Deuxième Place 02

Informations sur Récit
Terri change de travail pour servir sa rivale.
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Partie 2 de la série de 8 pièces

Actualisé 06/08/2023
Créé 07/28/2017
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Deuxième place -- 2ème partie

Traduit de "Second Place" de Terri Madison

Terri attendait nerveusement dans le bureau de Danielle avec impatience. Il était 3 h 10.

Comme lui avait ordonné Danielle, elle était retournée travailler après l'humiliant déjeuner où elle avait souffert aux mains de sa Némésis. Elle était allée aux archives de son entreprise et avait signé le retrait des documents exigés par Danielle. Elle les avait photocopiés, puis les avait remis à leur place. Elle avait ensuite quitté son travail de bonne heure pour se rendre à son rendez-vous avec sa rivale.

En marchant, elle fit le point sur sa situation. Elle s'était mise dans un sacré pétrin... Sa pire ennemie avait une cassette vidéo d'elle, une femme heureuse en ménage, qui volontairement et comme une vraie traînée se faisait baiser par deux inconnus. Pour couronner le tout, elle venait de se rendre coupable d'espionnage industriel et allait fournir des informations confidentielles sur leurs clients à une entreprise concurrente. Et bien sûr, il y avait la rivalité personnelle que Terri entretenait avec Danielle.

Terri avait tenté d'imaginer jusqu'où Danielle était capable d'aller pour la faire payer. Elle semblait avoir planifié un plan très élaboré avec une minutie exemplaire. Terri n'avait pas aidé son cas en plongeant tête la première dans le piège.

La jeune femme espérait que Danielle voulait juste la faire mijoter quelque temps, après quoi elle s'arrêterait.

Pour le moment, Terri attendait, espérant que toute cette histoire n'avait eu pour seul but que d'obtenir les documents qu'elle avait rassemblés dans la chemise posée sur ses genoux. Même si elle était certaine que sa rivale allait en profiter pour lui en faire baver quelque temps. En jetant un œil sur les murs du bureau, elle remarqua qu'accroché discrètement parmi les diplômes et honneurs, il y avait aussi la grosse rosette "2e place" que Terri lui avait envoyée pour se moquer d'elle. Elle commençait à regretter pas mal des vacheries qu'elle avait faites tout au long de ces années.

Ses pensées furent interrompues par l'entrée de Danielle.

« Salut, Terri! je suis contente que tu aies pu venir. Tu as ce que je t'ai demandé? » Terri souleva la chemise kraft pour toute réponse. « Formidable! Je vais la prendre. Tu n'as pas eu de problème pour avoir les documents?

— Non, murmura Terri en offrant la chemise.

— Parfait. Je savais pouvoir compter sur toi.

— Danielle... heu... Madame? Je voulais vous dire que, eh bien, je sais que je n'ai pas toujours été sympa avec vous, et que, j'ai pu faire des trucs qui étaient un peu vaches et pas tout à fait professionnelles, et je voulais dire que j'étais désolée, bafouilla Terri.

— C'est fantastique, chérie! répondit dédaigneusement Danielle pendant qu'elle jetait un œil sur les papiers qu'elle venait d'obtenir.

Éclatant en sanglot, Terri se mit à l'implorer : « S'il te plaît, Danielle... Madame... Je suis vraiment désolée pour ce que j'ai fait. Mais j'aime vraiment mon mari et cette cassette vidéo pourrait ruiner mon mariage, tu ne voudrais pas détruire mon mariage, hein, s'il te plaît? Je suis désolée pour les choses que je t'ai faites. Je ferais tout pour me faire pardonner. Je le jure. » La jeune femme d'affaires était en pleurs.

Sa rivale, cependant, semblait à peine l'entendre. Elle était bien plus intéressée par la paperasserie devant elle. « C'est de super informations qu'il y a là, Terri, j'apprécie vraiment ça! Surtout quand on sait toutes les lois que tu as violées juste pour me donner ces renseignements... » Elle ralentit, s'assurant que Terri saisisse bien la situation.

« Que... qu'est-ce qui va m'arriver? » se mit geindre Terri, sanglotant sans retenu.

Là-dessus, Danielle reposa la chemise et accorda son attention complète à Terri. « Ah. Que va-t-il arriver à la douce Terri... Oh, c'est tout simple. Je vais te dire de faire des choses. Et tu vas les faire. Et moi, je ferais ma part, en ne laissant personne connaître tes... hum... imprudences.

