J'appartiens à Snake désormais Ch. 06

BÊTA PUBLIQUE

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- Pas encore les gars, elle doit d'abord faire du ménage! .....

Et il m'enjoignit de nettoyer la pièce. Le sol était jonché de canettes, d'assiettes, de verres et de cendriers débordant de cendres.

Je commençais les ménage, ignorant les mains fouineuses qui exploraient mes charmes alors que je circulais entre ces hommes.

Je faisais de mon mieux pour ne pas les regarder, je braquais cependant les yeux sur Beth, cette épreuve était d'autant plus humiliante qu'elle se déroulait sous les yeux d'une autre femme.

Elle me sourit affectueusement, elle affichait sa sympathie en me regardant.

La cuisine était aussi sale que le premier jour, je commençais à la ranger, jusqu'à ce que Snake me rappela dans le salon, il me tendit de la monnaie et m'ordonna :

- J'ai commandé une paire de pizzas, lorsque le livreur arrivera, fais-le entrer, tu prendras les pizzas, tu le paieras, puis tu te débrouilleras pour lui offrir un bon pourboire..... Cela ne l'emballera peut-être pas de se faire sucer sous nos yeux, à toi de le convaincre! .... Des questions salope? .....

- Non-maître...

Je ne pouvais pas répondre autrement sous peine de le courroucer, je ne pouvais rien lui refuser sinon......

Quelques minutes plus tard, le livreur se présentait à la porte d'entrée. Je le fis entrer et frémis en le reconnaissant, c'était l'adolescent de tout juste 18 ans qui me livrait habituellement mes pizzas à la maison! ....

Il me reconnut tout de suite, je le fis entrer et pris les pizzas que je posais sur la table. Je lui tendis la monnaie et lui demandais s'il voulait que je lui taille une pipe comme pourboire

Il me dit qu'il était pressé, qu'il n'avait pas le temps, il était terriblement nerveux.

Finalement je posais mon bras autour de son cou et l'embrassais en lui susurrant que je le suppliais de me laisser faire.

Il hocha la tête et reconnaissante je me laissais tomber à genoux et baissais son short et son caleçon sur ses genoux, sa queue me surprit agréablement.

Il était jeune et menu, mais sa bite était presque aussi grosse que celle de Snake.

J'embrassais et léchais pendant un bon moment son appendice avant de l'emboucher tendrement l'absorbant en totalité, accueillant son gland mafflu dans mon arrière-gorge.

Les spectateurs me regardaient attentivement faire, ils s'étaient tus tout à ma performance.

Le jeune gars était sidéré de mon habileté, je pensais qu'il était sur le point de gicler, il me saisit la tête, il grognait sourdement et 3 ou 4 minutes plus tard il m'injectait des flots de foutre dans l'arrière-gorge.

Je nettoyais obligeamment sa bite avant de remonter son caleçon et son short, alors que je rebouclais sa ceinture, il me remercia :

- Mon Dieu, grand merci madame Anderson, c'était le meilleur pourboire que j'ai jamais reçu! .....

Je levais les yeux vers lui et vis le regard d'adoration avec lequel il me couvait, j'en étais gênée bien que cela me réconforta de pouvoir éveiller un tel sentiment chez un jeune homme vraisemblablement puceau à en croire ses réactions! ...

Je ne pouvais m'empêcher à ce qui arriverait la prochaine fois que je commanderai une pizza à mon domicile.

Dès qu'il fut parti, ma nuit prit un virage plus difficile, agenouillée je dus me mettre à sucer toutes les bites qui passaient à ma portée.

Certain qui se tenaient de l'autre coté de la salle n'en pouvaient plus d'attendre, ils se mirent à me prendre en chatte alors que je suçais leurs copains. Je me demandais bien en quoi consistait la pommade que Beth m'avait appliquée, à ma grande surprise ma chatte ne me faisait plus souffrir.

Je servis de jouet à tout le monde, et même à Beth longtemps après minuit. Il y aurait quelques motards aux traits tirés le lendemain à leur boulot.

