La Chambre d'hôtel

Informations sur Récit
relation SM soft entre un homme et une femme.
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Je t'avais conviée dans une chambre d'hôtel luxueux un après midi d'été. C'était une journée chaude et le mercure du thermomètre indiquait 38°C. Le ciel était gris acier et des nuages cumuliformes avaient fait se lever un vent au parfum de miel. La chambre était climatisée et tu avais éprouvé une sensation de bien être en entrant. Les rideaux étaient dans un tissu de confection épais et lourd qui donnait à la pièce une impression supplémentaire de fraîcheur apparente, comme celle que l'on découvre en poussant la lourde porte d'un lieu de culte...

Tu avais remarqué le bouquet de roses rouges que j'avais fait livrer dans la matinée, déposé dans un vase par la femme de chambre et trônant à droite du fauteuil style Louis XV.

Tu étais venue en avance à mon invitation, peut être pour reconnaître les lieux, mais surtout pour maîtriser les volumes.

Comme un chat se frôlant au mobilier, tu mesurais à présent l'espace qui séparait le salon de la commode, du lit au mini bar, de la salle d'eau à la porte.

A la fois excité et nerveux, je pris un petit verre d'alcool au bar. C'était la première qu'un tel rendez-vous m'avait été offert et je voulais faire les choses biens. J'avais moi aussi des fleurs, des roses et des coquelicots. Je les ajoutai aux autres dans le vase.

Mon téléphone sonna, un message d'une amie que j'avais invité à se joindre à notre rendez-vous. Elle disait qu'elle aurait un peu de retard mais qu'elle viendrait plus tard. Il n'était pas nécessaire de l'attendre.

Arrivé avant moi dans cette chambre réservée à l'avance, tu m'attendais, je devais te rejoindre à 16h00 précise.

A ta montre, les aiguilles de la Breitling que je t'avais offerte pour ton dernier anniversaire indiquaient 15h15.

Dans ce mail, je te demandais de prendre une rose rouge du bouquet, cette dernière serait le symbole de ton pouvoir. Si tu l'avais en main lorsque je pénétrais dans la pièce, je me plierais à toutes tes fantaisies, si tu la laissais choir sur la table du salon, tu abandonnerais le droit à ce privilège.

A présent, tu te diriges à nouveau vers le mini bar pour y prendre la bouteille de champagne et un sceau à glace, ainsi que les deux coupes et tu retournes vers le salon.

Je gare mon Audi A1 dans le parking souterrain, et je me dirige vers les ascenseurs. Je reviens de mon rendez-vous chez l'esthéticienne, gommage corporel aux acides de fruits pour le visage, je me suis faite belle pour toi, je suis détendue avec le désir de te faire partager mes délires au féminin.

Tu viens de cueillir la rose du bouquet, à toi à présent le choix entre concupiscence ou évanescence.

Je suis dans l'ascenseur, et avant d'appuyer sur le bouton du 2ème étage, je vérifie mon apparence dans le miroir qui me fait face. Je décale légèrement ma frange à gauche, et j'arrange les quelques cheveux qui tombent sur mon front. Je prends ma dernière acquisition fétiche de YSL, un rouge « pure shine » et je souligne délicatement mes lèvres. L'image que le miroir me renvoie, me semble devoir te satisfaire et j'appuie sur le bouton d'étage. Le plancher et les parois de l'ascenseur sont tapissées d'une moquette rouge au dessin chargé de rosettes couleur or. L'ascenseur stoppe sa cours, me voici dans le couloir.

J'avais pris soin de récupérer une clef le matin à la réception, une carte magnétique pour ouvrir la porte et je suis à présent devant cette fameuse entrée de la chambre n°4.

Je sens un petit frisson dans le creux de mes reins, mon ventre semble se creuser et c'est avec un peu d'appréhension, que je me décide à pousser la poignée.

Tu entras dans le salon, plus magnifique que jamais. Tu enlevas et laissa tomber ton beau manteau rose pour dévoiler une sublime robe noire échancrée au dos et soulignant tes courbes divines.

