Hypnose Mécanique 04

Informations sur Récit
Sa soeur et sa belle-mère ne suffise plus à Jonas.
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Partie 4 de la série de 19 pièces

Actualisé 06/16/2023
Créé 12/04/2016
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Jonas : Jeune inventeur de dix-huit ans. Il a inventé une nouvelle pilule dix fois plus efficace que le petit médicament bleu qui aide à bander. Il a également inventé un petit appareil, qui met les gens en transe, comme sous hypnose, lui permettant de prendre le contrôle de leurs cerveau. Il va s'en servir pour se venger de sa famille, ainsi que d'autres personnes de son entourages. Tous l'ayant maltraité physiquement ou psychologiquement.

Hugues : Quarante-et-un an, le père de Jonas. Si lui même n'a jamais maltraité son fils, il n'a rien vu de ses tourments. Son fils l'aime, il le fera participer à sa vengeance.

Martha : Jolie rousse de trente ans. La belle-mère de Jonas. L'une des principales instigatrice des souffrances du jeune hommes. Ce sera l'une de ses principale victime.

Léa : Superbe jeune femme de dix-neuf ans. Un vrai canon blond. La sœur de Jonas. C'était la pire de toutes avec lui. C'est la première victime de son frère.

Radiu : Maquereau roumain, âgé d'une cinquantaine d'années, indic des flics. Il est le nouveau patron de Martha et de Léa. Il va les faire prostituer dans son bar « La chatte sauvage ».

Siobanne : 23 ans, superbe métisse d'origine indienne d'Amérique et Suédoise. C'est la meilleure amie de Léa, ainsi que l'amour secret de Jonas. Son corps parfait, sa peau mat, ses superbes yeux verts émeraude, en font une des plus belles femmes du monde. D'ailleurs son titre de Miss Univers en a fait, pour l'année précédente, la plus parfaite humaine sur terre.

Lin : Jeune japonaise de vingt ans. Une vraie femme-enfant. Lesbienne, elle fait pourtant tourner la tête de beaucoup d'hommes, par sa beauté et son aspect si frêle.

Lin s'est garée en face la chatte brûlante, exactement à la même place que mon père la première fois que l'on est venus.Elle me prend la main quand on descend de voiture. La jeune asiatique pleure en silence.

- Pourquoi tu pleures?

- Je ne veux pas faire la pute.

- Pourtant tu vas le faire. Tu n'as pas le choix si tu veux que l'on sorte ensemble.

- Je sais. Je le ferais, mais ça me fais mal.

- Tais-toi c'est mieux.

Quand on est rentré Radiu est venu vers moi.

- Désolé mon pote, mais pas de mineurs ici.

- Elle à vingt ans.

- Merde, elle fait moins. C'est bon alors.

- Merci.

- C'est ta copine?

- Oui.

- Putain, tu ne t'emmerde pas. C'est un bon coup?

- Superbe, tu veux l'essayer?

- Avec plaisir. Je me suis jamais tapé de chinoise.

- C'est une japonaise.

- C'est pareil. Mais putain, elle est vraiment bonne.

- OK, d'ailleurs elle va bosser pour toi. Tout les soirs.

Les commentaires du roumain humilie Lin, mais elle ne dit rien. Radiu se jette dans mes bras.

- Merci mon pote, ça c'est vraiment une bonne nouvelle.

- De rien. Alors, ma belle-mère et ma sœur tourne bien?

- C'est un truc de fou. Je fais trente pour cent de passe en plus juste avec Martha, soixante-dix, quand il y a ta sœur en plus.

- Les autres ne disent rien?

- Non, elles gagnent moins, mais pour l'instant ça passe. Ces connes discutent juste vaguement de partir ailleurs, mais rien de bien méchant. Après, avec ta copine, ça risque de changer.

- Je te l'ai promis, je remplacerais chacune d'elles par un fille du même acabit minimum.

- Ben, déjà, les trois que tu m'as donné, en comptant ta pute, c'est au moins cinq classes au-dessus.

- Tant mieux que ça te plaise. On y va?

- Yes, j'ai hâte de faire tâter de la bonne bite roumaine à ta japonaise.

Radiu et moi sommes partis dans un fou rire, tandis que Lin pleure un peu plus.

