Deuxième Place 06

BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

L'on peut rappeler aux femmes ne souhaitant pas devoir attendre pour ce service que Terri la salope de l'entreprise est extrêmement douée à la fois de sa langue et du strap-on.

Pour conclure,

Terri est VOTRE salope, et votre propriété, et est un des formidables avantages qu'il y a à travailler pour une des meilleures entreprises de la ville. Les possibilités quant à son usage ne sont limitées que par votre imagination.

Merci de votre attention, et profitez bien de la salope.

NOTE : Toutes erreurs ou fautes d'orthographe dans ce document devront m'être signalées immédiatement. Je punirais alors Terri, puisqu'elle a tapé ce mémo que je lui dictais. Je dois aussi m'excuser pour avoir publié ce document en retard ; notre salope ne l'a écrit que d'une main, utilisant l'autre pour se doigter sa chatte juteuse. Elle n'a pas arrêté d'avoir des crises de larmes au fur et à mesure, ce qui ne lui permettait pas de taper grand-chose. C'est une bonne chose que Terri soit une si bonne pute avaleuse de foutre et brouteuse de minou, car elle est une secrétaire vraiment nulle. Une autre raison pour ce retard sont les nombreuses "pauses pour inspiration" prenant place entre deux dictées, politesse que l'on doit à la langue affamée et talentueuse de Terri.

Les suggestions et commentaires concernant ce règlement sont les bienvenues. Adressez-les moi au 444-2405, ou passez par mon bureau. Sachez que si la porte est fermée, et qu'un soutien-gorge en dentelle 95 F est accroché à la poigné, cela doit être interprété comme un écriteau : "Ne pas déranger."

****

Chapitre 14 - Le Noël de Terri

Terri-----Terri gara de nouveau sa voiture sur le bas-côté. Pour la huitième fois, elle eut ses yeux submergés par les larmes et ne pouvait plus conduire.

S'essuyant les yeux, elle passe la main vers le siège passager. Elle y prit un petit tas de documents, elle en relut les premières lignes pour confirmer que c'était bien réel. Comme ce l'avait été pour les douze fois précédentes qu'elle les avait lus, toujours incrédule.

La jolie jeune femme s'occupait de ses propres affaires, se préparant pour un nouveau jour d'humiliations aux mains de Danielle. Sa patronne avait été particulièrement cruelle ces derniers jours. Terri avait supposé que c'était dû à la jalousie quand elle avait découvert pour elle et Carrie. Non que Terri eut son mot à dire sur ce que Carrie ou qui que ce soit d'autre pouvait faire avec elle... Mais Danielle s'en prit quand même à elle. Il faut dire que sa patronne avait convoité la jeune rousse pendant plusieurs années sans succès.

Terri s'occupait donc de ses affaires ce matin, quand on frappa à la porte. C'est à ce moment qu'on lui remit les papiers.

Son cœur fut comme arraché de sa poitrine en silicone. Divorce! Steven voulait le divorce! Et c'était entièrement de la faute de Danielle. Danielle l'avait même fait exprès. Certes, elle n'avait jamais mis à exécution ses menaces d'envoyer à Steven des cassettes de certaines des activités extraconjugales de son épouse, mais il aurait fallu qu'il soit aveugle pour ne pas se rendre compte qu'il se passait quelque chose de louche. Il y avait sa nouvelle garde-robe vulgaire et choquante, qui aurait fait honte à une call-girl. Il y avait les hommes qui l'appelaient le soir et demandaient Terri. Il y avait Terri elle-même, qui sortait chaque nuit et ne rentrait qu'au petit matin se glissant silencieusement dans le lit, et qui était toujours trop fatigué pour faire quoi que ce soit avec son mari. Tout ça, elle le devait à Danielle. C'était Danielle qui l'avait transformée en call-girl. Danielle qui gardait Terri après le travail pour lui faire pratiquer longuement des exercices à sa langue jusqu'à ce qu'elle soit satisfaite. Danielle qui un jour escorta Terri jusqu'à une aire de piquenique, et lui fit brûler tous ses vieux vêtements dans un feu de joie... il n'y eut plus que des habits de pute vulgaire pour Terri! Danielle qui s'arrangea pour que son amie Carrie ait un poste d'intérimaire dans l'entreprise de Steven. Carrie...

