Dérapages. 04

Informations sur Récit
Clara rejoint sa fille Manon, au fin fond de l'enfer.
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Partie 4 de la série de 8 pièces

Actualisé 06/08/2023
Créé 11/16/2017
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L'histoire que vous allez lire, à pour sujet principal la domination et le sexe non consenti. Certains passage risque d'être choquant ou trop violent pour certains. Si vous n'aimez pas ce genre de texte, ne lisez pas. Sinon ce serais aussi stupide que d'aller au restaurant, commander un gratin d'aubergine, alors que vous détestez l'aubergine, pour dire ensuite que le cuisinier est mauvais et le plat dégueulasse. Pour tout les autres, bonne lecture, et merci à vous de me lire.

Léo : C'est moi, j'ai quarante-cinq ans. Je suis un ancien soldat des forces spéciales. A l'occasion d'une dispute, j'ai violé ma belle-fille. Pour éviter qu'elle ne porte plainte, j'ai décidé de la briser pour en faire mon esclave sexuelle.

Manon : Dix-huit ans. Ma belle-fille. Blonde aux yeux verts. Elle a un corps de rêve, un visage magnifique. C'est ma victime. Elle était totalement vierge quand je l'ai forcée.

Carla : Trente-neuf ans. Aussi blonde que sa fille. Aussi belle, avec un corps plus pulpeux. C'est donc la mère de Manon. Actuellement elle est partie pour trois mois à Londres, pour superviser le tournage du film qu'elle produit avec ses fonds propre. Je l'aime, mais suis assez frustré au niveau cul avec elle. Ma compagne étant frigide, nous ne faisons vraiment pas souvent l'amour.

Jessica : Jess à vingt ans. C'est ma fille. C'est une magnifique brune. Actuellement elle est en vacances chez sa mère pour trois semaines. Sa mère vit au Brésil avec son nouvel époux.

Paul : Quarante-cinq ans comme moi. On se connaît depuis le CP. C'est mon meilleur ami. Il est truand, mais très porté sur le sexe.

Anne : Dix-neuf ans. Rousse pulpeuse, petit amie de ma fille. Un vrai canon, avec tout ce qu'il faut où il faut. Une bombe capable de faire bander un mort.

Hervé : Trente ans, l'adjoint de Carla. Elle lui fait la vie dur au travail. Pour lui comme pour tout ses employés.

Quand je me retire du corps de Carla, je dis à Manon de descendre du dos de sa mère. Traumatisée, épuisée, choquée, ma compagne ne bouge pas. Elle pleure à gros sanglots, le corps secoué de spasmes de douleurs.

- Viens nettoyez ce que ta mère à salie.

- Maître, pitié...

Je la gifle violemment. Il ne faut pas que cette pute se croit tout permis.

- Ce n'est pas parce que tu m'as aidée à sodomiser ta chienne de mère, que tu peux te croire libre. Tu es et restera ma putain. Alors viens et suce! Tu connais la punition qui t'attends.

Manon terrorisée, m'obéit. Si j'ai drogué ma belle-fille pour accentuer son obéissance, je lui ai également promis de lui enfoncer mon bras jusque au coude dans son cul, si elle ne participait pas. Quatre doigts enfoncé dans son anus, m'ont permis de lui montrer que j'étais sérieux. Manon se met à genoux, et avec l'horreur de sucer pour la première fois ma bite tachée par le sang et la merde d'une autre, elle l'avale pour la nettoyer. Moi, j'ouvre les fesses de Carla qui gémit de douleur. Son anus est encore grand ouvert, il peine à se refermer en palpitant. Je l'ai un peu fissuré, mais rien de grave. Au bout de longues minutes, Manon sort mon pieu de sa bouche, elle le regarde, il est assez propre.

- Maître, c'est propre, je vais au bout?

- Non, viens lécher le cul de ta mère, nettoie-le, jusque à ce que plus rien ne coule!

Manon me regarde horrifiée, elle ne sait pas si elle pourra le faire sans vomir.

- Pitié, Léo, pas ça!

C'est Carla qui me supplie maintenant. Il va falloir que je mette vraiment d'ordre dans cette maison. Je lui enfonce la moitié de ma main dans le cul. Carla cabre, hurlante. Je la l'appuie violemment sur la table, en la poussant avec mon autre main posée contre son dos à la peau si douce.

- Toi tu fermes ta gueule, si tu ne veux pas que j'aille plus loin. Compris?

- Oui, j'ai compris. Sors, pitié, sors.

Je retire ma main. Je soulève la tête parfaite de Clara par les cheveux, je lui murmure à l'oreille.

