J'appartiens à Snake désormais Ch. 02

Informations sur Récit
L'asservissement de notre héroïne se poursuit.
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Partie 2 de la série de 7 pièces

Actualisé 03/19/2021
Créé 10/19/2007
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J'appartiens à Snake dorénavant Ch 2

I belong to Snake now Ch 2

Coulybaca/ Vulgus

Chapitre 2 : Où notre héroïne s'offre quelques tenues de pute et apprend à payer avec son cul!

J'étais heureuse d'être enfin sortie de cet établissement où j'avais pensé être relativement en sécurité, je ne savais pas ce qu'avait programmé Snake et j'étais légèrement inquiète.

On partit en moto, je dus m'asseoir derrière lui, sur un siège minimum.

Je n'avais jamais fait de moto auparavant, j'étais terrifiée. Mon siège était en porte à faux sur les feux arrière. Il n'y avait pas de dosseret, rien qui pouvait m'empêcher de glisser en arrière.

Il me montra comment caler mes pieds et m'ordonna d'agripper sa taille et me prévint que je ne devais en aucun cas lâcher sa taille, pas même une seconde.

Si je le lâchais, il arrêterait sa machine et me collerait une bonne fessée à cul nu quel que soit l'endroit où l'on se trouva.

Je lui dis que j'avais bien compris.

En fait dès le démarrage de la moto je démontrais que je m'étais pas montrée aussi attentive que cela! ......

Il démarra, le son de l'échappement était dément, il était s brutal que ce-la ma déchirait les tympans! ....

Il accéléra encore, la moto se cambra, la roue avant quitta le sol et il s'engagea sur la chaussée.

Je faillis glisser de mon siège sur la route.

Comme on dévalait la contre allée menant à la voie principale je remar-quais que ma jupe se relevait, je lui dis qu'il fallait que je la glisse sous mes fesses afin que le vent cesse de s'engouffrer en dessous, il me ré-torqua que c'était trop tard maintenant.

Ce n'était pas si mal au début, jusqu'au moment où il quitta la voie prin-cipale sur la quelle la vitesse était limitée à 60 km heure.

Soudain ma jupe roula sur mes hanches exposant mon bas ventre alors que l'on traversait le carrefour à l'entrée de la ville.

Je lui criais que nous allions nous faire arrêter mais il répliqua que cela ne le tracassait pas, que lui avait son pantalon en bonne place.

Je commençais par jeter un coup d'œil circulaire histoire de savoir qui pouvait me voir, il y avait pas mal de monde, et plus spécialement les conducteurs de camion qui devaient bénéficier d'un magnifique point de vue.

Lorsque nous arrivâmes au premier feu, je pensais que ma jupe allait se remettre en place, mais ce ne fut pas le cas.

Les cotés retombèrent bien sur mes cuisses mais l'avant restait tirebou-chonné exposant la totalité de ma fourche intime.

Je réalisais que je devais m'en accommoder et fermer les yeux en espé-rant que tout se passerait bien jusqu'au moment où nous arriverons à l'endroit où il avait décidé de m'emmener. J'essayais de plus y penser.

Finalement il s'arrêta devant une boutique qui me parut totalement in-vraisemblable.

D'un coté du magasin se tenait un bar, apparemment un bar pour mo-tards à voir le nombre de motos garées sur le parking.

De l'autre coté s'ouvrait sur une boutique de cuir et de lingerie sexy.

Il me dit de descendre ce que je m'empressais de faire.

Je dus le suivre dans la boutique de cuir.

Lorsque nous sommes entrés, il y avait déjà une foule de motards siro-tant des pichets de bière tout en plaisantant.

Ils levèrent les yeux, et, reconnaissant mon maître chanteur ils le saluè-rent en chœur de son surnom.

- "Salut Snake que racontes-tu? ...."

C'est ainsi que j'appris comment on le surnommait.

- "Qu'est ce que c'est que cette gonzesse que tu trimbales avec toi? ....."

- "Snake! ...." pensais-je soudain, un surnom qui correspond particu-lièrement bien à ce suppôt de Satan! ....."

Je suivis Snake alors qu'ils s'approchaient pour serrer des mains d'un groupe restreint.

La plupart avaient des surnoms aussi évocateurs que le sien, le groupe était formé de quatre hommes et d'une femme.

