votre tenue de travail .. . » ajouta t'elle en montrant un cintre enveloppé de cellophane qui contenait des vêtements blancs.

« Le devoir vous appelle Prof! Je m'occupe de Carmen et je vous rejoins dans le labo »

Carmen s'était approchée du lit en faisant déjà sauter les boutons pressions qui fermaient son treillis et tendit le cintre à Walter qui s'était relevé. Pendant qu'il s'habillait, elle enleva ses bottillons et son uniforme. En dessous, elle portait un slip-short moulant et un soutien noirs d'un modèle que Walter n'avait encore jamais vu ; quelque part entre le body et un soutien de sport. Elle ôta son shlip comme il l'appela et vint se jucher sur le visage de la laborantine qui lécha son sexe sans attendre.

Walter revêtit l'uniforme blanc, une sorte de tenue de chirurgien avec des épaulettes et après avoir jeté un dernier coup d'œil sur le couple qui s'était maintenant allongé en 69, il entra dans le labo

(« Sacré tempérament cette Anne-So! » se dit-il)

Le mûrisseur avait terminé son travail et il prépara les diffuseurs tout en lançant l'incubation des échantillons féminins. Il entendait des cris orgasmiques provenant de la chambre de repos et se dit qu'il allait avoir du mal à garder la cadence . Il avait bien promis à Niki de ne plus utiliser le 'pot lillois' mais il avait déjà eu des idées pour une version ' light' ou du moins sans danger. Il espérait que son labo disposait d'un accès à tous les produits dont il avait besoin pour cette nouvelle concoction.

Il se rendit à la salle de contrôle et transmis les diffuseurs à un des hommes de Votsörr qui contemplait, fascinée, le sergent Matthew prise en sandwich par deux de ses collègues tandis que les prisonniers hurlaient des imprécations en essayant d'agiter leurs sexes noircis par l'afflux sanguin.

Comme la veille, le garde sprinta vers la porte donnant sur la cellule et tendit les deux diffuseurs à son collègue qui venait de s'assouvir dans les fesses du sergent . il prit sa place et la sodomisa à son tour pendant que le collègue s'occupait d'asperger les deux captifs.

Walter se dit que Niki ne croirait jamais qu'une base secrète pouvait se transformer en un tel lupanar. Il regarda fasciné l'orientation sexuelle des deux terroristes virer à l'attraction homosexuelle réciproque tandis que Matthew et ses deux amants en terminaient et se rhabillaient. Après avoir libéré les deux hommes qui se jetèrent l'un sur l'autre, le sergent rejoignit le scientifique dans la salle de contrôle.

« J'adore votre nouvelle méthode d'interrogatoire Major! » dit-elle en le saluant militairement

« Vous avez une tâche mal placée » dit Walter en montrant en effet une trace humide qui s'élargissait à son entrejambe. »

« C'est pour les besoins du service ... » répliqua t'elle .

Il retourna à son labo et lança le mûrisseur avec les échantillons féminins quand une nouvelle salve de cris de plaisir lui parvint de la chambre de repos. Curieux, il jeta un rapide coup d'œil : Anne-So était cramponnée aux cuisses du caporal Gomez et la léchait avec une détermination implacable tandis que celle-ci se broyait les seins maintenant débarrassés de son curieux soutien-gorge. Il recommença à bander mais dans son état de fatigue, il préféra battre prudemment en retraite et essaya de se concentrer sur la composition d'un nouveau 'pot' dopant moins dangereux que son 'pot lillois'.