Hypnose Mécanique 03

BÊTA PUBLIQUE

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En pleurant, ma sœur me répond.

- D'accord.

- Parfait, retourne toi sur le ventre, j'ai envie de t'enculer.

Léa obéit, je l'ai sodomisée avec une violence rare de ma part, jouissant comme je ne l'avais pas fait depuis longtemps avec elle.

Je reviendrais un peu plus tard sur le sort de Léa, pour l'instant je vais me concentrer sur Siobanne.

Pendant un mois, Siobanne s'est assise à côté de moi. S'habillant toujours parfaitement sexy. Elle me parlait, je lui répondais à peine, la rendant très malheureuse. La jeune fille a été obligée de prendre une psy, des anti-dépresseurs. Un jeudi soir, elle me proposa un autre rendez-vous.

- ça te dirais de passer le week-end chez moi? Je serais seule.

Elle attendait ma réponse avec plein d'espoir.

- Pour quoi faire?

- Ce que tu veux. Même des choses salaces.

Elle avait rougit en me disant ça.

- Je sais pas, ça me tente pas trop.

- Si tu préfère on ne feras rien.

- Ça dépend, il y aura Lin?

Lin était une étudiante d'origine japonaise, petite, faisant ado, malgré ses vingt ans, avec des seins de jolie taille pour son gabarit, la femme-enfant parfaite. La jeune fille était lesbienne elle aussi, tout comme Siobanne. D'ailleurs elles étaient sorties ensemble pendant un an, mais étaient restées d'excellentes amies après leurs ruptures.

- Pourquoi Lin?

- Je la trouve marrante. Puis elle me plaît bien.

Ma réponse la dévasta, mais elle garda son aplomb.

- Tu comptes la draguer?

- Non, c'est juste que c'est plus marrant d'être plusieurs.

Ma réponse la rassure, l'espace d'un instant, Siobanne a crue qu'en plus de devoir me voler à Léa, elle devrait le faire avec Lin.

- D'accord. Tu as raison. Je peux lui dire de venir, mais je ne sais pas si elle sera d'accord.

- Si on est que tout les deux, je ne viens pas.

Une nouvelle fois ma réponse la déçue.

- OK, ne t'en fais pas, elle viendra. Tu veux que je fasse venir d'autres personne?

- Non, a trois ça iras.

- Super.

- Je viens à quelle heure?

- Ben, je dirais midi, comme ça on déjeune tous ensemble. Mais si tu veux, tu peux venir plus tôt.

- D'accord, appelle-moi si des fois on est que tout les deux.

- Je n'ai pas ton numéro.

Je le lui ai griffonné sur un bout de papier. La belle Siobanne s'empressa de l'enregistrer dans son téléphone. On se fit la bise, nous sommes chacun, rentrés chez nous de notre coté.

Je suis arrivé chez moi le cœur joyeux, il était dix-huit heures. Martha était déjà au travail. Léa ne rentrerait que quand je le déciderais. En attendant, j'ai repensé au début de Léa comme pute de l'université. Le premier soir, je l'ai laissée à l'université jusque à vingt-deux heures. Comme Martha, ma sœur ne devait pas faire mettre de capotes à ses clients, ni prendre la pilule. Mais surtout elle ne devait pas se laver entre deux clients, vu son prix, ils n'avaient pas intérêt à être exigent. En plus, ma sœur devait rentrer nue, peu importe les risques avec les flics, à elle de se débrouiller. J'ai souris quand elle a franchis la porte de la maison, elle portait un sac plastique qui teintait dans sa main droite. Cette chienne était recouverte de sperme, sur le corps, les seins, le visage, les cheveux. Un quantité impressionnante de semence coule de son vagin, de son cul. Mais surtout elle pleure de tout son saoul.

- Putain, tu en a pris combien?

Léa fit mine de s'asseoir.

- Non, reste debout. Tu es trop crade. Alors le nombre de tes clients?

- Trente, j'ai commencée à seize heures, à la fin de mes cours.

Léa avait dut mal à me répondre, parlant entre deux sanglots. Elle me tendit un sac de pièces de deux euros, il y en avait pour soixante euros.

- Jolie score pour une première.

- Et encore, si tu ne m'avais pas appelé, j'aurais fait mieux, d'autres attendaient encore.

Je me suis levé, la giflant violemment. Cette conne s'est pissé dessus.

- Tu es vraiment une chienne, tu nettoieras après, avec ta langue.

- D'accord.