On est allés au fond, la porte en face des toilettes était ouverte. Il y avait un long couloir, de chaque coté, il y a six portes. Les deux premières portes sont ouvertes. Chaque porte donne sur une petite pièce, avec un lit, un lavabo, ainsi qu'un petit bidet. Dans la première, il y a Martha. Elle se fait prendre la chatte en levrette, tandis qu'elle suce un second homme. Dans la deuxième pièce c'est Léa. Pour elle, c'est une véritable orgie. Elle est empalée dans le vagin par un gars, un second la sodomise, tandis qu'un troisième se sert de sa bouche. Il y a un quatrième homme qu'elle branle de sa main gauche, tandis que le dernier, la jeune femme, le branle de sa main droite. J'ai souris en voyant la violence avec laquelle les hommes prennent ma sœur, cette putain doit déguster. On passe devant deux autres portes fermée.

- Il y a une fille dans chacune d'elle. Mais contrairement à tes deux chiennes, là, on baise en privé.

Radiu rentre dans la cinquième pièce, allume la lumière. Je regardes Lin.

- Déshabille-toi.

La jeune asiatique me lance un regard plein de honte, de peur. Mais elle obéit. Radiu siffle quand elle est complètement nue.

- Putain, jolie morceau. Tu la baise avec moi?

- Non, je regarde.

- Comme tu veux.

Lin s'allonge sur le lit, le roumain la rejoint. Le mac gobe une de mes pilules. Il la prend en missionnaire. Lin gémit tout le long de douleur. Quand son violeur éjacule, la jeune fille ne jouit pas. Contrairement à Martha et Léa, je ne lui ai pas implanté l'ordre d'avoir un orgasme après chaque éjaculation. Une fois fini, Radiu la retourne, la sodomisant, alors que sa proie est allongée sur le ventre. Cette fois c'est des cris de douleur que la fille pousse. Pour finir, elle doit le sucer, pour le nettoyer, allant jusque au bout, avalant la semence de son suborneur.

Lin se lève une fois que Radiu en a terminé avec elle. La salope me regarde, elle pleure encore.

- Je me lave?

- Non, tu mets juste ta culotte, tu vas t'asseoir au bar, tu iras avec chaque client qui paiera pour toi.

- D'accord.

- Vas-y.

L'asiatique sort de la pièce. Radiu se rhabille.

- Putain, c'est un vrai bon coup. Merci. Elle est vraiment étroite de partout. Le top.

- De rien.

- Allez, viens, on va boire un verre.

Quand on entre de nouveau dans la salle du barre, un homme donne un billet au barman. Il prend Lin par la main, se dirige vers le couloir d'où l'on vient de sortir. Même pas deux minutes, que cette chienne à déjà un client. Elle part au fond du bar, direction le couloir aux chambrette, avec un immense black. Je suis étonné de voir mon père, assis seul à une table.

- Radiu, il y a mon père, on va le voir?

- Avec plaisir.

Mon père nous sourit quand on s'assoit. Le roumain fait signe au barman de nous mettre trois verres.

- Tu es là papa?

Ben oui, je m'ennuie seul à la maison. Martha travaille tout les soirs. Ta sœur n'est pas là le week-end, elle rentre tard la semaine. Je la baise à peine, surtout que la nuit, elle dort avec toi.

Je n'ai pas pensé a ça. J'aime beaucoup mon père. J'ai une idée.

- Radiu, ça te dirais pas d'ouvrir un second bar comme celui-là?

- Oui, j'ai les moyens, mais il faut trouver les filles.

- Si je te trouves toutes les remplaçantes pour tes filles d'ici, plus une dizaine pour le nouveau bar, ça te dirais?

- Bien sur. Mais je fais quoi de mes filles qui bossent ici?

- Tu les virent, de toutes façon, un jour ou l'autre elles te planteront. Alors autant que tu prennent les devants.

- D'accord ça marche pour moi.

- Super, et toi papa, ça te dis?

- Putain que oui, une dizaine de putes que je peux baiser à l'envie, ça me branche. On commence quand?

Radiu répond le premier.

- J'ai déjà un second bar, pas besoin de travaux, suffit juste d'y mettre des putes, car pour l'instant c'est un bar normal. Alors ça dépend de toi Jonas.

- Ben je dirais que l'on pourrais ouvrir samedi prochain, mais je vous confirme ça dans la semaine.

Un sourire radieux envahit le visage des deux hommes. Radiu à l'idée du fric en plus qu'il se ferait, mon père, à celle de tout les trous de putains qu'il aurait prochainement.