— P... Pour combien de temps? murmura Terri horrifiée.

— Aussi longtemps que je voudrais continuer. Je n'ai aucune idée du temps que ça durera. Combien de temps m'as-tu persécutée, MOI? Vingt ans au moins? » Danielle se réjouissait de la peur de Terri, elle s'en repaissait. « Aujourd'hui au déjeuner tu m'as bien servi. Mais je réalise que tu n'as rien eu en retour. Alors maintenant je vais te donner l'opportunité d'avoir une compensation. Enlève tes vêtements. »

— Non merci, Madame... Je n'ai pas besoin de...

— Ce n'était pas une requête. Retire tes vêtements, TOUT DE SUITE. » Pour mettre les points sur les i, Danielle posa la main sur son téléphone. « Est-ce que je dois appeler le service juridique de ta société, ou ton mari? Ou directement la police? Un choix difficile. » Elle sourit alors que Terri se débarrassait de son blazer, de son chemisier et de sa jupe. Alors qu'elle allait enlever ses escarpins, Danielle lui dit qu'elle pouvait les garder.

Danielle lui offrit un siège. « Ne te couvre pas, chérie, » fut-elle grondée alors que Terri mettait son bras devant ses seins, et cachait sa chatte de sa main. « Je suis sûre que TOUT LE MONDE veut voir ton corps "supérieur"! Moi, la première, je suis TRÈS jalouse! Ne croise pas les jambes. Écarte-les. »

Amenant une boîte rectangulaire sur le bureau, Danielle l'ouvrit et en montra le contenu à la jeune femme nue. « Tu le reconnais? » demanda-t-elle gentiment.

C'était le cas. Quand elle avait gagné l'affection d'un certain Bobby Marshall à la fac - dont Danielle était aussi amoureuse - Terri lui avait envoyé ce paquet avec une note : « Je me suis tapé Bobby, et c'est un peu près la même taille. J'espère que tu apprécieras, cocotte!!! »

« Je l'ai apprécié - plusieurs fois, se rappela Danielle. Je le sortais pendant mes nuits de déprime... Tu sais, après que tu m'aies piqué un petit ami, ou un contrat. Je faisais travailler ce petit gars, je lui faisais faire des va-et-vient dans mon con, et je fantasmais sur le jour où je le prendrais et te l'enfoncerais dans ton cul, finit-elle calmement.

— Danielle... S'IL TE PLAÎT!! Je suis désolé pour tout ça! Mais c'était il y a longtemps! JE T'EN SUPPLIE, je ne suis plus comme ça... »

Danielle se mit à rire. « Ma chérie, qu'est-ce que tu racontes? Tu étais comme ça ce matin! Tu ne te souviens pas? La façon dont tu as dit "Barre-toi de là, deuxième place, et regarde comme une pro travaille?" Alors tu aurais eu une "révélation" ce matin??? » Pensivement elle faisait tourner le gode dans ses mains. « Je vais peut-être bien te le fourrer dans le cul. Mais pour le moment, je veux juste que tu t'amuses sainement. Monte sur le bureau. »

Terri y grimpa sagement.

« Étends-toi sur le dos. En face de la fenêtre. Maintenant, écarte les jambes. » la jeune femme obéie. C'était un régal pour les yeux, et Danielle, une bisexuelle active savait l'apprécier. Elle donna le gode à Terri et lui commanda : « Baise-toi avec. Glisse-le dans ta fente. Je peux voir que tu es déjà mouillée. » C'était vrai. Malgré l'épouvantable humiliation que ressentait la femme d'affaires, elle était aussi excitée par cette situation, le gode coulissa facilement.

Danielle aurait adoré rester en face de Terri et admirer le spectacle. Elle aurait même sacrément eu envie d'y participer. Mais elle avait du pain sur la planche. Laissant Terri se débrouiller toute seule, elle saisit la chemise kraft et prit un siège de l'autre côté du bureau, elle s'absorba dans la lecture des documents.

Terri faisait aller et venir le gode dans sa chatte, faisant exprès d'occasionner une quantité de bruits obscènes et juteux. Si elle était contrainte de s'humilier comme ça, autant en profiter pour empêcher l'autre garce de se concentrer sur son travail. Par moment, Danielle levait le nez des papiers et lui ordonnait : « Plus vite. » Terri avait changé de mains plusieurs fois, et les deux commençaient à rapidement se fatiguer.

