Epouse, procureur et prosti

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Hobie 3 la revanche de l'ex détenu condamné à tort
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Hobie Ch 3 -- Epouse, procureur et prostituée.

Wife, Prosecutor & Prostitute

*

Cette histoire se suffit en elle-même

Toutefois c'est aussi la suite logique de Hobie Ch 1 La vengeance de l'innocent et de Hobie Ch 2 La jolie procureur esclave de ses sens.

***************************

Des coups frappés à la porte la réveillèrent tôt dans la matinée, elle jeta un oeil autour d'elle sur cette chambre peu familière.

C'est alors qu'elle se rappela qu'elle se trouvait dans un motel où elle était retournée après cette nuit d'enfer sur la plage.

La chambre de motel où elle s'était longuement douchée pour curer son corps, et se chevelure des souillures qui la salissait. Les coups à la porte se poursuivaient, une voix s'écria :

- "Ouvre salope! ..."

- "Oh mon Dieu .... C'est Hobie! ... Il sait que je suis ici!...... " réalisa Sharon en un éclair.

Comment les choses pouvaient-elles évoluer si dramatiquement, depuis qu'usant de ses charmes pour influencer le juge et le jury, elle l'avait fait condamner injustement.

Elle n'avait pas compris qu'en fait il n'y avait aucune preuve réelle de sa participation au casse dont il était accusé. Elle était intiment persuadée qu'il avait écopé d'une juste condamnation.

Il avait été condamné du fait qu'on avait retrouvé chez lui des objets volés lors d'autres cambriolages, et sur sa mine patibulaire. Bien sur l'avocat de la défense était allé en recours cherchant à faire annuler le procès pour vices de forme.

Heureusement que Sharon avait embobiné le juge qui tranchait toujours en sa faveur, elle n'ignorait pas que bien des magistrats en auraient jugés autrement. Il passerait de l'eau sous les ponts avant qu'on en ap-pelle du verdict.

Un jour de grande chaleur, le juge Hawkins, un divorcé, passa dans le vestibule et la félicita pour sa façon de présenter un cas épineux la se-maine précédente. Sharon savait que ce juge était un vieux paillard qui cherchait à se rapprocher d'elle pour coucher avec elle.

Elle connaissait son impact sur lui, peu lui importait d'ailleurs de savoir si c'était juste un magistrat local ou bien le doyen du tribunal. Sharon lui faisait tirer la langue, le rejoignant pour prendre un verre dans un club privé, le rencontrant là pour ne pas se faire remarquer.

Elle savait pertinemment qu'il espérait bien partager son lit un jour, comme la plupart des hommes qu'elle fréquentait d'ailleurs, mais Sharon gardait au chaud son numéro personnel où le joindre en cas de besoin.

Bien sur, accidentellement elle avait heurté sa cheville comme elle croisait ses jambes sous la table offrant au juge une perspective trou-blante :

- "Excusez moi votre honneur, ..."

Après une paire de cocktails, le brave juge trouva le courage de lui demander de se joindre à lui pour dîner Sharon l'acheva en répondant :

- "J'en serai ravie votre honneur! .... Mais il ne serait pas bon pour une jeune femme heureuse en ménage de dîner dehors avec un homme qui ne serait pas son mari..... Alors que prendre un verre ou deux peut faire partie du boulot, ne croyez-vous pas? ......"

C'est parce que les juges étaient en sa faveur que le pauvre Hobie s'était retrouvé emprisonné pour un délit dont il était innocent, mais Sharon n'avait pas compris à quel point ce détenu, qui avait jurer de se venger, pouvait se montrer vindicatif et .............

Et Hobie avait planifié une ingénieux plan pour se venger d'elle, atten-dant qu'elle visite un autre prisonnier qui réclamait un allégement de peine.

Sans défiance Sharon était tombée tête baissée dans son traquenard corrompant des gardes en les faisant profiter de ses charmes.

Réfugiée dans un coin d'une salle de conférence Sharon s'était vue confrontée aux détenus qu'elle avait personnellement fait emprisonner

Ils étaient excité à morts, n'ayant plus eu de contact avec la gent fémi-nine depuis leur incarcération, elle avait durement payé son erreur ce jour là, violée par le pervers Hobie devant tous les autres puis données aux autres prisonniers qui l'avaient violée des heures durant.