Enfin il ne resta plus que Snake et moi.

Il m'enjoignit de me laver puis de le rejoindre au lit, il était suffisamment clément pour remettre le nettoyage de la maison au lendemain matin.

Je me lavais minutieusement et le rejoignais dans son lit, j'étais épuisée, malheureusement Snake avait l'habitude de veiller la nuit et de dormir le matin, aussi dus-je lui tailler des pipes et baiser une paire d'heures de plus.

Finalement c'est vers 4 heures du matin qu'il se lova contre moi et s'endormit.

J'étais si éreintée qu'en dépit de ce que j'avais subi, je dormais comme un bébé! .....

Je me réveillais vers midi, Snake ronflait encore aussi me levais-je précautionneusement pour gagner la salle de bain.

Je pense honnêtement que ses invités avaient mis le bordel exprès, je ne pense pas qu'il soit possible de foutre un tel bazar accidentellement.

Une fois que j'eus utilisé les toilettes et brossé les dents, je sortis mes outils de ménage et nettoyais la salle de bain. Elle était dégueulasse.

Le salon n'était pas aussi sale, je l'avais déjà un peu nettoyé cette nuit, je me débrouillais pour le décrasser rapidement.

Puis, je passais à la cuisine. Toutes les assiettes étaient sales, certaines étaient encore dans la cour mais la plupart étaient amoncelées sur le plan de travail et la table.

Je me demandais si je ne ferai pas mieux de demander à Jay de lui offrir un lave-vaisselle.

Bien sur c'était une plaisanterie mais je ne savais pas si je devais en rire ou en pleurer.

J'avais presque fini dans la cuisine quand Snake se leva.

Tandis qu'il prenait sa douche je préparais du café. Puis je sortais dans l'arrière cour et commençais à la ranger.

Lorsque je retournais dans la maison, Snake venait de s'asseoir pour déguster son café, je lui demandais s'il voulait quelque chose à manger, il me demanda du bacon et des oeufs.

J'approuvais et me dirigeais vers le réfrigérateur. On aurait dit qu'une bande de vautours s'était abattu sur le malheureux frigidaire, il ne restait que quelques pickles et u tube de mayonnaise.

- Maître, il faudrait que j'aille jusque l'épicerie, le frigo est vide! .....

Snake y réfléchit quelques instants puis me conseilla de traverser la route pour demander à monsieur Steadman s'il pouvait nous prêter un peu de nourriture.

Comme toujours j'approuvais, j'enfilais ma courte jupe et mon haut provocant et je traversais vivement la rue.

Lorsque monsieur Steadman vint m'ouvrir, je lui demandais ce dont j'avais besoin, lui demandant s'il pouvait m'avancer ces articles le temps que je me rende à l'épicerie. , il me rétorqua :

- Bien sûr, sans problème, entre donc! ....

Toutefois dès que je fus entrée, il m'apparut qu'i y avait un petit pro-blème, je savais que j'allais devoir prendre soin de sa petite bite amollie avant quoi que ce soit, je m'empressais de la satisfaire, puis je pris la nourriture qu'il me tendait et retournais précipitamment chez Snake.

- Par le diable, pourquoi as-tu été si longue? .....

- Je suis désolée maître, j'ai d'abord du le sucer! ....

Snake éclata de rire et s'esclaffa :

- Quel vieux salaud! ....

Je lui préparais un rapide petit déjeuner, il m'autorisa gentiment à siroter une tasse de café.

Tandis qu'il se restaurait, je repris mon ménage, puis il m'ordonna de me changer et d'enfiler la petite combinaison de ma garde robe de pute.

J'allais me changer et revins deux minutes plus tard. Il ne fallait pas bien longtemps pour se défaire de ma tenue si succincte.

Snake m'ordonna de le suivre, nous avons sortis et sommes montés dans sa camionnette.

Il m'emmena dans l'épicerie où je faisais habituellement mes courses, beaucoup de gens me connaissaient.

J'aurai voulu le supplier de nous rendre ailleurs, mais je savais que c'est exprès que nous étions venus ici.