- Si tu parles sans que je ne te pose une question, je t'enfonce ma main jusque au poignet, compris sale putain?

- Oui.

- Tu obéiras?

- Oui.

- Parfait. Manon, lèche-là de suite.

Une nouvelle fois ma jeune soumise obéit. Elle a des haut-le-cœur, mais entreprend de lécher tout ce qui sort de l'anus de sa mère.

- Si tu vomis, tu lécheras tout avec ta langue.

Mes paroles électrise Manon qui se retient de régurgiter quoique ce soit. J'en profite pour avaler une pilule, je veux durer le plus longtemps possible. Profiter pleinement du corps de ma compagne depuis tant d'années. Une fois l'anus de Carla propre, j'ordonne à ma belle-fille de se redresser. Ce qu'elle fait. Je vais prendre une gélule dans mon pantalon. Je la fais avaler de force à Carla, lui tordant méchamment le téton pour qu'elle ouvre la bouche, enfonçant la gélule directement dans sa gorge. Je lui referme la bouche.

- Avale!

Je lui tords le téton pour lui rappeler que maintenant c'est moi qui commande. Ma compagne avale la gélule. Je libère sa bouche.

- C'est quoi?

- C'est pour augmenter ta fertilité de putain.

Ma compagne se contente de gémir de dégoût. Reposant sa tête sur la table, au comble de l'horreur.

Je relève violemment ma compagne par les cheveux, je l'envoi au sol. Je fond sur elle, je la gifle plusieurs fois, fort, fendant sa lèvre. Une fine rigole de sang s'en échappe. Je sais qu'avec Carla ce sera plus dur qu'avec Manon. Que je vais devoir faire preuve de beaucoup plus de violence physique ou psychique pour parvenir à mes fins. J'arrache les vêtement de Clara, la mettant nue. Elle pleure, garde les cuisses fermées.

- Écarte les jambes sale putain!

- Tu vas faire quoi?

Je vais te baiser!

- Pitié, Léo, je te l'ai dis je suis en plein dans ma période d'ovulation... En plus tu viens d'augmenter ma fertilité, pas ça, tout mais pas ça! Je ne veux pas tomber enceinte!

- Et alors, ta fille est enceinte de moi, tu peux l'être aussi! Si je te file ce médoc pour que tu tombe plus vite enceinte, c'est pas pour rien!

- Non, pas ça, pas ça!

Je glisse ma main entre ses cuisses serrées, je lui pince le clito, le tourne méchamment, elle hurle.

- Ouvre tes jambes, où je te l'arrache.

La douleur est telle que finalement elle m'obéit. Je m'agenouille entre elle. Je soulève le bassin de ma compagne en la tenant par les jambes. Je pose ma bite sur l'entrée de sa vulve. Une idée marrante me vient.

- Manon agenouille-toi sur ta mère, ta chatte de chiennasse sur sa bouche, elle va te lécher!

- Non! Pas avec ma fille!

Pour tout réponse je m'enfonce le plus violemment possible dans le ventre de Carla, déchirant les lieux, Carla hurle.

- Vas-y Manon, c'est un ordre!

Sous mon emprise totale, ma belle-fille m'obéit. Elle s'assoit sur le visage de sa mère. Je pince de nouveau le clito de ma compagne.

- Toi, un conseil lèche.

Sous la douleur, Carla obéit, je vois sa langue sortir, et léché le sexe de son propre enfant. Je me mets à lui violer la chatte à grands coups de reins. Les hurlements de la mère se perde dans le vagin de la fille. Carla qui n'a jamais eus de relation lesbienne, se révèle douée. Manon ne tarde pas à geindre de plaisir au milieu de ses larmes. Moi je profite du vagin de Carla, il est relativement étroit, mais beaucoup moins que celui de Manon. Néanmoins je le savoure pleinement, l'appréciant énormément. Je la défonce enfin comme je veux, je ne suis plus obligé de lui faire l'amour en missionnaire, comme maman et papa. Cette chienne va payer, je compte bien rattraper avec elle, les quinze ans de baise que j'ai en retard. Manon geint de plus en plus vite, sa mère appuyant ses caresses sur le clito si sensible de sa fille. Ma belle-fille, démontre le plaisir qu'elle éprouve, en poussant de petit jappements de plaisirs. Un orgasme puissant la secoue, lui faisant envoyer un jet abondant de cyprine sur le visage de sa mère. Une fois son orgasme passé, Manon se retire du visage maternel, elle se roule en boule et pleure de ce qu'elle vient de faire.

