Hypnose Mécanique 07

Personne n'a broncher. Franck est parti avec sa nièce et sa sœur. Moi je me suis occuper de ses filles. Les dépucelant analement, les baisant comme des chiennes. Leurs cris et leurs larmes me rendant fou de lubricité. Une séance de baise comme je les adore.

Le lendemain matin, j'ai réunit toute la maison.

-- Bon, vous savez toutes que vous allez faire les putes pour moi. Sauf Siobanne bien sûr.

Toutes étaient horrifiées, mais aucune ne broncha.

-- Vous allez prendre vos portables, envoyer un SMS à chacune des hommes que vous connaissez. Ce dont vous n'avez pas le numéro, vous les contacterez par les réseaux sociaux. Employés, collègue, ami, prof, commerçants. Bref tout mâle que vous connaissez.

J'étais fier de moi, elles avaient les larmes aux bord des yeux.

-- Vos prix seront de dix euros par éjaculation. Que ce soit une pipe, une sodomie ou une pénétration vaginale. Peu importe la durée.

Certaines se mirent à pleurer en silence.

-- Vous leurs demanderez également de prévenir chaque hommes susceptible d'être intéressé. Prévenez également que vous acceptez les animaux. Une dernière chose, vous ne prendrez pas la pilule, préservatif interdit.

Un murmure les parcourues, elles étaient choquées.

-- Franck et Siobanne, pareil, prévenez chaque mâle de vos connaissance, dites leurs que des putains de bonne famille sont disponible, vous joindrez des photos des putains nues.

J'étais fier de moi, cette maison va devenir un vrai lupanar.

-- Franck, je vais goûter ta nouvelle femme ainsi que l'ancienne. Choisis qui tu veux pour toi.

-- Mes filles!

-- Papa!

Les deux femelles avaient réagis en même temps. J'ai souris.

-- Vos gueules, obéissez à votre père.

Les deux filles sont donc parties avec leurs père. Je peux vous dire que grâce à mes pilules, il a bien profité de leurs trous, moi je me suis éclaté avec sa femme.

En trois jours j'avais goûté à chacune des femelles de la maison. Franck aussi. Je lui ai même fait profiter de Siobanne, qui à beaucoup pleurée en se faisant baiser et sodomiser par son oncle. Ensuite je me suis préparé à partir avec Léa, pour lui faire tourner son premier film. Je l'avais fait revenir pour l'occasion. Pour être sur qu'elle mette la tenue adéquate, je l'ai habillée moi même. Elle a mis des porte-jarretelles blanc, avec des bas blancs. Un petit string ficelle noir, mais pas de soutiff. Une robe blanche, assez courte la rend sexy à mort. Elle était heureuse, je lui ai dit que l'on aller voir le producteur du premier film dans lequel elle allait tourner. J'ai également pris une autre robe à son insu, celle qui fait la plus pute. Cette conne m'a remerciée tout le trajet. Ce soir c'est l'inauguration du bordel, Franck gérera tout ça. En partant je l'ai autorisé exceptionnellement à prostituer Siobanne si il y avait trop de monde, au grand désarroi de ma copine. Moi, ça ne me dérange pas d'être ailleurs, vu que tout sera filmé. On arrive rapidement chez le réalisateur. Le gars se nomme Paolo Fonseca, c'est un brésilien. Il habite dans une jolie villa. Le salon de la maison était immense.

-- Bonjour Jonas, alors c'est elle notre future star?

-- Oui, c'est elle.

-- Elle est magnifique.

-- C'est le cas, tu veux la voire mieux?

-- Oui, avec plaisir.

-- Léa, déshabille-toi.

Ma sœur me regarda ahuri.

-- Allons, c'est ton producteur, c'est normal que tu sois gentille avec lui.

-- D'accord.

Les larmes aux yeux, elle se déshabilla. Mettant à nue son superbe corps. Paolo sourit :

-- Elle est vraiment parfaite, un corps de dingue. Une peau parfaite, vierge, ce seras de loin la plus belle fille qui tourne pour moi. Pour tout les autres aussi.

Léa reste stoïque, mais un petit sourire orne ses lèvres, malgré l'humiliation.

-- Des gros seins, fier et ferme, un cul aussi ferme, bien rond, bien bombé. Tu vas devenir une star Léa!

-- Merci.

J'ai laissé le silence d'installé quelques secondes.

-- Léa, c'est comme ça que je t'ai appris à remercier les hommes?

Ma sœur me regarde interloquée.

-- Comment ça?

-- Ben tu le sais bien, on les remercie en leurs faisant une petite pipe.

-- Quoi?

-- C'est un ordre.

Elle m'a obéit, comme son conditionnement le lui impose. Elle s'est approchée en pleurant de Paolo, s'est agenouillée devant lui. Lentement elle lui a déboutonné son pantalon. Lentement, ma sœur le lui a descendu à mi-cuisse, ensuite elle a fait de même avec le caleçon de l'homme.

