La Gobeuse

Informations sur Récit
Une Américaine découvre les coutumes du Japon.
8.6k mots
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3

Partie 1 de la série de 3 pièces

Actualisé 06/08/2023
Créé 01/17/2018
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Traduction de "Milky" une histoire écrite par Surtea que vous pouvez contacter

Chapitre 1 -- Diplômée

Ayant étudié le japonais à l'université et après avoir obtenu mon MBA, j'avais logiquement intégré une entreprise japonaise basée à New York. Ils recherchaient des personnes avec mes compétences et je pouvais ainsi améliorer mon niveau de japonais. Et puis, le salaire était assez élevé pour quelqu'un tout juste sortie de l'université.

Plusieurs amies m'avaient avertie que j'étais folle d'intégrer une firme japonaise, qu'ils étaient misogynes et que seuls les Japonais pouvaient espérer obtenir une promotion. Je leur répondais qu'on était à New York et que la loi américaine s'appliquait ici. En plus il n'y avait qu'à peine la moitié du personnel de Japonais. Et de toute façon, si je sentais qu'il y avait un problème, je pouvais tout simplement démissionner.

Mais, il n'y eut aucun problème. J'étais dans la branche "transaction et courtage" du conglomérat japonais. Et je finis par travailler dans le marché des matières premières, ce qui me convenait parfaitement. Je n'avais pas à m'occuper des transactions, et ça ne m'aurait pas convenu : je ne suis pas assez forte en gueule ni assez impulsive pour réussir sur la salle des marchés. J'étais la spécialiste de l'analyse des cours dont notre équipe s'occupait. J'analysais comment l'équipe agissait par rapport au marché... je cherchais les tendances et les anomalies que l'on pourrait exploiter et grâce auxquelles les traders pourraient faire du profit. Mes analyses étaient rapides et précises... je m'intégrais vite au groupe. Mon patron, un Japonais, était content de moi et il n'hésitait pas à me féliciter.

Le groupe était à 90 % masculin et les deux tiers d'entre eux Japonais. Mais il y avait quand même des Américains, et certaines des femmes se débrouillaient aussi bien que leur homologue asiatique. Cependant, aucune Japonaise ne travaillait ici. Même le poste de secrétaire du chef des transactions était occupé par un homme. Et, si on socialisait tous ensemble, il arrivait par moments que les Japonais se regroupent et aillent faire des trucs ensemble : boire, chanter au karaoké et d'autres choses du genre. Mon japonais s'était amélioré et j'étais devenue presque bilingue, je me sentais comme un membre important de l'équipe

Quelques femmes s'étaient plaintes que, parfois, des Japonais les draguaient lourdement, surtout après qu'ils aient bu quelques verres. Mais personnellement, je n'ai jamais eu de mauvaise expérience. Je me demandais d'ailleurs pourquoi ; j'étais plutôt belle, brune et avec un joli minois, et pas assez grande pour toiser les Japonais même les plus petits. Je supposais qu'ils me laissaient tranquille parce que je parlais un excellent japonais et que j'étais aussi mieux intégrée et moins considérée comme une cible à qui faire des avances.

Puis arriva l'évaluation marquant la fin de ma première année, et la nouvelle me fit l'effet d'une bombe : l'entreprise voulait m'affecter à Tokyo. Mes analyses avaient été utilisées dans la salle des marchés de la compagnie mère et j'y avais été remarqué favorablement. Ils m'offraient un meilleur salaire, un logement et même un bureau personnel (je partageais le mien avec un homme chargé des règlements financiers.) C'était vraiment tentant, et une belle promesse d'avenir. Je n'étais peut-être pas forte en gueule, mais j'étais ambitieuse. Après un week-end de réflexion, je dis oui et partis deux semaines plus tard. J'étais célibataire et si j'avais eu un petit copain à l'université, ça n'avait pas duré. Quand à cette année je m'étais concentrée sur le travail et avais écarté les plaisirs. À 25 ans j'aurais largement le temps de me préoccuper de ça plus tard. Je n'avais donc aucun engagement et cette opportunité pouvait ne plus jamais se reproduire.

