Hypnose Mécanique 08

BÊTA PUBLIQUE

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De nouveau tous hoche la tête. Personne ne répondant, Aurélie se met hors champ. Elle regarde son groupe.

- Bien, n'oubliez pas de me détacher, car demain c'est férié et ensuite c'est le week-end. Je ne voudrais pas rester trois jours avec votre sperme en moi. Surtout que cela sera obligatoirement quelqu'un d'autre qui me détachera, et il faudra que je m'explique.

Nouveau hochement de tête du groupe de jeunes hommes.

- N'oubliez pas, cela doit être comme un viol, sauf que la victime sera consentante. Vous avez deux heures pour profiter de moi. A vous de jouer messieurs, venez me chercher si vous voulez me baiser!

Je suis devant mon ordinateur, je mate le début d'un film de cul pendant que ma belle-maman me suce le chibre. C'est devenu une experte. Comme Léa, on ne voit pas encore que cette putain est enceinte, il me tarde vraiment que cela se voit, j'ai hâte de la baiser avec un ventre rond, de boire son lait. Le film est un peu mou pour le moment et ne m'excite pas trop, mais je sais que cela ne vas pas tarder à vite devenir très bandant. Grâce à mes pilules, je pourrais défoncer Martha toute la journée. Mais ce n'est pas possible, elle va devoir partir, pas grave, je trouverais bien une autre solution.

Les cinq jeunes se précipitent sur elle. Ils l'entraînent brutalement vers le matelas. Aurélie ne pensait pas qu'ils puissent être si violent, si barbare, mais après tout c'est elle qui leurs a demandée ça. Ils sont vraiment cons, ils lui attachent les mains dans le dos avant de la déshabiller. Elle va pour le leur dire, mais le gros lui enfonce le chiffon dans la bouche. Il la gifle plusieurs fois, violemment, elle sent qu'elle saigne de la lèvre. Elle essaie de se débattre, mais ils la tiennent durement, elle ne peut pas bouger. Aurélie pleure, d'un seul coup elle a peur, ils habitent vraiment leur rôle, Ils lui font mal au bras en la tenant. Joey lui remonte la jupe brutalement, c'est lui qui à pris la direction des opérations. Elle à mit un petit string rose qui le fait rire.

Putain la chienne de prof, elle met des dessous de pute. Sous ses airs de bonne chrétienne, c'est une vraie salope.

Il met sa main dans le string, il lui enfonce brutalement trois doigts dans la chatte. Aurélie est sèche, elle hurle sous son bâillon. Il lui arrache son chemisier, son soutien-gorge suit immédiatement. Aurélie se retrouve seins nu.

- Merde, la paire de seins que tu as; sale chienne, je les pensais pas aussi gros.

En effet Aurélie à une paire de seins lourd, bien ferme. Elle fait du 90 bonnet C. Une paire de seins terminé par de larges aréoles à peine plus foncé que sa peau claire, avec de petits tétons au bout. Joey les lui malaxe brutalement.

Il lui arrache sa jupe et son string.

- Tu te rase pas souvent toi!

En effet, une jolie touffe de poils couleur sable orne le bas ventre de la prof. Aurélie à les cheveux châtain, coupé au carré, Joey la saisit par la nuque la force à s'agenouiller. La prof à garder ses talons aiguilles. Joey la gifle de nouveau, jusque à ce qu'elle se retrouve à plat ventre. Il s'allonge sur elle, l'écrasant de tout son poids. Aurélie commence à paniquée, elle s'en veut d'avoir eut cette idée. Mais c'est trop tard, elle est bâillonnée, elle ne peut plus rien faire. Elle entend le bruit de la braguette de Joey qui descend. Un truc énorme se fiche entre ses fesses, c'est impossible, jamais cela ne rentrera. Mais l'instant d'après même le bâillon ne peut étouffer son hurlement. C'est rentrer, la douleur est terrible, horrible. Puis la souffrance de la prof est multipliée par dix, quand Joey commence à la défoncer.

Le film porno que je mate me plaît vraiment. L'actrice est très belle, c'est violent comme j'aime. Martha me suce toujours, je la fais aller et venir brutalement le long de ma hampe. J'ai déjà jouit une fois dans sa gorge. Je ne pourrais jouir qu'une seconde fois, après cette putain dois aller travailler. Pas grave, j'ai trouvé ma solution, je sortirais faire mes courses pour trouver une truie qui la remplacera.