- Puis tu u ne reviens pas tant qu'il reste des clients.

- Mais c'est toi qui m'a appelée!

Nouvelle gifle de ma part.

- Oui, mais tu rentres quand tu as finis.

- D'accord. Pardon. Excuse-moi.

- Tu te débrouille comme tu veux, tu les prends par trois avant mon appel, ou après, mais quand tu parts, je ne veux plus personne.

- D'accord, excuse-moi.

- C'est bon pour cette fois. Maintenant, tu nettoies ta pisse avec ta langue. Tu montes ensuite prendre une douche. Je crois que papa a une forte envie de te voir. Il viendra sûrement quand tu te laveras.

- Mon dieu...

- Allons, tu dois être habituée aux bites maintenant.

- Non, je ne peux pas m'habituée aux viols. S'il te plaît, laisse-moi te rejoindre après lui.

- Tu me diras quand il a fini, je viendrais dans ta chambre. Je n'ai pas envie que tu pourrisse mon lit avec le sperme du paternel.

- D'accord.

- Par contre trente gars, c'est un joli score. Comment tu as fait pour en avoir autant?

- Je suis allez les voir, comme tu le veux.

Cela avait dut être très humiliant pour ma sœur d'aller proposer ses services.

- Parfait, va te laver.

Léa, pleurant toujours, tête basse, monta vers la salle d'eau.

Depuis, ma frangine à de plus en plus de clients. Sa voiture pue le sexe. Elle a de plus en plus de gars qui viennent la prendre. Ma frangine tourne à une moyenne de quatre-vingt mecs par jours. Une vingtaine entre midi et deux, le reste après ses cours. Tout comme pour Martha, ma vengeance est parfaite. Je l'ai appelée vers vingt et une heure. Comme chaque fois, elle est rentrée nue, pleine de sperme. Après que notre père l'ai prise, je l'ai rejoint dans sa chambre. Maintenant nous dormons ensemble, dans son lit. Inutile de vous dire, que pour ma sœur comme pour ma belle-mère, leurs orifices sont beaucoup moins serré.

Entre-temps, j'ai appris le suicide de la mère de Jordan, suite à la dévastation mentale qu'elle a subie à cause du viol sauvage prodigué par son fils. Je m'en suis un peu voulut. J'aurais pus allais la voir, la mettre sous contrôle mentale. Je me suis aussi dis qu'après tout elle le méritée bien. Elle avait sciemment laissée faire beaucoup de mauvaises choses à mon encontre.

Le samedi matin arriva vite. Je suis arrivé dans la grande et somptueuse maison de Siobanne à midi moins le quart. Sa mère et sa sœur était partie en week-end, à la plage, le vendredi soir. Ses parents étaient divorcés, son père vit dans une autre ville. Sa mère est issue d'une famille très riche, ce qui explique le train de vie somptueux de la famille. Je ne connais pas sa mère, ni sa sœur, qui à dix-huit ans à peine, est toujours au lycée. C'est bizarre, Siobanne m'a dit que sa mère et sa sœur ne serait pas ici, pourtant la voiture de la mère est garée dans l'allée de la villa, juste derrière celle de mon amoureuse. Je sonne à la porte, c'est Siobanne elle même qui vient m'ouvrir. C'est bizarre, je pensais qu'il y aurait des domestiques.

- Bonjour Siobanne, ça va?

- Oui, merci et toi?

- Ça va, merci.

J'ai congédié les domestiques pour le week-end, on sera plus tranquille.

- Parfait.

Ma belle est habillée comme une déesse. Un petit top, pas trop décolleté, mais hyper-tendu par sa somptueuse paire de seins. Un petit short en jeans, qui met en valeur son cul magnifique, montrant des jambes parfaitement galbée. J'ai envie de lui sauter dessus pour lui faire l'amour, mais je me retiens, je veux vraiment m'en tenir à mon plan.

- Au fait, Lin nous rejoint vers quatorze heures, elle ne peut pas manger avec nous à midi.

- OK, tant qu'elle vient. On va bien s'amuser.

- Je l'espère.

- Ta mère est là? J'ai vu sa voiture.

Non, elles prennent l'avion, avec ma sœur. Un taxi les prends et les déposent au retour.

- OK, je ne savais pas.

- Tu ne pouvais pas.

