Dérapages. 05

Informations sur Récit
Manon et Carla continuent de descendre en enfer.
7.3k mots
4.41
34.1k
1

Partie 5 de la série de 8 pièces

Actualisé 06/08/2023
Créé 11/16/2017
Partagez cette Récit

Taille de Police

Taille de Police par Défaut

Espacement des Polices

Espacement des Polices par Défaut

Face de Police

Face de Police par Défaut

Thème de Lecture

Thème par Défaut (Blanc)
Tu dois Connectez-Vous ou Inscrivez-Vous pour enregistrer votre personnalisation dans votre profil Literotica.
BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

L'histoire que vous allez lire, à pour sujet principal la domination et le sexe non consenti. Certains passage risque d'être choquant ou trop violent pour certains. Si vous n'aimez pas ce genre de texte, ne lisez pas. Sinon ce serais aussi stupide que d'aller au restaurant, commander un gratin d'aubergine, alors que vous détestez l'aubergine, pour dire ensuite que le cuisinier est mauvais et le plat dégueulasse. Pour tout les autres, bonne lecture, et merci à vous de me lire.

Léo : C'est moi, j'ai quarante-cinq ans. Je suis un ancien soldat des forces spéciales. A l'occasion d'une dispute, j'ai violé ma belle-fille. Pour éviter qu'elle ne porte plainte, j'ai décidé de la briser pour en faire mon esclave sexuelle.

Manon : Dix-huit ans. Ma belle-fille. Blonde aux yeux verts. Elle a un corps de rêve, un visage magnifique. C'est ma victime. Elle était totalement vierge quand je l'ai forcée.

Carla : Trente-neuf ans. Aussi blonde que sa fille. Aussi belle, avec un corps plus pulpeux. C'est donc la mère de Manon. Actuellement elle est partie pour trois mois à Londres, pour superviser le tournage du film qu'elle produit avec ses fonds propre. Je l'aime, mais suis assez frustré au niveau cul avec elle. Ma compagne étant frigide, nous ne faisons vraiment pas souvent l'amour.

Jessica : Jess à vingt ans. C'est ma fille. C'est une magnifique brune. Actuellement elle est en vacances chez sa mère pour trois semaines. Sa mère vit au Brésil avec son nouvel époux.

Paul : Quarante-cinq ans comme moi. On se connaît depuis le CP. C'est mon meilleur ami. Il est truand, mais très porté sur le sexe.

Anne : Dix-neuf ans. Rousse pulpeuse, petit amie de ma fille. Un vrai canon, avec tout ce qu'il faut où il faut. Une bombe capable de faire bander un mort.

Hervé : Trente ans, l'adjoint de Carla. Elle lui fait la vie dur au travail. Pour lui comme pour tout ses employés.

Inès : Vingt-sept ans. Jeune avocate qui travaille pour Radiu. Aussi bien dans le droit que dans la prostitution. C'est une belle brune, très bien foutue, malgré ses petits seins.

J'accorde quelques instants de repos à mes deux putes. Manon doit ensuite monter préparer à manger. Moi je baise Carla pendant ce temps. Quand c'est prêt, j'autorise Carla à venir manger avec nous. Si ma belle-fille et moi, mangeons à table, ma compagne doit manger à quatre pattes sur le sol. Une assiette à peine rempli, qui ne la rassasiera pas, mais lui permettra de reprendre un peu de force pour la nuit terrible qui s'annonce. Bien entendu, Manon et moi avons craché et uriné dans la bouffe de ma compagne. Mais elle est tellement affamée qu'elle mange quand même. Une fois le repas finis, je redescend Clara au sous-sol. Je lui met une culotte propre. Je suis obligé de prendre la ceinture et de lui ceindre le dos et les fesses, pour qu'elle accepte de se laisser de nouveau attacher à la chaîne. Bras tendu au dessus de la tête, debout sur le bout des orteils, eux-même bloqué par des anneaux dans le sol. Pour finir le tout, je la bâillonne de nouveau, lui installant encore les électrodes sur les seins et la chatte. Cette fois je vais un peu plus loin, j'installe une tige d'acier dans le vagin et l'anus de ma compagne. Elle recevra donc le courant aussi dans ses orifices, si par malheur pour elle, ma belle s'endort. Je ne vous l'ai pas dit, mais j'ai mis, par pur sadisme, du laxatif et du diurétique dans sa bouffe. La nuit s'annonce extrêmement difficile pour ma pauvre Clara.

