Deuxième Place 04

Informations sur Récit
Pour être une vrai bimbo, Terri se fait refaire les seins.
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2

Partie 4 de la série de 8 pièces

Actualisé 06/08/2023
Créé 07/28/2017
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Deuxième place -- Sixième Partie

Traduit de Second place de Terri Madison

Lundi matin

Danielle s'assit derrière son bureau. Comme une mécanique bien huilée, elle sentit sa culotte se faire tirer vers le bas, suivie par la langue de sa secrétaire amorçant sa tâche quotidienne.

« Alors... comment était...mmmmm... comment c'est passé ton week-end? » se renseigna Danielle auprès de la femme sous le bureau. La langue de la secrétaire avait déjà trouvé les points sensibles.

« Bien. » Marmonna Terri entre deux léchouilles. Se remémorant le week-end infernal qu'elle avait vécu, la jeune femme se dit que ç'avait été tout sauf ça.

Vendredi, avant de quitter son travail, Terri s'était fait défoncer le cul par trois hommes différents -- ils l'avaient tous sodomisée avec des verges aussi grosses que le gode de Danielle, ou même encore plus grosses. Elle était ensuite sortie, marchant douloureusement jusqu'à sa voiture, chaque pas lui faisait mal.

À la maison, Terri s'était appliquée à préparer un bon dîner pour son mari, puis à le rendre saoul. Danielle avait déclaré que les vendredis seraient des « nuits à baise ». Ce qui signifiait que chacune de ces nuits, à minuit, elle enverrait une femme différente au domicile de sa secrétaire, et que cette femme baiserait le mari de Terri pendant que la malheureuse regarderait. Terri avait la tâche de rendre Steven suffisamment ivre pour qu'il ne réalise pas qu'une autre femme qu'elle le suçait ou le baisait.

Carrie, la « candidate chanceuse » de la semaine arriva à minuit pile. Elle était plus jeune que Terri et devait être dans ses dernières années d'adolescences ou proche des vingt ans. Son gabarit était similaire, mais ses cheveux étaient d'un rouge vif et ses nichons un peu plus petits. Toutefois Terri doutait que Steven, complètement parti dans le cirage, fasse la différence.

N'ayant jamais vu Carrie dans l'entreprise, Terri supposa que ça devait être une des amies de Danielle. Présumant que c'était CE genre « d'amie », Terri tenta de détourner la fille de son mari :

« Pourquoi est-ce que... toi et moi... sur le canapé... on ne... » commença-t-elle à dire.

Carrie la gifla en pleine face. « Pétasse. Je ne suis pas gouine. Ah, mais je sais ce que tu penses... Je suis une amie de Danielle, alors forcément je suis une gouine? compte sur moi pour le lui dire.

— Non s'il vous plaît... je ne voulais pas...

— Alors, je vais te dire de que j'ai en tête. J'ai entendu que t'aimes de fourrer des trucs dans le cul... » Carrie attrapa une bouteille de vin vide, une de celles que Terri avait fait boire à son époux. « Pendant que je suis dans ton lit à baiser ton mari, tu peux te branler le cul avec ça en nous regardant. »

Terri l'avait fait. Grimaçant de douleur, elle commença à glisser lentement la bouteille dans son trou du cul déchiré, jusqu'à ce que l'autre femme propose de le faire à sa place si elle n'accélérait pas. Terri regarda piteusement Carrie sucer, puis monter son mari. D'une main elle tenait la bouteille de vin, de l'autre elle jouait avec son berlingot. Elle se répétait, encore et encore, qu'elle ne faisait ça que pour atténuer la douleur ; que ce n'était pas de l'excitation qu'elle ressentait à se faire si totalement dominer et humilier. Finalement, Carrie pressa ses seins autour de la queue de Scott et le branla avec ses nichons. Terri aurait dû avoir le cœur brisé que son mari se vide les couilles sur les mamelles d'une inconnue... mais cela n'entraient qu'en lointaine deuxième place comparée à la douleur que son trou du cul si sensible lui faisait ressentir.

