La Bourgeoise et Les Gitans

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Une bourgeoise se retrouve aux mains de gitans sans scrupule.
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Voilà un texte que j'ai écrit pour une lectrice. C'est à sa demande que je le publie. Elle espère de nombreux commentaires

Au volant de sa berline allemande, Patricia était songeuse. Elle pensait avec délice à ces quelques jours qu'elle allait s'accorder dans sa maison de vacances, dans le sud de la Drôme. Son mari, encore une fois, était en déplacement à l'étranger pour une semaine et elle avait décidé de s'octroyer quelques jours de vacances, le soleil étant enfin de retour en ce mois d'Avril, après un hiver particulièrement pluvieux. Bref, elle comptait bien pouvoir s'occuper d'elle et se reposer pendant ce mini break.

Elle pensait avec délice à la terrasse ensoleillée de sa maison de pierre, tellement typique du style de cette région. Elle se sentait bien dans cette maison. Il lui tardait de voir si les floraisons avaient débutées. A cette pensée, un sourire illumina le visage de cette belle femme d'une cinquantaine d'années. Ses cheveux blonds, mi courts, ondulaient légèrement. Elle aimait à penser qu'elle était assez bien conservée, mais la vérité était bien moins modeste. Elle avait un corps à faire pâlir des femmes de trente ans, avec des jambes longues et fuselées qu'elle gainait souvent de bas pour les mettre en valeur. Sa poitrine, magnifique, arborait un arrogant 95 D, qu'elle mettait assez souvent en valeur dans des décolletés sage ou en portant des hauts moulants.

Ce jour-là, elle était partie dès la fin de son travail à midi, ayant fourré dans une valise une trousse de toilette et quelques affaires de rechange, même si elle avait des vêtements dans sa maison secondaire. Conseillère de clientèle dans une banque, elle portait toujours ses « vêtements de travail », une jupe droite et un chemisier blanc sur ses escarpins à talon. Pour les courses, elle s'arrêterait dans le petit village à proximité acheter quelques denrées alimentaires pour son séjour. D'ailleurs, les premières maisons du petit bourg faisaient leur apparition le long de la départementale. Elle trouva une place pour stationner sur la place du village.

Elle s'arrêta tout d'abord chez le boucher, celui-ci avait vraiment le physique de l'emploi, presque une caricature. Grand et gros, chauve, joufflu et rougeau. Pas bien malin non plus...une vrai caricature...Il ne manqua pas de lorgner, comme à chaque fois qu'elle venait en fait, vers son chemisier tendu sur son opulente poitrine. Elle se dépêcha de payer et de quitter cet homme qui la dégoutait. Elle fit ensuite des emplettes chez le primeur, un vieux monsieur sympathique qui aurait depuis longtemps dû être à la retraite et qui avait toujours un mot gentil. Pour finir, elle prit du pain chez le boulanger. Ce fût un jeune apprenti qu'elle ne connaissait pas qui la servit. Il devait avoir 18 ans, grand et fort. Elle ne put s'empêcher de regarder ses bras et son torse musclés, qui ressortaient sous la blouse. Au moment de payer, elle croisa son regard et vis le petite sourire en coin, légèrement goguenard qu'il lui lançait. Elle s'était, de toutes évidences, faite repérer. Le rouge lui monta immédiatement aux joues et elle s'empressa de sortir.

En rejoignant sa voiture, elle croisa le maire du village, qui la salua et lui demanda s'ils restaient quelques temps. Elle lui répondit qu'elle était venue seule pour prendre juste quelques jours de congés. Il lui dit alors de bien fermer sa porte le soir parce qu'il y avait quelques caravanes de gens du voyage qui s'étaient installées dans le champ du père Renée, et comme c'est un terrain privé, il ne peut pas les déloger.

Le père René c'est un vieux acariâtre, sale, presque ermite, avec qui les relations de voisinage ne sont pas au beau fixe, loin s'en faut. Cela n'étonna pas Patricia qu'il ait accepté de prêter son champ à des gitans, juste pour ennuyer le maire, avec qui il était à couteaux tirés depuis des années.

En remontant en voiture le chemin communal qui l'emmenait à sa propriété, effectivement, elle vit une dizaine de caravanes qui formaient un espèce de camp. Elle se promit mentalement de bien penser à fermer la porte à clé le soir.