Moi je continue à défoncer ma compagne. Un viol bestial. Je la force à me regarder dans les yeux, je me mets, moi aussi, à pousser des petits jappements de mon plaisir proche. Carla qui me connaît bien, sait que je ne vais pas tarder à jouir. En pleurant, elle me supplie :

- Pas dedans, pitié, pas dedans.

- Je ne lui répond pas.

- Je t'en supplie, je ne veux pas tomber enceinte, par pitié.

Pour toutes réponses, je crie mon orgasme, me déversant torrentiellement dans le corps de ma meuf. Lui inondant son utérus, la remplissant comme jamais. Je ne me suis pas retiré d'elle. A la place, je me suis couché sur Clara, et j'ai recommencé à la baiser. Dans des clapotis bizarre, dut à mon sperme qui se trouve déjà en elle. Carla semble sortir de sa torpeur, elle se débat, tente de faire cesser mon agression sexuelle.

- Manon, viens tenir les bras de ta putain de mère! Je n'arrive pas à la baiser correctement!

Ma belle-fille sort de la torpeur d'où l'orgasme que sa génitrice lui a donné avec sa langue, l'a plongée. Elle s'agenouille au-dessus de la tête de sa mère. Ses mains remplacent les miennes pour tenir les bras de Clara. Je peux me concentrer sur mes coups de reins. J'immobilise le visage de ma compagne, je la force à me rouler une pelle. Elle me supplie, mais je ne l'écoute pas, je ne suis concentrer que sur une seule chose, la violer.

Je la viole longuement, je mords méchamment son téton droit. Quand je regarde, une fine rigole de sang en coule. Clara hurle comme une folle, la douleur est indescriptible. A presque quarante ans, jamais on ne l'a baisée comme cela. De cette façon abject, contre sa volonté. Je vais la prendre longtemps grâce aux pilules de Radiu, jouissant quatre fois dans son ventre. Quand je me retire son vagin est en sang, son utérus remplit de sperme. Ma compagne n'est plus qu'une morceau de souffrance. Aussi bien physique que psychique. J'en suis arrivé là où je le voulais, le début de sa destruction totale. Je tenais enfin ma vengeance. J'ai décidé de la laisser tranquille pour cette nuit. Demain serait encore plus dur pour elle, j'allais achever de la briser.

J'ai dormis avec Carla, après l'avoir fait monter dans notre chambre. Je lui ai menottée les poignée dans le dos, puis les chevilles entre elles. Ma compagne, choquée, traumatisée s'est laissée faire. Se contentant de pleurer. Elle n'avait plus aucune force, même pas celle de me parler. Pour m'assurer qu'elle ne me casse pas les couilles dans la nuit, je l'ai bâillonner. Je me suis endormi aussitôt, fatigué par ma journée. Manon, horrifiée, par ce que je lui avais forcé à faire et dire à sa mère, eut beaucoup de mal à dormir. En effet, une fois les effets de la drogue dissipé, toute l'horreur de la situation l'avait frappée de plein fouet. Même si, a cause de mon travail sur elle, la jeune fille continuée à croire sa mère en partie responsable de ses tourments.

C'est Manon qui m'a réveillé le lendemain matin. Un réveil en douceur, par la pipe habituelle. Quand j'ai émergé des brumes du sommeil, j'ai fait cesser sa fellation à ma belle-fille.

- Réveil ta mère, explique-lui ce qu'il faudra qu'elle fasse le matin.

- Ce ne sera plus moi qui boirais ta pisse et te sucera le matin?

Une lueur d'espoir brille dans le regard de ma belle-fille. Lueur que je dissipe rapidement.

- Vous allez alterner. Allez, réveille ta mère et explique-lui.

Manon obéit, elle secoue sa maman. Carla ouvre les yeux. Elle est horrifiée quand elle comprend que ce n'est pas un rêve. Son viol et celui de sa fille sont bien réel. Mais son enfant ne la laisse pas trop réfléchir.

- Maman, je vais te montrer ce que l'on doit faire le matin. Un conseil, obéit aux ordres de Léo. Je peux te garantir que la punition est bien pire!

Carla, qui ne peut pas répondre à cause de sa muselière, se contente de tourner la tête vers moi, me lançant un regard emplit de haine.

- D'abord, on fait une pipe à Léo. Il les aiment bien baveuse, mais il ne veut aucune trace de sperme ou de salive sur son pénis, une fois la pipe fini. Il adore aussi les gorges profondes. C'est dur au début, mais à force, on y arrive plus facilement.

A la fin de ses paroles, Manon avale mon chibre pour me sucer.