Puis Carrie ayant fini, elle descendit avec Terri au rez-de-chaussée. Faisant signe d'approcher à l'épouse, elle lui ordonna, « Nettoie mes seins avec ta langue, » elle ajouta : « Oui, je suis un peu curieuse. Mais tu n'en dis RIEN à Danielle! »

« Mmmm mmmm, » confirma Terri tout en léchant le foutre de son mari des loches d'une étrangère. La femme trompée était surtout reconnaissante de pouvoir se sortir la bouteille du cul. Carrie, pendant ce temps, semblait devenir bien plus excitée qu'elle ne voulait bien l'admettre. Quand elle partit, Terri remarqua la façon dont les tétons durs de la jeune fille saillissaient de son t-shirt, et elle eut le pressentiment qu'elle reviendrait pour de nouvelles expériences.

Samedi matin, Terri fit la grasse matinée. Elle fut réveillée à midi par un appel de Danielle, elle lui indiqua un hôtel où elle devait se rendre dans une heure. Là-bas, elle trouva quatre hommes que Danielle semblait avoir sélectionnés pour leur passion pour la sodomie. Terri, dont le trou du cul était encore très endolori par son « dépucelage » de la veille, essaya désespérément de proposer aux hommes ses autres talents sexuels, mais sans réussite. Ils n'étaient tous intéressés que par une chose, qui était, hélas, la chose qui causait à la jeune femme le plus de souffrance. Cela devint si intense que pendant qu'un des hommes lui baisait l'oignon, les trois autres devaient la maîtriser de force.

Pendant six heures, le cul de Terri endura le martyre. Quand elle fut finalement autorisée à quitter l'hôtel, il lui fallut se rendre chez Scott et Angela. Là, elle dut supporter encore trois heures à se faire pincer et fouetter par Angela, tout en se faisant baiser par Scott. Heureusement, Scott ne s'intéressa pas à son cul.

Dimanche, Danielle laissa sa secrétaire se reposer. Terri pensait qu'elle aurait eu le temps de récupérer ; mais ce lundi matin, son trou du cul semblait encore plus tendre et douloureux que la veille. Elle eut beau essayer, elle fut incapable d'enfoncer le gros godemiché dans son cul pendant sa routine de "sous-le-bureau".

Terri se concentrait sur la chatte de Danielle, espérant qu'en la léchant super bien celle-ci ne remarque pas l'absence de gode dans son derrière. Ses espoirs s'évanouirent rapidement. Après avoir fini sa "tâche", sa patronne lui demanda où se trouvait le gode, et pourquoi il se trouvait ailleurs que dans son cul.

Terri essaya d'expliquer à quel point elle s'était fait limer lors des activités du week-end. L'autre femme ne voulut rien entendre :

« Je t'ai donnée tout un dimanche pour te reposer. Et c'est comme ça que tu me remercies? Attends-toi à une punition pour ça. »

Le reste de la matinée, Danielle ignora à dessein Terri. Elle laissa la secrétaire repenser à ses erreurs, et, plus important encore, la laissa en imaginer les conséquences. Terri essaya de rester occupée, mais quel que soit le travail qu'elle trouvait à faire, Danielle faisait toujours venir quelqu'un d'autre pour s'en occuper, ne laissant à Terri rien d'autre à faire qu'à songer aux horreurs qui l'attendaient.

À midi, Danielle finit par s'adresser à elle. « Il est temps d'aller déjeuner! » Terri réalisa que sa patronne allait lui faire vivre un autre de ces déjeuners humiliant. Danielle ne la déçut pas. En chemin vers le petit restaurant, elle l'informa de ce qu'elle attendait d'elle et Terri en fut horrifiée.

Quand le serveur vint prendre la commande, Terri récita ses lignes presque parfaitement :

— Vous avez des saucisses?

— Elles sont épaisses? Plus grosses que deux de mes doigts mis ensemble?

— Vous avez des concombres entiers?

— Quelle longueur? Ils sont gros?

— Et vos hot-dogs? Je les aime quand ils font trente bons centimètres! Vous pouvez mettre de la

mayonnaise sur le bout?

— J'aimerais une banane fraîche. Je les préfère pas trop mûres. Elles sont plus raides quand elles sont comme ça! » confia-t-elle au serveur avec un clin d'œil.

En s'éloignant, le serveur tenta vainement de placer le menu devant lui pour dissimuler qu'il bandait comme un âne. Terri passa tout le déjeuner sous la table. Quand sa nourriture fut servie, Danielle lui tendit chaque aliment pour qu'elle puisse s'en servir sur elle-même. Le concombre géant fut atroce, mais la jeune femme fut contente de n'avoir à l'introduire que dans sa chatte et pas à un autre endroit qui lui aurait fait bien plus mal.