Au bout de son chemin privé, sa demeure lui apparût, dans son écrin de verdure. Les arbres fruitiers étaient en fleurs, dégageant une douce odeur. Patricia oublia immédiatement toutes ses inquiétudes pour se laisser porter par le plaisir d'être ici. Les courses vite rangées, sa valise dans sa chambre, elle sortit le roman de cet auteur à succès qu'elle avait gardé pour l'occasion, enfila un maillot de bain, se servit un verre de vin rosé de Provence et s'installa sur un transat sur la terrasse. Elle se sentait divinement bien. Les rayons de soleils léchaient sa peau d'une douce tiédeur que ce soleil d'Avril rendait tellement agréable.

Une heure, hors du temps, s'écoula. Se retrouvant avec un verre vide, Patricia Rentra dans la cuisine pour s'en servir un autre. Sa terrasse étant à l'abri de tous les regards, elle embarqua par la même occasion un peignoir et enleva son maillot de bain. Les rayons de soleil sur sa peau nue, un sentiment de plénitude, l'effet conjugué de la fatigue accumulée et des deux verres de vin rosé la firent sombrer dans une torpeur réparatrice.

Ce fût les sons répétés de la cloche d'entrée qui la tirèrent de sa somnolence. Qui cela pouvait-il bien être?

Elle enfila son peignoir à la hâte et s'empressa d'aller ouvrir.

A la porte d'entrée, il y avait deux hommes. L'un était petit, avait une soixantaine d'année, portait un chapeau, un tee shirt qui avait connu des jours meilleurs et quand il sourit il découvrit son unique dent. L'autre était une espèce de montagne, avec un ventre énorme, des mains comme des battoirs et se trouvait engoncé dans un costume qui visiblement était de deux ou trois tailles trop petit. Les deux avaient le temps halé des gens du voyage.

- Bonjour Madame dit le plus petit, qui visiblement avait autorité sur l'autre. Nous ne voudrions pas vous déranger. Nous sommes une petite communauté qui s'est installée depuis quelques temps dans un champ près de votre propriété. Je sais que les gens du voyage ont mauvaise réputation, à tort, alors nous voudrions vous proposer de boire le verre de l'amitié. Nous avons amené une bouteille.

Alors qu'il prononçait ces mots, il sortit de derrière son dos une bouteille de verre contenant un liquide transparent, très certainement de l'alcool qu'ils avaient eux même distillé. Patricia était particulièrement réticente à laisser entrer ces deux hommes chez elle. Mais comment allaient --ils prendre un refus? Ces gens-là, elle le savait, sont de nature très susceptible. Il valait mieux ne pas les contrarier. A contre cœur, elle leur proposa de rentrer et de s'installer sur la terrasse. Elle alla chercher 3 verres et les déposa sur la table devant eux.

Le petit servit des rations de soudards! Plus du tiers de la bouteille avait été répartie dans les verres. Patricia se dit qu'elle allait boire un verre rapidement avec eux et leur dirait ensuite qu'elle attendait du monde et qu'elle avait des choses à préparer. Plus tôt ils seraient partis, mieux cela serait. Elle trinqua avec eux et porta le liquide à ses lèvres. C'était terriblement fort! N'ayant pas l'habitude de boire, elle toussa un peu.

- C'est un peu fort, mais c'est tout naturel, lui dit le chef avec un sourire édenté. C'est de l'eau de vie de poire que nous fabriquons nous même. Vous allez voir, la deuxième gorgée passe bien mieux.

Et tout en disant ça il porta son verre à ses lèvres, incitant par là même Patricia à faire de même. C'est vrai que la deuxième gorgée passait mieux, se dit elle pour elle-même. Elle commençait à avoir très chaud, au soleil et dans son peignoir.

Le chef racontait que cela faisait maintenant quelques jours qu'ils étaient installés dans le champ, grâce à la générosité du père René. Ils ne voulaient pas déranger, et ils cherchaient des petits boulots. Il demanda si Patricia avait de choses à faire dans sa maison, bricolage, jardinage? Ils seraient ravis de pouvoir lui proposer leurs services.