Comme à mon habitude, je lui caresse les cheveux pendant qu'elle suce. La petite chienne s'avère de plus en plus douée. Bien entendu, je ne la préviens pas avant d'éjaculer. Une fois mon sperme dans la bouche, elle retire sa tête. Elle ouvre grand la bouche devant les yeux de sa mère. Manon referme la bouche et déglutit. Elle ouvre de nouveau la bouche, il n'y a plus rien.

- Un conseil, c'est bien important de tout avaler.

Elle en a un peu sur le coin de la bouche, elle le prend avec son doigt, avant de sucer ce dernier. Sa mère est en pleure en regardant ce que j'ai fait de sa fille.

- Regarde, il reste de la salive sur le sexe de maître Léo. C'est bien important qu'il soit propre.

Manon gobe de nouveau mon sexe, elle enlève toutes traces dessus.

- Voilà, c'est le premier travail du matin. Fais-le bien, sinon tu seras puni. Je peux te jurer que tu n'aimera pas ça. Je le sais, au début, je n'étais pas une bonne putain pour Léo, il à dut me punir souvent.

Je me redresse, Manon s'allonge à ma place. Elle parle de nouveau à sa mère.

- Ce que l'on va te montrer, tu dois normalement le faire de suite après la pipe. Tu resserre au maximum, mais le plus doucement possible tes lèvres autour du sexe de Léo. De façon que ta bouche soit bien hermétique.

Je m'assoit sur le torse de Manon.

- Maintenant regarde ce qu'il ce passe, quand ta bouche est bien fermée autour du pieu du maître. Là, il le fait en dehors pour que tu vois bien.

Manon ouvre la bouche en grand. Alors, devant le regard horrifié de Clara, je commence à uriner.

J'arrête mon jet, Manon, avale mon urine avec une grimace de dégoût.

- En principe, il urine d'un trait. Tu verras, on apprend vite à tout avaler rapidement. Je te l'accorde, c'est dégueulasse et humiliant, mais c'est mieux que la punition.

Je répète l'opération cinq fois, avant que mon urètre soit vidé. Une fois fini, Manon se redresse. Je me pousse un peu, lui laissant finir ses explications.

- A la fin il ne doit plus rester une goutte d'urine sur le pénis de Léo. Aucune goutte ne doit non plus être sortit de ta bouche. Une fois tout fini, tu dois aller te brosser les dents. A ce moment, on ne peut rien faire à Léo, notre bouche de chiennasse est trop dégueulasse pour cela.

Manon sort du lit et va se laver les dents. Clara bâillonnée me regarde terrorisée quand elle voit mon sexe bandé. Ça me fait rire.

- Oui, il bande pour toi. Hoche une fois la tête si tu la veux dans le cul, deux fois si tu la veux dans la chatte.

Se rappelant la souffrance indescriptible de son cul pour sa première sodomie, Clara hoche la tête deux fois.

- Tu es bien comme ta fille. Tu préfère un bébé à un cul cassé.

Je me couche sur elle, Clara écarte les cuisses. Je me glisse entre elle, la pénétrant d'un seul coup. Ses couinements derrière sa muselière, me prouve-bien qu'elle n'aime vraiment pas cela.

- Maman...

Tout en continuant à violer Clara, je tourne la tête. Manon, en larmes, est en train de me regarder forcer le vagin de sa mère.

- Tu mates? Ça te plaît?

- Non...

Je laboure sauvagement Clara, en regardant Manon droit dans les yeux. Puis je me fige dans ma compagne, me vidant en grognant de plaisir. Je souris à Manon.

- Viens nettoyer ta mère. Je veux aussi que tu la fasse jouir, si tu n'y arrives pas, je te punis!

- Quoi?

- Tu as bien compris.

Quand elle voit Manon s'approcher d'elle, Clara commence à se débattre, une paire de gifle la calme immédiatement. Ma compagne voit avec horreur son enfant s'agenouiller entre ses cuisses, se pencher en avant et commencer à lécher le vagin qui l'a vu naître. Je regarde Manon, en pleure, avaler dans un premier temps, tout le sperme qui souille le vagin fraîchement violé. Clara couine d'horreur derrière son bâillon, le visage barbouillée de larmes. Le spectacle me fait bander. Je me mets derrière Manon. J'hésite à l'enculer, mais je choisit plutôt son vagin, il faut qu'elle se concentre sur ses coups de langues. Je m'enfonce dans son vagin aride, qui ne tarde pas à se mouiller de cyprine pour facilité la copulation et diminuer la douleur. Je tiens Manon aux hanches, je me mets à la défoncer comme une bête, la faisant crier dans le vagin maternel. Malgré l'horreur de la situation, les coups de langues de Manon, sur le clitoris de sa mère, ne tarde pas à faire effet. Je vois qu'il n'y a pas que de la salive qui trempe la vulve de Clara.

