La femme du révérend 01

Informations sur Récit
La femme du révérend succombe au pêché de chair.
8.4k mots
4.32
83.9k
5

Partie 1 de la série de 4 pièces

Actualisé 10/21/2022
Créé 03/31/2009
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Coulybaca/ Stevecom

Je m'appelle Caroline James, je venais juste de sortir de mon second rendez-vous dans cette église dans le cadre de l'écriture de mon dernier livre "Eglise et communication".

Parvenue à mon hôtel je m'installais dans ma chambre.

Encore une semaine et je rentrerai dans ma famille. J'ai épousé le plus merveilleux des hommes, Mike James, il y a 20 ans, notre union a été bénie par la naissance de mes 3 enfants : Carol, et Sue, mes jumelles de 19 ans, et Laura 18 ans.

J'étais fatiguée et affamée, aussi après m'être rafraîchie le visage, m'être remis un peu de rouge aux lèvres je descendais dans la salle de restaurant de mon hôtel.

Je jetais un oeil sur le journal local tandis que l'aide serveur plaçait un verre d'eau sur ma table.

- Le bonjour madame, un serveur va s'occuper de vous dans quelques minutes, je m'appelle Tyrone, je suis à votre entière disposition si vous avez besoin de quoi que ce soit...

Je levais les yeux.

- Merci Tyrone, C'est vraiment gentil de votre part, prenez votre temps, je ne suis pas pressée...

Tyrone avait 18 ans, il ramena quelques assiettes sales dans la cuisine

- Hey Léon, jette donc un oeil sur la salope installée à la table 4, wow, elle a un de ces paires de miches! ...

Du même âge que Tyrone, Léon empoigna une carafe d'eau et entra dans la salle de restaurant pour y observer la salope aux beaux nénés.

Il vit qu'elle lisait le journal.

- Excusez-moi madame... Encore de l'eau... Un café...

En le regardant Caroline hocha la tête :

- Non-merci, ça va pour l'instant...

De retour dans la cuisine Léon s'esclaffa :

- Wow... Quelle belle pute blanche! ... Et cette paire de nibards! ... J'adorerai me la faire! ... Si je lui file un bon coup de bite je pourrai l'ajouter à mon harem de putes blanches! ...

Linda une mignonne petite serveuse blanche de 18 ans passait les commandes à la cuisine :

- C'est bien de vous mes 2 cocos, toujours à vouloir sauter des femmes blanches! ...

Tyrone et Léon regardèrent tous deux Linda et gloussèrent :

- Vous les blanches, vous ne pouvez pas vous passer de nous une fois que vous avez goûté aux bites noires... C'est pareil pour toutes les blanches! ...

Tyrone baisait Linda depuis un bon mois.

Il faisait partie de l'équipe de basket local, il était grand, c'était un véritable athlète, il jouerait encore mieux s'il s'entraînait correctement, mais ce qui l'intéressait en premier lieu c'était les filles.

Il avait sauté la plupart des pom-poms girls et une paire de profs, elles avaient toute pris goût à sa grosse mentule noire, elles faisaient tout ce qu'il leur demandait.

Linda se pointa dans le local des serveurs et aides serveurs où se trouvaient Léon et Tyrone...

- Savez-vous qui c'est cette bonne femme? ...

Les deux gars braquèrent leurs yeux sur elle.

- C'est la fameuse écrivain, Caroline quelque chose, elle écrit des bouquins sur la religion, elle est venue ici pour rencontrer le pasteur de la paroisse, vous n'avez aucune chance de vous la faire mes salauds, désolée pour vous! ...

Tyrone jeta un oeil sur Léon :

- Va jusqu'à la voiture et ramène la caméra! ...

Une fois Léon de retour, Tyrone se glissa discrètement jusqu'à la table de la blanche écrivain, il éclaircit sa voix, Caroline le regardait s'approcher de sa table.

- Excusez-moi madame, j'ai appris que vous étiez une célèbre écrivain, je ne voudrai pas vous indisposer mais pourrai-je avoir une photo de vous? ...

- Bien sûr... Répondit-elle benoîtement;

Elle se leva, ne s'attendant pas du tout à ce qui suivit.

- Hey Linda, pourrais-tu nous prendre en photo s'il te plait? ... S'écria Tyrone s'adressant à la jeune serveuse.