Patricia répondit qu'elle avait déjà une entreprise qui s'occupait de cela pendant son absence, mais que sinon, ça aurait été avec plaisir. Elle vit qu'ils étaient un peu dépité par sa réponse. Mais elle ne tenait pas à avoir ce type de personnes chez elle de manière régulière.

Le vieux resservit des verres d'autorité et dit que ce n'était pas grave, qu'ils trouveraient bien ailleurs dans la région. Il leva son verre et déclara :

- A notre bon voisinage! Cul sec!

Et il bascula son verre d'un coup. Patricia, encore un fois, se sentit obligée de l'imiter et elle but son verre d'un trait. Elle ressentit une brulure qui se rependit dans sa gorge, puis dans son estomac. Elle eut les larmes aux yeux.

Le chef continuait à parler de la région qu'il trouvait très belle, qu'ils désiraient peut être rester quelques mois pour en profiter...

Patricia se dit qu'il valait mieux avoir de bonnes relations si ces gens devaient rester aussi longtemps. Elle se félicita de ne pas les avoir refoulés d'entrée.

Le grand ne parlait pas. Quand elle lui jeta un coup d'œil, elle s'aperçut qu'il jetait des regards soutenus vers son décolleté. En baissant les yeux, Patricia s'aperçue que son peignoir s'était légèrement ouvert, laissant apparaitre la naissance d'un de ses seins. D'instinct, elle en resserra les pans rapidement tout en rougissant instantanément. Les deux hommes firent mine de ne rien avoir remarqué, et le vieux en profita pour verser le reste de la bouteille dans les verres.

- Il y a une tradition chez nous, on ne laisse jamais une bouteille qui n'est pas vide!

Patricia se dit qu'elle allait être complètement saoule, mais qu'au moins, une fois ce verre terminé, ils allaient enfin pouvoir partir. Ils trinquèrent une nouvelle fois. Maintenant qu'elle était habituée, le liquide alcoolisé passait bien mieux, lui procurant juste une légère brulure dans la gorge et une forte chaleur dans le ventre. Le vieux continuait à parler comme si de rien n'était, apparemment indifférent à la dose d'alcool absorbé. Patricia en revanche se savait totalement saoule. Sa tête tournait, elle voyait flou et elle avait du mal à articuler.

Les verres furent enfin terminés, mais les deux hommes ne semblaient pas pressés de s'en aller.

Le grand lui demanda s'il pouvait utiliser ses WC. Difficile de refuser se dit Patricia. Elle lui dit qu'elle allait lui montrer où c'était. Quand elle voulut se lever, ses jambes se dérobèrent sous elle, et sans un réflexe de géant gitan, qui la retenu par-dessous les bras, elle se serait totalement affalée par terre. Dans l'émotion elle ne le remarqua pas, mais l'homme en profita pour saisir un de ses seins à travers le fin peignoir de soie et pour le malaxer.

- Il vaut mieux que vous restiez assise ma petite dame, je vais bien trouver tout seul.

Et joignant le geste à la parole, il la redéposa, presque hagarde, sur son siège. Cette fois la tête lui tournait totalement. Elle voyait le vieux lui parler, mais elle avait même un peu de mal à comprendre ce qu'il lui disait. Il lui semblait qu'il parlait de la saison de la cueillette des fruits qui allait arriver, pêche et surtout ce qu'il préférait, les abricots. Patricia le laissait parler. Elle ne voulait plus qu'une chose, qu'ils partent et qu'elle puisse prendre une douche et se coucher...

Au bout d'un temps indéterminé, le grand revint enfin et le vieux en profita pour dire à Patricia qu'ils allaient la laisser tranquille, qu'elle devait avoir beaucoup de choses à faire. Elle bredouilla une réponse affirmative, avant de tenter de se lever à nouveau. Cette fois les deux hommes avaient anticipé et ils se trouvaient chacun d'un côté de la chaise pour la supporter. C'est ainsi soutenue qu'elle les raccompagna à la porte d'entrée.