Carrie ----- Dans sa voiture garée de l'autre côté de la route, la jeune femme observait la maison. Elle avait vu l'auto arrivée et un homme en costard d'avoué en descendre. Elle l'avait vu aller jusqu'à la porte de la maison et frapper. Elle l'avait vu délivrer une enveloppe kraft à la femme qui avait répondu, puis il s'était retourné et avait marché à vive allure jusqu'à sa voiture, ignorant les questions que la jeune femme lui criait de plus en plus fort. La bimbo l'avait poursuivi jusqu'à sa voiture, hurlant, exigeant une explication. Elle avait observé l'homme repartir, et elle remarqua qu'il avait arrêté sa voiture dans un virage, un bloc plus loin, hors de vue de l'épouse sanglotante et qu'il se mit à remplir quelques papiers. Carrie vit aussi la secrétaire titubante rentrer chez elle en état de choc. Carrie envisagea sérieusement d'entrer dans la maison et de violer l'esclave, pour accentuer son chagrin et l'humilier encore plus. Mais finalement elle décida de laisser les choses en l'état. Environ trente minutes plus tard, la porte de la maison s'ouvrit de nouveau, et la salope qui était mariée au fiancé de Carrie monta dans sa voiture et conduisit, les yeux pleins de larmes.

Carrie sortit alors de sa voiture et alla à la porte d'entrée. Elle chercha un moment jusqu'à trouver la clef qu'elle savait cacher là. Elle pénétra dans la maison vide, et se dirigea vers la penderie de Terri. (Que ferait ma belle-épouse? ricana la salace intérimaire.) Au fond de la penderie, elle trouva l'objet qu'elle cherchait, enveloppé dans un plastique du pressing et n'ayant pas été porté depuis plusieurs années. Déchirant le plastique, Carrie se mit nue et commença à s'habiller du vêtement qu'elle venait de piocher.

Puis la briseuse de ménage s'étendit au milieu du lit, vêtu de la robe de mariée blanche de Terri. Elle se masturba, attendant que son homme rentre à la maison.

Danielle --------- Danielle essaya de se concentrer sur la paperasse en face d'elle. Elle trouvait ça de plus en plus dur à cause de ce que Terri faisait sous le bureau. Prenant une grande respiration la jeune femme d'affaires se força à se concentrer sur les pages et les pages de contrat... et d'ignorer la langue qui travaillait de façon siiiiiiii experte là-dessous.

Il aurait été sans doute plus facile de demander à la secrétaire d'arrêter, et de remettre à plus tard sa "pause crapuleuse". Mais la jeune assistante avait eu un comportement DÉPLORABLE dernièrement et Danielle était déterminée à la remettre sur le droit chemin. Un regard sous le bureau lui confirma que sa secrétaire se défonçait le cul avec application grâce au godemiché de vingt centimètres qu'elle lui avait fourni.

Le comportement de Terry depuis trois jours nécessitait une rectification. Ainsi quand il avait été décidé de décorer les bureaux pour la période de Noël. Tout le département s'était arrêté de travailler pour voir la bimbo de l'entreprise, vêtue d'une mini-jupe noire, grimper sur un escabeau et accrocher les ornements et décorations au plafond. Une fois la tache accomplit, Terri avait filé à son bureau, ne remarquant pas le gui qui avait été accroché au plafond directement au-dessus de sa place. Il lui fallut toute la journée pour comprendre pourquoi les hommes (et quelques femmes) du bureau n'arrêtaient pas de l'agripper et de lui fourrer brutalement leur langue dans la bouche. La bimbo retira ensuite le gui du plafond, se faisant réprimander par Danielle, qui lui ordonna de le remettre, puis de retirer sa culotte pour l'y accrocher à côté. Suivant cet épisode, beaucoup de pelles furent accompagnées de mains s'aventurant sous sa jupe.

Et ce matin, la bimbo idiote était en pleurs depuis qu'un huissier lui avait rendu visite pour lui notifier que Steven demandait le divorce. Danielle et Angela avaient alors cruellement passé toute la matinée à décrire cela comme de leur "Cadeau de Noël en avance". Terri avait fini par exploser, déclarant qu'elle ne supporterait pas plus longtemps le chantage de Danielle.

