Grace Sombre Dans La Débauche Ch. 02

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Comment avais-je bien pu me fourrer dans un tel guêpier, me retrouver dans ce t endroit avec ces débauchés!

Tyrell me fit asseoir sur la table de notre stalle et me dit de danser lascivement pour lui.

Je n'avais jamais fait cela auparavant, je m'exécutais me faisant provocante comme il me l'avait intimé imitant ces femmes qui dansaient dans les vidéos pornos.

Il me fit aspirer une paire de goulées de marijuana, une nouvelle fois la brume obscurcit mon esprit.

Une autre goulée et cette fois je planais haut, si haut que je n'avais pas remarqué que Tyrell avait sorti sa grosse bite noire et qu'il se caressait lentement en me regardant onduler du bassin.

Il me dit alors:

- Pense à ce que tu étais encore hier, une jeune femme de la classe aisée, une bonne paroissienne, une salope très respectée et voilà qu'aujourd'hui tu t'effeuilles sous les yeux d'un noir devant d'autres pervers dans un bar louche! Tu n'es qu'une fieffée salope Grace, et comme toutes les salopes tu devrais avoir constamment une grosse bite en bouche!

Ces propos me choquaient profondément, j'aurai voulu hurler et m'enfuir, mais je manquais de volonté.

Il se dressait face à moi en me tenant ce discours, il empoigna ma nuque et me força à me pencher sur sa bite palpitante.

Je pris une profonde inspiration et sentit ses flagrances musquées avant d'ouvrir la bouche pour avaler autant que je pus de sa grosse bite impatiente.

Tandis qu'il me tirait rudement les cheveux il me prévint :

- Je vais faire de toi la reine des fellatrices, tu suceras toutes les mentules que t'ordonnerai de sucer!

Ces propos menaçants et les sensations grandissantes au fond de mon esprit m'amenèrent à le sucer avec vigueur et avidité.

Je voulais en finir rapidement avec cette fellation, plus vite il jouirait, plus vite je pourrai reprendre une contenance normale.

Je ne sais pas combien de temps je dus cajoler son chibre avant qu'il ne jouisse, je devais cependant m'y prendre correctement car cela ne dura pas bien longtemps!

Il se tétanisa brusquement, attira rudement ma tête contre son pubis et projeta des flots de foutre dans ma gorge asservie. Je fis de mon mieux pour ingurgiter son épaisse semence.

J'étouffais, je lâchais prise et tombais à la renverse sur la table.

Tyrell me regardant m'affaisser commentas :

- Alors ne vous avais-je pas dit que c'était une véritable salope?

Je regardais derrière lui et sursautais vivement en état de choc.

Mes deux ex-collègues se tenaient face à moi, ces deux anciens collègues dont j'avais dénoncé le harcèlement ce qui avait abouti à leur exclusion de la boite où nous travaillions.

Tyrell leur dit de bien s'amuser avec moi, puis il se leva et partit boire un verre.

Avant même que je puisse lui emboîter le pas ils m'empoignèrent et me repoussèrent dans le box.

Il était évident qu'ils voulaient se venger de moi. Ce genre de vengeance me faisait totalement paniquer!

Celui qui se tenait à ma gauche, Chad, me dit alors, en me tenant le menton que j'avais ruiné sa vie que son éviction lui avait couté très cher.

Celui qui se tenait à ma droite, Joe, approuva les dire de son ami, prétendant qu'il en était de même pour lui, en m'agrippant fermement une cuisse, ajoutant qu'ils savaient que j'étais une vraie pute et qu'ils allaient me baiser séance tenante.

Il poursuivit :

- Tu vas payer pour tous les emmerdes que tu nous as créés!

Sur ces mots, ils entreprirent de pétrir mon corps, me roulant des patins avec la langue, m'embrassant dans le cou...

J'étais si révulsée d'horreur que je reculais d'un pas en crachant sur eux, ce qui ne fit qu'empirer les choses.

L'un des deux me gifla brutalement m'effrayant comme jamais je ne l'avais été.

Mon corps s'amollissait alors que je me soumettais à leurs vœux.

L'odeur de vieille sueur et de tabac froid m'accablait. Je faisais de mon mieux pour ne pas vomir alors que sans tenir aucun compte de mes objections ils inventoriaient sans vergogne mes charmes.

Ils avaient agrippé avec force mes nibards et m'arrachaient mon soutien-gorge et ma petite culotte.

L'un d'eux inséra un doigt dans mon vagin alors qu'ils me forçaient à prendre en main leurs pénis tendus.