A midi, on a mangé un délicieux plat de lasagnes. C'est Siobanne qui les avaient préparées. La jeune fille est douée pour la cuisine. Pendant le repas, elle m'a parlée de sa solitude amoureuse, qu'elle aimerait bien se trouvait un homme qui l'aime. Faisant sans cesse das allusions, comme quoi, cet homme ce serait moi. À chaque fois, j'ai détourné la conversation sur les cours, l'université. A aucun moment, Siobanne ne m'a parlé de la relation incestueuse entre ma sœur et moi. Pourtant elle en meurt d'envie. Quand quatorze heures arrive, Lin sonne à la porte. La jeune fille est petite, un mètre cinquante pour quarante kilos. Elle porte une robe ample, ne mettant pas en valeur son corps. C'est une très jolie asiatique. Loin de la beauté de Léa ou Martha, encore plus loin de la splendeur de Siobanne, mais très jolie quand même. Elle reste dans les dix pour-cent des filles les plus bandantes de l'université. Surtout avec son corps de femme-enfant. Cette salope, est aussi une amie de ma sœur. C'est vrai qu'elle est marrante, les vannes méchantes qu'elle m'a envoyée, quand j'étais plus jeune, ont était parmi les plus douloureuse de ma vie, mais faisaient bien rire les gens qui les entendaient.

On est allés dans le salon. Je me suis assis dans le grand canapé. Lin se mettant à côté de moi. Siobanne prit le fauteuil juste en face de nous. L'asiatique était contre moi, les deux filles me faisaient les yeux doux. Ça me change des commentaires méchants et moqueurs que j'ai entendu toute ma vie. On était en mai, la journée était chaude. On a discuté de tout et de rien pendant prés d'une heure. Puis Siobanne c'est levée.

- Je meurs de chaud, ça vous dérange si je vais prendre une douche?

- Non, pas du tout.

- Moi non plus ça ne me dérange pas.

La belle métisse c'est levée. Je l'ai regardée marcher, son cul de déesse m'hypnotisant. Lin m'a caressée la cuisse.

- Enfin seuls!

La jeune japonaise c'est levée, à enlevée d'un seul coup sa robe. Elle ne portait qu'un petit string en dessous. Ses seins était bien ronds, elle faisait du 85 B, mais sa poitrine paraissait bien plus grosse vu sa taille et sa minceur.

- J'ai envie de baiser avec toi! Me lance Lin d'une voix torride.

Son string est descendu, me dévoilant un bas-ventre où courait un petit buisson de poils noirs et drus. J'ai rapidement déboutonné mon pantalon, baissé mon caleçon. Mon sexe, bander est sortit directement. Lin s'est assise sur moi, son vagin trempée contre mon gland. Elle est descendue rapidement. Engouffrant mon engin dans son ventre. J'ai omis de vous dire que Lin était aussi sous mon emprise. Je l'avais mis sous mon pouvoir quelques jours plus tôt, alors qu'elle entrait seule dans les WC de l'université. La jeune fille m'avait avoué être lesbienne, mais avoir été dépucelée par Siobanne. Cette dernière lui avait enlevée sa fleur, avec un godes-ceinture. Depuis la japonaise se faisait régulièrement pénétrer par des phallus en plastique. Elle avait même essayée deux ou trois fois la sodomie. Mais ça ne lui plaisait pas du tout. Elle ne le faisait que par amour, quand l'histoire était sérieuse. J'ai implanté dans Lin, un puissant désir de moi. Je l'ai rendu amoureuse. Même si coucher avec moi doit signifier la fin de son amitié avec Siobanne.

Lin était serrée, ça me changeait des vagins un peu plus distendus de ma sœur et de ma belle-maman. On a fait l'amour lentement, en silence. Mais je voyais aux expressions du visage de la jeune fille, aux contraction de son vagin, qu'elle avait eut au moins deux orgasmes.

- Lin, tu fais quoi?

Pour la seconde fois, Siobanne vois une fille coucher avec son grand amour. Après sa meilleure amie, c'est son ex, mais également très bonne amie qui se fait prendre par moi. Je vois les larmes qui coulent sur le visage merveilleux de la jeune métisse. Je prends les devants.

- Tais-toi, et regardes.

- Mais...

- Siobanne, si tu veux que l'on continue à se parler, obéis.

La jeune femme se tait. Humiliée, dévastée de tristesse, elle assiste a mon ébat sexuel avec son amie. Moi je suis au paradis. C'est en criant, que je jouis dans le ventre de la jeune et frêle asiatique. Sous le regard malheureux, haineux pour mon amante, de Siobanne.