-- Oh!

Ma sœur fut surprise de voir qu'il ne bandait pas. D'habitude, les mâles, rien qu'a l'idée de la baisée, ont un barreau d'enfer. Paolo rigole.

-- J'ai quarante ans ma petite, je suis dans le cinéma depuis vingt ans. J'ai baisé des tas de filles, des futur star comme des stars confirmées. Des filles qui comptent parmi les plus belle de la planète. Tu es un vrai canon, sûrement la plus belle meuf que j'ai eus depuis longtemps, mais ce n'est pas suffisant pour me faire bander. Alors suce et ça viendra.

Ma sœur n'a rien répondu, se contentant d'ouvrir le bouche pour avaler le membre mou. Rapidement sa langue agile, sa pratique de la fellation firent bander Paolo. Ma frangine, tout comme moi, furent surpris de vois qu'il a un engin de belle taille et de belle épaisseur. Tout en pleurant, Léa lui prodigua une merveilleuse fellation. Il ne fut pas long à éjaculer dans sa bouche. Avalant tout ce qui arrive dans sa bouche, Léa est surprise par la quantité. Il me regarda en souriant, quand ma sœur retira sa tête de son pieu, totalement propre. Le goût du sperme de Paolo est immonde, je le vois à la grimace que fais ma sœurette. Elle resta à genoux, attendant la suite de mes ordres.

-- Parfait, tu l'as parfaitement dressée.

-- Tu n'a rien vu, ma sœur m'obéit au doigt et à l'œil.

-- Vraiment? Tu lui as fait faire quoi?

-- La pute à l'université. Dans sa voiture, sur le parking. Ainsi que dans deux bars.

-- Parfait, on va voir son degrés d'obéissance. Mets-toi au milieu de la pièce, mais reste à quatre pattes.

Léa pose un regard interrogateur vers moi, je lui fais signe d'obéir.

-- Intéressant, elle cherche votre approbation, vous m'impressionnez!

Paolo prends un talkie-walkie posé devant lui.

-- Emmenez-moi Duché et Larry immédiatement.

Puis il regarde Léa en souriant.

-- Ma chère, je vais vous présenter deux des acteurs qui seront des seconds rôles dans le film dont vous allez être la star.

Léa, est honteuse d'être vue dans une telle position par deux personnes qu'elle ne connaît pas et qui vont tourner avec elle.

Quand elle vit entrer un homme tenant en laisse deux énormes dogues allemands, Léa n'en crut pas ses yeux. Horrifiée, elle me regarde :

-- Jonas, ça veut dire quoi?

-- Ben c'est tes seconds rôles. Tu es une princesse enlevée, eux sont des preux chevaliers venu te sauver. Pour les remercier, tu fais l'amour avec eux.

-- Non, Jonas, pas ça je t'en supplie.

-- Tu refuses?

Je vois dans son regard que son cerveau travaille à plein régime. Son libre-arbitre se bat contre les ordres de ma machine. Mais finalement, mon hypnose gagne.

-- Non, j'obéirais. Mais pitié, ne me force pas à faire ça.

Paolo me regarde en souriant.

-- Incroyable, je ne pensais pas cela possible. Félicitation jeune homme. Voyons voir si le passage à l'acte est aussi facile.

-- Je te laisse faire Paolo. C'est toi qui décide ce qu'il va se passer dans ce casting. Ma sœur est toute à toi. Décide, elle obéira. N'est-ce pas Léa?

-- Oui.

Elle a parlée dans un murmure.

-- Je n'ai pas entendu, répond plus fort s'il te plaît.

-- Oui, j'obéirais à Paolo.

-- Parfait.

Paolo se lève, il va prendre le premier chien, qu'il tient en laisse. Ils s'approchent de Léa toujours à quatre pattes. Le chien est devant elle. A tout juste un mètre, toujours tenu en laisse par Paolo.

-- Ne t'en fais pas, c'est un pro, il est habitué.

Paolo s'approche de quelques pas, se met devant Léa, la tête du chien à quelques centimètres du splendide visage de ma sœur. Elle pleure à gros sanglots, mais ne détourne pas la tête. Léa sent le souffle chaud du chien sur son visage, elle sent son haleine fétide. La voix de Paolo résonne.

-- Ne sois pas timide, embrasse ton amant.

Léa obtempère, elle pose un baiser sur le museau du chien. Celui-ci tire la langue, haletant.

-- Plus intime le baiser, avec la langue. N'ai pas peur, il ne te mordras pas, il sait ce qu'il va arriver ensuite.

Alors je vois ma sœur embrasser de nouveau le chien, sortir sa langue, lui rouler une pelle.

-- Bien, caresses lui la bite, fais le bander.