A tes pieds, un chemin de pétales de roses conduisait jusqu'à la table du salon. La rose y était posée entouré de pétales de coquelicots, devant le sceau de glace, la bouteille et les coupes de champagne. J'étais assis dans le fauteuil, en chemise. Tu avanças vers moi, sensuellement pas à pas, laissant l'excitation en moi, monter. Tu posas ta jambe soudainement entre mon entre-jambes, me faisant faire un petit sursaut. Ta longue jambe dévoilée, je la remontai du regard avant de me lever et de t'embrasser tendrement.

J'ai tout de suite été frappée avant de te voir, par l'ambiance de la pièce, et le silence complice qui se dégageait des murs et du mobilier.

Mes yeux se sont alors posés sur la table du salon, où sur le plateau de verre, tu avais laissé choir une des roses rouges, nouveau frisson, mon cœur s'est mis à battre plus rapidement, et mes pas m'ont porté à ta rencontre.

J'ai glissé une jambe entre les tiennes et je t'ai priée en t'embrassant du bout des lèvres de t'asseoir dans le fauteuil.

Tu es vêtu d'une chemisette noire, déboutonnée qui laisse découvrir un léger décolleté sur le sillon de ton torse.

Je saisis la bouteille de champagne du sceau, et après avoir fait sauter le bouchon, je nous remplis les deux coupes et ma main gauche te tend un verre. Nous échangeons quelques regards complices, des avis sur la décoration des lieux, tout en parlant, je me rapproche de mon sac, laissé négligemment dans un coin de la pièce. Je le prends avec moi, et reviens vers ton fauteuil Tu sembles t'interroger sur ce manège, et je te demande d'une voix la plus douce possible de te détendre.

Je contournes le fauteuil et je t'explique que je vais te décontracter. Je vais t'appliquer quelques massages, et pour commencer, je vais me concentrer sur ton visage.

Je prends dans mon sac, un petit flacon d'huile essentielle nommé Opium, à laquelle j'ai ajouté de la liqueur d'Angustura.

Je m'en verse quelques gouttes sur les mains, un parfum d'agrumes et d'encens se dégage aussitôt, je suis derrière ton fauteuil, tu ne peux pas me voir. Je commence par me frotter les mains, jusqu'à ressentir les premières chaleurs, puis je les écarte, pour les rapprocher doucement, je ressens un effet magnétique, qui les attire et qui m'indique que je peux commencer.

Je glisse mes doigts à l'embase de tes cheveux et j'appuies doucement, par petites touches, je progresse lentement vers le lobe des oreilles et je décris avec l'index et le majeur de petits cercles concentriques, appui léger. Je glisse le long des lobes et insiste sur les tempes, partant des yeux, j'exécute un mouvement de chenille avec la deuxième phalanges de mes pouces, je sens ton souffle plus court, signe d'un bien être.

Je remonte vers le front et place mes majeurs et annulaires au centre de ton front, je garde une petite pression, quelques instants, puis je décris des mouvements de volutes au dessus des sourcils.

Ta poitrine se gonfle, tu sembles détendu.

Je commence à t'expliquer doucement la suite des évènements, tout en plongeant ma main gauche à nouveau dans le sac.

Je t'annonce que comme les anglo-saxons le nomme, nous utiliserons cet après midi un Duress Word, il s'agit d'un mot que tu utiliseras pour signifier que le jeu te déplait, et il cessera aussitôt. Ce mot sera « SAPHIR ». Je te prends ton visage en l'entourant de mes mains, te caressant les cheveux, et je te recouvre les yeux délicatement de lunettes occultants de feutre noir. Je te rassure en déposant de petits baisers appuyés à la commissure de tes lèvres, me retirant dès que j'aperçois les tiennes s'entrouvrir.

Je me place à présent devant toi, je te caresse les avant bras nus, te les fais reposer, paumes vers le plafond appuyés sur les bras du fauteuil.

Je récupère deux foulards dans mon sac, que j'ai à présent à mes pieds.

Je te lies les poignets, sans trop serrer aux accoudoirs massifs, qui se confond avec ton teint de peau bronzé.

Je peux, distinguer ta poitrine se soulever, signe d'une pointe d'excitation.

J'enlève la ceinture de ma robe, que je jette négligemment sur ma gauche, puis je défais les boutons et la laisse glisser à mes pieds,. Je ne garde que mes dessous blancs soulignés de dentelles.