Caroline remarqua à cet instant à quel point ce jeune homme était grand et fort, elle lui donnait l'âge de 18/20 ans, il était bien plus grand qu'elle, Linda un large sourire aux lèvres s'approcha d'eux la caméra à la main.

Tyrone posa son bras sur ses épaules, et l'enlaça étroitement. Abasourdie, elle sentit la main du jeune aide serveur noir s'appesantir, il avait placé sa main droite sur sa hanche tout près de sa somptueuse croupe.

Il gloussa au fin fond de lui-même, le corps de la ravissante écrivain s'encastrait parfaitement dans le sien.

Il baissa les yeux tentant de jeter un oeil sur ses nichons par le décolleté de son corsage, il en aperçut la courbe supérieure ses miches lui semblaient bien rondes et bien fermes. Il imaginait qu'elles devaient avoir un goût succulent! ... Déjà il voulait les savourer! ...

Tyrone sentait qu'elle était nerveuse, mais qu'elle ne voulait surtout pas créer de scandale, il lui intima :

- Souriez...

Après avoir pris une première photo Linda commenta :

- Hey Léon, viens ici que je te tire le portrait avec madame et Tyrone, c'est d'accord madame? ... Une encore avec eux deux, nous apprécierons beaucoup! ...

Les regardant nerveusement Caroline sourit timidement

- Bien sûr, c'est bien pour vous faire plaisir...

Léon sauta auprès d'eux et lui enlaça la taille.

Caroline nota qu'il avait à peu près le même age que son comparse, il était plus petit que Tyrone et bien plus gros.

Elle allait se faire prendre en photo par deux jeunes noirs du même âge que ses aînées...

Linda braquait la caméra sur eux, le bras de Léon encerclait sa taille, elle sentait la main de Tyrone descendre sur sa fesse droite, le jeune noir lui pelotait le cul.

Tyrone sentit tout de suite sa tentative de s'évader de leur emprise, amis elle était serrée entre les deux noirs, elle ne parvint pas à leur échapper.

Linda leur rappela de sourire au petit oiseau.

La main de Tyrone courait maintenant dans sa raie culière, explorant sa croupe au travers de sa jupe en tissu léger.

Il parvenait même à palper les lèvres de sa foufoune! ...

Les photos prises, Caroline fit un bond en avant et échappa immédiatement à leur emprise.

Ahurie, elle regardait les deux jeunes noirs, ils lui sourirent tous deux.

- Merci madame... C'était vraiment gentil de votre part... Quelle joie... Etre pris en photo aux cotés d'une si fameuse écrivain! ...

Carole était définitivement ébahie, choquée lorsqu'elle se rassit à sa place pour entamer son repas.

Elle terminait son repas lorsque Linda, la jolie petite serveuse, s'approcha de sa table...

- Puis-je vous apporter un dessert? ...

- Non, je vous remercie... L'addition s'il vous plait... Répliqua Caroline.

Comme Linda lui tendait son ticket elle commenta :

- J'ai beaucoup aimé votre dernier livre madame...

- Merci ma chère, j'en suis très heureuse...

- J'aurai j'aimerai pouvoir suivre vos préceptes en ce qui concerne le sexe... Mais je ne peux pas me passer de fréquents rapports sexuels... Je me sens à la fois excitée et coupable... Je ne sais vraiment pas quoi faire! ... Lui confia Linda misérablement.

Caroline invita Linda à s'asseoir

- Racontez-moi? ... J'ai une fille d'à peu près votre âge...

Linda s'assit et entreprit de lui parler de ses relations avec les garçons et en particulier avec son petit ami.

Puis regardant fixement Caroline elle ajouta :

- Bien que j'adore mon petit ami, je ne parviens pas à me refuser à Tyrone l'aide serveur noir...

Caroline lui demanda pourquoi.

Linda jeta un coup d'œil circulaire pour s'assurer que personne n'était proche de leur table, elle se rapprocha de Caroline et lui confia :

- Je ne parviens pas à lui dire non, il a la plus grosse bite que j'ai jamais vue, j'ai baisé une fois avec lui, ce fut un véritable éblouissement, jamais je n'ai joui autant de fois en une nuit... Maintenant il me traite comme une salope, il m'a fait baiser avec ses copains, j'ai accepté servilement, juste pour qu'il continue à me sauter de temps à autre! ... Après avoir pris les photos ce soir, je les ai rejoins dans leur local et j'ai du sucer Léon, l'autre serveur, Tyrone m'a dit qu'il me baiserait cette nuit si je suçais Léon ce soir, aussi me suis-je dévouée, mais je me suis sentie si honteuse lorsque Léon se vida les couilles dans ma bouche mais comme je ne parviens pas à me passer de la grosse mentule de Tyrone, je suis trempée rien que d'y penser, je suis subjuguée par son chibre! ...