Joey jouit rapidement dans les reins d'Aurélie, il apprécie vraiment son premier sperme envoyé dans le cul d'une femme. Ça y est, enfin, il n'est plus puceau. Mais la prof n'a pas le temps de reprendre son souffle, déjà une autre bite entre en elle, prenant la même voie. Si cette dernière est beaucoup moins large que celle de Joey, elle se trouve être beaucoup plus longue. Allant ainsi beaucoup plus loin dans le rectum de la femelle.Joey est debout, sa bite est à demi molle. Il enlève son pantalon, son caleçon. Il y a des traces douteuses sur son engin. Alors il s'agenouille devant Aurélie, lui relève la tête en l'attrapant par les cheveux. Il lui retire son bâillon, et avant qu'elle n'ai put dire quoi que ce soit, il s'enfonce dans sa bouche, lui violant la gorge au passage.

Martha est en train de s'habiller. J'ai appelé Siobanne pour lui dire que je ne la verrais pas ce soir. Mais c'est Franck qui me répond. Il me dit que le succès est tel, qu'il n'y a pas assez de fille, il a été obligé de mettre Siobanne à la colle. Mais que je me rassure, elle ne s'occupe que des fellations. Après l'incident avec Aurélie, j'ai envie de sexe violent. Tant pis si je me venge sur une innocente. Je vais au supermarché du coin. C'est un bon endroit pour faire son choix, il y a beaucoup de femmes. Je tourne dans les allées, pas mal d'entre elle sont jolies, bandantes, mais aucune ne me donne vraiment un coup de cœur. Finalement, après plus d'une demi-heure à tourner en vain, je tombe sur la perle. Une jolie brune d'environs quarante ans, petite, un cul bien bombé, des seins de taille moyenne. Elle porte une robe qui lui arrive à mi-cuisses. Je flash sur elle car elle donne l'impression d'être un petit moineau fragile et apeurée. La femme doit être seule, elle n'a qu'un panier, n'achète que des plats préparés pour une personne. Je la suis de loin. Quand elle arrive en caisse, je prends la sortie sans achat. Je me met sur le parking. Elle sort dix minutes plus tard, sans qu'elle me remarque je la suis de nouveau.

Aurélie n'en peut plus. Le cinquième jeune la sodomise sauvagement. Les quatre autres se sont fait sucer par elle, juste après l'avoir enculée. Elle a le goût du sperme, de la merde et du sang qui lui emplit la bouche. D'ailleurs, le quatrième jeune à l'avoir sodomisé se sert de sa bouche, autant pour se nettoyer que pour profiter de sa fellation forcée. Les deux jouissent en elle en même temps. Aurélie profite un peu de l'accalmie qui suit ses viols anaux. Le cinquième se fait sucer, tandis que personne ne l'encule.

La brune est de dos, en train de ranger ses courses dans le coffre de sa voiture. Je me met derrière elle, son cul est vraiment bandant. J'appuie sur mon invention, pas besoin que ma proie me fasse face. Je la vois se mettre droite, se raidir.

- Qui je suis?

- Le maître.

- Et toi?

- L'esclave.

- Bien, retourne toi.

Elle s'exécute, elle est vraiment belle. A part Martha et Romina, je baise rarement des filles de plus de vingt-cinq ans, mais elle, c'est un vrai appel au viol. Elle sent le cul et la peur. Le meilleur cocktail pour un pervers comme moi.

- Tu t'appelles comment?

- Simone.

Elle a un nom de vieille, même pour une conne dans la quarantaine.

- Tu es mariée?

- Non, séparée. Enfin divorcée.

- Tu as des enfants? Ils sont chez toi?

- Oui j'en ai, mais ils ne vivent plus chez moi.

- Donc personne ne t'attends?

- Non, personne.

- Tu attends de la visite?

- Non.

- Bien, parfait tout ça.

- Tu as fais l'amour avec beaucoup d'hommes dans ta vie?

- Un seul, mon ex-mari. On est séparés depuis trois ans, divorcés depuis deux.

- OK, c'est lui qui est parti?

- Oui, avec une fille beaucoup plus jeune. Mais il a prit une maîtresse à cause de grave problèmes dans notre couple.

- Classique. Pas d'hommes depuis?

- Non, aucun.

Tout est vraiment parfait, cette chienne me fait vraiment bander.

- Bien, tu fais quoi au lit?

- Fellation, mais j'avale pas, l'amour vaginalement.