Chapitre 2 - Tokyo

Mon avion atterrit à Narita le dimanche matin et je fus accueillie par ma colocatrice. La direction centrale avait proposé que je partage mon appartement avec une autre femme de mon âge pour faciliter mon installation au Japon. J'en étais reconnaissante, on m'offrait un support et un entourage qui me serait bien pratique. J'étais cependant nerveuse de savoir si on allait s'entendre.

« Su-sa-na Ta-lo? dit-elle alors que je m'approchais d'elle en ayant l'air un peu égaré.

— Oui, je suis Suzanne Tailor. » Il était fréquent que les Japonais écorchent mon nom avec leur mauvais anglais et j'avais pris l'habitude de le raccourcir : « Appelle-moi Suzi, c'est plus facile.

— Merci, je suis Reika Kato. Je suis contente de vous rencontrer Suzi. »

Reika avait la beauté d'une fille typiquement japonaise. Je dis « fille » parce qu'elle me semblait très jeune bien qu'elle ait en fait un an de plus que moi. Elle avait les cheveux coiffés en un adorable bob et toute son allure était parfaitement étudiée : ses cheveux, son maquillage, ses vêtements. J'avais l'impression d'être une grosse fainéante avec ma confortable tenue de voyage. Elle se révéla aussi être l'assistante personnelle du chef du service du pôle « matières premières » : mon nouveau patron. Parfait : elle pourrait me dire comment me débrouiller dans le département.

L'appartement était petit, même selon les standards New Yorkais, mais pas si mal pour Tokyo. Avec tout le temps passé dans les transports et les longues journées de travail, les Japonais ne passaient pas beaucoup de temps chez eux.

Reika m'aida pour que je sois prête lundi. Je portais mon costume le plus élégant, me coiffais et me maquillais parfaitement. Reika m'expliqua que dans les bureaux les femmes japonaises s'habillaient toujours de façon chic, et que les hommes portaient toujours le costume.

Le métro fut un choc, on y était encore plus entassé que dans celui de New York. Et quelques fois pendant le deuxième et le troisième arrêt je sentis une main me caresser les fesses. Choquée, je chuchotais à Reika ce qu'on me faisait. À ma grande surprise, elle me chuchota de faire semblant de l'ignorer et de ne pas faire de scandale. Si je faisais une scène, ça voudrait dire que je perdrais la face et Reika aussi par association. Je laissais donc la main anonyme me peloter le derrière.

Je me sentais dégoûtée et je ne pouvais même pas dire quel homme qui m'entourait était le coupable. Ne rencontrant aucune résistance, la main baladeuse bougea plus avant et me massa la chatte à travers ma jupe. Je me sentis rougir comme une pivoine et, humiliée, je pleurais à chaudes larmes. Heureusement on arriva bientôt au bout du trajet.

« Ça arrive souvent? j'étais choquée et pleurais encore un peu.

— Quelquefois, dis Reika en haussant les épaules. Peut-être que ça t'arrivera plus souvent qu'aux autres, puisque tu es une étrangère. Ne fais rien. Si tu dis quelque chose, tu auras l'air stupide. Et il n'y a pas tant d'hommes que ça qui le font. »

Au bureau je remplissais toutes les formalités avant de rejoindre l'équipe. Ici le groupe des transactions des matières premières occupait un étage entier du grand bâtiment de la société mère. Mon petit bureau était sur un des côtés avec une vue sur la route principale, mais, au moins, il n'était qu'à moi. Il devait y avoir 50 employés sur ce simple étage. Que des hommes et que des Japonais. Le bruit de fond provenant de la salle des traders était différent aussi : pas aussi bruyant, mais très ferme et s'en dégageait encore plus arrogance qu'à New York, ce que je ne pensais pas pouvoir être possible. Tout autour de la grande salle il y avait les bureaux de la douzaine de directeurs, la plupart avaient une assistante personnelle. Toutes les assistantes étaient des femmes et elles étaient impeccablement habillées. Alors qu'il y avait des hommes de tout âge, les femmes avaient toutes entre vingt et quarante ans, même si c'était une estimation difficile à faire, les Japonaises me semblaient toutes faire plus jeunes que leur âge.

On me présenta à tout le monde mais je ne retins que quelques noms. Je fus bientôt installée et prête à me mettre au travail. Si ce n'est que je devais tout rédiger en japonais, il n'y avait autrement rien de bien différent de ce que je faisais à New York. Le temps passa très vite et je fus surprise quand Reika vint me voir pour me ramener à la maison.