Caroline entendait ces propos qui lui semblaient incroyables, elle sentait avec honte son corps répondre à ces déclarations salaces.

Sa foufoune s'était inondée de cyprine, en entendant la jeune serveuse lui conter son histoire.

Caroline commença citait des passages des écritures affirmant qu'il ne fallait pas sombrer dans le lucre et la luxure, que la tentation était forte mais que l'amour de Dieu était encore plus fort! ...

Elle oubliait seulement que ces émois étaient naturels.

Caroline se rapportait à son expérience familiale elle avait un merveilleux mari et de ravissants enfants.

Son mari et elle n'abusaient pas des rapports sexuels et ne baisaient que pour procréer.

Leurs relations étaient basées sur une stricte observance des préceptes religieux et le respect du sexe.

Elle avait maintenant repris le contrôle de ses sens.

Linda remercia vivement Caroline d'avoir écouté ses doléances.

- Ce que vous m'avez dit m'a fait énormément plaisir... Avoir des orgasmes me fait exulter... Mais comme vous le dîtes, je peux essayer de contrôler mes sens... Je vais essayer... Grand merci madame...

Caroline ne révéla pas à Linda que jamais elle n'avait eu d'orgasme! ...

En se relevant Linda ajouta :

- Tyrone a un sacré béguin pour vous... Je l'ai entendu parler de vous dans la cuisine...

Caroline sentit un long frisson parcourir sa colonne vertébrale en se remémorant la façon dont Tyrone lui avait peloté avec salacité les fesses.

Cependant elle pensait que ce jeune noir du même âge que ses filles se contenteraient de ces caresses furtives.

Caroline terminait de siroter son café lorsque, levant les yeux elle vit Tyrone qui se tenait devant elle.

Elle pensa à nouveau à cette façon graveleuse qu'il avait eue de lui palper les fesses tandis que Linda prenait des photos.

- Oui Tyrone, que me voulez-vous? ...

- Je vous ai vu discuter avec Linda, et voilà que maintenant elle oublie notre rendez-vous, que lui avez-vous donc dit? ... La questionna Tyrone d'une voix furieuse.

- Vous ne la respectez pas Tyrone, elle est honteuse de se plier aux choses que vous lui faites faire, et de cette façon que vous avez de la traiter, elle a un petit ami, elle se sent mal de le tromper! ... Je lui ai cité quelques écritures et elle veut maintenant suivre ces préceptes moraux et de refuser le plaisir que vous lui donniez! ... Jeune homme vous méprisez les femmes, vous ne m'avez pas respectée, il n'y a qu'à voir cette façon ignoble dont vous m'avez caressé les fesse pendant que Linda prenait des photos... Je suis assez vieille pour être votre mère... J'ai une fille de votre âge, c'est comme si vous caressiez votre mère... Je n'ai rien dit, rien fait, uniquement pour ne pas faire de scandale! ...

Tyrone baissa les yeux sur elle, Caroline nota avec gêne qu'il observait avec salacité ses nichons.

- Hey femme, je pense que tu as aimé mes caresses, lorsque je t'ai peloté les fesses, j'en étais ravis, j'adore que les femmes blanches soient embarrassées lorsque je les caresse ha, ha... Gloussait-il hilare.

Sur ce il se glissa dans ma cabine.

Léon surgit et remplit à nouveau ma tasse de café.

- Nous allons parler de ton livre chère amie, peut-être bien que tu me feras changer d'avis! ... Se marra-t-il.

Caroline commença à évoquer son histoire, parlant de sa famille et des écritures qui régissaient sa vie.

Tyrone savait que plus il ferait durer son récit, plus il aurait de chance de s'approcher d'elle.

Caroline était surprise de le voir si attentif, alors qu'elle discourait de son livre.

Elle lui expliquait que le sexe n'était pas vraiment mal, mais qu'il était mal d'en abuser. Elle remarqua qu'il s'approchait insensiblement d'elle.