Lin reste assise sur moi, elle me roule une pelle. Me murmure à l'oreille :

- J'espère que maintenant on sorte ensemble.

- Bien sur, tu es officiellement ma nouvelle petite amie.

Sans le savoir, je venais de changer de catégorie au sein de l'université. De boloss très laid, à qui personne ne parle, je deviens un mystère. La plus belle fille du pays est amoureuse de moi, une très jolie lesbienne notoire sort avec moi. Peu de gars auraient réussis une telle gageure. Mais ce n'est que le début, la suite serais encore plus grandiose pour ma réputation.

Lin se redresse, s'assoit de nouveau contre moi.

- Je vais aller me laver, j'aime pas sentir le sperme couler. Surtout que c'est la première fois.

- J'ai une merveilleuse idée. Écarte juste les cuisses, Siobanne va te nettoyer avec sa langue.

- Quoi?

La jeune métisse paraît choquée. Lin sourit.

- Super, mais qu'elle le fasse jusque à ce que je jouisse.

Je regarde Siobanne.

- Allez Siobanne, soit gentille. Fais ce que je te demande.

- Mais c'est dégueulasse! Tu ne peux pas me demander ça!

- Allez, et on resteras amis, sinon...

- Mais c'est du chantage!

- Oui, tout à fait.

Je ne sais pas si ça va marcher, peut-être que je vais trop loin. Siobanne hésite. La magnifique fille pleure toujours, de plus en plus même.

- S'il te plaît, c'est dégueulasse.

- Fais-le et je te laisserais me sucer.

Un sourire fuguasse apparaît au milieu des larmes de la jeune femme.

- On sortiras ensemble alors?

- Non, je sors avec Lin. Mais au moins tu m'auras sucer.

Siobanne hésite, Lin attends cuisses écartées, mon sperme s'écoulant de son vagin.

- Alors, Siobanne tu décides quoi?

C'est Lin qui a parlée. Siobanne lui lance un regard haineux. Elle aurait eut des armes à la place des yeux, qu'elle lui aurait tirée dessus. Mais, j'ai gagné, Siobanne s'avance, s'agenouille devant le canapé. Je la vois sortir sa langue, enfoncer sa tête entre les jambes de l'asiatique qui gémit à ce contact. Au bout de trois minutes, Lin, au milieu de ses gémissements de plaisir intense, parle à sa lécheuse forcée.

- Merde, Siobanne, tu lèche encore mieux qu'avant, c'est fantastique.

Humiliée, la jeune miss ne répond pas. Siobanne s'active entre les cuisses de Lin. Je vois sa langue jouer avec le clitoris de la fille, rentrer dans sa chatte. Les doigts de mon amoureuse se joigne bientôt à sa langue, maintenant Lin crie de plaisir, au bords de l'orgasme. Elle attrape la tête de la métisse, la plaque contre son entre-jambe. Le cri qui jaillit de sa gorge est impressionnant. C'est presque un hurlement qu'elle pousse quand la jouissance la foudroie.

Lin, affalée dans le canapé, reprends son souffle. Siobanne éloigne son visage, il est couvert de cyprine. Elle me regarde d'un air abattue :

- Tu vas tenir ta promesse? Je peux te sucer?

On dirais qu'il est question de vie ou de mort, tellement elle est tendue.

- Fais toi plaisir.

Siobanne, toujours à genoux se déplace vers moi. La jeune fille me fait un sourire absolument magnifique, comme si je viens de lui donner la bonne nouvelle la plus importante de sa vie. Comme une morte de faim, Siobanne défait mon pantalon, le descend, entraînant avec mon caleçon. C'est la première bite masculine qu'elle voit, qu'elle touche, qu'elle va avoir dans sa bouche. Une chose qui lui paraissait inimaginable avant de tomber en mon pouvoir. La jeune miss avale mon engin. Sa fellation est maladroite, mais je la ressens merveilleusement. En moins de cinq minutes, je jouis torrentiellement dans sa bouche. Siobanne se redresse, ouvre sa bouche pour me prouver qu'elle a bien avalée tout mon sperme. Elle se relève, souriante.

- Satisfaite?

- Oui, c'est le plus beau cadeau que l'on ne met fait de toute ma vie.

- Bien. Peut-être que je te laisserais recommencer un jour.

Ma réponse la déçoit, je le vois bien dans ses yeux, sur son visage expressif.

Je bande toujours, je regarde Lin.

Mets toi à quatre pattes, que je t'encule.