Danielle avait poliment rappelé à sa délectable servante toutes les activités illégales qu'elle avait commises : de l'espionnage industriel jusqu'à la prostitution. Tout en évitant de mentionner que c'était elle qui avait contraint Terri à faire toutes ces choses. Comme Terri ne se calmait pas, Danielle avait alors apporté les cartes de vœux.

Les "cartes de vœux" consistaient en des cartes de bonne année plutôt ordinaires, chacune avec une "Saison de vœux" en relief. À l'intérieur, de manière plus originale, chaque carte contenait une photo unique. Et chaque carte était destinée à une connaissance de Terri. Il y avait des photos de Terri se masturbant, à moitié habillée de son blazer de femme d'affaires -- - adressé à différents collègues et ex-associés. Une photo de Terri, douchée de sperme et de sueur, des bites dans chaque trou était adressée à sa grand-mère à Phoenix. Un paquet complet de photo destinée à son bientôt ex-époux, documentait ses activités extra-maritales, où on la voyait se faire tringler par des douzaines d'hommes et de femmes. (« Le juge des affaires matrimoniales trouvera ça TRÈS intéressant », remarqua Danielle.)

Danielle avait menacé d'envoyer les cartes de vœux, et c'est alors que les supplications, les demandes de pitié, les pleurs et les excuses avaient commencé. Alors que la langue de Terri œuvrait sur sa fente, la maléfique femme se dit que ce qui lui plaisait le plus dans le fait d'avoir Terri comme assistante était les moments où elle se mettait à genoux pour supplier, demander pitié, pleurer et s'excuser. Cela plaisait d'autant mieux à la femme d'affaires qu'elle était sûre qu'il y en aurait encore plus ce soir, quand Terri verrait Danielle poster les cartes de vœux, pour de vrai.

Enfin de compte, quand la nuit sera finie, s'amusa Danielle, la vie toute entière de Terri aura été détruite. Steven aura pris possession de leur maison -sous l'insistance de Carrie- qui, en ce moment même, y déménageait ses affaires et se débarrassait brutalement de celles de Terri. Son ancienne ennemie se retrouverait sans domicile, cependant... elle s'installerait chez Danielle! Qui allait pouvoir utiliser la bimbo ruinée jusqu'à ce qu'elle se fatigue de ces jeux... Quand elle en serait à ce point, Terri serait empaquetée dans une caisse et transbahutée jusqu'à un de ses contacts au Moyen-Orient ou la malheureuse jeune femme passerait le reste de son existence comme esclave de harem.

Mais ce serait pour plus tard, après tout la nouvelle année n'était même pas encore arrivée. Carpe Diem, se tança la perverse femme d'affaires pour elle-même.

Les pensées de Danielle se tournèrent alors vers la fête de Noël prévu pour ce soir. Il y aurait plein de bouffe, de boissons et de cadeaux pour tous. Le père Noël ne pourrait pas venir, étant très occupé, mais le bruit courrait qu'une de ses elfettes pourrait se joindre à la fête. Une elfette très salope, avec une mini-jupe verte, assortie à son string vert et son soutien-gorge 95F rouge qui finirait très vite sur le sol, oubliée pour le reste de la soirée.

Cette fantaisie à venir, accompagnée des coups de langue intensifs qu'elle recevait de Terri depuis quelques heures la firent jouir. Le premier orgasme de la soirée, beaucoup suivraient...

*****

Chapitre 15 : L'interview-

« Il est temps de faire ton compte-rendu mensuel, Terri. La salle de conférence "C" sera très bien pour ça, d'accord?

— Oui Madame. » Terri posa le magazine Hustler qu'elle lisait.

Danielle se tourna pour se rendre dans la salle de conférence vide. Terri la suivit servilement quelques pas derrière elle.

La jeune vice-présidente de l'entreprise prit un siège. « Ferme la porte, veux-tu? » La bimbo obéit et prit un siège elle aussi.

« T'ai-je dit de t'asseoir? l'interrogea Danielle, tranchante.

— Non Madame, » Terri se dépêcha de se remettre debout, encore plus nerveuse.

Danielle était satisfaite d'elle-même. Elle aimait toujours commencer ces réunions en déstabilisant son assistante. Mais extérieurement, elle ne montrait que son dédain.

« Je ne sais pas quel est le problème avec toi, Terri. On a ces réunions depuis huit mois. On pourrait croire que maintenant tu en connaîtrais les règles.