Le viol à la prison lui était resté en mémoire comme la pire journée qu'elle ait vécue jusqu'ici. Elle en était sortie enceinte, un polichinelle certainement noir dans le tiroir .... un bébé dont elle ignorait le géniteur, tout ce qu'elle savait , c'est que c'était l'un des détenus qui l'avaient partouzée ce soir là ... Et comme ils étaient plusieurs dizaines dans ce cas!....... Pire encore : ils étaient tous noirs!....

A l'encontre de ses convictions religieuses et morales anti-avortement, Sharon ne vit pas d'autre solution ; elle ne pouvait pas mettre au monde un enfant noir, même s'il était le fruit d'un viol.

Hobie avait filmé son viol en détail ce qui lui permettait d'avoir Sharon à sa botte, elle l'admit dans sa propre maison ou il la posséda sur le lit conjugal qu'elle partageait habituellement avec son mari.

Plus que la honte d'avoir du coucher avec un autre homme que son mari dans leur chambre, elle avait gardé un souvenir ébloui des orgasmes intenses qui la submergeaient lorsqu'il la sautait, des orgasmes bien plus intenses qu'avec son gentil mari.

Elle était totalement sous l'emprise de l'ex-détenu sans possibilité de se libérer de ses griffes. Depuis lors, sa vie avait basculé dans le stupre et la fornication, et elle adorait ça, il semblait que son maître chanteur avait trouvé le commutateur qui faisait définitivement basculer son esprit, elle ne pensait plus qu'au sexe et à se faire baiser dans les situations les plus infâmes.

Les rapports gentillets qu'elle avait avec son mari qui lui faisait l'amour à la pépère ne lui suffisaient plus, il lui fallait du vulgaire, du dégradant à l'image de ce qu'elle avait subi en prison et lords de la récente visite que lui avait fait Hobie Smith, son arrogant maître chanteur.

Elle devait s'avouer que le pervers Hobie l'avait transformée en une sa-lope folle de son corps ....... Une nymphomane en furie.

Sharon repensait à ces instants lors de sa petite visite, une fois ses ap-pétits satisfaits, il s'était rhabillé et avait éclaté de rire en jetant une carte professionnelle sur le lit ricanant :

- - "T'as vraiment chaude ma petite pute! ...... Une vraie nympho ...... Plus la situation est dégradante, plus tu jouis! .....Appelle moi quand tu seras en manque ..... Quand il te faudra quelques bâtards bien dépravés pour te baiser jusqu'à l'os ....... Appelle moi et je te trouverai de quoi satisfaire ta lubricité .....Je connais assez de sa-lauds qui ne demanderont qu'à te dépraver encore plus! ......

Elle repoussa à plusieurs fois l'envie de lui téléphoner, mais elle finit par succomber à son besoin de sexe crapuleux. A chaque fois, elle raccro-cha le cabinet avant qu'Hobie ne réponde.

Mais plus les jours passaient plus ses envies grandissaient, elle en était véritablement malade, le corps noué par le manque.

Mais elle ignorait que le téléphone d'Hobie était équipé d'un répondeur qui retenait l'identité et le numéro des appelants.

Il prenait son pied en constatant qu'au fur et à mesure des appels elle laissait sonner de plus en plus longtemps avant de raccrocher.

Aussi lorsqu'il l'eut au bout du fil, il salua en commentant :

- "J'ai vu que tu as essayé plusieurs fois de me contacter ...chérie...".

Il lui apprit qu'elle avait été trahie par son répondeur, il avait noté chacun de ses appels.

Il la prit par surprise en lui ordonnant :

- "Demain à neuf heures pile rends-toi au bout de l'avenue de la plage et range toi près de la passerelle ... Sous la passerelle tu rencontreras Toolman et Wacko ..... Ils prendront soin de toi ma chérie ..... Je leur ai dit que tu serais heureuse de te faire pisser dessus salope! ...."

Elle n'est même pas le temps de protester, il avait déjà, raccroché, elle n'entendait plus que la tonalité.

Elle s'était sentie coupable que jamais ce vendredi soir en orchestrant un coup de téléphone l'informant d'une affaire de toute urgence à régler immédiatement, de partir sur le champ pour se rendre dans un lieu très éloigné où elle devrait arriver à une heure décente pour se procurer une chambre.