Au moment de partir le vieux lui dit, allez faisons-nous la bise, tout en ne lui laissant pas le choix et en la collant sur son gros ventre. Il sentait la sueur, l'alcool et le tabac. Elle se demanda si sa grosse main sur sa fesse était intentionnelle ou pas. Est-ce qu'elle avait senti sa langue sur sa joue au moment de la bise ou était-ce une divagation due à l'alcool? Quand le grand se serra contre elle pour lui faire la bise, il lui sembla que contre son ventre elle sentait son sexe tendu...Elle se dit que l'alcool ne lui réussissait pas, et les salua de la main avant de rentrer à l'intérieur et de fermer la porte. Elle chercha les clés qu'elle laissait habituellement dessus, mais elles n'étaient pas là. Elle se dit qu'elle devait les avoir laissées dans son sac. Quand elle s'avança dans son salon et passa devant une grande glace, elle eut une vision d'effroi :

La ceinture de son peignoir était défaite, et les pans de celui-ci complétement ouverts! On voyait clairement son sexe dont la toison était entretenue en ticket de métro et les tétons de ses seins. Elle se sentit défaillir! Elle s'était involontairement exhibée à ces deux hommes comme la dernière des catins. Ils avaient du bien se rincer l'œil les salauds! Elle fila à la douche pour se laver de ce qu'elle ressentait comme une souillure. Elle décida que le lendemain elle repartirait pour ne pas risquer de les rencontrer à nouveau, tellement elle avait honte d'elle-même.

La douche lui fit du bien, et toujours sous l'emprise de l'alcool, se glissa dans les draps de son grand lit, juste habillée d'une petite nuisette en dentelle noire.

Ses rêves furent chaotiques, parsemés de cauchemars et de rêves érotiques. Elle se réveilla en sursaut au milieu de la nuit. La bouche pâteuse, elle se leva pour aller boire. Elle se rendit compte qu'elle titubait, encore sous l'emprise de l'alcool. Alors qu'elle se servait un verre d'eau dans la cuisine, un courant d'air inhabituel la fit frissonner. En en cherchant la cause, elle s'aperçut que la baie vitrée donnant sur la terrasse était ouverte. Quand est-ce qu'elle avait bien pu l'ouvrir? Son cerveau plongé dans les brumes éthyliques n'arrivait pas à répondre à cette question. Elle se dépêcha de la fermer.

Comme elle regagnait sa chambre, une main la saisi par le bras. Elle poussa un cri qui fût vite étouffé par une autre paluche appuyant sur sa bouche. Elle fût prestement soulevée du sol comme si il s'agissait d'un fétu de paille. L'homme qui la tenait lui enfourna un bout de tissu dans la bouche et la jeta sur son lit. C'est à ce moment seulement qu'elle reconnut le grand gitan qui était venu la voir l'après-midi. Comme elle se débattait il lui administra une gifle monumentale qui la laissa presque assommée. Quand elle reprit ses esprits, elle se rendit compte que ses bras étaient solidement attachés aux montants du lit par des cordelettes. Elle était seule dans la chambre, mais elle entendait des voix parler dans la pièce d'à côté.

Tout à coup, les voix s'arrêtèrent et la porte de la chambre s'ouvrit. Devant elle, se tenaient le grand gitan et le vieux. Un sourire vicieux barrait son visage.

- Alors Madame, comme ça vous n'avez pas de travail pour nous...Mais il faut bien que l'on vive vous comprenez? Alors si on ne peut pas gagner notre vie en travaillant, il faut bien que l'on fasse autrement! Et justement, vous avez dans votre maison quelques objets dont nous pourrons tirer profit. Et puis, il y a la cerise sur le gâteau...vous êtes sacrément bandante et on ne pouvait pas passer à côté d'une occasion pareille, surtout de la manière dont vous nous avez allumés cette après-midi.

En prononçant ces paroles, il passa sa langue sur ses lèvres dans un geste obscène. Patricia en frissonna de dégout et d'appréhension. Elle essaya de se débattre mais les liens étaient solides et la seule chose qu'elle réussit à faire fût de faire remonter sa nuisette sur ses cuisses, dévoilant par la même ses lèvres intimes et sa toison.

- Et bien voilà, tu vois que tu y mets du tien, tu nous dévoiles toi-même ta chatte, comme tu l'as fait cette après-midi. Tu es vraiment une grosse salope qui ne demande qu'à se faire baiser...et bien tu vas en avoir pour ton argent!

Au-delà même des mots crus utilisés, c'est le passage du vouvoiement au tutoiement qui fit paniquer Patricia. Elle comprit alors que ces hommes ne reculeraient devant rien.