La jeune japonaise me sourit, obéit. Siobanne rebondit sur l'occasion.

- Tu ne préfère pas m'enculer moi?

- Non, je t'ai laissée me sucer pour te récompenser, c'est tout. Mais c'est avec Lin que je sors.

Ma réponse la vexe, lui fait mal. Une nouvelle fois, le véritable petit canon fond en larmes.

- Mais si tu veux être gentille avec moi, tu vas me préparer le trou du cul de Lin.

- Comment?

Avec ta langue, en lui léchant l'anus.

- Mais c'est horrible!

- Tu n'as jamais fait un analingus à tes amantes?

- Non, ça me dégoûtes trop.

- Là, c'est moi qui te le demandes. Fais moi plaisir.

- D'accord, je le ferais pour te faire plaisir.

- Parfait, mais seulement avec la langue, pas la peine de lui mettre des doigts, compris?

- Oui.

Je me lève, Siobanne monte sur le canapé, s'agenouille derrière Lin, se met à lui lécher l'anus.

Je me déshabille. Je regarde Siobanne lécher consciencieusement la petite étoile plissée de Lin. Une fois que j'estime que c'est suffisamment lubrifiée, j'ordonne à la métisse de me laisser la place.

- C'est suffisant Siobanne. Je vais l'enculer. - Mais je veux que tu regardes.

La jeune femme déçu, se lève, me laisse la place. Lin attend ma bite en elle. Je monte sur le canapé, me place derrière la japonaise, mon braquemart touche les fesses de la future enculée. Je regarde Siobanne en souriant.

- Tu vas m'aider, tu vas écarter les fesses de ta pote, ensuite tu feras rentrer mon chibre en elle.

- Pourquoi tu m'humilie comme ça?

- J'aime bien. Mais tu n'es pas obligée. Par contre si tu ne le fais pas, tu ne me verras plus, on ne se parlera plus.

Alors, immédiatement Siobanne s'approche. D'une main elle écarte une fesse de Lin, de l'autre elle saisit ma bite. Comme je vous l'ai dis, Lin c'est déjà faites enculer quelques fois. La jeune fille sait comment faire. Quand elle sent mon gland contre l'entrée resserrée de ses reins, elle pousse pour dilater l'ouverture. Siobanne pousse mon gland. Il est aussitôt aspirée dans le rectum de mon amante. Je rentre d'un seul coup en elle. Lin hurle de plaisir, ayant un orgasme intense lors de la pénétration. Je commence alors mes coups de reins, sous le regard une nouvelle fois haineux de la métisse.

Lin est vraiment serrée du cul. Depuis les premières fois avec Léa et Martha, je n'ai pas connu une telle étroitesse. Je savoure aussi la vision de mon engin dilatant le cul de ma maîtresse. Lin est vraiment une dépravée, durant les vingt minutes de ma sodomie, elle ne fait que feuler de plaisir. Trois nouveaux orgasmes la foudroie. L'asiatique est vraiment réceptive à mes ordres hypnotiques. C'est en criant que je me vide en elle. Une fois retiré, c'est dans la bouche de Lin que je me nettoie. Au grand désarroi de Siobanne, que j'oblige à nettoyer tout le sperme coulant des entrailles de son ancienne maîtresse.

Une fois finis, Lin et moi, nous rhabillons. Il est vingt heures. Je regarde ma nouvelle copine.

- Lin, tu es venue en voiture?

- Ben oui.

- Bien, on va y aller.

- Vous sortez? Jonas, tu ne restes pas?

Siobanne à pratiquement criée.

- Non, j'ai des trucs à faire avec Lin.

- Mais tu m'avais promis...

- Je ne t'ai rien promis d'abord. Puis je suis quand même venu.

- On y va?

- Attends moi à ta voiture, je dis au revoir à Siobanne, j'arrive.

L'asiatique part immédiatement, sans un mot, ni un regard pour son amie. Siobanne me regarde droit dans le yeux.

- Tu reviens?

- Non, je ne crois pas.

- Si je te paie?

C'est terriblement humiliant pour elle. La jeune femme est si désespérée, qu'elle en est à me proposer de l'argent pour être avec moi. Je jubile intérieurement.

- Combien?

- Deux mille, ça te va?

- Non, ça fait peu.

Dix mille, je te donne dix mille euros si tu reste la journée et que tu reviennes dormir avec moi cette nuit.

- Quinze mille et c'est bon. Mais je ne couche pas.