Ma sœur obéit encore, sa main droite passe sur le corps du chien, lui caresse le sexe. Elle le sent grossir sous ses caresses, pour atteindre une taille énorme.

-- Bien ça suffit.

Paolo fais le tour de ma sœur, elle sent cette fois la respiration du chien sur ses fesses. Paolo lâche alors le dogue, qui grimpe sur ma frangine. Quand ses griffes se plantent dans ses seins, elle hurle, mais ne tente pas de se soustraire. Le chien donne des coups de reins pour la pénétrer. Paolo s'accroupit, guide la queue canine contre la vulve de Léa. Quand le chien rentre enfin en elle, le hurlement qu'elle pousse est atroce, mais cette salope se laisse faire. Elle hurle tout le temps de son viol canin. L'animal la défonce à grands coups de reins. Moi je savoure ce spectacle. Vivement que ma belle-mère soit à la place de ma sœur, ma vengeance sera alors à son comble.

Léa, le visage déformée par la douleur, se fait défoncer par le chien. Ce dernier, semble faire un câlin à ma sœur, il a la tête posée sur l'épaule de ma frangine, son museau contre sa joue. Puis l'emprise de mon hypnose sous ma sœur agit. Quand le chien, qui a rentre son bulbe dans le vagin féminin, le distendant à l'extrême éjacule, Léa est pris d'un violent orgasme. La jouissance de ma sœur est incroyable, ses cris varient de douleur à plaisir, se mélangeant les uns aux autres. Quand le chien à fini, il reste immobile dans ma sœur, il ne peut pas sortir de son corps, sans la déchirer. La faute à la bulbe à la base de son sexe. Paolo regarde Léa en souriant.

-- Toi, t'es la reine des salopes. Mes dogues en ont monté de la donzelle, mais des chiennasses qui ont jouit, je te le jure, tu es la première.

Le chien reste plus de vingt minutes dans le corps de son amante, avant que la boule à la base de son sexe ne dégonfle et qu'il puisse se retirer. Un flot impressionnant de sperme jaillit alors du vagin de ma frangine.

Mais Léa ne peut reprendre son souffle, déjà le deuxième chien la monte. Mais quand elle sent que l'on guide le braquemart dur contre l'entrée de ses reins, ma sœur hurle de terreur. Mais, à aucun moment, elle ne fait un geste pour se soustraire. Paolo tient le sexe du chien, il le pousse, l'aide à pénétrer l'anus de ma sœur. Son cri ravit mes oreilles, et à priori celles de Paolo aussi. Cri qui sont devenus de véritable hurlements de souffrance, quand le bulbe à la base du sexe du chien, est à son tour rentré dans son rectum. Le chien la sodomise à une vitesse inouï. En voyant le spectacle, j'ai une idée géniale qui me vient à l'esprit. L'orgasme aussi puissant que la souffrance éprouvée, qui fait hurler Léa de plaisir me tire de mes pensées. Je m'approche de Paolo qui surplombe ma sœur. Léa pleure à grosses larmes, elle vomit par terre, autant de douleur que par la honte éprouvé par le fait d'avoir jouit avec un chien.

-- Combien de chien elle aura dans son film?

-- Six et trois hommes.

-- Bien, les gang bangs chiens/humaine cela existe?

-- Oui, bien sur.

-- C'est quoi le record?

-- Je ne sais pas trop, une vingtaine de chiens je crois.

-- Tu peux en trouver plus?

-- Oui bien sur, cela fera un super films. Pour elle?

-- Non. Si la femme jouit vraiment, mais tout le long des saillies, cela serait un plus?

-- Putain que oui. Des tas d'actrices se font prendre par des animaux, mais c'est pour le fric, aucune ne prend vraiment son pied ce serait une tuerie. Qui sera l'actrice?

Pendant ce temps, à la villa, Franck reçoit les premiers hommes. Il ne pensait pas qu'il y aurait autant de monde. Ils sont une cinquantaine à être là. Les femelles sont dans le salon, nue, prête à être prise. Rapidement toutes sont en mains. Mais des hommes arrivent toujours. Franck regarde Siobanne.

-- Désolée, mais il va falloir que tu t'y colle.

-- Mais...

-- Tu veux que j'appelle Jonas pour lui dire que tu refuses un de ses ordres?

-- Non, tonton, ne fais pas ça.

-- Alors tu fais la putain ce soir, comme les autres.

Siobanne en larmes, baisse la tête. Elle répond dans un murmure.

-- D'accord.

-- Parfait, ton premier client est là.

La jeune femme relève la tête. Ça va, l'homme n'est pas trop mal. Ce sera moins dur pour elle. Siobanne se lève, ils partent vers la dernière chambre libre. Franck est content, c'est un vrai succès, Jonas sera content. La soirée promet d'être longue et difficile pour les filles, mais ça il s'en moque complètement.