La taille de leurs mentules me surprit, leurs bites étaient toutes deux au moins aussi grosses et longues que celle de Tyrell, ils me forcèrent à les branler docilement.

Joe se mit à susurrer à mon oreille qu'ils allaient tous deux me baiser à couilles rabattues devant tout le monde, et qu'ils allaient prendre des photos de ma déchéance de façon m'interdire de les dénoncer à la police sous peine d'envoyer ces photos dans mon école que mes confrères et consœurs puissent constater quelle salope j'étais en réalité.

Ils pouvaient ruiner ma vie avec ces photos!

Le doigt inséré dans mon intimité commençait à éveiller des sensations que je refusais dans ma chagatte.

Chad me suçait le cou, ce que me faisait habituellement mon mari pour m'exciter, je sentais mon émoi grandir.

Le réalisant, Joe ne perdit pas de temps, il sortit sa grosse bite de son caleçon et je lui taillais servilement une pipe.

C'était le troisième membre viril étranger que je suçais en deux jours. Il était chaud, au goût musqué et salé; mais depuis que j'avais sucé la bite de Tyrell qui était aussi grosse j'appréhendais moins de me livrer à cet acte.

Chad m'attira à lui, me positionna à sa convenance et sans hésitation d'un coup de boutoir il enfourna sa grosse bite dans mon intimité détrempée.

Il était le troisième étranger à me posséder en deux jours.

Ils étaient extrêmement bruyants, le spectacle était tel que bientôt de nombreux consommateurs se rassemblèrent autour de nous pour y assister.

Je me sentais sale, dégradée, honteuse de me faire baiser, dans ce bastingue de bas niveau, par deux pervers que je détestais devant une foule de spectateurs enthousiastes.

C'était parfaitement avilissant et je me sentais réduite à de la chair à baiser.

Mon épreuve me sembla durer une éternité elle ne se termina que lorsque les deux hommes eurent jouis en moi, me remplissant la bouche et la chatoune de leur immonde semence.

Ils prirent quelques photos de moi allongée sur le banc, du foutre s'écoulant de ma chagatte inondée.

Alors qu'ils s'éloignaient, je les entendis s'esclaffer :

- C'est vraiment une fieffée salope, et cette fois on dispose des photos pour le prouver!

- On pourra les montrer à ce salopard qui nous a foutu à la porte, peut-être bien qu'il voudra se la faire à son tout!

Ils parlaient de moi comme d'un bout de viande, un trou dont ils pourraient abuser à volonté!

Tyrell revint à mon coté me tendis un verre d'eau, et me jetas une serviette pour que je puisse m'essuyer.

Il me dit alors qu'il était temps de toucher ma récompense pour m'être montrée une bonne petite pute disponible pour tous.

Il me révéla que ces deux salauds de pervers avaient payé 1000 $ pour user de mes charmes et qu'il allait se servir de cet argent pour m'acheter quelques nouveaux habits, des tenues bien plus érotiques que je porterai désormais.

Il ajouta que c'était le meilleur moyen pour que je devienne une excellente salope à son entière disposition ainsi qu'à celle de ses copains et de futurs clients.

En revenant dans la zone principale je constatais que le bar était quasiment désert.

Une scène était éclairée, quelques hommes l'entouraient. Lorsque nous nous sommes approchés, je constatais que tous ces spectateurs étaient noirs, je me dirigeais ver la stalle Mais Tyrell me tira en arrière m'informant que je devais monter sur la scène.

Je jetais un rapide coup d'œil sur l'estrade, puis, je me tournais vers Tyrell le suppliant de me ramener à la maison.

Il me dit qu'il me ramènerait chez moi lorsque la nuit serait terminée. Je me dirigeais en hésitant vers la marche permettant d'accéder à la scène.

Kyoko me tendit la main pour m'aider à gravir les marches, elle me conseilla de ne pas trop me tracasser.

Au centre de la piste elle remonta lentement ma robe et la laissa choir au sol.

Elle me dépouilla rapidement de ma petite culotte et de mon soutien-gorge, je me retrouvais entièrement nue devant une bonne vingtaine de colosses noirs.

C'est alors que Tyrell me prévint de ce qui allait suivre. Un petit discours que je n'oublierai jamais!

- Jette un regard sur les spectateurs Grace, je suis sur que tu en reconnaîtras pas mal!