En fait le trajet n'était pas si long, elle devait juste traverser la ville pour rejoindre la plage. Là elle devait rencontrer les deux poivrots et les lais-ser goûter à tous ses appâts.

Même si ça avait été plutôt dégradant et humiliant Sharon avait adoré se faire traiter comme une pute à trois trous et même de se faire pisser des-sus par ces deux vieux boucs

Son esprit se focalisait sur le sexe, elle aimait que les hommes la traitent durement, Sharon savait que le style de vie conservateur qu'elle menait avec son époux faisait maintenant partie d'une époque révolue.

Elle se demandait seulement combien de temps elle pourrait mener cette double vie, mystifiant son mari tout en se faisant baiser crapuleusement comme elle en avait le besoin impérieux pour satisfaire ses appétits de gueuse

Plus communément, Sharon avait maintenant l'esprit entre les cuisses.

La sonnette retentit à nouveau, Sharon n'osa pas le faire attendre plus longtemps ... Cet homme qui l'avait offerte aux deux poivrots. S'enrou-lant dans un drap, Sharon se rua sur la porte, elle enleva la chaîne de sûreté et ouvrit la porte sur le visage irrité d'Hobie.

Il était accompagné d'une jeune ado blanc qu'il lui présenta :

- "C'est Adam ..... Il s'occupe de l'hôtel aujourd'hui .... Il vient s'assurer que les chambres autour de la tienne ne sont pas louées pour que la foule de visiteurs que tu vas recevoir n'éveille pas les soupçons ......."

- Comme elle lui jetait un coup d'oeil intrigué, Hobie se tournant vers le jeune ado poursuivit :

- "C'est un jour de boulot aujourd'hui ....... Tu vas satisfaire tous les clients que je t'ai recrutés! ......."

- "De combien de temps disposes-tu gamin?" demanda-t-il au jeune ado.

- "J'ai mis la pancarte DE RETOUR DANS UNE DEMIE HEURE" .... répondit le jeune homme.

- "On fait comme convenu, je te donne 20 dollars et en prime tu peux la sauter quand tu veux ....... Qu'en penses-tu jeune homme .... Elle te plait? ..... " l'interrogea Hobie avec convivialité.

Adam soupira un faible oui, apparemment il ne croyait pas encore en sa bonne fortune, il ne s'attendait pas à pouvoir disposer d'une jeune femme aussi racée, aussi sophistiquée, il questionna :

- "Voulez-vous disposer de la pièce adjacente? .....Je veux dire comme salle d'attente pour ... Pour ses clients ..... Ca éviterait d'avoir une file d'attente à l'extérieur ..... Si ...... Je me la ferai bien en premier! ....."

Hobie gloussa et poussa le jeune ado à l'intérieur en repoussant la porte sur une Sharon apeurée, il la reclaqua dès qu'ils furent dans la chambre.

- "Hey chérie,.... Ce jeune homme vient d'avoir une brillante idée pour faciliter les opérations ..... Et même les clients pourraient consommer une bière en attendant leur tour ... Comme dans un vrai bordel

- "Viens ici madame Hicks vire moi ce drap qu'Adam puisse jeter un oeil sur les charmes du cadeau que je lui offre en remerciement de ses bons services!....... ordonna-t-il.

Il lui semblait que ce jeune ado devait encore fréquenter le collège, mais Sharon vit à son regard qu'en dépit de son âge, il se comportait comme tous les hommes qui convoitaient ses charmes.

Elle se sentait malade de honte, elle une jeune femme mariée, heu-reuse en ménage, une brillante avocate du ministère public, allait se prostituer avec ce jeune homme.

Elle réalisait qu'elle avait poursuivie des tas de femmes accusées de prostitution et elle se livrait exactement à la même activité, un maque-reau vendait ses charmes aux amateurs d'amours frelatés.

Sharon coulait comme une fontaine, sa fente était si inondée qu'elle gardait les cuisses serrées pour endiguer le flot de cyprine, l'étrangeté de sa situation l'intriguait et l'excitait à la fois.