Mes sens de l'ouie et de l'odorat décuplés par la privation de ma vue, je me retrouve totalement vulnérable à toi.

- Je ne comprends pas quel est l'intéret si je ne peux pas te voir? s'exprimai-je.

- Laisse toi faire... tu verras bien! me répondis-tu.

Soudain, quelque chose me frappa. Ton doux et suave parfum, vint jusqu'à mes narines. Un parfum sucré. Puis, je sentis à nouveau tes lèvres pulpeuses sur les miennes et comme à chaque fois sans que je n'ai le temps de réagir, tu avais déjà retiré tes lèvres. Je commençais à prendre goût de ce petit jeu.

Je sentis les boutons de ma chemise que tu étais en train de déboutonner. Puis, j'entendis ton petit gémissement lorsque tu découvris mon torse musclé. Un petit sourire me vint aux lèvres pendant que je me redressais. Tu me plaqua contre le dossier du fauteuil, comme pour me faire oublier ce gémissement trahissant de ta part.

Tu m'expliquas le déroulement du jeu érotique auquel nous nous allons à nous livrer.

- Je vais te poser une question, à chaque bonne réponse tu auras une récompense. Plus tu enchaîneras les bonnes réponses, mieux sera la récompense. Par contre, si la réponse ne me satisfait pas, je serais dans l'obligation de te donner une punition. Si tu as compris et que tu te sens réellement prêt pour commencer dis moi "Première question", si tu ne te sens pas de le faire dis "Saphir" et je te détacherais et m'en irais.

Sans aucune hésitation et beaucoup excité de savoir jusqu'où ce jeu allait nous mener je te dis : Première question!?

Je me place ensuite en tailleur aux pieds du fauteuil, je défais ta ceinture, déboutonnes le pantalon et le retire. Te voilà en simple appareil vêtu uniquement de ton caleçon. A présent je te soulève les pieds nus pour les poser sur le haut de mes cuisses.

Je réchauffe mes mains et lorsque je les sens prêtes à agir, je t'entoure les chevilles. Je me concentre sur cette zone de points réflexes, allant et venant, jouant des dernières phalanges de mes pouces et de mes index. Cette zone est celle de l'aine, tu voudrais serrer tes jambes, tu sembles avoir peur d'une perte de contrôle, mais je te les retiens en te parlant des bienfaits que tu vas ressentir.

Je me suis posée avec mes pouces, sur le point le plus fragile, celui du calice, fruit de tous les plaisirs, cette zone, grosse comme une pièce de 1 euro qui se situe à l'arrière de la cheville, côté extérieur du pied. A présent, je suis capable de te contrôler, et de faire monter en toi l'excitation visible à travers la bosse de ton boxer. Mon désir jusque là était de te détendre, à présent je sens que tu te laisses aller, tes jambes sont relâchées, allongées, les cristaux que je sentais sous mes doigts semblent disparus. Tu es sous l'emprise de mes mains.

Je continue de masser, en volutes ou en chenille, et ton corps se dresse sur le dossier du fauteuil, tes poignets bougent et ainsi les liens se resserrent. Je te vois ouvrir les lèvres comme pour parler, un rictus apparaît, les foulards ont du te coincer les poils de tes avants bras.

Je fais alors déplacer mes index pour dépasser les talons et j'appuie par petites pressions pour soulager tes avants bras. Je suis aux commandes de ton corps, j'abandonne tes pieds que je dépose sur la moquette. Je pose mes doigts sur tes mains et je les fais glisser de la base de tes paumes vers le bout du pouce, j'ajoute quelques petites pressions et je te retrouve à nouveau plus calme. Tes lèvres sont à présent ouvertes, les jambes qui s'écartent légèrement, je me concentre sur une zone qui te fait oublier toutes peurs ou appréhensions. Je reste quelques instants à te prodiguer ce massage, et je te demande si tu te sens bien. Pas de réponse, tes lèvres laissent échapper un soupir et m'encouragent à continuer.

Première question: " je t'avais proposé de prendre dans ta main la rose ou de la laisser choir sur la table, que penses tu que j'aurai souhaité comme scénario, celui là ou d'être à ta place?

A suivre

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