- On trouve dans cette foule un de tes anciens collègues auquel tu n'as jamais prêté attention, un des portefaix de ton école à qui tu en as fait suer des vertes et des pas mûres, un dirigeant du bureau de ton mari que tu as déjà rencontré et à qui tu as refusé de serrer la main, un de tes voisins contre qui tu as appelé la sécurité parce que tu pensais qu'il sous-louait son appartement, et quelques autres qui sont là juste pour nous donner un coup de main pour te transformer en satanée salope!

Ils sont tous là pour voir une innocente, timide, raciste et snob jeune ménagère se transformer en une fieffée salope qui tombera à genoux à la vue d'une grosse bite noire!

Ce discours m'affola.

Je reconnaissais effectivement quelques-uns uns de ces hommes, dont certains avec qui je parlais de temps à autre.

Je me retournais cherchais à fuir l'estrade, mais Kyoko me tenait fermement, elle se mit à me peloter et à m'embrasser dans le cou. Ses caresses étaient très chaudes et très féminines, son parfum m'enivrait.

Pourquoi n'avais-je jamais constaté cet impact sexuel lorsque j'étais sa prof?

Qu'est ce qui avait changé en moi m'amenant à savourer ces pratiques lesbiennes?

Elle se frottait lentement contre mon corps suçant avidement mes tétons dressés les étirant les mamelons de deux bons centimètres de long.

Je chancelais la chatte inondée de cyprine.

Elle me fit pencher en arrière et m'écartas les cuisses en grand.

Je sentis tout d'abord sa chaude haleine avant qu'elle ne me butine le gazon.

N'écoutant que ma morale bien-pensante, j'essayais de m'écarter mais elle m'agrippait vigoureusement.

Plus elle pointait sa langue dans mon humidité, plus elle soufflait sur ma foufoune embrasée, plus je sentais mon excitation croître, plus elle branlait avec opiniâtreté mes babines gonflées, gorgées de sang.

Je voyais ses beaux yeux innocents alors qu'elle fouillait mon vagin d'une langue agile.

Ces mêmes yeux qui me regardaient avec appétit de savoir pendant les années de fac me fixaient maintenant avec luxure guettant mes réactions intimes et j'aimais cela!

Elle avait une sorte d'emprise sur moi et savait exactement comment m'amener à jouir sous ses caresses. A l'instant même ou j'allais jouir comme une folle, elle cessa tout mouvement et se recula vivement.

Je ressemblais à une gamine privée de sa sucette, je tendais les bras pour la retenir mais n'y parvins pas!

Un véritable colosse prit sa place toute chaude plantant tout de go sa monstruosité phallique dans ma foufoune affolée.

Sa bite était bien plus grosse que toutes celles que j'avais connues ces derniers soirs!

Il me semblait être pourfendue en deux je lui couinais misérablement d'arrêter!

Il ignora totalement mes plaintes coulissant vicieusement dans ma cramouille pantelante.

Il m'ordonna de clamer que je voulais sa bite et même plus, que j'avais envie qu'il me baise toute la nuit.

Peu à peu les sensations douloureuses s'estompèrent, je sentais mon excitation monter, ma respiration se faisait plus heurtée.

J'étais maintenant si échauffée, plus ardente que je ne l'avais jamais été, et cet homme qui atteignait des profondeurs qu'aucune bite n'avait pu explorer jusqu'ici, il criait à voix haute :

- Cette salope est si étroite que je sens chaque pouce de sa matrice!

Mon esprit se perdait dans les brumes, je ne parvenais plus à contrôler mon souffle, ma volonté était totalement anéantie.

Je concédais :

- Oh oui... Je me sens biennnnnnnnnnnn!

Il coulissait de plus plue en vigoureusement dans mon antre engorgé de cyprine, il me demanda qu'est ce qui me faisait tant de bien. Je lui répondis :

- Votre pénis... Il me fait tant de bien plongé dans mon intimité!

Il reprit hilare :

- Mon pénis? C'est une bonne grosse bite noire et c'est ainsi que tu dois l'appeler dorénavant! Dis-le à voix forte que tout le monde puisse t'entendre petite salope!

Une larme fleurit au bord de mes paupières, et je me pliais à son dictat :

- Votre grosse bite noire me fait tant de bien!

Il me demanda en hurlant :

- Es-tu une pouffe pour bites noires?

Et, juste à l'instant ou le plus formidable des orgasmes me terrassait, je criais à pleins poumons :

- Oh OUIIIIIIIII... JE SUIS UN POUFFE POUR GROSSES BITES NOIRES!!!!!

Coulybaca

16 février 2008.

Texte traduit de l'anglais

avec l'aimable autorisation de l'auteur :

Warner 34 (Dark Wanderer).

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