Quand à Manon, c'est elle qui va avoir droit à ma bite cette nuit. D'abord je la baise avant manger, sur la table. Puis je l'encule après le repas. Une fois couché, je jouis plusieurs fois dans chacun de ses orifices. Je m'endors facilement, tandis que ma pauvre petite Manon, remplit de sperme, ne dormira pratiquement pas de la nuit. Pourtant, à l'heure voulut, elle me réveille par sa fellation matinale suivi de sa dose d'urine quotidienne. Après une douche et avoir petit-déjeuner, on descend voir Clara. Cette dernière ressemble à une zombie, deux nuit qu'elle n'a pas dormi. Elle a encore souillée sa culotte, beaucoup plus que la veille, grâce au laxatif et au diurétique. Une nouvelle fois c'est Manon qui se colle au nettoyage. Une fois ma compagne propre, je la détache complètement. Je sens qu'elle est au bord de rompre. Je vais l'achever. Je donne à Manon le même sex-toy que la veille. Elle l'enfile. Je vais prendre la ceinture, que je garde à la main, à la vue terrorisée de Carla. Je fais allonger, Manon, sur le dos, sur le matelas. Je lui ordonne de s'empaler sur le gode-ceinture, Carla obéit. Geignant derrière son bâillon, que je m'empresse de lui enlever, afin d'être bercer par la douce musique de ses hurlements. Quand enfin elle est totalement empalée sur le pieu de plastique, ma compagne me regarde, perdue. Je lui fais avaler la fameuse gélule afin d'augmenter sa fertilité, Puis je me décide à lui parler, alors qu'elle est empalée, immobile, sur le pieu de plastique.

- Baise avec le gode.

- Pitié...

Je lui montre la ceinture, la vue de l'objet responsable de son cul et son dos extrêmement douloureux, agit comme un électrochoc sur Carla. Elle se met à monter-et-descendre le long du pieu fiché dans son vagin. Au bout de dix minutes, je la fais s'immobiliser. Je l'oblige à se pencher en avant, l'engin toujours en elle.

- Maintenant tu va décider. Soit tu te laisses faire, et tout se passe bien. Soit tu résiste, à ce moment, je te rattache et je te mets des coups de ceintures sur les seins et le vagin, jusque à ce que tu pisse le sang.

Mes paroles glace d'effroi Carla, qui se rappelle l'horreur de mes coups de ceintures, sur son dos et ses fesses. Lesdits dos et fesses sont d'ailleurs toujours autant violacés par mes coups.

- Pitié... Léo... Tout mais pas la ceinture...

- D'accord, alors obéis, tu vas écarter tes fesses, et me laisser mettre ma bite dans ton cul.

- Non, je t'en supplie... Pas à deux...

- Choisis, la ceinture ou la doublette. Si tu ne te décide pas, si tu parlementes, alors ce sera les deux, maintenant à toi de voir ce qui est le meilleur pour toi.

Carla n'hésite même pas, elle se contente d'écarter ses fesses à l'aide de ses mains. Elle hurlera longtemps, le temps que ma bite force son anus, rendu encore plus étroit par la présence du gode dans son vagin.