En fait c'était exactement le type de situation crapuleuse qui éveillait en elle ce désir insatiable de se faire baiser, elle se tenait droite devant le jeune client et le maquereau qui vendait ses charmes. Hobie ordonna :

- "As-tu bien entendu ce que je te disais salope! .... Montre à Adam ce que tu caches sous ce drap! ...... Ce ravissant corps que ton crétin de mari pense appartenir à lui seul ...... Alors qu'en fait ton cul et tout ce qui va autour m'appartient désormais ..... maintenant montre à Adam sa récompense!......"

Se mordant les lèvres, Sharon déroula la couverture qui cachait ses ap-pâts, dévoilant d'abord ses nibards, puis sa foufoune.

Un large sourire de contentement éclaira le visage de l'ado elle baissa les yeux sur la bosse qui grossissait dans son pantalon, elle semblait lui faire un sacré effet.

Sans attendre les ordres, elle s'agenouilla et tendit la main vers sa bra-guette, attrapant le curseur pour descendre la fermeture éclair. Puis elle introduisit la main dans l'ouverture.

Adam Hunt, n'avait pas réalisé à quel point la chance traversait son chemin lorsque Hobie s'était pointé dans son bureau, bien qu'il ne connut pas Hobie personnellement, il le connaissait de renom, tout le monde de ce coté de la ville connaissait Hobie.

A la vue de la beauté blonde intimidée qui entrait dans le hall des réser-vations, il avait subodoré que ce n'était pas une vulgaire prostituée, cette beauté sophistiquée ne venait pas de ce coté de la ville.

- "Ohhhhhh, Chérieeee!... "Gémit-il alors que la beauté blonde em-poignait sa bite de ses petites mains manucurées.

Il avait vu scintiller son alliance avant qu'elle ne glissa sa main dans l'ou-verture de son caleçon, ce qui semblait prouver que ce qu'avait dit Hobie au sujet de son mari était vrai.

Comme elle mettait sa bite à l'air, il frémissait d'impatience yeux fixés sur son alliance alors qu'elle entamait une branlette décidée.

-

-

- "Oh, Mon Dieu!..... Ahhhhh, chérieeeeeeee ....Ahhhhhhhhhhhhhh!.... "gémit Adam alors que la sculpturale beauté se penchait pour enfourner sa bite dans la douce chaleur de sa bouche.

Il tendit les mains les posant sur sa nuque, empoignant fermement ses cheveux. Puis il commença à baiser sa bouche alors qu'elle le léchait et le suçait divinement comme une vraie pro.

Adam n'en croyait pas ses yeux de voir cette jolie femme sophistiquée des quartiers chics de la ville venir ici faire la pute.

- "Suce moi chérie ... Encore ...... Encore .... Putain d'salope ....... "grognait-il commençant à se déverser dans sa gorge accueillante.

Sharon continuait à baisser et relever la tête sur sa bite, le suçant jus-qu'à la dernière goutte arrachant de la pointe de la langue une dernière larme visqueuse de son méat, enrobant de sa langue la hampe pois-seuse, elle avalait à petites lampées la substance protéine lui remplis-sant la bouche.

Elle se sentait pute jusqu'au bout des ongles en suçant ce juvénile client sous les yeux de son maquereau, son corps frémissait de plaisir d'être à ce point pervertie.

Elle se demandait ce que pourrait bien dire son mari s'il la voyait à cet instant.

Alors que le jeune ado s'effondrait sur le lit épuisé, Hobie lui fit signe que c'était son tour, elle ouvrit servilement sa braguette et prit sa bite en main l'approchant de ses lèvres entrouvertes, c'est alors qu'il ricana :

- "Je t'ai observée cette nuit ...... Tu t'es vraiment bien amusée avec Toolman et Wacko ...... N'est ce pas!.... T'as adoré te faire baiser par ces deux poivrots que t'as sucé si gentiment ..... N'est ce pas!...... Tu as tout aimé, et même quand ils t-ont pissé dessus n'est ce pas chienne! ........"

Sharon réalisa alors que caché dans l'ombre Hobie l'avait épiée se don-nant aux deux vieux ivrognes.

Sur ces réflexions elle se pencha sur lui et l'emboucha, lui suçant le gland avec délectation, l'enfonçant profondément dans son arrière gorge.

- "Oh oui ..Suce moi bien petite chienne ...."

