Histoires de la Bienheureuse Agnès 02

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Les quatre femmes restées dans le cuveau, la patronne, la voisine et les deux jeunes filles qui se faisaient sucer le bout des seins, avaient du jus de raisin qui leur sautait jusqu'en haut des cuisses. Le vin qu'on faisait boire à toutes, leur dégoulinait sur la poitrine ainsi, l'ambiance de la cave était plutôt chaude... L'œil lubrique des hommes ne faisait qu'alourdir cette sensation... Bientôt, la Bernadette dit insidieusement :

- '' Il faudrait que la Dame infirmière vienne aussi nous rejoindre ''.

- '' Oh oui, venez que nous finissions à cinq, quand même. Comme nous avons commencé!" dit la jeune Elise, tendant la main vers Agnès qui se déroba poliment :

- " J'aime mieux pas! Merci! Je suis là pour le Pépé, et si on avait besoin de moi!...", dit-elle. La Bernadette reprit avec un paquet de sous-entendus :

- '' Pourtant, vous ne refusez pas toujours à ce qu'il parait!... Ca doit dépendre de ce qu'on vous propose! ". Agnès sentit le rouge lui monter aux joues. Qu'est-ce que cette vieille chouette avait à faire ce genre de réflexion... Et à quoi exactement faisait-elle allusion? Agnès se sentit tout à coup mal à l'aise et mise à nue, mais elle évita adroitement de laisser remarquer son trouble et accusa le coup...

- '' Oui, allez venez, ne vous faites pas prier! Aller venez-don'!!", insista Brigitte apparemment sans malice aucune.

- '' Oui, oui, aller!! Il parait que d'habitude, c'est même pas la peine de vous prier! ", enchérit la Bernadette en regardant son homme à qui elle adressa un clin d'œil complice... Agnès fut de nouveau désarçonnée... Si l'autre, la grande bonne femme, continuait, elle risquait de déballer des choses et s'en serait fini d'Agnès et se réputation de femme bien, femme-classe et B.C.-B.G. Il fallait stopper cela et le meilleur moyen, c'était de faire semblant d'être d'accord et d'y aller... Que pouvait-elle faire d'autre?

Agnès se résigna donc et fit comme Brigitte l'avait demandé, peut-être aussi pour montrer sa bonne volonté. Elle remonta le bas de sa robe dans sa ceinture, laissant voir ses jolies jambes de bourgeoise soignée, fines et bien faites... Montant sur le tabouret elle enjamba le cuveau le plus vite possible pour rejoindre les autres femmes... Le Françou, qui à ce moment changeait le seau de moût à la rigole du cuveau, vit très bien l'entrecuisse et le slip un peu transparent d'Agnès et siffla d'admiration en disant

- '' Bondiou le joli cul poilu qu'elle a la petite dame!". Agnès fit semblant de ne pas entendre et se retrouva avec les autres femmes, dans le cuveau. Les raisins écrasés faisaient à ses plantes de pieds une drôle de sensation, visqueuse et flasque, s'immisçant entre ses orteils, mais au bout de quelques foulées, cette perception fut plus douce, plus sensuelle, agréable même avec une sensation de fraicheur en même temps qu'une impression de glissement érotique du raisin jusqu'à ses chevilles et à la naissance de ses mollets. Elle s'enfonçait dans la vendange et le jus des raisins, c'était même assez délectable par certains aspects... Comme les autres il lui fallu boire quelques verres, sinon elle allait relancer les allusions de la Bernadette...

Celle-ci, échauffée (et il est vrai que cet exercice échauffe beaucoup le corps et les sens!) avait enlevé sa combinaison à bordure de dentelles et comme elle n'avait pas de soutien gorge elle non plus, ses seins, gros, opulents, forts et plutôt mastocs, reposaient sur l'échancrure du tablier, pointant leurs larges aréoles et les tétons très écartés et bien marqués... Ils sautaient à chaque mouvement de ses jambes, mais ils apparaissaient pourtant bien fermes en regard de leur imposant volume...