Dans leur dos je vis une porte qui donnait sur une piscine où des gens s'amusaient tout en buvant et se distrayant au son d'une musique d'am-biance.

Ils discutèrent quelques minutes en m'ignorant, ce qui me souriait d'ailleurs.

J'étais extrêmement consciente du danger d'être vue en compagnie de Snake, et je priais pour que personne ne me connaissant ne m'ait vue chevauchant la moto pour nous rendre à cet endroit mal famé.

Mais cela ne dura pas.

Il me tira devant lui et me présenta :

- "Ma nouvelle salope elle commence tout juste son l'entraînement! .... Il y a juste une demi-heure se faisait baiser par des motards..... Elle est en train de récupérer! ...."

Mon visage s'empourpra alors que l'assistance, et même les filles écla-taient de rire.

L'un d'eux commenta :

- "Alors finalement t'as trouvé chaussure à ton pied? ...."

Le colosse nommé Larry, qui paraissait être le patron demanda :

- "Où t'es-tu dégotté une petite pute aussi classieuse? ...."

Snake sourit et précisa:

- "Je te raconterai ça en détail plus tard..... En gros, je fais chanter cette stupide connasse! .... C'est la nénette la plus naïve, la plus bécasse dont j'ai jamais disposé! .... Tu vas avoir du mal à le croire, mais elle n'avait jamais sucé de bite avant ce matin! ..."

Ils s'esclaffèrent en chœur :

- Eh ben merde alors! .... C'est pas possible! ... Jamais! ...."

Je me tenais tête baissée consciente de leur complet étonnement.

Snake reprit :

- "Ouais et regardez-moi ces merdes qu'elle se fout sur le dos. Je te l'ai amenée pour acheter quelques bonnes tenues de salope! ...... Des fringues qui la mettraient en valeur! ....."

Larry me reluqua longuement et nous emmena Snake et moi vers les étagères.

Je vis que trois hommes et plusieurs femmes nous suivaient. Nous nous arrêtâmes devant une étagère remplie de jupes courtes, elles étaient si courtes que je pensais qu'il était interdit de porter de telles nippes.

Il me demanda quelle taille je portais, et lorsque je lui eus répondu, il saisit une jupe une taille en dessous et me la tendit.

Il me dit alors de l'essayer.

Je cherchais des yeux la cabine pour changer de tenue, Snake intervint alors :

- "Es-tu sourde? .... Essayes cette jupe! ..... "

Je soupirais sourdement que je cherchais la cabine pour me changer.

Snake se moqua de moi d'une voix aiguë c'est alors que je réalisais que je devais essayer cette jupe sous les yeux des spectateurs ravis de l'au-baine.

- "Oh mon Dieu..... S'il te plait Snake, ne me fait pas faire ça! ...."

La gifle arriva si vite que je ne la vis pas venir. Elle était si violente que mon visage tourna de 45°. J'étais trop choquée pour pousser un cri! .....

Je le regardais avec crainte, tremblante de peur, je ne comprenais pas pourquoi il m'avait giflée si violemment! ....

D'une voix furieuse il m'expliqua :

- "Premièrement, seuls mes amis m'appellent Snake, stupide connasse... Toi tu t'adresses à moi en m'appelant maître ou monsieur... T'as compris? ...."

Les gens qui nous entouraient étaient tout sourire, et se marrait comme si c'était vraiment amusant, même les filles semblaient s'amuser de mon attitude aussi naïve.

Je hochais la tête et acquiesçais servilement :

- "Oui monsieur! ..."

Je tremblais comme une feuille, peur et douleur mélangées, je ne voulais pas à nouveau le mettre en colère.

- "Donne-moi la jupe que tu portes! ..... Fous-toi à poil ce sera en-core le mieux! ...."

J'avais bien trop peur pour tergiverser! .....

Je retirais prestement corsage et jupe et me glissais entièrement nue sous les yeux de Snake, Larry et des autres autres spectateurs..

Non, ils étaient plus de quatre maintenant, deux autres hommes avaient vu ce qui se passait et s'étaient joints à mes admirateurs.

Ils se tenaient contre le mur et assistaient ravis de l'aubaine, à mon hu-miliation.

Ils avaient tous les yeux fixés sur moi estimant d'une façon générale que je n'étais pas mal foutue! .....