Je fais rapidement les comptes, il me faut trouver vingt et une filles. Je me demande où je vais pouvoir trouver cette marchandise. Ça m'embête de les prendre soit dans l'université où je bosse, soit dans celle où je suis étudiant. A ce moment, Lin sort du couloir, le black sur ses talons. L'asiatique est toujours vêtu seulement de sa culotte. Elle marche en canard, j'ai l'impression qu'elle boite. Je souris, ce gars a dut lui défoncer le cul. Cette pétasse hésite, se demande si elle doit retourner s'asseoir sur un des tabourets devant le bar. Je vais pour lui hurler de se dépêcher, que d'autres clients attendent une bonne putain lesbienne comme elle, quand l'idée du siècle me viens. Je lui fais signe de venir s'asseoir avec nous. La jeune japonaise m'obéit.

- Bon, j'ai changer d'avis, tu ne commenceras la prostitution que lundi soir.

Un immense sourire envahit le visage de Lin.

- Merci.

- Ne me remercie pas, tu seras à la disposition de mon père.

- D'accord.

De nouveau, Lin baisse la tête, elle a espérée que ce serait avec moi qu'elle passerait le week-end. Mais mieux vaut un seul homme, que des dizaine. Enfin, ce n'est que partie remise, elle n'a gagnée que deux nuits de tranquillité. Lin, le sait bien.

- Lin, tu connais beaucoup de lesbiennes?

- Je dirais une dizaine.

- Parfait ça, des vierges?

- A part Siobanne, non, aucune. Les gouines que je connais, ont toutes le même délire que moi, elle adore les godes. Une bite ne nous dérange pas, si il n'y a pas de mâles au bout.

J'ai rigolé.

- Mais, comme chez les hétéros, il y a de tout chez nous. Ce n'est pas la majorité, mais des tas de brouteuses, ne veulent pas d'une bite en elle, fut-elle en plastique.

- Ça m'intéresse. Tu sais où en trouver?

- Pourquoi, tu veux te lancer dans le dépucelage de gousse?

- Non, mais l'idée me plaît. Réponds!

- Oui, je sais où en trouver. Notre ville compte dix-neuf millions d'habitants. Soixante et un pour cent sont des femmes. L'âge moyen est jeune, il y a beaucoup d'étudiantes ici. Donc tu peux trouver de tout, de l'ado de quinze ans, qui connais ses premiers émois avec une fille, à la vieille peau de soixante-dix ans, qui n'a jamais connu que des hommes, mais qui sur la fin de sa vie, se libère mentalement, se révélant sa vraie nature sexuelle refoulée.

J'ai faillis oublier que le cursus de Lin, est psycho, mais orienté sexothérapie.

- Donc, dans la ville, il y a exactement quatorze bar consacré aux femmes aimant les femmes, ainsi que cinq boites de nuits. Je les connais tous, non par dépravation, quoique j'aime le sexe, mais pour mon mémoire. Il est consacré au monde homosexuel féminin.

- Merci pour tes explications. Je les trouvent où?

- Quel genre?

- Jeune, mais dix-huit ans minimum. Classe, de bonne famille.

- Je vois le genre. Il y a deux boîtes de nuits. « La langue agile » et « La lapine rose. ». La lapine à une clientèle plus jeune, beaucoup de filles de la haute, venue s'encanaillée aussi. En plus, c'est là que l'on trouve les plus beaux canons.

- Alors c'est d'accord, on va, tout les deux à « La lapine rose. ».

- Je ne sais pas si tu as remarqué, mais tu es un homme. Moi je rentrerais sans problème, mais toi, c'est impossible.

- T'occupe pas de ça. Lève toi, on y va. On passe chez moi d'abord, j'ai un truc à récupéré.

- Bien c'est toi le chef.

On s'est levé, mon père et Radiu m'ont regardé.

- Papa, je reviens te prendre. Radiu je t'appel pour te tenir au courant.

- D'accord, à plus mon pote.

- A touti fiston.

J'ai tendu sa robe à Lin qui l'a enfilée, on est sorti du bar, direction sa voiture. Mon accompagnatrice gémit à chaque pas qu'elle fait. La jeune fille a vraiment dut déguster.