Durant cette première semaine, je fus encore pelotée deux fois dans le métro. La première fois je parvins simplement à contenir mes larmes. La seconde fois je n'étais même plus choquée. Et quand l'homme m'écarta légèrement les jambes, je ne résistais pas. Avec la jupe que je portais, je ne pouvais de toute façon pas beaucoup les écarter.

J'eus un petit frisson quand sa main me comprima les fesses, puis il fit le tour pour caresser mon mont de vénus. J'en parlais à Reika, elle me dit qu'elle n'avait été pressée qu'une fois cette semaine et très légèrement. Ça devait être dû au fait que j'étais une non-Japonaise.

Le lundi suivant je commençais à me dire qu'il ne devait y avoir qu'un seul homme qui me harcelait. Il attendait à mon arrêt et montait pour se presser contre moi. Ce jour-là, le pelotage commença dès que la rame se mit en marche. Il écarta rapidement mes cuisses. Je le laissais faire, j'étais complice de ce petit jeu idiot et je trouvais même ça un peu excitant. Après tout, ça ne pouvait pas aller bien loin. Jusqu'à ce que, si, les choses dérapent. Je le sentis défaire la taille de ma jupe et descendre sa braguette. Paniquée je regardais Reika, mais elle se contenta de m'adresser un regard perplexe, elle savait juste que j'avais aimé ça une minute plus tôt.

Je sentis les doigts inquisiteurs s'introduire sous ma jupe et mes collants, puis dans ma culotte. Il passa la main dans ma toison et me caressa les grandes lèvres. À ma grande honte, j'étais un peu mouillée ce qui lui facilita encore plus la tâche. Je ne pus retenir un petit soupir quand un de ses doigts entra en moi. Reika pouffa et mit un doigt sur ses lèvres pour me faire signe de me taire. Pendant tout le trajet jusqu'à notre arrêt je fus constamment doigtée. Je ne pouvais rien faire pour l'empêcher ou résister et je fus à deux doigts de jouir ; ça faisait longtemps qu'on ne m'avait pas touché là. Serrant mes vêtements contre moi, je trébuchais hors du train en sortant.

« Tu as aimé ça, riait Reika, et dire que tu te plaignais la semaine dernière!

— Je ne pouvais rien faire contre, marmonnais-je. C'était contre ma volonté... »

Mon impression d'être harcelée s'intensifia le jour suivant. Mon admirateur anonyme était de retour. J'essayais de rester aussi proche que possible de Reika, espérant que sa présence le dissuaderait, mais ça ne fit que rendre les choses pires encore. Elle était maintenant pressée contre moi, et pouvait lire les réactions sur mon visage dans les moindres détails. Les doigts défirent ma jupe et écartèrent mes cuisses, puis ils cherchèrent et trouvèrent immédiatement ma moiteur dans les replis de ma chatte.

J'étais affalée contre Reika quand je sentis les deux plus grands doigts de l'inconnu glisser dans ma fente. Je me rendais compte que je voulais jouir, mais pas là, pas en public. Une fois encore, Reika pouffa en me voyant paniquer. Mais elle ne savait pas pourquoi : l'autre main de mon molesteur avait fait le tour et je sentis ses doigts brusquement glisser vers mon oignon alors que le doigtage frontal continuait. Lorsqu'on arriva à notre arrêt, j'avais deux doigts enfoncés jusqu'aux articulations dans ma chatoune pendant que de l'autre côté un autre doigt s'agitait comme un vers dans mon anus. Je sortis du train en manquant de tomber, essayant de garder mes vêtements sur moi.

Quand je lui expliquais ce qui était arrivé, Reika rigola et me traita même de : « vilaine fille ». Le jour suivant, j'insistais pour qu'on prenne un autre chemin et Reika accepta de mauvaise grâce puisque cela rallongeait notre itinéraire. « Les lundis, on reprendra ce métro, » insista-t-elle. Je me soumis à sa demande, pensant que je pourrais supporter mon peloteur une fois par semaine.