Moi j'ai vraiment savouré cette doublette incestueuse. La fille baisant la mère, avec un joli gode, pendant que j'encule cette dernière. L'étroitesse du conduit, les larmes et les cris de ma compagne, m'ont fait jouir très rapidement. Je ne suis pas ressortit, j'ai aussitôt entamé une deuxième sodomie, puis une troisième. Avant de changer les rôles. Carla s'empalant par le cul, sur le gode-ceinture que porte sa fille. Ensuite elle s'allonge sur son enfant, avant que je ne me couche sur ma compagne, et ne lui viole la chatte. J'ai jouis cinq fois dans son vagin, la défonçant comme un malade.

Quand j'ai fini, Carla reprend sa position habituelle quand elle n'est pas attachée, la position fœtale. Elle me murmure un truc que je ne comprends pas, elle pleure tellement que cela en est incompréhensible. Je lui fais répéter.

- Si tu pleures et parle en même temps, je vais avoir du mal à te comprendre.

- Léo... Je n'en peux plus. Pitié, laisse-moi au moins dormir.

- Pourquoi je ferais ça?

- Parce que tu as gagné.

- C'est à dire?

- Je t'obéirais.

- Alors dis-moi ce que tu veux être.

- Je veux être ta pute, ta chienne, ton trou à bites. Mais par pitié, ne me bats plus, laisse-moi également dormir. J'obéirais à chacun de tes ordres. Je serais une meilleure chienne que Manon. Je te le jure, pitié.

- D'accord, dors. Je ferais comme avec Manon, je ne te battrais que pour te punir.

Je l'ai laissé se reposer, ses orifices débordant de mon sperme. Moi je suis remonté avec Manon, prenant au passage une pilule. Il n'est que onze heures, j'ai encore le temps, avant le déjeuner, de me faire plaisir avec ma petite esclave.

Carla a dormi toute la journée, Manon, elle à passée la sienne à se faire baiser et enculer. Vers dix-neuf heures, je l'ai envoyé se lavée. Il fallait que mes deux putes soient propre pour l'arrivée de Radiu. Moi, je suis descendu au sous-sol. Carla dort encore. Je la réveille en la secouant. Elle ouvre des yeux encore embué par le sommeil. Je jette un regard sur mon caleçon. Ma compagne comprend immédiatement ce que je veux. Elle se met à genoux, baisse mon dessous avec ses dents. Mais avant qu'elle ait pu avaler mon engin, je l'arrête.

- Avant de me sucer, serre bien tes lèvres sur mon chibre. J'ai une grosse envie de pisser.

- Léo, pas ça, je t'en supplie.

- Tu oublies ce que tu m'as dis, et ce que tu risques?

- Non, pardon, je vais le faire.

Clara fond en larmes.

- Je te suce de suite après?

- Oui.

- D'accord.

Ma compagne ouvre alors grand la bouche, mettant mon sexe dans sa cavité. Elle resserre doucement ses lèvres pulpeuse autour de mon braquemart. J'ai vraiment envie, je commence à uriner. Je laisse doucement le jet s'écouler. Je ne suis pas complètement un monstre, j'attendrais trois ou quatre pisses pour envoyer un jet dru. Carla, écarquille les yeux, son visage est dégoûtée. Bruyamment, elle retient des haut-le-cœur, mais elle ne vomit pas. Ma nouvelle chienne sait ce qu'il lui en coûterait. Elle avale tout ce qui rentre dans sa bouche, avec des bruits de gorges. Quand j'ai enfin fini mon gros pipi, je sens la langue de Carla qui caresse mon sexe. Avant qu'elle ne fasse monter-et-descendre son visage le long de mon pieu. Elle sait ce que j'aime, puisque ma putain, fait entrer ma chibre jusque dans sa gorge, me faisant une merveilleuse gorge profonde.