La Brigitte avait fait de même et avait descendu les bretelles de sa robe d'été, ce qui confirma le fait qu'elle ne portait pas, elle non plus de soutien gorge. Elle avait des seins superbes, bien formés et très dressés, hauts et avec des mamelons bien pointés et très ressortis. Des seins magnifiques de femme faite de la trentaine et qui laissaient loin derrière ceux des petites jeunettes, encore en formation... Adrien qui avait reluqués tout à l'heure l'entrecuisse et les seins de la Brigitte devant le tonneau, et qu'Agnès avait mis largement en tête des plus belles bites du lot, ne s'y trompa pas et sous prétexte de venir donner à boire à la Brigitte, vint les voir de plus près. Il ne résista pas à en prendre un en main... Ses yeux dirent toute son admiration... Le Jacquot qui s'en aperçut, ne s'en émeut pas plus que cela et dit :

- '' Hein! Qu'ils sont beaux les jolis nénés de la patronne! T'es un connaisseur, toi, hein!'' Et se saisissant de l'autre sein, il ajouta :

- '' Regarde-moi ça, si ça tient bien en main!... Et vous là, la jolie dame, y a pu qu'vous qu'on a pas vue, Hein?!! Faudrait pet'êt pas nous oublier et pas être en reste, hein?!".

Agnès était prise de panique. Si elle coupait à cette demande et qu'elle sortait ses seins, elle allait avoir l'air de quoi? Surtout qu'elle, elle n'avait même pas l'excuse d'avoir bu! Et puis cela allait les faire rire! Oh, Dieu, la honte!... De se montrer ainsi à nue devant des rustres, des bouseux, des vulgaires!! Non, non!... Mais si elle refusait elle allait déclencher les sarcasmes et peut-être plus encore de la Bernadette et de son homme.... En fait il n'y avait que quatre ou cinq personnes sur les douze qui pouvaient la connaître, pour les autres cela importait moins. Mais quand même il s'agissait de jeunes gens. Qu'allaient-ils penser? Elle hésitait toujours... Elle pria avec ferveur pour le Pépé aille brusquement plus mal et que la Toinette vienne l'appeler pour la délivrer de cette impasse... Mais au fond d'elle-même, elle savait que cela est plus qu'improbable...

- '' Faudra-t-y qu'on aille voir nous-mêmes ", rugit le Jacquot d'un ton sans appel. Il avait pas mal bu et personne ne pouvait connaître ses réactions à l'avance... Apeurée par la voix menaçante, Agnès baissa très lentement les bretelles de sa robe d'été. Elle les descendait très doucement comme si dans cette durée, quelque chose qu'elle ne maîtrisait pas, venu de l'extérieur, allait la sauver... Elle apparut dans un soutien gorge blanc qui déjà laissait voir qu'elle n'avait pas une belle poitrine Une poitrine qui serait bien marquée et digne d'éloges...

- '' Allez tout!, hurla le Jacquot, maintenant très excité. Enlevez tout, quoi! Y a pas de raison!"... Oh si! Il y en avait des raisons!! Agnès savait que le plus dur restait à faire : dégrafer le soutien gorge et laisser aller ses seins qui, n'étant plus soutenus, allaient tomber... Chez une femme de la trentaine, c'était difficile à admettre et plus encore à montrer... Elle hésita encore...

A force d'attendre, elle avait créé l'effet inverse de ce qu'elle aurait voulu : tout le monde avait les yeux fixés sur elle et ne voyait plus qu'elle... Elle regretta brièvement de ne pas avoir fait cela plus vite, dans la foulé! Cela serait sûrement passé plus inaperçu, tandis que là! Enfin, évitant de penser, elle se décida et dégrafa son soutien gorge qu'elle retira lentement. A sa grande honte ses seins, comme elle le savait, tombèrent plus que de raison... Elle aurait voulu ne plus exister! N'être jamais venue là, avec ces hommes, ces femmes, qui la voyaient, avec déjà des regards moqueurs. Elle était celle qui, tout en étant la plus ''évoluée'', la plus chic, la plus distinguée, avait et de loin, la plus vilaine poitrine, la plus laide, la plus flasque, la moins excitante! Elle eût à cet instant où elle vit ses seins aplatis devant elle, en ''gant de toilette'', une impression de ridicule extrême : les jambes éclaboussées par la vendange, les pieds dans les raisins écrasés, la jupe retroussée et la poitrine pendante, au vu de tout le monde! Quelle humiliation!! Quelle honte!!