Je dus tourner sur moi-même tous purent voir Larry me tendre la jupe que j'enfilais.

Elle descendait tout juste sous mon entrecuisse et je pense que la raie de mes fesses devait être visible bien que je me tienne droite comme un "I".

Si je me penchais, bref il valait mieux que je m'abstienne de me pencher en avant! .....

La jupe s'enroulait autour de la taille et se boutonnait à la ceinture, c'était la seule fermeture.

Si l'on exceptait ce bouton tout le coté était grand ouvert.

Ils me firent arpenter l'allée de bas en haut, lorsque je passais devant eux il suffisait à mes admirateurs de tendre la main pour me peloter les fesses.

Je savais qu'il valait mieux que je me taise et les laisse faire.

Lorsque je rejoignis Snake et Larry, Larry tendit la main et empoigna mes nibards.

Je me tins tranquille, il serrait rudement mes nichons et me dit :

- "On va voir si on peut trouver quelque chose pour couvrir tes mi-ches! ...."

Sur ces mots il se mit à fouiller les étagères, il dégotta un "marcel" mas-culin avec des emmanchures extrêmement larges. Je l'enfilais et me rendis compte que cela laissait découvert les flancs de mon torse, on voyait clairement mes nichons au travers des emmanchures.

Je remontais une nouvelle fois l'allée et, cette fois, mes admirateurs me pelotèrent les miches en passant les mains par les emmanchures de mon maillot.

Même les filles en sourirent et me pelotèrent les nibards.

Larry se saisit d'un autre haut à résille, j'enlevais celui que je portais et l'essayais à son tour, mes mamelons étaient entièrement visibles, la totalité de mes miches était exposée, je me sentais plus exhibée que couverte.

Cette tenue accentuait la taille de mes nichons en les mettant en évi-dence.

Larry et Snake empoignèrent deux autres brassières aussi provocatrices et décidèrent que j'avais besoin de deux autres jupes.

Puis Larry fit une nouvelle suggestion, il me mena vers un ensemble d'articles en cuir et il se saisit de ce qui paraissait être un harnais en cuir, il le glissa à mes bras et l'attacha dans mon dos.

Il était constitué comme un soutien-gorge, mais à la place des bonnets, il y avait des trous qui encerclaient les nibards tout en les exposant sen-suellement.

Ces tenues m'horrifiaient et je devais les essayer comme le ferait un modèle sous les yeux ravis d'une bande de motards hilares.

Ils me dirent de prendre mes vieux vêtements et de les poser sur le comptoir à coté de mes nouvelles tenues.

Puis ils m'emmenèrent dans un coin ou se trouvait une importante collection de chaussures et de boots pour la plupart des chaussures de pute bien entendu! .....

J'étais assise sur un siége, entourée de nombreux spectateurs, Larry empoigna ma cheville et posa mon pied sur la toise.

Ma jupe avait remonté au-dessus de ma taille exposant mon buisson do-ré.

Jambes en l'air, ma foufoune se trouvait offerte aux regards de l'entière assistance.

Et Larry prenait tout son temps.

Il me mesura la plante des pieds et attrapa une paire de très hauts ta-lons, il me les enfila aux pieds, s'assurant que je gardais les jambes lar-gement écartées pendant toute la manœuvre.

Il enveloppa la langue lanière de fixations autour de mes chevilles et les boucla sur mon mollet, lorsque j'eus les deux chaussures aux pieds, il me laissa les poser au sol et se recula.

Je dus me lever et marcher de long en marge.

J'étais si concentrée sur le fait de ne pas tomber que je n'avais pas re-marqué que mes nibards étaient sortis des petits bonnets sensés les dissimuler aux regards.

Je marchais de long en large pendant une bonne minute prenant lente-ment de l'assurance en apprenant à marcher en bon équilibre avec ces chaussures.

Je jetais un coup d'œil furtif dans un miroir et réalisais alors que mes j'exhibais mes nichons et leurs mamelons dardés, je me pressais de les remettre en place dans leurs bonnets sous les rires des spectateurs.

Puis nous retournâmes au comptoir face à la caisse enregistreuse.

Tandis que Larry demandait la facture, Snake déclara qu'il me préférait en "marcel".