Une fois que j'ai fini d'éjaculer directement dans son œsophage, j'autorise Carla à aller se doucher. Cette conne n'arrête pas de me remercier. Faut dire qu'à part Manon et son éponge, ma compagne n'a pas pris une douche depuis mon premier viol. Une fois qu'elle a fini, je la fait revenir sous la douche, avec moi. Je la baise, avant de la faire me laver. Je suis fier de moi, la fille, comme la mère, sont maintenant mes parfaite petites esclaves. Je passe un coup de fil à Radiu. Il me dit qu'il a manger, qu'il passera à vingt-et-une heures. Je mange donc en compagnie de Carla et Manon. Manon à la table, Carla dans son assiette directement sur le sol. Elle doit boire et manger sans s'aider de ses mains.

Mon pote est pile à l'heure, ce que j'apprécie. Je vais ouvrir. On se fait la bise.

- Salut, Léo, comment va?

- Bien, et toi Radiu?

- Parfaitement bien, merci.

- Il me tends deux cartons.

- Tiens pose ça, et rejoins-moi à la voiture.

- Merde, tu es dingue, tu en a ramené combien?

- Cinquante-huit mille, comme cela tu en auras pour pas mal de temps sur Paris.

- Merci, tu es un frère. Laisse-moi te payer.

- Non, ça ne vaut pas grand chose à la fabrication. Il suffisait juste d'un génie pour créer ses pilules. Et ce génie c'est mon ami Jonas.

Une fois que tout les cartons son entreposé dans l'entrée, je propose un verre à Radiu. Je ferme la porte derrière lui.

- Allez, viens boire un coup.

- Merci, c'est avec plaisir. Tu es seul?

Je ne lui répond pas, me contentant d'aller dans le salon. Mon pote me suit, il reste bouche-bée en voyant le spectacle. Carla et Manon, totalement nue, sont debout au milieu de la pièce, les bras le long du corps.

- Putain mon pote, si je m'attendais à cela.

- Oui, c'est une surprise.

- Une bien belle surprise. C'est qui?

- Carla ma compagne, enfin ancienne compagne et nouvelle esclave. Et sa fille Manon, qui est aussi ma putain.

- Merde mon pote, elles sont magnifique.

- Elles te plaisent?

- Putain que oui. Faudrait-être pédé pour que ce ne soit pas le cas. Elles sont dans mon top quatre des plus belles meufs que j'ai vu dan ma vie. Et je peux te dire que j'en ai vu des tas. C'est du top qualité qui bosse maintenant pour moi. J'ai au moins trois cent filles dans six bar, mais à part deux, aucune qui ne leurs arrivent à la hauteur. Je les mets à la troisième et quatrième place.

- Merci pour le compliment.

- C'est sincère mon pote.

- Qui sont les deux première?

- Il y en a une que tu ne connais pas, l'autre, c'est possible que son nom te parles. En numéro deux, Léa, la sœur de mon pote Jonas.

- Celui des pilules?

- Lui-même. En premier et de loin, sa première pute, elle s'appelle Siobanne, c'est une ancienne miss univers.

- Celle des films de cul?

- Elle même.

- Putain, oui, elle c'est vraiment du très très lourd. Je me demande pourquoi elle fait du porno.

- C'est une longue histoire, que je te raconterais quand on aura plus de temps.

- Pas de souci, j'imagine que tu as envie de goûter la marchandise?

- Merde, oui!

- Alors choisit.

- Je vais commencer par la mère, je me ferais la fille ensuite.

- Sans soucis, moi je ferais le contraire. Une pilule?

- Oui, avec plaisir. Même plusieurs, je compte bien profiter de tes petits bijoux.

- Par contre pour Carla, quand tu lui défonce le vagin, tu mets-une capote. Je veux la mettre enceinte. Tu pourras lui faire boire ensuite ton jus de préservatif.

- Ce sera avec plaisir mon ami. Je ne mets pas de capote pour Manon?

- Non, elle est déjà enceinte.

- Félicitations mon ami. Allez, place au test!