Après être passé chez moi, on est allé directement à la boite de nuit. Elle se situe en centre-ville, juste en face un bar-tabac ouvert toute la nuit. Il est minuit. Il y a une queue d'une dizaine de filles devant. Toutes habillée plus sexy les unes que les autres. On se met derrière, on me regarde comme un extra-terrestre. La file diminue rapidement, personne ne se met derrière nous. Il y a cinq videuses à l'entrée. Toutes des golgoths. Avec des regards de tueuse. La plus impressionnante d'entre elle me parle.

- Monsieur c'est interdit aux hommes. Par contre, pour le superbe petit lot qui t'accompagne, c'est open bar.

- Je crois que la règle va changer.

Les cinq videuses se mettent à rire ensemble.

- Le gnome, déjà que tu as une sale gueule, tu ne veux pas qu'en plus je te brise les jambes.

Je rigole à mon tour, j'appuie sur ma montre. Les cinq videuses et Lin se raidissent, le regard vide.

- - Bon, combien de clientes ce soir?

Cinq cents dix sept.

- Parfait. A partir de maintenant, personne ne rentre. Jusque à ceux que je vous le dise. Compris?

- Oui.

- Parfait. Je suis votre maître, vous m'obéissez aux doigts et à l'œil. Sans rien avoir à redire. Compris?

- Oui.

- Bien, oubliez toutes cette conversation, revenez à vous.

Une fois leurs esprits retrouvés, la porte m'est grande ouverte. Sous le regard ahuri des gouines qui font la queue aux vestiaires. Je sors ma tablette, je règle mon invention, et en avant la fête de la lesbos.

Toutes les femelles de la boîte sont raide, le regard vide. Je me demande comment je vais faire pour toutes les contrôler, surtout que la musique est très forte. Mon cerveau travaille rapidement. La musique est la solution. Je regarde Lin, lui dit de revenir à elle. Enfin, je le lui hurle dans l'oreille pour qu'elle entende.

- Lin, rien de ce que tu verras, ou que je dirais, ne te paraîtras bizarre. Maintenant reviens à toi.

Le regard de la japonaise se remplit de nouveau de vie. Je continue de lui crier dans l'oreille.

- Conduis moi au DJ.

La jeune femme me prend par la main, m'y emmène. On fend la foule de femmes, qui attendent, le corps raide. Je ne suis pas surpris de voir que le DJ est une jolie fille. J'éteins la musique, le silence règne. Je la regarde.

- Tu t'appelle comment?

- Amélie.

- Tu as quel âge?

- Trente ans.

- Tu es lesbienne?

- Non, je suis hétéro, en couple et mère de famille.

- Parfait. J'ai coupé la musique, c'était trop fort. Tu as un micro?

- Oui, celui-là.

Elle me montre celui de sa console musicale.

- Je veux dire un micro portable, qui me permet de marcher dans la boîte, tout en parlant dedans.

- Oui.

Elle fouille un peu, me tend un casque avec micro, comme dans les émissions TV. Je fais un test, ça ne marche pas. Je suis bête, sous hypnose, les gens ne répondent qu'à ce que je leur demande, ne font que ce que je leur dis.

- Mets-le en marche, mais pas de musique.

- D'accord.

Elle touche quelques boutons, cette fois quand je fais le test, ça fonctionne. La jeune femme me montre un bouton sur le coté du casque.

ça permet de le couper.

J'appuie sur ledit bouton. En effet, ma voix ne résonne plus dans la boîte. Je regarde la DJ :

- Tout ce que je vais dire ne te concerne pas. Ne fais rien, attends juste mes ordres suivant.

- D'accord.

- C'est pareil pour toi Lin.

- Bien.

Je réfléchis rapidement à ce que je vais dire. J'actionne le bouton qui met le micro en marche.

- Qui je suis?

- Le maître!

Chaque fille du lieu m'a répondu, ça jaillit de partout, une vraie réponse chorale.

- Vous êtes qui?

- L'esclave.

Nouvelle chorale de voix. Si la réponse est au singulier, c'est dut à une raison simple. Chaque personne en transe, à l'impression que je ne lui parle qu'à elle seule. Rien d'autre n'existe pour cette personne que moi. Je regarde sur ma tablette l'analyse de la boîte. Elle est immense, pouvant contenir sans difficultés mille-cinq cents personnes. Pic qu'elle atteint généralement vers les deux heures du matin. Mais ce n'est pas grave, il y a bien assez de filles, rien ne m'empêche de revenir plus tard pour faire d'autres courses. Il y a trois pistes de danse, dans trois salle différentes. C'est largement assez grand pour ce que je veux faire. Je réfléchis à mes phrases, c'est la première fois que je contrôle autant de monde, il s'agit de ne pas faire de boulettes. Il est bon que vous notiez que toutes les réponses à mes questions seront chorale.