- Pas de sodomie?

- Non.

- C'est donc ton ex-mari le seul homme à t'avoir baisée?

- Non.

Je reste dubitatif, elle m'a dit n'avoir eut que son ex-mari comment ancien amant. On ne peut pas mentir sous l'emprise de ma machine.

- Comment ça? Tu m'as dis n'avoir fait l'amour qu'avec un seul homme.

- Oui, je n'ai pas fais l'amour avec les trois autres.

- Je ne comprends pas, explique-toi?

- Ils m'ont violée il y a quatre ans de ça.

- OK, c'est pour cela que ton mari t'as quittée?

- Oui, en partie. Je le dégoûtais, pour lui j'étais une putain.

- Pourquoi cela?

- Ils m'ont gardée plusieurs jours et plusieurs nuits. Mon mari étant absent la semaine, personne n'a donné l'alerte de ma disparition. Je ne travaillais pas, je n'avais pas d'amis, mes enfants n'étaient déjà plus là. Quand il est rentré, j'étais chez moi, dans un sale état. Je n'ai pas voulus porté plainte. Pour lui c'est que j'avais aimée ça. Surtout que je lui ais raconté mon calvaire avec mes violeurs. J'ai tellement eus peur que je ne me suis pas débattue, pour lui c'est une sorte de consentement.

- Et tu as aimée?

- Mon dieu non, je suis encore traumatisée par ce viol. Mon mari ne m'a plus jamais touchée, sauf une fois, moi ça m'arrangeait, je ne voulais plus de sexe. La fois où il m'a prise à été horrible, il m'a forcée alors que je sortais de la douche. Pour lui j'ai exécuté mon devoir conjugal, alors qu'en fait, c'était un nouveau viol. Il ne l'a jamais refait, il a choisit une autre solution.

- OK, je vois. Du coup il a prit des maîtresses, il est tombé amoureux de l'une d'elle et il t'a quittée.

- Voilà. Mais je ne voulais pas qu'il parte, je l'aime.

- D'accord. Raconte moi comme cela c'est passé.

- S'il vous plaît.

- C'est un ordre, je veux les détails.

Ma machine marche encore une fois parfaitement, Simone m'obéit, même si je vois que c'est dur pour elle de me raconter son viol.

- J'étais serveuse dans un bar à strip-tease, j'avais pas encore cinquante-deux ans, c'était juste la semaine d'avant mon anniversaire. Mon mari est directeur d'une société. Il a une usine au Mexique, il y passe une semaine par mois. Le dimanche soir c'est moi qui ferme la boutique. Ce soir là, il y a eut un incident avec un groupe de trois membre de gang. Cela faisait une semaine qu'ils venaient. Ils arrêtaient pas de me draguer. Mais ce soir là, l'un d'eux ma mit la main aux fesses. Le service de sécurité les a mis dehors.

- Si il y avaient un service de sécurité, comment t'ont ils eus?

- Les vigiles partent à la fermeture. A l'époque je n'avais pas peur. Si j'avais bien la phobie du viol, elle ne me prenait pas sur le parking du bar, je m'y sentait en sécurité, c'est mon lieu de travail, il ne peut rien m'y arriver. Voilà ce que je pensais à l'époque. Cela faisait dix ans que je travaillais là-bas, jamais un incident.

- Je comprends, tu faisais souvent l'amour?

- Pas trop, je n'es jamais été portée sur le sexe. Je suis frigide, je n'ai jamais eus d'orgasmes avec une bite, sauf une fois, au début de ma relation avec mon ex-mari. Je couchais avec mon mari par amour, je voulais aussi des enfants. Après avec le temps, je l'ai autorisée à me prendre quand il avait envie, je ne ferais plus semblant, je n'irais plus vers lui. Nous deux on ne faisaient plus l'amour qu'une fois par semaine, et je le suçait une autre fois. Quand on m'a violée, je venais juste d'avoir mes règles, je n'avais pas coucher avec mon mari depuis deux semaines, mais je l'avais quand même sucer six fois. Pour compenser l'absence de pénétration vaginale, je le suçais quatre fois quand j'avais mes règles. C'était un deal entre nous, ça lui allé bien.

- OK, continue sur ton agression.