Pour tester mes putes, il les a tester. D'abord avec Carla, la baisant et éjaculant dans chacun de ses orifices. Ensuit Manon, lui faisant la même chose. Il les a forcées sur le canapé, moi je suis allé chercher un matelas que j'ai installé sur le sol, au milieu du salon. Quand il en a eut fini avec mes deux esclaves, on a pris Carla en double. D'abord lui dans son cul, moi dans sa chatte, avant d'inverser les rôles. On a ensuite fait pareil à Manon. Jouissant chacun dans sa chatte, puis son cul. Ensuite on a obligé Manon à se goder dans le cul et dans la chatte, avec deux godemichets de vingt centimètres. Pendant ce temps, on a pris Carla, d'abord à deux dans la bouche. Lui déboîtant la mâchoire. Ensuite à deux dans la chatte, lui déchirant le vagin. Avant de finir à deux dans le cul, le lui fissurant méchamment. Inutile de vous dire que les hurlements de Carla on largement dépassé, ceux pourtant intense, de Manon. On les à laissés tranquille au petit matin. Leurs orifices dégoulinant de sperme. On pouvait y ajouter du sang à ceux de Carla.

On est tellement vidé, que l'on a plus la force de bougés. Radiu à dormit sur le canapé, moi sur le matelas. Mes deux putains, elles, à même le sol. Quand je me réveille, les trois autres dorment encore. Je regarde l'heure, il est quinze heures. Il va falloir que j'appelle Hervé, l'adjoint de Carla pour lui dire que finalement je ne passerais pas. Mais avant ça, un peu de fun. Je réveille d'abord mes deux chiennes. Avant de faire réveiller Radiu par Carla. Je suis allongé, Manon est en train d'avaler ma bite. Je lui caresse les cheveux.

- J'ai d'abord envie de pisser.

Manon ne dis rien, se contentant de serrer ses lèvre autour de mon pieu. J'envoie l'urine, dieu que cela fait du bien. Je regarde en même temps Carla qui vient d'avaler le sexe de Radiu. Ce dernier se réveille aussitôt, sourire aux lèvres.

- Sympa le réveil chez toi!

Il repousse la tête de Carla, qui me jette aussitôt un regard pour voir si je suis énervé.

- Par contre je vais d'abord aller pisser.

- Te fatigue pas, cette chienne fait aussi pissotière.

- Quoi?

- Tu peux lui uriner directement dans la bouche, ne te gêne pas. Surtout que quand tu auras fini, elle passera directement à la pipe.

- Si c'est comme ça chez toi, j'achète.

Carla reprend le braquemart de Radiu dans la bouche, serre ses lèvres autour, elle avale directement le jet quand il commence à uriner.

Une fois que l'on a éjaculé dans la bouche de nos putains respective, j'envoie les filles préparer le petit-déjeuner, après qu'elles ce soient brossées les dents. Même si il est quinze heures trente, pour nous, c'est le matin. Radiu va prendre sa douche en premier, je la prend ensuite. J'autorise Carla à prendre son petit-déjeuner à table, ce ne sera valable que pour ça, et ce, tout les matins. Pour le déjeuner et le dîner, ce sera sur le sol.

- Vraiment bravo, en plus d'être sublime, d'avoir un corps parfait, tes petites putes sont vraiment bien dressées.

- Pour Manon, je peux te le confirmer, pour Carla c'est vraiment récent, je ne sais pas si son dressage est totale.

Les filles sont humiliées que je parle d'elle comme cela, mais elles savent très bien que j'ai raison.

- Je peux te dire que si. Elle ne se rebellera pas. J'ai eus tellement de putes dressées, que je sais quand elles sont bien en mains.

Il caresse la cuisse de Carla.

- N'est-ce-pas, petite chienne?

- Oui monsieur.

Radiu me regarde en souriant.

- D'ailleurs j'ai un service à te demander.

- Avec toutes les pilules que tu m'a offerte, je ne peux rien te refuser.

- C'est sympa. Voilà, tu parts dans combien de temps à Paris?

- Maximum trois mois.

- Parfait, en attendant, ça te dirais qu'elle vienne faire les putes dans mes bars? En sachant que je t'enverrais une ou plusieurs de mes putains pour les remplacer.