- '' Ah, ben au moins!, dit le Jacquot, mais regardez ça m'sieurs-dames : Regardez comme c'est flasque! Petits et flasques! Voilà les seins de la dame de la ville! Y a pas de quoi être fière, hein! On comprend mieux pourquoi on ne veut pas les montrer! Même la Bernadette avec 20 ans de plus et le double de poitrine, n'a pas autant de pendant que toi! Ah la garce, on aurait jamais cru ça à la voir comme ça, mignonne, distinguée et plutôt intéressante!..."

- '' Moi je pense qu'ils n'ont pas été assez pelotés et remontés, dit la Bernadette insidieuse, c'est pour ça qu'ils tombent et qui se tiennent pas! Faudrait l'aider à les soutenir et à lui remonter, alors quoi?! "

- '' Au contraire, dit le Armand qui avait pris la remarque au premier degré, c'est des nibards de cochonne, des grosses loches de truie!..., de salope! C'est à force de se les faire tripoter, qu'ils se sont avachis et qu'ils tombent, dès qu'ils ne sont plus tenus par le soutif! Ah ben dis-donc! Elle a intérêt à être bien habillée celle-là pour cacher tout ça!!..."

Brigitte en parfaite petite garce savourant sa victoire sur une jolie bourgeoise de la ville à peu près de son âge, vint lui mettre ses seins sous le nez, dardant ses tétons bien dressés et très écartés. Elle appuya un de ses seins sur le sein droit d'Agnès, faisant aller et venir le bout bien ferme et dressé de son sein tout le long de celui de l'infirmière, sans y mettre les mains, comme pour montrer que les siens étaient fermes, ''pointés'' et se tenaient parfaitement tout seuls... Le Jacquot s'avança, prit un des seins de sa femme dans une main et un sein d'Agnès dans l'autre et les palpa en comparaison, les englobant l'un et l'autre de ses mains dures et calleuses... Il pétrissait avec dureté et faisait mal à Agnès qui ressentait autant la douleur physique que morale d'être ainsi palpée par un rustre aux trois quarts ivre. Le salaud lui pinçait le bout à lui faire mal.

- '' Y a pas de comparaison possible! Putain, que c'est mou...! Mou, t'entends! Ca te glisse de la main, comme des loches! Oui, t'as raison Armand! Comme des grosses loches molles et gluantes! Té, les gars allez-y, vous m'direz! Prenez-les bien en main et vous m'direz si c'est une impression de moi!''

Tous les hommes, passèrent et lui tripotèrent les seins, les soupesant, les suçotant parfois, les étirant aussi. Agnès avait l'impression de donner toute sa personne à ses hommes brutaux et sans respect, qui l'humiliaient et en tiraient un plaisir de dominateur... Le jeune Adrien lui suça avec ferveur, faisant danser les bouts sur la pointe se sa langue. Agnès en éprouva un trouble certain et un plaisir furtif, fait à la fois d'excitation dissimulée et de honte... Le Françou les pressa fortement dans ses grosses mains rugueuses, les rapprochant jusqu'à faire se toucher les pointes des tétons. Il y passa une langue avinée, sortie de sa bouche fétide et aspira les deux bouts en même temps. Agnès eut un frémissement de dégoût.

- '' Regardez dit-il, c'est tellement mou que ça pourrait être noué sur les bouts!" Cette remarque très primaire et obscène fit beaucoup rire alentours et blessa énormément Agnès dans son amour propre...