J'enlevais mon harnais de cuir et enfilais rapidement le maillot pensant qu'il dissimulerait un peu mieux mes charmes, mais je ne tardais pas à déchanter, les emmanchures démesurées exposaient la totalité de mes nibards à qui regardait de coté..

Je cherchais à ajuster ma tenue, mais Snake m'ordonna de cesser de me trémousser, je lui obéissais laissant mes voisins jouir de la vue inté-grale de mes miches.

Finalement la facture s'élevait à 275 $, j'avais du mal à le croire! ..... J'espérais que cela découragerait Snake et qu'il rendrait la marchandise au vendeur, mais il me dit :

- "Payes ma chérie! ...."

Je le regardais désorientée, incompréhensive, je n'avais pas d'argent sur moi, je n'avais pas pris mon sac lorsque nous étions sortis.

Je balbutiais :

- "Mais... Mais... Je..... Je n'ai pas...... Pas d'argent sur moi! ...."

- "Tu n'es qu'une une grosse cruche! ..." siffla Snake sourdement.

- "A quoi tu pensais pour faire des courses sans emmener d'argent? ....."

Les spectateurs souriaient et riaient à gorges déployées, ravis d'assister à cette scène.

Sauf moi bien sûr.

Je ne pouvais que demeurer sans voix, désarmée.

Snake me jeta un regard vicieux et il calcula rapidement.

- "Ok, voyons un peu... 275 $...... Je crois que nous devrions aller au bar pour voir ce qu'on peut tirer de ton cul! ....."

Je couinais de désespoir alors qu'il me poussait vers la porte sonnant sur le bar, mais Larry l'arrêta dans son élan.

- "Hey Snake, 50 dollars pour me la faire! ...."

Snake se tâta quelques secondes et surenchérit :

- "75 $, et tu ne les regretteras pas, elle est quasiment vierge! ...."

- "C'est d'accord! ...." répliqua Larry avec un certain enthousiasme.

Snake me poussa vers Larry je chancelais sur mes hauts talons et lui tombais dans les bras.

Sous les regards concupiscents il me courba sur une table de service et se prépara à me posséder.

D'une chiquenaude il releva ma courte jupe sur mes reins et commença à me doigter la chatoune.

- "Merde! ..." grogna-t-il alors constatant la sécheresse de mon va-gin.

- "Aussi sèche que le désert de Gobi! ...."

Snake soupira :

- "Désolé Larry mais comme je viens de te le dire c'est une nouvelle! .... Elle n'a encore jamais travaillé! ...."

Les spectateurs gloussaient alors que Larry me saisissait les cheveux me forçant à m'agenouiller au sol.

Il pressa mon visage contre son pénis et l'enfourna dans ma bouche ré-tive.

- "T'as dix secondes pour lubrifier ma bite! ..." grogna-t-il "C'est le temps que je te laisse avant de faire mon trou dans ta petite chatte crispée! .... Je n'ai pas l'intention de te faire mal, mais je ne veux pas que la sécheresse de ton vagin irrite la peau da ma bite! ......"

Je fis de mon mieux, utilisant ma langue autant que possible, Sa bite était de taille ordinaire, j'en fus surprise eu égard à sa stature, elle pa-raissait petite en comparaison de sa taille gigantesque.

Après s'être longuement enfoncé dans mon arrière-gorge, il se retira, me courba sur la table, retroussa ma courte jupe, écarta mes cuisses en grand et engouffra son épaisse colonne dans ma chatte.

Je réalisais alors que j'étais loin d'être sèche! .....

Apparemment il s'était enfoncé dans ma bouche pour lubrifier sa queue, mais c'était inutile, ma foufoune était déjà inondée de cyprine, je sup-pose que c'est d'avoir du parader nue devant tous ces inconnus qui m'avait excité mécaniquement.

Il s'enfonça profondément en moi et se mit alors à me labourer frénéti-quement, il me ramona longtemps avant qu'enfin je ne le sente éjaculer sa grasse semence au fin fond de mon utérus.

J'étais bien au-delà des larmes! .....

Je restais courbée sur la table lorsqu'il se retira de ma chatte, attendant passivement les ordres à venir.

Apparemment un autre client s'était déclaré alors que Larry utilisait ma chatte, il s'empressa de le remplacer.

Larry sortit par la porte du fond et revint rapidement avec une caisse de bières et une douzaine de motards.