Il s'approcha du visage terrorisé de la femme, et sortant une langue encore chargée par l'alcool, lui lécha la joue, le nez, les lèvres, essayant de s'immiscer à l'intérieur, mais Patricia, dégoutée, les tenait fermement fermées.

- Tu refuses mon baiser salope...mais tu vas voir que tu vas t'y faire!

En prononçant ces mots, il sortit un couteau à cran d'arrêt de sa poche, l'ouvrit, et en promena la lame sur le visage d'une Patricia cette fois terrorisée. Bloquant la lame sur le cou, il lui dit :

- Tu ma me sucer la langue comme une chienne que tu es...sinon...

Et il ressortit sa langue devant la bouche de Patricia, tétanisée par la peur celle-ci se dit qu'elle n'avait pas le choix. Elle ouvrit doucement sa bouche, et, comme si c'était un esquimau, s'appliqua à sucer la langue du vieux dégueulasse.

- Tu vois que tu arrives à obéir. Il vaut mieux pour toi d'ailleurs! Ouvre la bouche en grand!

Comme Patricia mettait un peu de temps à s'exécuter, il accentua la pression du couteau sur sa gorge. Elle ouvrit la bouche et il en profita pour lui cracher à l'intérieur. Puis, satisfait de l'humiliation qu'il venait de faire subir, se redressant, il promena son couteau sur la nuisette de la femme. Lentement la lame acérée commença à découper le tissu. Patricia se débattit.

- Rudy, tiens lui les jambes à cette salope, elle gigote trop!

Le grand, qui s'appelait donc Rudy, saisit les deux jambes et les immobilisa, légèrement écartées pour qu'il puisse se rincer l'œil sur l'entrejambe dénudée de Patricia. Pendant ce temps le vieux continuait de découper lentement la nuisette, qui s'ouvrait de plus en plus faisant apparaitre les globes des fabuleux seins de Patricia, puis les tétons érigés par la peur. Bientôt, la nuisette fût ouverte sur toute sa longueur et s'étala des deux côtés du corps de la pauvre victime. Patricia, totalement exposée, entravée, était totalement à sa merci. Posant son couteau sur la table de chevet, il attrapa à deux mains les seins de la femme, les malaxant avec violence, tirant sur les tétons sans retenu. Il en prit un dans sa bouche, enroulant sa langue sur le téton en bavant abondamment dessus, puis le mordit, arrachant un cri de douleur à Patricia.

- Tu es sacrément bien gaulée pour ton âge petite pute! Même si habituellement je préfère violer des gamines de 20 ans, je vais me régaler de te baiser.

Sous les yeux apeurés de Patricia, alors que Rudy lui tenait toujours les jambes, il commença lentement à défaire son ceinturon, puis les boutons de sa braguette. Le pantalon tomba à ses chevilles, il était nu dessous. Entre ses jambes pendait un sexe court et trapu, en semi érection, avec un gros gland violacé, parsemé de sécrétion. Même à distance, une forte odeur s'en dégageait.

- Je ne me suis pas lavé le chibre depuis la dernière fois que j'ai baisé ma nièce de 18 ans. J'aime pas bien l'eau. Mais comme l'hygiène c'est important, tu vas me nettoyer tout ça avec ta langue.

- Nooooon!!!!

- Ne fais pas ta mijaurée et surtout ne m'oblige pas à reprendre mon couteau...Tu vas me sucer et tu vas t'appliquer. Chaque fois que je sentirais les dents, je te découperais un bout d'oreille!

Joignant le geste à la parole, il s'assit à califourchon sur la pauvre Patricia, lui présentant son sexe malodorant, et attrapant dans le même temps son couteau sur la table de chevet.

- Allez, ouvre la bouche et suce!

Tétanisée par la vue du couteau, Patricia ne pouvait qu'obtempérer. Timidement elle entrouvrit la bouche, laissant le gland de son bourreau forcer l'entrée. Le goût était âcre et salé, lui provoquant un haut le cœur. Le vieux en profita pour s'enfoncer plus profond dans sa bouche, entamant des va et vient. Puis il se retira, laissant son membre à quelques centimètres de la bouche de Patricia.

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