« Combien de temps... » se risqua à demander Terri.

Danielle lui rétorqua vertement : « Jusqu'à ce que je te dise d'arrêter, salope! Ou tu PRÉFÉRERAIS te le mettre dans le cul?

— Non, Madame, » marmonna la jeune femme redoublant d'efforts avec le godemiché. Elle était TRÈS excitée. Ses tétons étaient durs comme du roc, et elle commença à utiliser sa main libre pour les caresser. L'autre femme ne fit pas un geste pour l'arrêter.

Jetant un œil à la fenêtre Terri vit -- des PIEDS??? Elle réalisa qu'elle voyait la plateforme des laveurs de vitres, et qu'ils étaient en train de s'occuper de la fenêtre de l'étage au-dessus.

Le sang de Terri ne fit qu'un tour quand elle prit conscience que la plateforme descendrait à CET étage juste après, et que les laveurs de vitres auraient une vue nette et directe sur elle en train de se masturber.

« Danielle... Je veux dire, Madame... implora Terri. À son crédit sa cadence avec le gode n'avait pas faibli.

— Oui? répondit Danielle toujours submergée par la paperasse.

— Dehors, à la fenêtre... les laveurs de carreaux...

— Eh bien? Ils sont là chaque semaine. On ne lave pas les vitres dans ton entreprise?

— Mais... ce sont des INCONNUS... ils vont voir... protesta Terri.

— Tu m'excuses, mais je suis en train de lire là, » s'agaça Danielle.

C'est alors que la plateforme descendit à leur étage. Comme le craignait Terri, les trois hommes la virent tout de suite. La jeune femme n'avait pas d'autre choix que de continuer à se faire farcir avec la bite en plastique. Inutile de dire qu'aucune autre fenêtre n'allait être nettoyée aujourd'hui.

Levant les yeux de son travail, Danielle donna des instructions à Terri « Mets-toi à quatre pattes. Tringle-toi en levrette avec la bite en plastique. Non! Place-toi face à eux. Je veux qu'ils voient ton expression quand tu te fais sauter la chatte. » Terri fit comme on lui commandait. « Plus vite, plus fort. Je veux qu'ils te voient jouir. » Il y avait des bosses bien nettes dans le pantalon des travailleurs. « Jouis pour eux, Terri. »

Alors qu'elle baisait le gode dans un obscène spectacle d'autoviol, elle sentit que son corps allait la trahir. Elle était, de fait, très proche de jouir. La levrette était sa position favorite pour se faire fourrer, même si elle ne l'aurait jamais admis à personne, et encore moins à sa rivale jurée.

« OOOOOOOOOOOOOOOOHHHHHHHHHHHHHHHHHH!! » s'écria Terri. Des vagues de plaisir lui ravageaient le corps, sa chatte était prise de multiples spasmes alors qu'elle se pistonnait frénétiquement la chatte avec le godemiché. Les sensations étaient si intenses qu'elle finit par lâcher le gode. Elle se fourra alors les doigts dans sa chatte chaude et humide pour avoir quelque chose, n'importe quoi, qui la remplisse. Elle parvint à se donner un deuxième orgasme grâce à ses doigts, puis un troisième.

« Tu peux arrêter maintenant », annonça Danielle. Terri dut se le faire dire deux fois. Quand elle retomba du septième ciel, la situation dans laquelle elle se trouvait lui fut rappelée lorsque, redressant la tête, elle vit trois laveurs de carreaux la regarder avec lubricité. Une humiliation absolue déferla sur elle pour l'engloutir.

« Remercie-les, ordonna Danielle sans même la regarder.

— Quoi?

— Remercie ces hommes d'avoir été un si bon public. »

Regardant les hommes derrière la fenêtre, Terri murmura : « Merci. »

Exaspérée, Danielle leva la tête. « Bon Dieu, qui m'a fichu une bimbo aussi stupide, REMERCIE-LES. Va les voir. Embrasse la vitre. »

Vêtu seulement de ses talons hauts, Terri marcha, hésitante, jusqu'à la fenêtre. Elle posa un léger baiser dessus. « Utilise ta langue... lèche la vitre, » ordonna Danielle. Terri le fit. Les hommes chacun leur tour l'embrassaient à travers le carreau.

« Presse ces nichons dont tu es si fière contre la vitre, » lui commanda-t-elle ensuite. Elle y écrasa sa poitrine 95 D. Les carreaux étaient froids, ses mamelons se remirent à durcir presque immédiatement.