C'est alors que je les entendis prononcer ces termes terribles : gang bang, moi qui pensais qu'ils abuseraient de mes charmes un à un! .....

Je me rappelle être restée courbée sur la table alors que deux hommes me forçaient simultanément, puis je dus me mettre à quatre pattes, de cette façon avec embrochée sur une bite je me faisais enculer tandis qu'une bite nerveuse s'enfonçait dans mon arrière gorge et que je bran-lais deux derniers clients.

Je ne sais pas exactement quand, mais on me déshabilla à nouveau. Je me rappelle avoir entendu Snake qu'il était inutile de souiller mes vêtements neufs.

Je ne sais pas combien de clients je dus satisfaire ce jour là, certains me prenaient puis se reculaient pour jouir du spectacle que je leur offrais, d'autres partaient après m'avoir sautée.

D'autre homme et quelques couples défilaient dans le magasin ignorant que je me faisais violer à coté de la caisse enregistreuse.

La femme qui était restée tout le temps de mon épreuve me prit par le bras et me dit :

- « Viens avec moi ma chérie..... Viens te laver le cul..... Tu dégouli-nes de foutre! ..... »

Alors que nous nous éloignions, je me rendis compte que l'un des spec-tateurs avait filmé la totalité de ma performance, il tendait la caméra à Snake alors qu'on m'emmenait.

En fait c'était un véritable gâchis : le sperme de ces hommes qui m'avaient culbutée coulait à flot le long de mes jambes, des filets de se-mence décoraient mon menton pour ensuite se couler dans mon cou.

J'étais incapable de dire combien d'hommes m'avaient possédée, j'avais tenté de les compter, mais j'avais du abandonner, ils étaient trop nom-breux.

Toujours entièrement nue, la femme m'emmenait vers les toilettes pour dames, des sifflets enthousiastes et des commentaires salaces saluaient ma progression.

A peine la porte des toilettes fermée dans notre dos, je tombais à ge-noux et me mis à geindre comme une petite fille désespérée.

Mon accompagnatrice me dit alors :

- « Allez chérie... reprends tes esprits..... Garde le contrôle de tes réactions! ..... Snake ne t'amènera pas ici tous les jours! .... Si tu vois ce que je veux dire! ..... »

Je ne comprenais pas ce qu'elle sous-entendait, Snake m'effrayait, fina-lement je réussis sécher mes larmes et le relevais.

Je la regardais et lui dis :

- "Je voudrai mourir! ....."

Elle me sourit et répliqua :

- "Chérie, tu ne lui obéirais pas si tu voulais vraiment mourir...... Snake fait de toi sa chose...... Comment est-il parvenu à refermer ses griffes sur toi? ....."

Tout en parlant, elle m'aidait à me nettoyer de toutes ces traces de sperme qui souillaient mon visage et mon corp

- "Je ne sais pas très bien... " Répondis-je sourdement

- "Il m'a appelée tôt dans la matinée..... Je répondis à un appel, une voix autoritaire me dit alors de consulter ma boite aux lettres..... Je m'exécutais et trouvais des photos de moi très compromettantes, dont certaines en sous-vêtements...... S'y trouvaient aussi la copie de discussions libres que j'avais eue avec des inconnus...... C'était des propos très érotiques, mais totalement fantasmés! ...... Je n'avais jamais fait ce que je décrivais! ..... Ces interlocuteurs étaient sensés habiter aux antipodes! ..... Il m'ordonna de le rejoin-dre chez lui à 9 heures, et là il m'a violée et reviolée! ..... Je me laissais faire, mais c'était tout de même des viols! ...... Il me prit en photos et enregistra des rushs de moi nue et souillée de foutre... il me menaça de ruiner ma vie..... Je pourrai aussi bien mourir maintenant...... Lorsque mes parents, mon pasteur ou mon mari apprendra ce que j'ai fait! ..... Mon Dieu que pourrai-je faire? ....."

- "Je suis désolée pour toi ma chérie, mais tu me sembles une proie idéale! ..... Je pense que Snake va garder ton secret... Parce que tant qu'il le taira, il gardera une énorme emprise sur toi! ...... Je pense que tu ne peux que lui obéir en espérant que tu n'en souffri-ras pas trop! ..... Et maintenant retournons avec eux, tu es aussi propre que tu peux l'être sans prendre de douche! .... Allons-y! ....."

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