Hypnose Mécanique 06

BÊTA PUBLIQUE

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Je m'allonge sur elle, l'embrasse à pleine bouche. Lentement je fais pénétrer mon sexe en elle. Je bute contre son hymen. Je cesse mon baiser, m'appuie sur mes avant-bras. Je donne des petits coups de bite, distendant lentement son pucelage. Ma douce pousse de petit feulements de plaisirs. Elle grimace à peine, quand j'arrache sa fleur, faisant d'elle une femme. C'est merveilleux, je suis au paradis. Son conduit épouse parfaitement mon pieu, on dirait qu'il est fait sur mesure pour me recevoir. Je me mets à aller-et-venir en elle, avec douceur, lui déclenchant un nouvel orgasme. Pour la première fois je me rends compte que malgré mes nombreuses conquêtes, je ne connais rien au sexe. Pour la première fois de ma vie, je ne baise pas, je fais l'amour. Je comprends enfin la différence. Je dure longtemps en elle, avant qu'un orgasme puissant me saisissent. Je jouis en criant dans le ventre de Siobanne. Bientôt rejoint dans mes cris par ceux de ma belle, qui elle aussi, est saisie par le plaisir.

On reste longtemps emboîtés l'un dans l'autre. On se caressent, on se fait des bisous. Je me retire lentement, me couche sur le dos. Siobanne se colle contre moi, pose sa tête sur mon torse. J'entends qu'elle pleure.

- Tu pleures? Je t'ai fait mal?

- Non, non. Je pleure de joie, je n'ai jamais été aussi bien, aussi heureuse.

Je souris, je suis au paradis. Siobanne prend mon sexe dans sa main, le branle doucement. Je ne tarde pas à bander de nouveau. Je lui caresse les cheveux.

- On recommence?

- Oui, mais il te reste un pucelage à me prendre. J'ai envie que tu me sodomise.

Elle ponctue sa phrase en se retournant sur le ventre. Je lui murmure :

- Il va falloir trouver du lubrifiant, sinon tu vas avoir mal.

- Non, pas la peine, je veux ressentir chaque moment.

Je m'allonge sur elle, mon pénis se fichant entre ses merveilleuse fesses ferme, mon gland contre la petite étoile plissée gardant le chemin de ses reins. Je sens, avec ma bite, qu'elle pousse pour dilater l'étroite ouverture. Je force un peu, faisant lentement rentrer mon gland en elle. Dés qu'elle gémit un peu de douleur, je m'immobilise, laissant au conduit dilaté, le temps de s'habituer à moi. Je la sodomise avec douceur, progressant millimètre par millimètre. M'immobilisant au moindre signe de douleur de sa part. Je mets du temps pour la prendre entièrement, restant immobile en elle, pour lui laisser le temps de s'habituer à cette nouvelle pénétration. Je l'encule avec douceur, avec amour. Elle est vraiment étroite du cul, c'est un régal. Ma sodomie dure longtemps, lui donnant trois merveilleux orgasmes avant que je ne jouisse en elle.

Quand je me retire, je remarque qu'il n'y a aucune trace suspecte sur mon sexe. Pourtant, Siobanne me prends en bouche, me fais la plus parfaite des fellations. Quand j'éjacule, elle avale tout. Redresse sa tête en souriant. La jeune femme se lève d'un bond.

- Tu vas où?

- Sous la douche, me laver. Tu peux me rejoindre si tu veux.

Elle part d'une démarche sexy, faisant volontairement onduler son cul. Je me lève derrière elle, prends un pilule dans mon pantalon, l'avale, alors que j'entends l'eau de la douche coulée. Je bande immédiatement. J'entre dans la salle d'eau. Siobanne me regarde en souriant en me voyant bander.

- Monsieur est trop bon.

- Pourquoi?

- Pour avoir encore envie de moi.

- Tu m'inspires.

On a fait longuement l'amour sous la douche, puis on est retourné au lit, pour une nouvelle sodomie. Notre accouplement à durer jusque au petit matin, avant que l'on s'endorme dans les bras l'un de l'autre. Repus de sexe, heureux comme jamais.

Siobanne s'est réveillée la première, vers midi. Je la suis quelques minutes plus tard. Elle est debout au milieu du salon. Sa robe et ma chemise dans la main.

- ça va?

- Oui, mon amour.

Elle me montre nos vêtements.

- On peut plus les remettre. Il va falloir que l'on sortent nus!

- Merde, je mettrais mon pantalon, j'irais acheter des habits neuf.

Elle rigole de ma réponse, monte sur le lit, m'embrasse.

- On va appeler la conciergerie, ils nous achèterons des habits neuf. Ils sont la pour ça.

- OK, je ne savais pas.

Nouveau rire de la belle jeune femme. Elle est encore plus magnifique au réveil. Elle me regarde dans les yeux.

- Merci.