Les femmes aussi vinrent à tour de rôle lui prendre les seins et les lui tripoter, les presser. Ces attouchements indiscrets et sentencieux des femmes, firent encore beaucoup plus honte à Agnès. Il lui semblait que toutes ces pétasses à l'esprit embué de vinasse s'étaient fait le mot pour la molester, l'amoindrir à leurs yeux et à ceux des hommes du groupe. '' Les garces, pensa Agnès, elles se valorisent et rehaussent leur condition d'inférieures par le fait que je sois moins bien mamelue qu'elles! Ah, les salopes!... Si je le pouvais là, maintenant, je leur montrerais que je suis infiniment meilleure qu'elles sur bien des plans, ne serait-ce que sur la dimension des calibres qu'elles pourraient accepter dans leurs trous de cochonnes et je leur en remontrerais sur la façon d'être une salope... Elles pourraient toujours s'aligner, les garces! Je les bats et de loin!... ''. Mais il n'empêche que pour l'instant, c'est elle qui subissait...

A ce moment, Agnès eut vraiment l'impression d'une conspiration, d'une machination contre elle! Et le vieux, là haut, était-il réellement malade? Pourquoi la Toinette l'avait-elle laissée ainsi à ces gens? Et pourquoi ne revenait-elle pas? Toutes ces questions tourbillonnaient dans la tête d'Agnès, faisant écran à ses pensées et paralysant ses défenses de femme...

La Bernadette lui examina la poitrine avec dédain et lui pinça même de méchante façon le bout d'un téton ce qui lui fit très mal... Mais ce qui l'humilia par dessus tout, ce fut le geste de Brigitte. La petite salope rousse se mettant bien en face d'elle lui prit le bout de chaque téton et les tira lentement mais fermement vers le haut, les souleva, les décollant du buste d'Agnès, pointant ses seins parfaits en face et disant :

- '' Regardez, il faudrait les tenir comme ça pour qu'ils soient comme les miens! Vous voyez un peu ce qu'il faudrait comme soutien!". Et finissant sa phrase, elle ouvrit les doigts laissant retomber les seins d'Agnès, devant les siens toujours très droits... Il y eut des applaudissements. Agnès en aurait pleuré si son désarroi n'avait pas été aussi grand!... Déjà le Jacquot reprenait :

- ''Allez les gars, frottez-lui les nichons avec les raisins, histoire de voir si ça les redresse un peu!... Et frottez-les bien, hein!..."

Ce fut encore pour elle un moment effroyable : les raisins écrasés, déjà très foulés et dont il ne restait souvent plus que les tiges des grappes, lui meurtrissaient les seins. Le jus rosé, sucré et collant lui barbouillait le torse et coulait sur son ventre entre sa peau et la robe, s'insinuait dans son slip, lui mouillait le pubis, puis coulait, poisseux, dans sa fente, collant ses poils... Puis, il débordait du slip, pour couler sur l'intérieur de ses cuisses... On la fit boire, plusieurs verres à la suite comme pour rattraper le temps perdu... Le vin versé trop vite dans sa bouche et qu'elle ne pouvait avaler assez vite, dégoulinait le long de son visage, roulait sur sa poitrine et coulait lui aussi sur son ventre, s'insinuait également dans son slip et mouillait sa fente. Tout son entrejambes dégoulinait. Elle se mit à penser qu'elle allait se laisser enivrer et que c'était là la meilleure façon d'échapper à ces humiliations... Ivre morte, elle aurait au moins l'excuse d'être saoule, pour les autres, mais aussi pour elle-même, elle ne saurait plus trop ce qu'on lui imposerait et à quoi on la forcerait... Elle accepta donc les 3 ou 4 verres d'un vin fort et épais que chacun des hommes lui fit boire à la suite, presque sans qu'elle put respirer entre chaque. Pourtant tout son être luttait et résistait pour ne pas se laisser vaincre et assujettir aux humiliations...