— Oui Madame.

— Bien, MAINTENANT tu peux t'asseoir. Tu connais la position à prendre... »

Terri la connaissait. S'avachissant au fond de sa chaise, elle écarta en grand ses jambes et les posa sur la table de conférence en bois. Relevant le bord de sa jupe, elle glissa timidement un doigt dans sa fente. Le siège de Danielle avait la position idéale et elle pouvait facilement voir que Terri était déjà mouillée.

« Biiiiieeeennn. Très jolie. Maintenant... discutons de savoir si, oui ou non, on te garde ici. » Le ton de sa voix était de mauvais augure. Si Terri était renvoyée, Danielle enverrait des documents aux flics. Des documents sensibles, comme ceux indiquant que Terri avait volé son ancienne boîte. Des cassettes vidéo de Terri vendant son corps pour de l'argent. Des numéros de compte bancaire dans des paradis fiscaux au nom de Terri. De la drogue...

Terri frissonna, elle se remémora un incident peu après que Steven ait demandé le divorce et l'ait jeté hors de leur maison. Cette garce de Carrie avait alors persuadé Steven d'obtenir une ordonnance restrictive contre Terri. (Danielle y avait "aidé" en passant de nombreux coups de fil au patron de Steven en se faisant passer pour Terri et en crevant les pneus de la voiture de Steven.) Terri avait alors déclaré à Danielle qu'elle « en avait marre » et qu'elle partait, estimant que tout ce qui avait de l'importance pour elle lui avait déjà été enlevé. Et elle s'aperçut qu'elle se trompait lourdement ; Alors qu'elle sortait du parking à toute allure, elle reçut un appel sur son téléphone de voiture : « Regarde dans ton coffre, » l'avait pressé la voix de Danielle, puis un (click). Terri s'arrêta et découvrit dans sa roue de secours un petit sachet plastique contenant de la poudre blanche. Fouillant le reste de sa voiture, elle trouva plusieurs autres sachets. Danielle avait rappelé.

« Mes prochains appels seront pour les Stups et la police. » Terri était donc revenue complètement abattue au bureau, et avait passé le plus clair des 24 heures suivantes entre les jambes de sa patronne à l'implorer de pouvoir récupérer son boulot.

« Dooonncc... commença Danielle. Aujourd'hui est un jour PARTICULIER pour toi, non? »

Terri ne répondit pas. À la place, elle regarda son bourreau avec un mélange de haine pure et de sentiments blessés.

« Pourquoi est-ce une occasion PARTICULIÈRE? pressa Danielle

— M-mon.... d-d-div.... D-DIVORCE.... » La jolie jeune femme en eut la voix brisée, et elle commença à sangloter sans pouvoir s'arrêter. À l'autre bout de la table, la maléfique femme se félicita silencieusement. Ça lui prenait d'ordinaire trois bonnes minutes pour que la petite garce se mette à piquer une crise de larmes. Mais aujourd'hui était un jour très éprouvant pour Terri. Son mariage était maintenant légalement et officiellement mis à la benne à cause de sa perverse et rancunière patronne. Danielle se régalait, elle voyait la petite traînée vivre une montagne russe émotionnelle. Et les ballons, les fleurs et le déjeuner-surprise l'avaient probablement encore plus chamboulée.

« Ahhhh.... oui. Ton divorce. Eh bien. Je crois que c'est ce que tu mérites pour être un dépôt à foutre sur patte. Bon, on commence?

— Co-comme vous voulez... renifla Terri

— Je vois que tu t'es encore rasé la chatte, Terri. » C'était vrai, son con était complètement glabre -- en contradiction directe avec les ordres de Danielle qui lui avait demandé de se laisser pousser les poils et de les teindre en noir, pour que tous ceux qui la voient nue pensent que la bimbo était une fausse blonde. Cependant Scott, un de ses collègues, lui avait ordonné de se raser la chatte. Danielle, bien sûr, le savait. Et elle savait aussi que Scott avait ordonné à Terri de ne pas avouer qu'elle y avait été contrainte. Cela ne l'empêcha pas de sauter sur l'occasion pour faire des misères à la jeune femme.

« Terri... tu te souviens du compte-rendu du mois dernier? demanda Danielle doucement.