- Pourquoi tu me remercie?

- Pour cette nuit merveilleuse. Pour sortir avec moi. Pour faire de ma petite personne la plus heureuse des femmes sur terre.

Je rigole, pensant au fond de moi, que décidément ma machine est une invention merveilleuse. Elle ne le sait pas, mais si j'annule mes ordres, elle redeviendra ce qu'elle est vraiment, une belle femelle qui me trouve dégoûtant.

Nous avons refait l'amour deux fois. Dans les bras l'un de l'autre, Siobanne me murmure:

- J'ai faim.

- D'accord. On va commander.

Je prend le menu où se trouve se que l'on peut commander au room service. On choisit chacun le petit-déjeuner à l'anglaise. Siobanne se lève, prends son sac. Fouille dans son porte-feuille.

- Mince, j'ai plus de billets. Tu en as?

- Non, pas besoin, on feras une carte en partant.

- C'est pour le pourboire.

C'est vraiment un ange, elle pense a tout, prend soin de tous, même du personnel de l'hôtel. Sur le moment, je m'en veux un peu de lui avoir fait subir tout ce que je lui ai fais. Puis je me dis, que sans ça, notre première nuit aurait été bien différente, puisque elle n'aurait pas existé.

- Désoler ma chérie, j'ai rien.

Siobanne se recouche, semble réfléchir.

- J'ai une idée pour le pourboire.

- Laquelle?

Elle me le murmure au creux de l'oreille. J'adore son idée.

Vingt minutes plus tard, on frappe à la porte. J'ai déjà enfilé mon pantalon. Je vais ouvrir. Derrière la porte, je demandes

- C'est qui?

- Le room service, monsieur. J'emmène votre commande.

Je déverrouille la porte, l'ouvre. Le serveur est un jeune homme d'une vingtaine d'année. Il pousse un petit chariot remplit de victuailles.

- Je pose ça où?

- Dans la chambre s'il vous plaît.

Le jeune homme acquiesce. Il avance son chariot. Je le suit. Il rentre dans la chambre. Il est surpris en voyant Siobanne dans le lit. Cette dernière est couchée, le drap recouvrant son corps magnifique.

Il pose la nourriture, le café, le thé sur la petit table de notre suite. Il va pour repartir, quand Siobanne l'interpelle.

- Attendez, votre pourboire.

- Ce n'est pas utile, madame.

- J'y tiens.

Le jeune homme déglutit difficilement quand Siobanne se lève, nue. Lui dévoilant son corps magnifique, sans aucune imperfection, ni la moindre trace de graisse. Il me regarde étonné, rassuré quand j'acquiesce d'un mouvement de tête. Siobanne s'approche de lui, d'une démarche vraiment sexy. Elle dépose un petit baiser sur les lèvres du serveur. Il ne bouge pas, ne dit rien.La jeune femme s'agenouille devant lui, baisse sa braguette, sort son sexe. Son pieu est un peu moins long que le mien, mais plus épais. Sans difficulté, ma belle l'avale. L'homme en gémit de plaisir. Je suis fasciné par le sexe de l'homme qui rentre et sort de la cavité buccale de mon amour. Je ne pensais pas, prendre un jour, autant de plaisir à jouer au voyeur. La pipe de ma chérie ne dure pas longtemps, rapidement, le serveur éjacule dans sa bouche. Siobanne avale tout. Un petit filet de sperme orne le coin de sa bouche. Elle l'essuie d'un revers de main, se relève. Elle fait un petit bécot sur la bouche du serveur, en lui souriant d'un air mutin.

- Le pourboire était suffisant j'espère?

- Oui madame, jamais je n'en ai eut d'aussi important, merci, merci beaucoup.

Le serveur sort en poussant son chariot. Ravi qu'une aussi belle femme lui ai prodigué une pipe aussi merveilleuse.

- Tu as aimé le spectacle?

- J'ai adoré.

- Alors je suis heureuse. On mange?

- Allons-y.

C'était excellent. Une fois le ventre rassasié, on est reparti pour un nouveau round de stupre et de fornication.

On a commandé des vêtements à la conciergerie. Une chemise pour moi, un short, un string et un haut moulant pour Siobanne. On a passé la semaine à baisé, sortant seulement pour aller retirer de l'argent pour les pourboires. La dernière nuit, il est une heure du matin quand on fini de faire l'amour. Après la douche, nous nous couchons. Siobanne à l'air un peu inquiète, je m'en rends compte.

- Ça ne va pas ma chérie.

- Si, si pourquoi?

- Tu n'as pas l'air bien.

- Tu as remarqué?

- Oui. Ça se voit comme le nez au milieu de la figure.

- Je ne voudrais pas t'embêter avec mes états d'âmes.

- Allez, dis-moi tout.

- Ben, ne le prends pas mal, demain on reprend notre vie habituelle. L'université et tout.