Je défonce Manon encore plus fort. Cette petite putain arrive à faire mouiller sa mère plus vite et plus abondamment que moi. Clara serait-elle une lesbienne refoulée? Le spectacle me fait toujours autant d'effet, j'arrose déjà l'intérieur de ma belle-fille. Mais je bande toujours autant. Alors je ne ressort pas après mon éjaculation, reprenant mes coups de reins, plongé dans les organes génitaux de ma victime. Quand je vois le corps de Clara s'arquer, je me rends compte qu'elle vient d'avoir un orgasme. Le plus fort que je ne l'ai jamais vu avoir. Jamais elle n'a arqué son corps avec moi. Pas une fois en plus de quinze ans. Et là, avec sa fille, cette putain vient de jouir comme une malade. Je pars aussitôt, me vidant torrentiellement dans le ventre offert de ma belle-fille. Je me retire, je m'allonge contre le corps de ma compagne, que sa fille lèche toujours.

- Manon, vient nettoyer ma bite que tu as salie!

Ma belle-fille se redresse, les lèvres couverte de la cyprine de sa mère. En plus cette pute à une jouissance abondante. Manon gobe mon pieu, je la laisse aller au bout de sa pipe. Une fois qu'elle a tout avalé et nettoyé, elle s'agenouille devant moi, attendant les ordres.

- Ma puce, tu es aussi douée avec ta langue pour sucer des bites, que pour gouiner une femme.

Manon baisse les yeux de honte. Je regarde Clara, mais détruite par son orgasme incestueux, cette dernière fixe le plafond sans ciller. Je me penche, je prends une pilule dans le tiroir de la table de nuit. J'attends qu'elle fasse effet. Je vais faire visiter mon nouveau sous-sol à Clara. Il est temps que son dressage par la violence et la terreur commence.

Dix minutes plus tard, mon engin s'est redressé.

- Allez Manon, on va au sous-sol.

- Mais je n'ai rien fait!

La pauvrette, elle se souvient de ce que je lui ai fait subir en-bas. Je ne vous l'ai pas raconté, mais je vous laisse imaginer. De toutes les façons, ce que je vais infliger à Clara vous en donnera une bonne idée. Quoique j'ai été beaucoup plus doux avec Manon que ce que je compte l'être avec ma compagne. Question de résistance psychologique. Clara étant plus résistante que sa fille. Je fais lever Clara, toujours traumatisé par ses orgasme obtenu par les coups de langues de sa fille.

- Je viens?

- Oui, Manon, je vais avoir besoin de toi.

Ma belle-fille ne répond rien, se contentant d'acquiescer de la tête. J'enfile quand même mon caleçon et un tee-shirt, tandis que les femelles restent nue. On ne sait jamais, on pourrais sonner à la porte. Quand on arrive enfin en bas, Clara reste stoïque, horrifiée par la vision qui s'offre à elle.

J'ai transformé les lieux en véritable donjon de tortures. Pas pour faire du bdsm bon enfant, où la soumise est dressée avant que cela ne commence, étant donné qu'elle donne son accord. Qu'elle connaît ce qui va lui arriver. Non, un vrai dressage. Un truc sans limite, si ce n'est de ne pas faire de marque visible. Comme pour sa fille, je veux que Clara se pisse pratiquement dessus de peur, juste à l'énoncé d'un risque de punition. Ma compagne tente de fuir en se débattant, mais je la tiens fermement. Un coup de poing dans le ventre, la calme rapidement. Je profite de sa douleur, pour l'agenouiller. Je défais ses menottes. Je les attache à une chaîne situé devant elle. Une paire de menottes en acier termine la chaîne. Clara se retrouve avec les bras attachés à hauteur de son ventre. Je me relève et me dirige vers le mur. J'appuie sur une télécommande, et le treuil fixe au plafond fait son effet. La chaîne remonte, Clara se retrouve avec les bras au dessus de la tête. Puis la force du treuil l'oblige à se lever. Quand seul le bout de ses orteils touche le sol, je relâche le bouton. La position est inconfortable, fatigante. Rapidement, elle deviendra douloureuse. En attendant ce moment, je me fais sucer par ma belle-fille. Quand j'éjacule dans sa gorge, Clara à commencer à geindre de douleur depuis longtemps. Avant de passer à la mère, j'ordonne à la fille de regarder tout ce qui va suivre.