Tout en s'occupant ainsi, Terri broutait la chatte de sa patronne.

Le dessert fut servi... un pudding au tapioca pour Danielle, et un esquimau pour Terri : « Tiens, voilà quelque chose pour refroidir ta chatte de salope en chaleur, » lui fit remarquer Danielle en déballant l'esquimau. Terri fit bon accueil au dessert glacé, qui élimina une grande partie de la douleur qu'elle éprouvait après s'être éclatée la chatte avec le concombre.

Danielle frotta une grosse cuillérée de pudding blanc sur son con. « Lèche ça, ordonna-t-elle à sa servante. Imagine simplement que tu lèches le sperme de ton mari du trou d'une autre femme... Oh OUIII... c'est d'ailleurs ce que tu referas bientôt... UMMMM ouais...! »

Tout en bouffant sa patronne, Terri tringlait sa chatte avec l'esquimau jusqu'à ce qu'il soit complètement fondu. Elle substitua alors le bâton de l'esquimau par ses propres doigts.

Étonnamment, elles sortirent du restaurant sans que Danielle prostitue Terri à un des membres du personnel. Et le reste de la journée se passa sans autre incident. Alors qu'elle conduisait jusqu'à son domicile, Terri espérait que Danielle avait oublié l'épisode du godemiché absent, ou que l'humiliation au déjeuner était considérée comme une punition suffisante.

Elle se trompait. Plus tard au cours de la nuit, Danielle se présenta chez elle avec Carrie. Les deux femmes offrirent au mari endormi de Terri une double pipe, avec un retournement obscène : Danielle fit retirer à Terri son alliance pour qu'elle le donne à Carrie. Celle-ci la porta pendant qu'elle suçait le mari de la femme mise au supplice. En même temps, Danielle léchait les bourses du mari, plusieurs fois leurs deux langues se touchèrent brièvement. Puis Carrie donna l'alliance à Danielle, qui la glissa à son auriculaire avant de descendre sa chatte bouillante sur le mât dressé de Steven. Bien sûr, on avait dit à Terri de rester au seuil de la chambre et de regarder. Elle pleura quand celle qui était autrefois sa rivale, maintenant sa patronne et pour toute sorte de raison sa propriétaire, porta, SA bague de mariage pendant qu'elle baisait SON mari. Quand Steven jouit, Danielle retrouva son habitude de mener la jeune femme en bas et de se faire lécher le foutre hors sa chatte.

Comme Terri accomplissait sa tâche avec application, Carrie regardait. La jeune fille était clairement curieuse.

« Tu veux te joindre à nous? l'incita Danielle. Je suis qu'on te trouvera une place.

— Non, je crois pas, » répliqua Carrie, bien qu'elle ne quitta pas des yeux le spectacle de la belle

secrétaire la langue fourrée dans la fente de sa patronne.

« Eh bien, si jamais tu changes d'avis, Terri sera ravie de te faire tout ce que tu pourrais imaginer. Pas vrai Terri?

— Oui Madame... marmonna la secrétaire.

— Brave fille. » Danielle se leva et s'habilla. « Maintenant, doigte-toi jusqu'à ce que l'on soit parties. » Les deux femmes se préparaient à rentrer. Terri complètement humiliée et vaincue pleurait tout en glissant ses doigts dans sa chatte pour la millionième fois. Danielle ajouta en souriant : « Et n'essaye pas de nous suivre. » Les deux femmes allaient quitter le foyer conjugal qu'elles contribuaient à détruire, quand Danielle expliqua à son amie, « J'avais toujours voulu dire ça... » Tout le monde trouva ça drôle, sauf Terri.

Ce ne fut que lorsque la voiture disparut dans la nuit que Terri arrêta de se farcir de ses doigts. Et, alors que Danielle était à l'autre bout de la ville, ramenant Carrie chez elle, Terri réalisa que sa patronne avait conservé son alliance.

La jeune femme bafouée se roula en boule dans son lit et pleura jusqu'à s'endormir.

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Le jour suivant, Terri savait qu'elle allait devoir demander qu'on lui rende son alliance. Elle espérait qu'elle n'aurait pas à satisfaire des exigences excessivement douloureuses ou humiliantes pour la récupérer... bien que, si cela s'avérait nécessaire, elle le ferait sans hésiter.