Manon et Carla me regarde choquée, espérant que je dise non. Je réfléchis. En fait je fais semblant, pour faire durer le suspens auprès d'elles.

- Oui bien sûr, je dirais quatre jours par semaine. Par contre, pour Clara, toujours la capote pour les pénétrations vaginale.

- Cool ça. Bien entendu pour les capotes. Tu es vraiment un frère. Je veux impressionner mon associé. C'est lui qui ramène toutes les putes, pour une fois ce sera moi, des chiennasses parmi les quatre plus belle en plus. Merci, vraiment.

- Pas de soucis mon pote. C'est un juste retour d'ascenseur.

- Cool. Tu veux quel type de prostitution. Putes normale ou à l'abattage?

- Je sais pas, tu me conseille quoi?

- Je te laisse décider. Pour la pute normale, c'est maxi cinquante passes dans la nuit. Pour l'abattage, ça peut arriver à deux cents. Les mecs passant souvent par cinq.

Manon et Clara sont horrifiée par le nombre.

- Alors je dirais deux jours putes normales, et deux jours d'abattages.

- Bon choix mon pote. Quel jour tu me les envois?

- Du lundi au jeudi, ça te va?

- Vendu, on est jeudi,on peux les faire commencer lundi prochain. Ça leurs laissent le temps de digérer l'info.

- D'accord mon ami. Comment on fait?

- Je passe les prendre lundi soir, à dix-huit heures. Je t'emmènerais de quoi passer le temps en leurs absences. Tu en veux combien?

- Une seule me suffira amplement. Si j'en veux plus, je te le dis.

- Parfait.

- Par contre, elles ne vont pas être trop élargies de leurs orifices après ça?

- On bosse avec un gynéco qui vient d'inventer un procédé révolutionnaire de reconstruction anale et vaginale. Il utilise de la génétique, il rend les filles aussi étroite qu'à dix-huit ans. Il arrive même à faire repousser un espèce d'hymen. C'est un truc de dingue.

- Oui, c'est OK pour l'opération. Par contre ce sera l'un après l'autre, je ne veux pas rester trop longtemps sans en baiser aucune.

- C'est ça qui est génial, c'est ambulatoire. Aucune douleur, aucune conséquence. Elles entrent à dix heures, à quatorze elles sortent, et tu peux les baiser et les enculer de suite.

- Merde, c'est dingue les progrès de la médecine.

- Oui, surtout que là, ça sert bien à nos putains. Bon je te laisse, il est l'heure de partir.

Je lui fais la bise. Décidément, Radiu est vraiment un frère.

Une nouvelle fois je regarde l'heure. Il est seize heures trente. J'ai finalement le temps d'aller voir Hervé. Je dis aux filles de nettoyer la villa de fond en comble en attendant mon retour. Si des fois elles ont finis avant que j'arrive, alors, elles peuvent se reposer. Je prends ma voiture pour y aller. Je ne sais pas pour combien de temps j'en ai. La société de ma compagne, se trouve dans un petit immeuble de quatre étages, appartenant entièrement à ma femme. Le rez-de-chaussée est composé de la réception et de la salle d'attente, grande et luxueuse. Derrière le comptoir de l'accueil, il y a deux jeunes femmes. Elles sont superbes. Ce sont les seules femmes de l'entreprise avec les deux réceptionnistes du matin. Les deux étages suivant sont ceux des employés. Trente personnes, exclusivement des hommes. Le dernier est celui de la direction. Les deux-tiers sont dédiés au bureau de ma compagne. Le reste est dédié au bureau de Hervé, sont adjoint, celui du directeur RH, et celui du directeur financier. Je m'approche de l'accueil. La réceptionniste vers qui je me dirige, une jeune brune de vingt ans environs me fait un superbe sourire. La seconde, une splendide blonde, tout aussi jeune est au téléphone avec un fournisseur. Je fixe dans les yeux la jeune femme.