Elle dû supporter aussi les sucions et les morsures de ses tétons par les bouches impures et avinées qui lui aspiraient, lui tiraient, lui déformaient les bouts. Surtout les langottages du Françou avec son visage de singe grimaçant, dont la bouche édentée et déformée renvoyait à chaque halètement au ras de son torse une halène fétide et chargée de vinasse dont les effluves remontaient jusqu'à son visage, lui donnant des haut-le-cœur... A la fois d'ivresse et de dégoût, elle éprouva une irrépressible envie de vomir ; son estomac et tout son être se révulsa. Elle ne sut pas à quel revirement elle dut de résister à ces écœurements... Crispée, elle sentait le jus poisseux, qui remontait maintenant dans sa raie de derrière entre ses fesses, lui engluant aussi la rosette et même plus haut toute sa raie délicate et d'ordinaire si soignée... Elle n'osait penser à l'état de sa vulve et de son joli cul de jeune femme B.C.-B.G. Se sentir sale et souillée, envahie de pollutions, était pour elle une humiliation physique extrême. Une violence même. Elle ne supportait pas, viscéralement, de se sentir sale, cela la mettait psychiquement en danger : elle perdait ainsi, plus que par toute autre humiliation, son intégrité de femme, de personne...

Ils n'arrêtaient pas de lui frictionner la poitrine avec la râpe de la vendange... Maintenant, à demi engourdie par le vin, cramponnée aux bords du cuveau pour ne pas perdre l'équilibre et tomber les fesses dans la vendange, ce qui aurait été la suprême déchéance, elle fermait les yeux, et attendait soumise, ce que les autres avaient décidé de lui faire subir... Elle sentit, une main douce et rassurante repasser les bretelles de sa jupe sur ces épaules et rentrer ses seins dans le haut de l'étoffe. Cela eut sur son psychisme un effet apaisant et calmant. Elle crût à un instant de compassion quand elle vit Brigitte lui réajuster le haut de sa robe avec douceur. Elle allait la remercier du regard quand Brigitte lui dit doucement :

- ''Aller ça suffit! Tu les as assez montrés! Ils ne valent pas la peine que l'on en parle ni qu'on les regarde autant!". La remarque cingla Agnès comme une gifle, elle chancela sous le coup et sans doute aussi par le vin bu depuis quelques minutes. Elle défaillit, désarçonnée par la réplique cinglante qui l'atteint au ventre. Elle eut une brusque envie d'uriner et dû faire un terrible effort pour la réprimer et ne pas se laisser aller, ne pas s'abandonner à pisser là debout dans la vendange et devant tout le monde. Elle sentit quelques gouttes humecter l'entrée de sa fente, et elle dut faire des efforts encore plus grands un court instant pour ne pas tout lâcher. Elle réussit à se contenir enfin...

Le moût avait pratiquement cessé de couler. La foulée était terminée et les femmes sortaient maintenant du cuveau, aidées par les hommes qui en profitaient pour les caresser et les exciter... Agnès dont la tête tournait, fut attrapée par le Françou et par Johann, le grand blond ... Dans son déséquilibre d'atterrissage, sa hanche rencontra le bas-ventre du Françou. Elle fut surprise et décontenancée d'y heurter un engin déjà tout raide, dur et apparemment très gros... La seconde suivante, alors que Johann la déposait à terre, elle sentit au niveau de ses fesses le fort calibre de jeune blond qui manifestement bandait beaucoup... Elle frémit sans savoir si ce frémissement était le fait de ce qu'elle venait de ressentir ou de ce qui venait de se passer dans le cuveau...

- '' Putain, mais la garce s'est rhabillée?, vociféra Armand Qui l'a autorisée? Ooohh, vous entendez vous autres? Elle a caché ses miches ... C'est parce qu'ils ont trop servis! Hein, salope que tu veux plus les prêter?" La Bernadette, toujours à l'affût, lança :

- '' Il n'y a pas que les miches qui ont beaucoup servi, à ce qui se dit!... Il y aurait bien d'autres choses encore!..." La vieille salope avait encore placé une banderille. Elle savait l'effet qu'allait avoir sur les esprits échauffés, sa remarque insidieuse...

La suite au prochain chapitre : le n° 3 / 6

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