Elle fit sa première erreur importante lorsqu'elle demanda à Tyrone pour quoi il traitait ainsi les femmes.

Tyrone ce jeune exposait maintenant ses vues sur le sexe à cette ravissante blanche mère de 3 enfants. Nerveusement Caroline sirota une lampée de café.

Il évoquait sa vie sexuelle, son dépucelage à l'âge de 14 ans, sa première fille blanche à 16 ans, ses profs avec qui il avait couché, en l'entendant caroline commençait à avoir la tête qui lui tournait, ses mamelons réagissaient à ces propos graveleux, à nouveau sa chatte s'humidifiait.

Elle remarqua que les mains de Tyrone étaient maintenant osées sur sa cuisse qu'il caressait langoureusement tout en détaillant ses aventures sexuelles.

Comme il lui racontait à quel point il aimait donner du plaisir à ses partenaires il regardait Caroline droit dans les yeux, il voulait vérifier l'impact de ses allégations sur cette succulente jeune femme.

- Puis vous poser une question? ...

Sa main était maintenant toute proche de sa chagatte.

- Ce Dieu dont vous parlez tant m'a doté d'un outil performant que les femmes adorent, alors pourquoi devrai-je hésiter à m'en servir? ...

Caroline reprit brutalement contact avec la réalité, elle sentit sa main caresser impudiquement sa cuisse, elle la repoussa, personne d'autre que son mari n'avait caressé ses cuisses, et voilà que ce jeune aide serveur n'hésitait pas à la caresser lascivement.

- Je vous en prie Tyrone, poursuivez...

Le gros chibre de Tyrone se mettait au garde à vous dans ses caleçons à l'idée de se faire cette chaude grognasse.

Tous les noirs raffolent des foufounes blanches! ...

- Bon, vous disiez plus tôt que faire l'amour ne sert qu'à procréer, ainsi vous-même avez 3 enfants, cela veut-il dire que vous n'avez fait l'amour que 3 fois avec votre mari? ... Juste 3 fois! ...

Caroline gloussa.

- Bien sur que non, cela a demandé plus d'un essai pour que je sois enceinte, mais surtout du au fait que nous faisions l'amour pour avoir des enfants, pas pour avoir rapports sexuels luxurieux, comprenez-vous, ai-je été bien claire? ...

Tyrone explosa de rire.

- Ainsi vous n'avez jamais fait l'amour pour avoir du plaisir! ... Juste pour exulter! ...

Caroline était sur le point de commettre la faute qui changerait sa vie.

Tyrone se sentait en confiance, il sentait qu'il était sur le point de se faire cette ravissante blanche.

Il jeta un coup d'œil circulaire dans la salle de restauration pour s'assurer que tout était calme, et que personne ne les regardait.

Il pensait qu'il était temps maintenant d'asseoir son emprise sur cette somptueuse salope.

- laissez moi prendre votre main... Demanda soudain Tyrone impavide.

Caroline ne voyait pas à quoi il voulait en venir... Elle plaça sa petite menotte dans la sienne.

Il posa sa main sur sa jambe, le cœur de Caroline se mit à battre la chamade, pour la première fois elle ressentait un émoi qui allait changer définitivement sa vie.

Tyrone se pencha sur elle lui murmurant à l'oreille :

- Dieu m'a fait de cette grosse bite, pourquoi ne m'en servirai-je pas pour baiser de nombreuses femmes et leur dispenser un plaisir indéniable...

Caroline avala sa salive, elle ne parvenait pas à croire à ce que' faisait le jeune noir.

Tyrone tenait fermement sa main dans la sienne il la posa sur sa bite raidie faisant apprécier pour la première fois une grosse mentule à cette blanche si prude.

Caroline n'en croyait pas ses mains, comment un homme pouvait-il être doté d'un si gros pénis, si épais? ...

Elle ferma les yeux et Tyrone continua à lui palper rudement la cuisse remarquant qu'elle n'avait pas tenté de lui retirer sa main. Elle serrait sa bite entre ses doigts, abasourdie par son épaisseur.

A nouveau Tyrone vérifia que personne ne les regardait dans la salle de restaurant.

Il se pencha à l'oreille de Caroline et lui susurra :

- Tu aimes sentir la taille de mon chibre, dis-moi, que tu aimes ça...