« Reviens au bureau. Assieds-toi sur le bord, et laisse-les te regarder pendant que tu te lèches tes tétons durs, » la dirigea Danielle. « Écarte les jambes. Qu'ils voient ton joli petit con. » Rougissant de honte, Terri suivit les consignes. Même si une partie d'elle-même trouvait cet exhibitionnisme assez excitant, elle fut quand même honteuse en réalisant que sa fente mouillait, tout en souhaitant qu'on lui redemande de jouer avec sa minette.

Mais ç'aurait été trop beau : « Viens ici, Terri, » requit doucement Danielle, tout en écrivant quelque chose sur un bloc-notes. Puis, tendant le calepin à Terri : « Montre ça à ces gentils messieurs. »

Lisant le griffonnage pour elle-même, elle lut : "Seconde représentation ce soir? 8 h, Hôtel Regent, Chambre 1283!" Terri recula choquée.

« Madame... Je ne peux pas!!! Steven m'attend à la maison... Il aura des doutes...

— C'est pas mon problème. Tu vas aller à cet hôtel même si je dois t'y traîner. Et soit tu t'amuseras avec ces hommes... soit j'inviterais quelques-unes de mes amies "particulières" et, crois-moi, elles seront ravies de se relayer pour te fourrer ce gode dans le cul. Alors qu'est-ce que tu choisis? »

Rouge comme une tomate, Terri marcha jusqu'à la fenêtre et montra la note aux hommes. Tous les trois firent expressément et avec enthousiaste signe que, oui, ils seraient là pour se faire servir par belle jeune femme. Finalement, Danielle se leva pour baisser les stores et mettre fin à cette séance d'humiliation.

« Retournons à nos affaires. Assieds-toi, » Danielle lui désigna une chaise en face du bureau, tandis qu'elle-même prit place derrière le bureau. « Oh, chérie, tu as laissé couler de ton jus sur le bureau, là. Tu veux bien me faire le plaisir de le lécher, s'il te plaît? » Terri s'y mit immédiatement, espérant n'avoir rien d'autre à lécher aujourd'hui.

C'est alors que l'on frappa à la porte. « Entrer, » autorisa Danielle. Une femme, un peu près du même âge que Terri ou Danielle ouvrit la porte.

« Je dois partir un peu plus tôt ce soir, pour aller chercher les enfants, expliqua la nouvelle venue.

— Ça ira, Jeanie. Passe une bonne soirée, » répondit Danielle. La femme partit, ne semblant avoir rien trouvé de bizarre à ce qu'une belle jeune femme, entièrement nue, lèche le bureau de sa patronne.

« C'est assez propre comme ça, assura Danielle à l'autre femme d'affaires. Je voudrais que tu me signes ça, dit-elle en passant un papier à Terri.

— Qu'est-ce que c'est? »

— Ta démission de ton entreprise, avec effet immédiat, s'égaya Danielle. J'ai décidé de t'offrir un poste ici!

— Quel genre de poste? demanda Terri méfiante.

— Quelle importance? Tu vas signer ce papier, et tu vas travailler pour moi. Et puis, j'ai besoin d'une nouvelle secrétaire.

— Mais... J'ai des années d'expérience... la fac... bafouilla Terri.

— C'est chouette. Mais tu n'auras besoin de rien de tout ça ici, expliqua Danielle. Maintenant, SIGNE! » ajoute-t-elle d'un ton n'autorisant aucune réplique.

Quel choix avait Terri? Elle signa la démission.

« Super! s'exclama Danielle galvanisée. Je vais m'assurer que notre service du courrier l'envoie tout de suite! Bienvenue à bord! » Danielle était toujours enthousiaste avec ses nouvelles employées. « Tu sais... lui confia-t-elle. Je crois que tu vas être mieux ici que là-bas. Je sais de source sûre que ton ex-société va bientôt filer un mauvais coton... » La nouvelle patronne de Terri tapota la chemise kraft posée sur le bureau et sourit de toutes ses dents.

Terri restait sans voix.

— Eh bien! tu ne dis rien pour remercier ta nouvelle patronne?

— Merci, murmura mollement Terri.