- Donc j'ai fermée le bar seule. Je suis allée à ma voiture. Il y avait un trafic garé juste à coté. Ça ne m'a pas chamboulée, il y a peu de place dans le quartier, souvent des gens laissent un véhicule dans le parking. Des fois il y en a plus. Donc je me suis dirigé vers ma voiture, la fourgonnette me la cachée. Quand j'ai fais le tour je suis tombé sur les trois voyous.

- Tu ne t'es pas enfouie?

- Je suis restée stupéfaite, paralysée. J'ai voulu commencé à courir, mais j'avais des talons aiguilles très haut, une robe courte. Je n'ai pus faire qu'un pas avant que l'un deux ne m'attrape par le bras et ne me tire entre le trafic et ma voiture. Le parking est entouré de haut mur, ce qui fait que personne ne peut rien voir. De toutes façon il est isolé, pas loin d'un quartier sensible, donc même si je hurlais personne n'aurais appelé les flics. De toutes façon je n'ai pas pus crier. Un des voyous avait un couteau dans la main, celui qui me tenait un pistolet et le dernier une batte. J'ai vite compris qu'au moindre cri ce serais très dur pour moi.

- J'étais dos contre le trafic, les trois mecs autour de moi. Pas un mot n'avait été dit. Celui qui tenait le couteau, me l'a mit sous la gorge, tandis que le flingue c'est posé contre ma tempe. Le gars qui tient la batte la jette par la fenêtre du trafic, elle atterrit sur le siège passager.

Je me rends compte que Simone vient de passer au présent, elle vit une nouvelle fois son agression.

- Ce doit être lui le chef, une fois les mains libre, il s'est mit devant moi. Il me regarde dans les yeux. Je ne peux soutenir son regard. Il attrape mes seins, les malaxe brutalement, je gémit de douleur.

- Pitié!

- Ta gueule si tu veux rester en vie. Tu as de seins bien fermes ma salope.

Je ne lui répond pas. J'ai peur.

- Remonte ta robe.

- J'obéis. A l'époque j'aimais bien mettre des dessous sexy. Là je n'ai qu'un mini-string ficelle rose. Il siffle en le voyant.

- Le rose te vas bien!

Il met sa main dedans. Il entre brutalement deux doigts dans mon vagin sec. Je crie.

Je savais que tu aimerais ça sale putain! On va t'apprendre à nous faire mettre dehors. En tout cas tu es bien serrée.

Jamais je n'ai crié de plaisir, c'est un cri de douleur. Il continue un peu. Puis il fait un signe de tête. Le flingue appui sur mes lèvres, il s'enfonce dans ma bouche.

- Suce le ou je tire!

- J'obéis, je fais une fellation au flingue. Le gars m'arrache la robe, il arrache ensuite mes dessous, je me retrouve à poils. Je suis rasée entièrement.

- T'es bien foutu, tu vas nous sucer maintenant.

Le flingue se retire de ma bouche.

- Je m'agenouille, le chef m'enfonce son sexe jusque à la gorge. La fellation ne dure pas longtemps. Il jouit dans ma gorge, le second jouira sur ma langue. Le dernier éjacule sur mon visage. Une fois qu'ils ont prit leur pied, je prie pour qu'ils s'en aillent. Au lieu de ça le chef ouvre la porte latéral du véhicule. Il me relève par les cheveux, m'y envoi dedans. Il rentre à son tour. Il me frappe plusieurs fois au visage pour me calmer car je me débat. Puis il se couche sur moi, il me viole alors que je hurle comme jamais je ne pensée pouvoir le faire. Les deux autres me violeront ensuite. Aucun n'a mit de préservatif. Le pire arrive ensuite, me faisant hurler encore plus fort. Le chef m'a retourné, pour la première fois de ma vie, je suis sodomisée. Les deux autre m'enculeront à leurs tour. Tous ont éjaculé en moi. Le sperme dégouline de ma chatte et de mon cul, je saigne également, je suis déchirée et fissurée. La douleur est horrible. Ensuite je les suce l'un après l'autre pour nettoyer leurs sexe. Le goût est horrible, mais heureusement, ils ne jouissent pas dans ma bouche.

Simone pleure vraiment en racontant son calvaire, beaucoup de larmes coulent.

- Une nouvelle fois je pense que c'est fini, cette fois, ils me demandent mon code de carte bancaire et le montant utilisable. Je lui donne le code. Le montant de retrait est de dix mille, celui d'achat de quinze. Il le file au gars au couteau. Il lui dit d'aller retirer le fric, de garder la carte pour aller acheter des consoles de jeux dans plusieurs magasins différents. Le gars prends les clés de ma voiture, il ira retirer cette nuit. Pour les achats, il attendra le lendemain.