- Oui, et?

- Ben déjà on restera pas ensemble...

- On peut s'installer chez moi. Le soir, mon père, ma sœur et ma belle-mère travaillent.

- Oui, mais il y a les jumelles.

- Elles travailleront aussi. C'est l'histoire de quelques jours, on cherchera une maison pour s'installer ensemble.

- Tu veux vivre avec moi? Tu es d'accord pour ça?

- Ben oui.

- C'est merveilleux, tu me rends encore plus heureuse.

- Par contre n'oublie pas, je continuerais à baiser ailleurs.

- Pas de souci mon amour. Je te l'ai dit, j'accepte tout de toi. Tu pourras même les baiser devant moi, il n'y a aucun souci.

- Tu es parfaite.

- Tu sortiras avec elles, ou ce seras juste pour tirer un coup?

- Ce sera pour baiser, même si certaine resteront quelques jours avec nous.

- Aucun souci mon cœur. Par contre il y a autre chose qui me travaille.

- Quoi donc?

- Ma mère et ma sœur. Tu continues à sortir avec?

- Non, mais je les baiseraient encore. Ce sont des bons coups.

- Pas de problèmes. Par contre je leurs en veux beaucoup.

- Pourquoi?

- Pour être sortie avec toi, pour avoir coucher avec toi.

- Elles ne savaient pas qui j'étais.

Siobanne ne se doutait pas de l'histoire de leurs viols, comment je les avaient manipulés.

- Si, elles le savaient. Je leurs avaient montrer des photos de toi.

- Je n'étais pas au courant.

- J'ai un service à te demander.

- Vas-y.

- Venge-moi. Je veux que tu leurs fassent mal, que tu les humilient.

- Si tu veux, mais c'est ta mère et ta sœur...

- Je sais, mais maintenant je les haïs. Je les détestent pour avoir voulut te voler, à moi. Elles ont pas regarder si j'étais leur fille ou leur sœur.

-Tu voudrais que je leurs fasse quoi?

- Fais-en des putes. Fais les tourner dans dans des porno S.M. Des films violents, durs, extrême. Fais les tourner dans du zoophile, avec des chiens, des chevaux, des cochons.

- D'accord mon cœur. Mais elles vont vite être large de leurs orifices.

- A ce moment, on les feras opérer. Reconstruction vaginale et anale. Comme ça elle seront toujours bien serrée.

- Ça me plaît, c'est d'accord. Personne d'autres?

- Si, j'aimerais me venger de chacune de tes putes, mais elles ne le savaient pas. Par contre Léa et Lin oui. J'aimerais qu'elles tournent dans le même genre de film que ma mère et ma sœur.

- Tu es une sorcière quand tu en veux à quelqu'un.

- Tu n'as pas tout vu. Mais c'est juste une demande, tu n'es pas obligé.

- Je sais, mais c'est d'accord, ça me plaît.

Une dernière chose, j'aimerais participer aux films. Pas en me faisant prendre, mais comme réalisatrice.

- Accordé. Je vais faire retirer Lin et Léa de la prostitution dans les bars. J'ai une idée pour ta mère, ta sœur et elles deux. Les jumelles les remplaceront. J'en trouveraient aussi d'autres. Pour Léa j'ai déjà une réservation pour elle, pour un film qui te plaira, mais que tu ne pourras pas réaliser. Lin tournera aussi dans les films du gars. Par contre pour ta mère et ta sœur, c'est OK, mais j'ai une autre idée pour elles. Enfin, avant que tu les fassent tourner. Un truc permanent que tu vas adorer.

J'ai appelé Radiu et mon père pour leur dire que Léa et Lin seraient remplacés par les jumelles. Mon père fut un peu déçu de ne plus avoir Léa, mais quand je lui ai dis, que je lui envoyé les jumelles à la place, sa déception à vite disparu. Je leurs aient également demandé de donner un rendez-vous pour le lendemain soir, à ma sœur, ainsi qu'a la jeune asiatique. Avec Siobanne, repus, épuisée, nous avons dormi d'une traite jusque au matin.

Le lendemain matin, au réveil, on a encore fais l'amour comme des fous. On a quitté la chambre à onze heures. Siobanne à payé vêtements et repas. Près de huit mille euros. C'est vrai que l'on ne s'est privé de rien. Le voiturier nous a ramené notre véhicule. J'ai pris le volant. Joyeux de la journée qui s'annonce fantastique.

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Anonymous
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3 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a presque 7 ans

J'ai ENCORE adoré !

Rudy

AnonymousAnonymeil y a presque 7 ans
excellent

Un dès meilleur chapitre

Félicitations

Vivement la suite.

ReiviloReiviloil y a presque 7 ans
TOP !!

Le meilleur chapitre !

Un grand avenir s'ouvre pour Siobanne et les autres ... Vivement la suite ...

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