Mais le lundi se révéla encore pire. C'était comme si l'homme voulait rattraper le temps perdu. Il défit complètement un côté de ma jupe, ce qui m'obligea à la tenir d'une main. Et, non seulement ses doigts se mirent en quête de ma chatte comme avant, mais il m'attrapa ma main libre et la fourra dans la poche de sa veste. J'eus un nouveau choc : la poche avait été complètement découpée et sa main guida la mienne jusqu'à ce que je sente son sexe sortant de son pantalon. J'essayais de retirer ma main de ce piège, mais il la maintint pendant qu'il me doigtait. J'abandonnais et commençais à lui caresser la bite. Il me lâcha alors la main pour partir à l'assaut de ma chatte qu'il trouva pleine de jus. Il s'en lubrifia et fit le tour jusqu'à mon cul. Avec ma mouille, il réussit à enfoncer son doigt entier dans mon petit trou. Les yeux écarquillés je m'écrasais contre Reika, et, juste avant notre arrêt, je sentis le voyou éjaculer. Sa jouissance entraînât la mienne et je soufflais fort en essayant de camoufler mon orgasme. Je me traînais hors de la rame une main pleine de sperme pendant que l'autre retenait mes vêtements.

Reika vit la substance gluante sur mes doigts : « Tu es une vilaine fille, très vilaine. » Elle riait fort.

« Je ne le suis pas. C'est toi qui m'as dit de ne pas faire de scandale.

— Oui, mais je n'ai pas dit de laisser l'homme faire ça. C'est toi qui l'as fait. »

Chapitre 3 -- Le déjeuner

Cette semaine certains hommes me proposèrent d'aller prendre le déjeuner avec eux. De la façon dont ils me le demandaient, je me rendais compte qu'ils ne parlaient pas simplement de manger, mais d'une partie de jambe en l'air dans un de ces "love hôtels" consacrés aux plaisirs amoureux. Je refusais sans hésiter ; j'avais comme règle de ne pas mélanger vie professionnelle et vie privée. Mais il m'apparut soudain que j'avais parfois vu certaines assistantes personnelles s'éclipser au moment du repas. Un soir je demandais à Reika :

« Il y en a qui sont mariées, pourquoi y vont-elles?

— C'est bon pour l'équipe. Et les hommes te donnent de l'argent.

— Ils font ça? C'est de la prostitution. » J'étais choquée. « Et combien ils paient? Tu le fais toi?

— Un peu près 15.000 yens. Et j'y vais parfois, peut-être une fois toutes les deux semaines, c'est bon pour le morale et je peux me payer une belle écharpe ou des chaussures de marque.

— Eh bien, je ne le ferais pas! » Ça expliquait en tout cas comment une assistante personnelle comme Reika pouvait se payer des sacs Louis-Vuitton.

« Ils prennent des paris sur celui avec qui tu partiras en premier! » pouffa Reika.

J'allais me plaindre au patron, mais il se contenta de hausser les épaules. Monsieur Takashita était un vieil homme, très guindé et qui avait toujours été d'une politesse scrupuleuse envers moi. J'étais sûre qu'il me défendait et dirait aux autres d'arrêter de me harceler. Mais au contraire, il m'expliqua calmement que je ne devrais pas dire non à mes collègues, que c'était mauvais pour l'esprit d'équipe et le moral de l'entreprise. Une partie de mon travail était de fournir des analyses de qualités et une autre partie d'aider à assurer une bonne ambiance au bureau en participant aux activités de l'équipe. J'étais horrifiée, il me demandait de me prostituer, pour le bien de l'équipe.

« Et Mademoiselle Sato m'a assuré que vous aimiez les Japonais, alors je ne vois pas où est le problème. Et je ne veux pas revenir sur cette discussion. Ce sera tout. »

C'était ridicule. Je retournais à mon bureau en larmes. Reika lui avait dit raconté quelque chose pour le métro. Le reste de la journée, on me laissa tranquille, j'avais trop la honte. Comment pouvaient-ils m'humilier comme ça?

J'étais furieuse contre Reika, et je le lui dis sur le chemin du retour. « Qu'est-ce que tu as dit à M. Takashita? Il pense que je suis prête à faire des choses... de ce genre... » je me remis à pleurer.

« Suzi, je lui ai simplement dit que tu n'avais rien contre les hommes japonais. C'est bien la vérité, non? » Reika me mit la main sur l'épaule pour me réconforter. Malgré ma colère, j'étais heureuse de cette chaleur humaine.