- Bon, la salle le plus prés de l'entrée sera la numéro un, celle du milieu la deux, celle du fond la trois, compris?

- Oui.

- Parfait. Après mes ordres, vous vous déplacerez dans le plus grand calme, en faisant bien attention où vous marchez. Compris?

- Oui.

- Bien. Dans la salle trois, vont aller toutes les filles complètement pucelles. Celles qui n'ont fait que des fellations sont incluse dans les vierges. Compris?

- Oui.

Il fait sombre, je distingue quelques ombres bouger. Je ne sais pas encore combien elles sont, mais je suis soulagée de voir qu'il y a des filles non dépucelées. Quand plus personnes ne bouge, je reprends.

- Dans la salle deux, je veux les filles ayant déjà eut une bite d'hommes, dans la chatte ou dans le cul. Dans la salle une, iront, les filles ayant eut un gode dans le vagin ou l'anus.

Il faut vingt bonnes minutes pour que toutes se mettent en place. Pendant ce temps je me fais pomper par Lin. Une fois le silence revenu, mes couilles vidées par l'asiatique, je continue.

- Dans les salles une et deux, les filles ayant été prisent par l'anus et le vagin se mettront contre le mur, sur leurs gauche. Celles seulement par la chatte contre le mur, au milieu, celles seulement par le trou du cul, toujours contre le mur, sur leurs droite. Les vierges se mettent simplement contre les murs. Une fois contre le mur, chaque fille se déshabille complètement. Que la dernière de chaque salle, crie quand vous êtes toutes en place.

Trente minutes plus tard, toutes les salles étaient prêtes. J'ai regardé Lin.

- Allez, on va faire les courses.

Je commence par la salle deux. Elles sont cinquante-sept. La moyenne d'âge tourne autour de la trentaine. Je suis déçu, beaucoup sont jolies, mais seule une brune de trente ans me plaît et rentre dans mes critère pour la prostitution. Celle-ci n'a pris que des bites dans le vagin. Je la sélectionne.

- Ramasse tes habits, va devant la DJ et attends moi. Les autres rhabillée vous, mais ne bougez pas.

La salle une compte quatre cents filles. Pour la plupart pas très vieille, environs vingt-cinq ans de moyenne d'âge. La moisson est meilleure, j'en sélectionne treize. Deux ont eut un gode dans les deux orifices, une seulement dans le cul, les autres ne l'ont connu que dans la chatte. Une fois encore, j'envoie les filles sélectionnées devant la DJ, alors que les autres se rhabillent, attendant la suite. Je suis content, je ne sais pas si j'en trouverais chez les vierges, mais j'ai déjà quatorze putes pour les bars. Je suis ravi, en plus, je sais qu'il y a soixante pucelle, je ne m'attendais pas à autant.

Quand j'entre dans la dernière salle, je suis surpris. Les filles sont jeunes, entre dix-huit et vingt ans. Mon choix est très dur, elles sont toutes bandantes. Il me faut sept filles, mais je ne peux descendre en dessous de neuf. J'en ai deux de trop. J'envoie quand même les filles rejoindre la DJ, tandis que les autres se rhabillent et attendent. Je les regardent toutes, puis j'ai une idée. Deux d'entre elles resteront chez moi, à la disposition de mon père et moi, tandis que les autres iront travailler. J'ordonne à mon groupe de sélectionnée de se rhabiller et d'aller m'attendre au bar en face de la boîte de nuit. J'appelle mon père pour lui dire qu'il nous rejoigne. Quand les filles sont sorties, sous la surveillance de Lin, mais toujours toutes en transe, je remets le micro en marche.

- Mesdames, vous allez revenir à vous. Mais vous reviendrez toutes ici, tout les samedi, je pourrais avoir de nouveau mon marché à faire. Ma présence ne vous dérangera pas la prochaine fois que je reviens. Maintenant revenez toutes à vous, reprenez votre soirée, oubliez toutes ce qu'il c'est passé ce soir.

Sur ce je suis sorti de la boîte de nuit, tandis que la musique reprend, que les filles se mettent à danser. Dehors, je fais le même discours aux cinq vigiles, elles en me gêneront plus chaque fois que je reviendrais, si je reviens.