- "Si seulement ton mari voyait sa petite femme si conventionnelle dans une minable chambre d'hôtel, agenouillée entre les cuisses d'un géant noir qui lui fourre sa bite dans la bouche...." commenta Hobie sacarstique.

Ces sarcasmes la faisaient frissonner d'humiliation, alors qu'elle se plus douce, plus souple pour le voir vomir une fois de plus son foutre dans sa bouche asservie.

Une fois qu'il eut projeté ses salves grasses au fin fond de sa gorge, il la prit par le coude, la ramena au lit, et la poussa sur le corps de l'ado an-xieux qui l'enlaça d'un bras saisissant un de ses tétons entre ses dents.

Puis l'ado s'allongea sur elle lui écartant largement les cuisses pour lui enfiler sa bite revigorée dans la chatte.

En poignardant la belle femme de sa bite, il gémit de plaisir, alors que son gland baignait dans une fournaise humide. Jamais il n'avait baisé femme aussi ravissante, une vraie femme de la haute, une femme ma-riée, sophistiquée, racée.

Tendant les mains il agrippa ses fesses soyeuses et s'enfouit dans sa cramouille se félicitant de la sentir verrouiller chevilles et poignets dans son dos.

Il avait toujours autant de peine à croire que cette magnifique femme mariée puisse se trouver dans une chambre minable, laissant Hobie vendre son corps comme la dernière des putes.

Mais il n'était pas là pour l'interroger d'autant plus qu'enfoui en elle il sen-tait ses muscles du vagin l'enserrer comme les mâchoires d'un étau.

Adam ne pouvait croire à quel point cette femme si sexy désirait qu'il la saute, lui agrippant les épaules et se cambrant pour verrouiller ses che-villes dans son dos

- "Oh oui ..... Baise moi .... Baise moi comme la pute que je suis ...... Jouis ... Jouis dans mon ventre ......Donne moi ton sperme juvénile ....." l'encourageait-elle de la voix.

Il jaillit alors dans sa chatte, l'emplissant de sa chaude semence, poussé par la joie de faire jouir la femme d'un autre homme.

Debout derrière le bureau du motel Adam épiait le nombre de voitures qui se rangeaient dans le parking et repartaient une heure plus tard. Les chauffeurs descendaient de voiture et venait frapper à la porte de la chambre occupée par Hobie.

Lorsqu'un client quittait sa chambre, une demie heure plus tard, Adam voyait la beauté blonde sortir vêtue d'une jolie robe et de hauts talons, douchée à l'issue de la séance de baise, frapper à la porte de Hobie pour rencontrer le client suivant.

Après l'avoir baisée, Hobie l'avait entendu lui dire :

- "Douche toi et cure toi la chatte, les clients n'aiment pas passer en second.

Pour retenir une chambre, elle avait du fournir son permis de conduire comme de règle dans tous les motels, Adam fouilla dans les enregistre-ments et copia son adresse, et son numéro de téléphone.

Elle avait été si gentille avec lui qu'Adam en voulait plus, se demandant qu'elle serait sa réaction s'il se pointait chez elle.

- Sa bite tressautait dans son jean, à l'idée de baiser cette beauté dans le lit qu'elle partageait avec son mari si confiant.

Toute la journée, Adam regarda les clients se garer sur le parking, noirs, blancs asiatiques, mexicains des gens de toute race avaient serré la main de Hobie.

Puis ces types chanceux rencontraient t l'adorable jeune femme dans la chambre adjacente qui satisfaisait leurs appétits.

Adam était sérieusement étonné de se rendre compte que certains des clients étaient assez âgés pour être son grand-père.

Et lorsque chaque client repartait une heure plus tard ils paraissaient épuisés mais arborait un sourire éclatant sur leur visage

Pour Sharon, un de ces vieillards aurait vraiment pu être son grand-père, il lui ressemblait assez bien, même stature, mêmes cheveux gris ...

Puis elle avait du contenter un client qui devait avoir un petite fille de son âge pour laquelle il avait du avoir un coup de chauffe, car il n'avait cessé de l'appeler "Julie" tout en la baisant.

Sharon était rentrée dans le jeu de ce vieillard qui la ramonait puissam-ment feignant d'être sa "Julie"

Alors que dégoûtée elle étreignait le vieil homme entre ses jambes, Sharon courbée sur lui le priait :

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