La Gobeuse 03

BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

Une fille en kimono apporta deux bols de nouilles et deux pailles sur un élégant plateau laqué. Les bols étaient en excellente porcelaine japonaise, mais étaient -assez prévisiblement- à moitié remplis de sperme. Ma première pensée fut que ce n'était pas si terrible : le volume était loin d'atteindre celui de la soirée dernière, cela ne devait en représenter qu'un cinquième des béchers d'hier. Et si l'on devait boire le tout avec nos pailles, l'astuce de Norika avec sa gorge ne marcherait pas. Les pailles étaient en verre et était deux fois plus petites que la longueur normale pour boire un coca.

« Maintenant, les gobeuses, » nous dit notre instructrice avec sa voix gazouillante, « votre première tâche pour aujourd'hui est de vider ces bols. Pour rendre le concours plus intéressant, vous n'utiliserez pas vos bouches. À la place, vous reniflerez tout le contenu par vos mignons petits nez et pour se faire, vous utiliserez la paille fournie. J'attends de vous que vous utilisiez vos deux narines : pas de triche en n'utilisant qu'un seul côté. Vous pouvez commencer : maintenant! »

Pendant un moment je restais assise, là, choquée. C'était hors de question! Mais Norika avait déjà attrapé une paille et se penchait sur son bol. Elle y plongea un bout dans la gelée gluante et mis l'autre dans son nez.

Je pris ma paille et l'imitais. Je m'aperçus qu'il fallait que je tienne d'une main la paille et que de l'autre je me bouche d'un doigt la narine vide. J'imagine qu'on renifle de la cocaïne de la même façon, à une petite différence près... Il n'y a qu'une faible quantité de poudre blanche à renifler, en comparaison avec de la grosse quantité de sperme visqueux devant moi. Dès que le jus entra dans ma narine, mon corps tout entier sembla imprégné par l'odeur. Je pouvais sentir les morceaux descendre dans le fond de ma bouche et de ma gorge. Et l'effort de renifler quelque chose d'aussi collant me semblait insensé.

Je jetais un œil sur Norika pour voir comme elle progressait, et je vis qu'elle avait une astuce. Elle gardait la paille à la surface du liquide et aspirait de l'air avec le sperme, cela rendait les choses bien plus faciles. Je me dépêchais de la rattraper, changeant de narine quand Mademoiselle Yasuko l'ordonnait. Ma tête tout entière me semblait obstruée de foutre. J'étais persuadé que dans les semaines à venir de la semence me coulerait par les sinus.

Fatalement, Norika allait finir avant moi. Je pouvais entendre le bruit de sa paille se déplacer dans son bol presque vide pour récupérer les derniers morceaux, alors que j'avais encore une petite mare au fond du mien. Je finis plusieurs minutes après elle. Si je voulais gagner, je devrais la battre à plate couture à la prochaine manche! En attendant, je restais assise haletant misérablement pour essayer de retrouver de l'air.

J'espérais qu'il y aurait une pause entre les épreuves, mais il n'y en eut aucune. Nous avions l'air intact extérieurement : pour les directeurs, rien n'indiquait que nous avions besoin de nous rafraîchir.

*****

« Très bien, les gobeuses! Madame Norika remporte ce tour. Suzichan, il va falloir travailler très dur pour avoir une chance. Messieurs, voulez-vous vous regrouper en équipe. » Mademoiselle Yazuko les divisa en deux groupes.

« Madame Norika, comme vous avez gagné, vous choisissez votre équipe. » Norika fit un signe de tête vers le groupe de dix où se trouvait son patron. Ce qui me laissait l'équipe comportant M. Takashita.

« Les filles, vous allez avoir une heure. Vous pourrez faire comme vous le souhaitez, mais la gobeuse qui fait jouir son équipe le plus de fois gagne. Messieurs, ne soyez pas gênés : laissez la fille à vos pieds faire ce qu'elle désire. Mais s'il vous plaît, ne vous donnez pas vous-même du plaisir, c'est la tâche de votre gobeuse. Vous pouvez commencer : maintenant! »

En gros, elle nous faisait participer à un concours de gang-bang. J'en fus terrifiée, mais moins qu'à la pensée de la punition non dévoilée que je pourrais recevoir. Je sautais de ma chaise et commençais à retirer ma jupe, ma veste, mon chemisier, mon soutien-gorge et ma culotte, je ne gardais que mes bas sur moi.

« S'il vous plaît, messieurs, voulez-vous bien vous déshabiller? » demandais-je poliment alors que je débarrassais rageusement de mes vêtements.

Dès que je fus nue, je poussais M. Takashita sur le futon à côté de la fenêtre et le chevauchais. Rien que de regarder la taille de sa queue, je mouillais. Je grognais en m'enfonçant sur lui, le sentant me remplir si pleinement la chatte. Regardant de l'autre côté, je pus voir Norika à genoux, un homme dans sa bouche, pendant qu'elle utilisait ses mains sur deux autres. Elle était encore complètement habillée. J'attrapais un deuxième homme et le tirais vers moi et ma bouche pendant que je montais mon patron lui frottant délibérément mes seins sur sa poitrine velue.