- Moi je pleure de tout mon saoul, le chef reste avec moi, celui qui avait le couteau amasse ce qu'il reste de mes habits, les lance dans le trafic, puis il prend ma voiture pour aller retirer le fric. Le gars au flingue prend le volant. Il démarre. Je ne sais pas où on va, mais je pleure sans pouvoir m'arrêter. Je me remet à hurler quand le chef me sodomise une nouvelle fois, m'éclatant le cul. Quand il a fini, je dois encore le nettoyer. Puis il dit à son pote de stopper le véhicule. Ils échangent les rôles, je suis de nouveau sodomisée.

- On arrivent dans une cité, ils me sortent du trafic nue, je traverse plusieurs rue entièrement nue. On a croisés seulement deux passants, j'ai dus sucée les deux. Ils m'emmènent dans un squat. Là je suis violée, sodomisée, battue pendant toute la semaine, même des chiens m'ont prise par mes trois orifices. Ils m'avaient entendues dire que mon mari était absent pendant toute la semaine, que je serais seule jusque à son retour, le samedi matin suivant. Des jeunes, des vieux me prennent. Certains me violent gratuitement, d'autres paient pour ça. On ne me donne rien à manger, leurs spermes sera ma seule nourriture. Pour boire, c'est soit leurs pisses, soit un bol d'eau, que je dois laper à quatre pattes, pendant qu'un gars me viole la chatte ou me sodomise. Pendant mes viols, j'ai même jouit plusieurs fois, pour la première fois de ma vie. Un des chiens m'a léché la chatte, ce que n'a jamais fait mon mari. Je n'étais pas frigide, seulement clitoridienne. Comme j'avais un clito trop petit, seul un cunnilingus pouvait me donner du plaisir. Je l'ai découverte épouvantée, grâce à un chien. Ils ont appréciés le spectacle, souvent un de leurs chiens me lèche la chatte, avant de me prendre. A chaque cuni canin, j'ai un orgasme. A la fin par jeu, ils m'ont coupé le clito. Puis ils m'ont ramené chez moi, au bout d'une semaine. On est arrivé dans la nuit du vendredi au samedi. Mon mari n'atterrissant que à neuf heures, ils m'ont violée de nouveau, dans mon salon, jusque à huit heures trente du matin. Ensuite ils partent. Me laissant là, nue, détruite, à demi morte, dans ma propre maison. Ils ont quand même pris tout les bijoux, l'argent liquide, les objets de valeurs.

- C'est mon mari qui m'a retrouvé. J'ai refusé aussi bien les flics que les médecins, je ne voulais que personne ne sache. Surtout pas mes enfants. Je me suis soignée comme ça, avec de l'alcool que j'ai mis directement dans ma chatte et dans mon anus. Je désinfectée chaque fois aussi la plaie de mon clitoris maintenant absent. J'ai eus de la chance que rien ne s'infecte, ou plutôt de la malchance tant je voulais mourir. Trois mois plus tard, quand toutes les traces des viols ont disparus, j'ai fait une reconstruction vaginale et anale. Mais personne ne m'a jamais pénétrée depuis, et personne ne le fera jamais.

Simone se tait, elle a fini. La femme ne sait pas combien elle se trompe, bientôt de nouveau une bite la prendra. Une chose qu'elle a dite m'intrigue, je vais l'interroger dessus.

- Comment ils savaient pour ton mari? Pour son absence, l'heure de son retour?

- J'en ai parlé avec un client du bar que je connais bien et qui connais aussi mon ex-mari. Le chef des violeurs était là, il a tout entendu. Je pense que c'est là qu'il a choisit de me violer. J'étais disponible et sans grands risques.

- D'accord.

Je la regarde, elle est vraiment belle, encore plus quand elle pleure. Décidément cette chienne me fait bander.

- Tu as quel âge?

- Cinquante-six ans.

- Quoi? Tu en fais quarante, tu as un corps ferme, pas une ride.

- C'est de famille, je fais beaucoup de sport, je n'ai fais rien d'autre, aucune opération chirurgicale.

- D'accord. Pour la thune tu fais comment?

- Mon mari m'a laissé la maison, il gagne beaucoup d'argent, il me donne l'équivalent d'un bon salaire chaque mois. Il fait cela par remords pour m'avoir quittée.