Jean et Carla

Jean est un homme normal. Il habite une maison normale, habite avec une femme normale et une fille normale, baise normalement, mange normalement. Bref, rien de plus ennuyeux. Il dort et couche avec la même femme depuis des lustres. Il a un corps normal, une queue normale, il bande normalement et éjacule normalement. Sa vie sexuelle est normalement ennuyeuse.

De son côté, Carla est une femme plutôt ordinaire. Maison ordinaire, famille ordinaire, conjoint ordinaire. Famille ordinaire, vie sexuelle ordinaire. Elle aime bien sucer la bite de son conjoint et avaler goulument ce qu'il daigne lui offrir. Mais pour le piquant, rien, nada. Toujours la même baise machinale, qui procure un orgasme de part et d'autre. Des orgasmes, ordinaires.

Un bon soir, Jean et Carla se sont retrouvés dans le même bar, autour de la même table, à boire la même chose, un verre de scotch. Jean et Carala s'étaient déjà rencontrés. Quelques rencontres professionnelles, surtout la facette sociale du professionnel. Un 5@7 par-ci, une soirée par-là. Par chance, c'était dans une autre ville, loin du regard et des oreilles de leurs conjoints respectifs.

Au fil des verres et des heures, ils se sont lentement rapprochés l'un de l'autre, pour finir pratiquement l'un sur l'autre. Les mains que se frôlent, les genoux, puis un pied qui se permet une caresse. Une érection, une chatte qui mouille un slip sexy. Des mamelons qui gonflent, des poils qui hérissent. La table était mise.

Sans trop savoir comment, Jean s'est retrouvé dans la chambre de Carla ou vice-versa. Un magnifique sofa trônait dans un coin, tout près de la large fenêtre qui offrait une vue magnifique sur le centre-ville. Bien installée, Carla invita Jean à la rejoindre. Baisés timides et nerveux, caresses presque platoniques ont rapidement été remplacées par l'entrecroisement des langues, et les mains qui se faufilent sous les vêtements. Ce fut le pantalon et le slip de Jean qui se retrouva le premier au plancher. La main habile de Carla massait avidement le sexe déjà bien bandé de Jean. Les vifs mouvements de va-et-vient ont rapidement amené Jean tout près de l'orgasme.

Heureusement, les vêtements de Carla ont bientôt eu la bonne idée de rejoindre ceux de Jean. Le chemisier, puis la jupe et enfin le soutien-gorge. Seul le tout petit slip dont la fine bande de tissus avait disparu entre les lèvres de Carla. Jean remarqua aussi que l'entrecuisse de sa partenaire luisait malgré la lumière tamisée qui régnait dans la chambre. Il ouvrit bien grand les jambes de Carla, et y plongea la tête. Sans même retirer le slip, il le glissa simplement vers l'entrejambe afin d'accéder à la chatte rasée. Il sentit le doux parfum de Carla et décida de goûter sans plus tarder. Les lèvres douces de Carla s'écartèlent sous la langue de Jean et celle-ci se retrouva rapidement sur le clitoris d'une bonne taille. La langue caressa doucement le bouton de plaisir et aussitôt, la chatte de Carla se transforma en Niagara. Jean suça avec excitation et dégusta les gouttes qui s'écoulaient sur les lèvres pulpeuses. Carla était au bord du nirvana. Elle prit la tête de ses deux mains et pressa fortement la bouche sur son sexe puis la repoussa.

Elle regarda Jean d'un sourire bien vicieux et se lécha les lèvres en s'agenouillant. C'était la première fois que Jean se faisait sucer ainsi. Après avoir léché le membre en s'attardant au magnifique gland qui lui était offert, Carla engloutit la queue d'un seul coup. Nez collés aux poils pubiens de Jean, Carla conserva cette position quelques secondes pour s'assurer que Jean puisse apprécier le superbe spectacle qui lui était offert. Carla retira le sexe de sa bouche pour se concentrer sur les couilles. Une après l'autre, elle les aspira dans sa bouche bruyamment et en regardant Jean bien dans les yeux.

Les deux amants avaient envie l'un de l'autre et Carla retourna sur le fauteuil et ouvrit les jambes en indiquant qu'elle voulait sentir la bite de Jean au plus profond d'elle. Jean s'appliqua aussitôt et pénétra longuement l'orifice parfaitement lubrifié. Le frottement des chairs l'une contre l'autre procura aux deux amants une sensation extraordinaire. Le rythme devint de plus en plus rapide, et la queue pénétra de plus en plus férocement les entrailles de Carla, à son grand plaisir. Les couilles frappaient le périnée et stimulant Jean -- dont les testicules sont une région extrêmement érogène. Les gémissements se faisaient de plus en plus forts, le souffle de plus en plus difficile. Carla caressait ses jolis seins en pinçant et en tirant sur ses mamelons durcis. Quel spectacle pour Jean, qui sentait l'orgasme venir de plus en plus rapidement!

Celui de Carla arriva comme un éclair. Elle cria de grands oui, et sentit les muscles vaginaux se contracter autour du sexe qui poursuivait son travail. Tout près de venir, Jean demanda à Carla si elle utilisait une méthode de contraception. Elle réussit tant bien que mal à indiquer que non! Jean se retira tout juste à temps et éjacula sur le corps en sueur de sa partenaire. De longues cordes blanches partant des seins de Carla se terminaient sur son ventre, témoignant du plaisir que la chatte de Carla procura à Jean. Une giclée atteignant même le menton de Carla qui en profita pour goûter le sperme. Elle se releva rapidement, empoigna fermement la queue et l'enveloppa de sa bouche pour extraire les dernières gouttes du sexe de Jean.

Jean était par le fait même devenu un homme infidèle. Il était devenu le trompeur.