Nous étions passés devant deux magasins avant qu'il choisisse celui-ci.

Le regard apeuré de Bath était gravé dans mon esprit.

- Surtout ne déçois pas Snake! .....

Je savais que je ne devais rien faire qui risque de lui déplaire! ......

Nous sommes entrés et Snake me donna le chariot à pousser.

Nous avons marché au travers des allées pendant quelques minutes pour qu'il puisse vérifier à quel point mes charmes étaient exposés alors que bras fléchis, je poussais mon caddy.

Il marcha à mes cotés et suivit ma raie culière d'un doigt fureteur.

- Sens-tu ma caresse chienne! ..

Je hochais la tête, et il poursuivit :

- J'ai enfoncé le tissu de ta robe dans ton entrefesses pour que tout le monde puisse savourer le détail de tes formes! ....

Je n'y pouvais rien, je dus me résoudre à évoluer ainsi accoutrée.

Alors que nous déambulions, il désignait du doigt les articles que je devais prendre.

A chaque fois je devais m'étendre pour les attraper, j'étais consciente d'exposer ma croupe aux yeux de tous, j'étais tout aussi consciente du regard des gens posés sur mes appâts culiers.

J'avais remarqué qu'un des clients nous suivait à courte distance, je connaissais ce gaillard, il se nommait Brett, il m'avait souvent aidée à charger mes achats dans ma voiture, je ne connaissais pas son âge mais il devait tout juste être majeur! ......

Le temps que nous gagnions la section ménager, un autre jeune nous suivait.

Beaucoup de gens avaient pu détailler mes charmes alors que nous déambulions dans le magasin.

Snake faisait bien attention de me faire courber et m'étendre dès que quelqu'un se trouvait en bonne position pour reluquer mes appâts intimes.

Mais le pire c'était ces deux jeunes gars qui m'épiaient savourant avec délice mes exhibitions répétées.

Enfin nous avons gagné la caisse, nos courses terminées.

"Coup de chance", Brett se dévouait pour empaqueter mes achats, je ne saurai dire des nos deux visages lequel était le pus rouge.

Il poussa notre caddy hors de l'épicerie et me regarda ranger mes achats dans le coffre de la voiture sous l'œil goguenard de Snake. Chaque fois que je m'étendais pour poser un sac au fond du coffre, ma courte combinaison remontait, dévoilant ma croupe en entier.

Lorsque j'en eus fini, Snake intervint s'adressant à Brett :

- Je sais que vous ne devez pas accepter de pourboire des clients, mais aimerais-tu que madame te remercie de façon spéciale! .....

Il ouvrit la portière passager de la camionnette et me repoussa sur le siège, jambes posées au sol.

Puis il me tapota les fesses en commentant :

- Elle a vraiment un beau cul! ..... Tu peux te la faire mon gars! ......

Cette fois c'en était trop, je me mis à pleurnicher.

Je jetais un oeil par-dessus mon épaule vers Snake et secouais la tête désespérée en lui murmurant :

- Non, Snake..... Je vous en prie pas ça... Ne m'obligez pas à......

Le visage de Snake afficha alors un rictus terrifiant, je compris que je venais de profondément lui déplaire.

Je réalisais, alors que Brett me pénétrait doucement, que non seulement je l'avais appelé par son surnom, mais que e venais de prononcer les paroles prohibées! ..... On ne devait jamais rien refuser à Snake! .....

Brett éjacula rapidement dans ma chatte accueillante, Snake m'ordonna de nettoyer sa bite.

Lorsque je me relevais Brett remarqua soudain l'inscription sur mon collier de chien.

"Salope".

- Joli surnom madame Anderson... Quelle surprise de vous si gentille avec moi! .....

Snake prit le chemin du retour sans dire un mot.

Je cherchais à m'excuser, je lui demandais la permission de parler, il se contenta de me jeter un regard torve.

J'avais peur auparavant, mais maintenant j'étais littéralement terrifiée! .....

2 février 2008

Coulybaca

Avec l'aimable autorisation de l'auteur :

Vulgus

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