Toute la journée, elle essaya d'avoir un moment seul avec Danielle pour lui parler de son alliance. Mais elle n'eut littéralement aucune occasion de lui en toucher en mot. Dès l'instant où Danielle entra dans le bureau, Terri fut constamment accaparée. D'abord, il y avait évidemment le lapement quotidien de chatte à s'occuper (le gode fermement enfoncé dans son cul cette fois -- la jeune femme avait appris sa leçon.) Puis Terri fut envoyée à travers toute la ville pour effectuer diverses commissions.

Quand elle revint, Danielle était partie pour un long déjeuner ; Jeannie et Angela par contre malmenèrent la secrétaire à tour de rôle. L'envoyant faire la navette entre le bureau du 33e étage et le service courrier du sous-sol, l'obligeant à accomplir des obscénités avec des fournitures de bureau, et d'autres petites choses de ce calibre. Heureusement, Danielle fut de retour avant que les deux femmes ne l'obligent à s'agrafer ses petites lèvres ensemble.

Soulagée, Terri suivit Danielle dans son bureau

« Assis-toi, lui dit Danielle excitée. J'ai quelque chose à te montrer! »

Ça ne sentait pas bon. Danielle sortit des photos 8x10 de mannequins. Il y avait deux images pour chaque modèle, dans des poses identiques. Sauf que, sur les photos #2, chaque modèle avait une plus grosse poitrine.

« Qu'est-ce que tu en penses? Danielle semblait toujours excitée.

— Leurs nichons sont plus gros dans les photos #2... » Proposa Terri

Sa patronne se mit à rire d'elle. « Crétine! Tu es VRAIMENT blonde! C'est parce qu'elles ont des implants sur ces photos! Je déjeunais avec le chirurgien qui a fait ces opérations. C'est du bon travail, tu ne trouves pas?

— Sans doute... mais...

— Alors....Tu en penses quoi? redemanda Danielle. »

Terri n'était pas bien sûre de ce que sa patronne voulait entendre, mais elle se sentait testée. « J'aime... um... je veux dire... vous avez l'air... bien... comme vous êtes...

— Tu es vraiment conne à ce point, Terri, ou tu me fais marcher? s'amusa Danielle. Ce n'est pour moi, idiote... C'est pour TOI.

— Mais... je n'ai pas besoin de...

— Si, tu en as besoin. J'ai fait un sondage improvisé dans le bureau, et 100 % des hommes à qui j'ai posé la question m'ont dit qu'ils aimeraient te voir avec de plus gros nibards. Alors... dit, au revoir au bonnet D.... et bonjour au bonnet F!

— Danielle... s'il vous plaît... j'aurais l'air d'une salope...

— Ma chérie, tout le monde au bureau est d'accord pour dire que tu es la plus grosse salope qu'ils connaissent. Et donc, jubila-t-elle, tu seras une salope encore PLUS GROSSE! Grâce aux merveilles du silicone!!!!

— Pitiée... Non... mon mari...

—... les adoreras, finit Danielle à sa place. Il adorait tes gros nichons quand tu me l'as volé, non? Parce qu'il ne t'a sûrement pas choisi pour ta personnalité.

— Je ne peux pas... c'est cher... il y a une opération... et puis de nouveaux habits... bafouilla Terri à court d'excuses.

— De nouveaux vêtements? Je préfère que tu gardes ceux que tu as. Ce sera si amusant de te voir SEINTURÉ par eux! rit-elle. Quant à l'argent... j'ai fait une petite transaction aujourd'hui qui devrait payer une partie des coûts l'opération. Pour le reste, tu devras le gagner toi-même, en faisant des passes... trois fois par semaine.

— Trois fois...? hoqueta Terri horrifiée

— T'as raison. Quatre ce sera mieux. Quatre fois par semaine.

— Tu vas me transformer en pute! s'exclama Terri stupéfaite.

— Mon cœur, t'es déjà une pute. Tous ces hommes que tu as baisés dans ces hôtels? Ils m'ont tous payée.

— Eh bien, je le ferais plus! Plus jamais! Danielle... Madame... Je dois fixer des limites! » Elle n'arrivait pas à croire qu'elle s'était fait tringler pour de l'argent.