— Oui Madame

— Et qu'avions-nous décidé concernant le rasage ta chatte? la pressa Danielle

— Vous... N-nous... avons dit que je n'étais pas... a-a-autorisé à...

— Et... regarde ta chatte. Comment tu appelles ça?

— R-rasée... l'expression sur le visage de Terri indiquait qu'elle aurait voulu être partout ailleurs qu'ici.

— Et, continua calmement Danielle, de quelle sanction avions-nous décidé si tu désobéissais? »

Les yeux de Terri s'écarquillèrent : « Non, Danielle s'il vous plaît...

— De quelle sanction avions-nous parlé, Terri?

— Danielle, sanglota Terri, s'il vous plaît! Vous ne comprenez pas!!!

— je comprends que je t'ai donné des instructions précises, et que tu as échoué à les suivre, déclara froidement Danielle. La sanction -- ton travail ici prend fin, et tes activités illégales vont être communiquées aux autorités compétentes. »

Elle prit le téléphone sur la table de conférence, et tapa un numéro :

« Sécurité s'il vous plaît.

— NOOOOOOONNNNNN!!!!! beugla Terri. Pitié... Danielle... Madame...je n'avais pas le choix... Scott! Scott, il m'a forcé à le faire. » Ah. Les choses avançaient. Danielle raccrocha le téléphone. « Scott t'a "forcé" à le faire? Comment?

— I-il... a dit que... si je ne le faisais pas....Angela utiliserait le fouet... et... et.. qu'il u-utiliserait m-m-mon cul...

— Oh. Alors, tu avais un choix. » Danielle la laissa mijoter. « Et tu as choisi de me désobéir.

— Danielle... i-il... elle... A-Angela et Scott, ils ne sont pas... ils ne sont pas gentils. Un de ces jours, ils vont me tuer... Terri étouffait.

— Quand est-ce que tu vas comprendre Terri? Ce n'est pas à propos de toi. Tu n'es rien d'autre qu'un jouet. Dont le but est de nous fournir du plaisir de la façon dont on a envie. J'aurais pensé que tu aurais fini par piger au bout d'un moment. Chaque fois que Scott veut utiliser ton cul, c'est son droit, si bien sûr je ne l'utilise pas au même moment. Et si sa femme veut te fouetter les fesses et le couvrir de marque... eh bien qui peut l'en blâmer? Après tout tu as eu une relation sexuelle avec son mari, fini cruellement Danielle.

— S'il vous plaît... je suis désolée... ça n-n'arrivera plus... pitié ne me virer pas... » des larmes coulaient sur son visage alors que son sort se décidait.

Danielle observa comment Terri s'était écroulée. Ayant passé la plus grande partie de sa vie à subir les coups tordus de la femme en face d'elle, elle éprouvait une satisfaction immense à lui rendre la monnaie de sa pièce, avec les intérêts.

« P-p-pitié...

— Pendant que je réfléchis à la façon de résoudre cette petite infraction, monte sur la table. Tu sais quoi faire. »

Terri le savait. Elle se déshabilla complètement, s'étendit sur le dos contre la table en acajou et se glissa la main dans sa fente. Sa patronne la regarda avec une satisfaction perverse et il ne fallut pas longtemps pour que la propre main de Danielle soit occupée à jouer avec sa chatte mouillée.

Veuillez évaluer cet récit
L’auteur apprécierait un commentaire de votre part.
  • COMMENTAIRES
Anonymous
Our Comments Policy is available in the Lit FAQ
Publier comme:
1 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a plus de 6 ans
Suggestion De Punition

Peut-on envisager qu'une punition interdise a Terri toute forme de contraception ? Elle portera donc "l'enfant de l'entreprise". Avec un accouchement public devant tous les employés.

Partagez cette Récit

LIRE LA SUITE DE CETTE SÉRIE

Deuxième Place 07 Partie Suivante
Deuxième Place 05 Partie Précédente

Histoires SIMILAIRES

Sandra, Esclave De Son Patron - 01 Une secrétaire vit une véritable descente aux enfers.
Dévergondage De Suzanne Le début du candaulisme.
Incarcération en Prison Une détenue humiliée lors du processus d'incarcération.
Le chantage de Summer La grosse erreur de la prof.
Le Crash Ch. 01 Un avion s'écrase sur une île déserte.
Plus d'histoires