— Allons, un peu de sérieux. Est-ce une façon de remercier quelqu'un qui t'engage malgré ton passé d'adultère et d'espionnage industriel? »

Roulant sa jupe vers sa taille et écartant les cuisses, Danielle donna à sa nouvelle secrétaire sa première tâche officielle : « Ramène-toi ici, à quatre pattes! Sous le bureau, chéri. Tu vas passer beaucoup de temps là-dessous! »

Danielle fit d'honnêtes efforts pour finir certains dossiers. Mais elle n'arrivait à rien. Elle ne s'inquiétait pas pour autant... avec la langue de Terri qui serpentait dans son con, elle allait enfin pouvoir jouir de son travail...

***

***

***

Deuxième place -- 3ème partie

Terri finit par revenir chez elle à minuit et demi, heureuse que cette journée horrible soit finie. Elle venait de quitter l'hôtel une demi-heure plus tôt.

Elle y était arrivée à huit heures comme Danielle lui avait ordonné. Là, elle ne rencontra pas seulement les trois laveurs de carreaux, mais aussi les deux hommes qui l'avaient "violée" elle et Danielle ce matin-là. Ces vêtements lui furent enlevés en cinq seconds chronos, puis elle fut pelotée, enfournée, éperonnée par ces queutards. Ils la prirent en tournante essayant chaque combinaison possible, à l'exception (heureusement, soupira-t-elle) de son trou du cul encore vierge. Par chance, chaque fois qu'un des hommes avait exprimé de l'intérêt pour les plaisirs de la porte arrière elle avait été capable de faire commerce de sa bouche, ses mains, ses nichons ou sa chatte pour le combler. Après tout, elle était une cadre commerciale, et une sacrément bonne!

Sans surprise, les deux "racailles" de ce matin avaient débarqué avec leur caméra vidéo, et il en était résulté encore davantage d'enregistrements de Terri : Terri suçant une queue tout en se faisant prendre en levrette. Terri sur le dos, une bite dans la bouche, une dans chaque main, une entre ses nichons - bonnet 95D- et une lui martelant la chatte. Terri au centre d'un cercle de cinq hommes à la queue bien dure. La jeune femme -vêtue simplement d'espadrilles- allant sur ses genoux d'une bite à l'autre. Terri étendu sur un lit grande taille, les cinq hommes en train de s'astiquer à genoux autour d'elle et finir par la couvrir de leur foutre de la tête au pied. Terri sous la douche, et les hommes passant l'un après l'autre pour se laver et tirer un dernier coup. Finalement après avoir passé une demi-heure sous la douche à essayer de se laver de l'humiliation de s'être fait prendre en tournante, Terri sortit de la douche portant sur elle une des robes de chambre de l'hôtel. Ce fut pour s'apercevoir qu'en l'attendant, les mecs avaient tous déchargé dans une coupe de champagne, un dernier verre pour la route... Terri prenant le verre offert avala les cinq doses de sperme en une gorgée, laissant un petit filet de foutre s'écouler du coin de sa lèvre jusque sur sa joue.

Après que les hommes furent partis, Terri récupéra ses vêtements, pour découvrir que tous les boutons de son chemisier avaient été découpés. Ça voulait dire qu'elle allait devoir tenir serrés les pans de son chemisier à la main si elle ne voulait pas exposer ses seins nus. Heureusement, le hall de l'hôtel était presque vide. De retour dans sa voiture Terri avait trouvé les vitres ouvertes. Regardant au-dedans elle vit l'intérieur parsemé de capotes usagées. Avec une note aussi :

" Chère Terri, j'espère que tu te souviens du nombre de fois qu'ils t'ont baisé, car c'est le nombre de capotes que tu trouveras. Tu ne voudrais pas en manquer une, et risquer que Steven la trouve!

Amitié, ta nouvelle patronne, Danielle. " En pleurs, la jeune femme passa une heure à fouiller la voiture pour chercher les préservatifs remplis de sperme. Cela offrait aux passants une superbe vue sur son cul sans culotte, surtout quand elle se penchait pour regarder sous les sièges (là où la plupart des capotes avaient caché justement.) La voiture sentait le foutre et Terri dut faire un arrêt à la station de lavage pour vaporiser l'intérieur d'air de désodorisant au citron.

De retour en sécurité à la maison, Terri éprouva le besoin de se doucher à nouveau, bien qu'elle pressentit qu'aucune quantité de savon ne la ferait se sentir à nouveau propre. Elle sanglota pendant toute la douche, se demandant comment elle s'était fourrée dans ce pétrin. Après s'être séchée, la femme épuisée alla coucher.

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