Caroline ne pouvait pas lui répondre, sa respiration était haletante, elle respirait très difficilement.

- Tu aimerais sentir ma grosse bite s'enfouir dans ton étroite petite chatoune, tu le veux vraiment... Tu veux ma bite de nègre dans ta foufoune embrasée...

caroline se sentait perdue, jamais il ne lui était arrivé telle mésaventure, elle ne parvenait plus à penser, elle ne parvenait plus à sortir un mot, elle ne respirait que très difficilement.

La main de Tyrone atteignait maintenant sa fentine, il frottait ses lèvres de bas en haut, il avait déniché son clito et le caressait lascivement espérant la faire jouir sous ses doigts, l'expérience de Tyrone lui disait que si seulement il parvenait à la faire exulter, il pourrait ensuite faire ce qu'il voudrait de cette chaude salope.

Caroline accompagnait les caresses de sa main, elle était sur le point d'exploser, de ressentir un orgasme comme jamais elle n'en avait ressenti, bien sûr elle savait que certaines femmes avaient des orgasmes, mais elle n'en avait jamais expérimenté le moindre, et voilà que quelque chose d'inconnu montait en elle.

Tyrone diminua ses caresses sur la cuisse de sa languide partenaire, il ne voulait pas qu'elle réjouisse à l'instant même.

Caroline entendit alors résonner le son d'une fermeture éclair que l'on baissait, Tyrone se saisit à nouveau de sa main et la posa sur sa jeune bite chaude et vibrante.

Peau contre peau, Caroline était maintenant submergée par la honte, elle se sentait coupable de sentir le chibre de son suborneur noir s'expandre entre ses doigts.

Tyrone se pencha sur elle et lui murmura lascivement :

- Tu me fais bander comme un âne! ... Je veux te sauter... Je veux goûter à ta chatoune et à tes nibards! ... Tu le veux aussi... dis-le-moi! ... Je le sais... Dis-le-moi...

Caroline était muette de saisissement, elle était perdue, jamais on ne lui avait tenu un discours aussi salace. Comme elle demeurait muette, Tyrone eut une idée.

Il empoigna sa main et la retira, remonta la fermeture éclair de sa braguette et chuchota à l'oreille de Caroline :

- J'ai eu tort... Je te remercie d'avoir accepté de discuter avec moi... Je lirai ton livre...

Comme il se redressait, Caroline empoigna son bras, elle le regardait droit dans les yeux, elle se sentait coupable, elle ne parvenait pourtant pas à juguler le plaisir au creux de ses reins, elle avait beau évoquer son mari, ses filles, l'église son livre, elle ne pouvait se résoudre à le laisser partir.

- Non Tyrone, Je vous en prie ne me quittez pas, C'est juste... C'est juste que je ne sais pas quoi dire... Je ne sais pas... S'il vous plait... Ne partez pas...

Tyrone comprit à cet instant qu'il ne tarderait pas à se la faire. A nouveau il jeta un coup d'œil inquisiteur dans la salle de restaurant, personne ne faisait attention à eux.

Il se pencha à nouveau à son oreille...

- Je vais prendre une pause... Tandis que je m'absente, déboutonne le haut de ton chemisier et enlève ton soutien-gorge je veux m'occuper de tes nichons, tu m'as bien compris... Enlève ton retrousse-tète et fourre le dans ton sac! ...

Sur ces mots il se détourna d'elle et la quitta, il savait pertinemment que si elle lui obéissait, il ferait d'elle ce qu'il voudrait.

A son retour il vit ses mamelons pointer au travers du fin tissu de son corsage, il réalisa alors qu'elle lui avait obéi docilement, il en était ravi.

Il s'assit et regarda fixement son chemisier, ses nibards étaient de forme parfaite, ils semblaient bien ferme pour une mère de 3 enfants, il marmonna à son oreille :

- T'as vraiment de ravissants nibards ma chérie... en tendant la main pour flatter ses mamelons entre pouce et index.

Caroline grogna, une décharge électrique la fit sursauter violemment.

Tyrone la dévisageait, yeux braqués dans les siens elle leva la tête :

- Je veux te baiser! ... Je veux te fourrer ma grosse bite noire dans ta petite chatte de blanche! ... Allez ma chérie, dis-le... Dis-le que tu veux que te baise... Dis-le...

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