« Il ne faut pas les combattre, elle continua. Tu ne peux pas gagner. Tu seras exclu de l'équipe et tu auras de mauvaises évaluations. Ce serait mauvais. »

De mauvaises évaluations? C'était du chantage : prostitue-toi ou observe comme ta carrière va s'effondrer. Je réalisais que je ne comprenais pas du tout la mentalité japonaise. Même si j'étais bilingue, j'étais loin de comprendre leur culture. Je voulais courir au loin, mais je ne pouvais me cacher nulle part.

Pendant trois jours, je tins bon. Je me concentrais sur le travail et ignorais les hommes qui me demandaient de sortir avec eux. Je cherchais en vain quelques règles contre le harcèlement sexuel ; l'entreprise n'en reconnaissait même pas le concept. Le pire était que mon évaluation trimestrielle devait avoir lieu dans quatre semaines et que j'étais encore assez ambitieuse pour vouloir qu'elle soit bonne. Peut-être que si je finissais l'année et retournais en Amérique avec de bons rapports sur moi je pourrais trouver un travail dans une autre entreprise : une qui ne soit pas japonaise. Peut-être une firme américaine faisant des affaires avec le Japon. Histoire que mes aptitudes en langue qui m'avait coûtées si cher sur un plan personnel puissent être utiles.

J'acceptais l'offre d'un trader d'un peu près mon âge. Il était plutôt beau-gosse d'une façon japonaise et m'avait toujours parlé sur un ton plutôt poli. Car beaucoup d'entre eux me parlaient comme si étant une femme ET une étrangère j'étais à peine digne de leur mépris. On alla dans un établissement voisin au nom aguicheur : l'hôtel de "L'abricot mûr". La chambre était dépouillée et fonctionnelle. Il y avait une zone sanitaire, un futon, deux chaises et une petite table.

L'on plia chacun nos vêtements sur une chaise. Je fus affreusement embarrassée quand je retirais mes collants, mon soutien-gorge et ma culotte. Quand je me tournais vers lui, mes mains cachaient mon buisson et ma poitrine. Il bandait déjà. Son sexe n'était pas particulièrement petit : aussi gros, voire plus gros que ceux des autres que j'avais connus. Il semblait que le mythe des Japonais avec de toutes petites quéquettes n'était pas entièrement vrai. En réalité il y avait que très peu de queues très longues, mais la plupart étaient bien épaisses.

Le sexe fut brutal et fonctionnel. Je n'avais encore jamais été avec un homme qui ne se soit pas montré gentil. Il agrippa mes seins et les malaxa. Quoique mes nichons ne soient pas particulièrement gros, ils étaient tout de même bien plus imposants que ceux de la plupart des Japonaises ; ce stéréotype semblait tenir. Il me pinça les tétons jusqu'à ce que je finisse par pousser un petit cri.

Il me poussa sur les genoux, et enfourna sa bite dans mon visage. Je commençais à la lui embrasser et essayais d'être coopérative pour qu'il soit moins vigoureux. Mais il la poussa dans ma bouche ouverte et me tint la tête pour se mettre à me baiser la bouche jusqu'à ce que son gland cogne contre le fond de ma gorge et que je commence à étouffer. Ça ne l'arrêta pas, et il continua à marteler ma pauvre bouche ; ma mâchoire se mit à me faire mal en un rien de temps. Je pleurais et mon maquillage se mit à couler. Je voulais mourir. Il n'arrêtait pas m'appeler une "pute" (Saseko!) en japonais encore et encore.

Bien vite, il me mit le dos sur le futon et me baisa en agrippant mes seins déjà bien mal en point. Je ne mouillais pas et ma chatte fut bientôt douloureuse. Je me fis des notes mentales :

1) J'espérais que sa bite lui ferait mal et 2) d'apporter de la vaseline la prochaine fois. À aucun moment il ne fut question de contraception, il supposait juste que je ne prenais pas de risque à me faire baiser. Heureusement, je prenais la pilule, ayant été trop indécise pour arrêter de la prendre quand je quittais le lycée. Et par bonheur, il jouit rapidement. Il s'écarta en me roulant dessus et se leva en me regardant de haut, roulée en boule, et sanglotant faiblement.