Danielle se leva. « Tu veux fixer des limites? Je vois... Alors, avant que tu ne fixes cette limite, laisse-moi te donner une autre raison pour te faire refaire les seins. » Prenant son sac à main, elle en sortit un petit papier jaune. « C'est comme ça que j'ai eu l'argent pour ton opération. » Terri éclata en sanglots en voyant ce qui était écrit sur ce papier.

« C'est étonnant comme de nos jours les prêteurs sur gage cherchent à nous arnaquer. Combien coûtait cet anneau quand Steven te l'a achetée? Ça devait être autour des trois mille dollars. Ils m'en ont donné à peine la moitié! »

« Donc, continua Danielle alors que Terri s'affaissait, tu iras dans des hôtels quatre nuits par semaine, et tu baiseras tous ceux que je t'enverrai. Ils me paieront à l'avance, mais qui sait? Si tu es un VRAI bon coup, peut-être qu'ils te donneront un pourboire. Et si tu économises suffisamment de pourboires, tu seras peut-être même capable de récupérer ton alliance avant que le prêteur ne le revende. Peut-être - assena-t-elle en réfléchissant à ce qu'elle venait de dire -- qu'elle finira au doigt d'une femme qui sait rester fidèle à son mari, et pas à une paillasse à foutre comme toi! » La patronne fit une pause, savourant son contrôle sur sa chialeuse de secrétaire. « Alors c'est acceptable? Où tu veux encore fixer une limite?

— Non... murmura Terri. Non... je vais... je vais le faire.

— Super. L'opération est prévue demain. » Comme Terri se mit à sangloter à cause de l'argent qui lui manquait, Danielle ajouta, « Tu m'emprunteras ce que tu ne pourras pas payer. Je suis sûre que tu me rembourseras... avec des intérêts. Alors, que penses-tu d'utiliser ta jolie petite langue pour me remercier... » Terri, vaincue, se mit à genoux, mais Danielle ajouta encore une humiliation supplémentaire. « Tu auras droit à quelques jours pour reprendre des forces après l'opération. Puis, on organisera une crémaillère en l'honneur de tes nouveaux nichons. Tu t'occuperas des invitations et tu distribueras les flyers dans tout le bureau. Je te laisserais même libre de choisir l'hôtel où on fera la fête! »

Deuxième place - 7ème partie : Interludes

Steven----

Le mari de Terri, Steven faisait des rêves bizarres. Non pas qu'ils soient le moins du monde déplaisants. Dans ses rêves, des femmes étaient avec lui au lit, soit en train de le sucer, soit en train de le baiser. Dans l'ombre, son épouse regardait de la porte de la chambre, en se masturbant. C'était assez flou, mais il savait à la façon dont elle soufflait qu'elle prenait son pied à regarder. Au cours de leur mariage, il l'avait déjà entendu haleter comme ça, quand il mettait sa langue au bon endroit et s'attaquait sans relâche à son berlingot. Parfois Terri donnait des instructions à l'autre femme ou aux autres femmes sur ce qu'elles devaient faire. Et quelques fois, dans ses rêves, après qu'il ait joui que ce soit dans la bouche ou dans la chatte de la femme partageant son lit, Terri descendait avec la femme et baisait avec.

Steven pensait que son imagination lui jouait des tours. Mais il ne se sentait pas coupable pour autant... Sa femme semblait avoir perdu toute trace d'appétit sexuel. L'autre nuit, il y avait une grande fête chez Scott. La femme de Scott, Angela, était allée au vidéoclub pour choisir ce qui lui semblait "approprié" pour une teuf de mec, puis elle les avait laissés seuls pour qu'ils en profitent. L'actrice porno dans le film avait une ressemblance troublante avec Terri, et après la première scène où la jeune actrice blonde se tapait trois types du courrier, Steven se trouva une excuse et rentra vite chez lui. Il était surexcité, il grimpa dans le lit de sa femme, bandant comme un dingue. Mais elle se contenta de le repousser. C'était devenu la norme.

Terri passait aussi de plus en plus de temps hors de la maison. Quand il lui posait des questions à ce sujet, elle se mettait en colère contre lui, l'accusant de ne pas lui faire assez confiance. Il remarqua aussi -- mais choisit de ne pas l'interroger dessus -- sa nouvelle garde-robe. Des mini-jupes, des camisoles sexy, des robes au dos nues, des soutiens-gorges et des culottes en dentelle, des corsets, des portes-jarretelles, des collants en résille.