Je ne sais pas à quel point cela pouvait sembler sexy, mais cela fit certainement son effet sur l'homme dans ma bouche. Il jouit dans la minute. Je recrachais la mixture de sperme et de salive dans ma main, la passant derrière moi et m'enfonçais deux doigts profondément dans mon cul pour le lubrifier. Je n'eus aucune difficulté à persuader un des mecs à me remplir le fion pendant que j'en prenais un autre dans la bouche. Ce sentiment de se faire remplir me donna un orgasme ; je ne pouvais pas m'en empêcher, ça semblait me faire cet effet à chaque fois. Mon équipe m'acclama en me regardant jouir. Monsieur Takashita suivit, tout comme l'homme dans mon fondement.

Et c'est ainsi que se passa cette heure de folie. J'en baisais deux ou trois à la fois. Un moment, j'en eus même quatre : j'étais assise sur les genoux d'un type avec sa queue dans mon anus, un autre me baisait la chatte, un troisième dans ma bouche le tout pendant que j'en branlais un quatrième. Un autre moment, je jouis à nouveau à quatre pattes, alors que j'avais Monsieur Takashita dans ma chatte et que deux autres hommes me fourraient le visage.

Je regardais deux fois vers Norika. Elle était toujours à genoux avec trois hommes sur elle. Elle recrachait visiblement le sperme puisque tout le devant de son costume et de son chemisier lui servait de bavoir à foutre. Un moment, je vis un des hommes qu'elle branlait de sa main gauche gicler des arcs de sperme à travers les airs qui atterrirent sur son visage et ses cheveux. Sa méthode devait sûrement être moins efficace que la mienne? Je l'espérais en tout cas, mais je savais aussi comme les bukkakes pouvaient être efficaces. Ne venais-je pas de commettre une nouvelle erreur?

Je n'entendis même pas quand Mademoiselle Yasuko nous signala la fin du temps réglementaire. J'étais agenouillée face à un homme assis, ma tête sur son entrejambe et sa queue au fond de ma gorge ; mon dos était courbé pour qu'un autre homme puisse me prendre par-derrière. Finalement, ce furent les rires qui attirèrent mon attention

« Tu peux continuer de sucer et de baiser tout l'après-midi Suzichan, » rigola Mademoiselle Yazuko, « Mais ça ne comptera pas pour ton score! »

Je m'écroulais sur le côté, à moitié étendu sur le futon et à moitié sur le sol. Je sentis l'homme derrière moi se retirer avec un bruit de mouille dégoulinante. Je m'étais tellement dépensée pour baiser que je me sentais tout étourdie. C'était comme si j'avais couru un demi-marathon. Je me sentais trop épuisée pour retrouver une position convenable : mes jambes étaient écartées et je pouvais sentir la vaste quantité de sperme contenu en moi s'écouler lentement hors de ma chatte.

« Saké? » demanda une serveuse en kimono en m'offrant un verre. Je pouvais voir à son regard qu'elle pensait que j'étais une vraie grosse salope. Je n'aurais vraiment pas pu la contredire, chaque haut cadre de la compagnie venaient de me voir jouir dans un gangbang public, et plus d'une fois... Et maintenant, j'étais étendu là, du sperme me coulant de chacun des orifices. Je pris le petit verre avec plaisir et l'avalais cul sec.

« Messieurs, le résultat... » commença Mademoiselle Yazuko du ton d'une commentatrice sportive. « Madame Norika a offert dix-huit coups. Comme vous le savez tous, c'est vraiment une gobeuse hors pair. Monsieur Hashimoto a concrétisé à trois occasions! » Ce dernier reçut des félicitations et des tapes dans le dos de ses amis.

« Suzichan a choisi une approche plus occidentale. Et nous avons tous vu comme elle y prenait plaisir! Monsieur Takashita nous a démontré qu'il sait tirer le meilleur de ses subordonnées! » Ce fut l'occasion de rires à gorge déployée et de démonstrations d'amitiés viriles.

« Mais il faut admettre que pour cette fois les techniques japonaises n'ont pas triomphé. Suzichan est parvenu à vingt-neuf jouissances, sans inclure les deux siennes. Cela équivaut à une toutes les trois minutes. Monsieur Ogoni y est même parvenu quatre fois en une heure : une fois dans sa bouche, une fois dans sa chatte et deux fois dans son trou du cul 100 % américain. » Il y eut des acclamations et l'homme qui m'avait joui dans ma bouche lors des premières minutes fit une courbette.

« Je déclare qu'au vu des deux dernières épreuves, Suzichan est la championne! »

J'avais gagné! j'y croyais à peine. Je jetais un œil à Norika qui était toujours agenouillée au même endroit où elle avait sucé les queues. Elle pleurait, c'était la première fois que je la voyais faire ça. J'articulais un "Désolée" vers elle, mais elle ne montra aucun signe qu'elle m'avait vu.

On m'aida à me remettre sur pieds, et quelqu'un m'apporta une robe de bain bien douillette. Les portes menant sur la terrasse furent ouvertes et on s'y avança. La terrasse surplombait une vallée boisée montagneuse. C'était d'une beauté à couper le souffle et un autre verre de saké me fut apporté par M. Takashita qui rayonnait de fierté pour moi. Les hauts cadres s'assirent tous dans des chaises longues pendant que les filles apportaient des rafraîchissements. À la commande de mon patron, je m'assis sur l'accoudoir de sa chaise. Il écarta ma robe à moitié pour que mes seins soient visibles. Je ne songeais même pas à résister.

« Un cadeau pour la gagnante! » Mademoiselle Yasuko me fit passer une boîte à bijoux qui était en elle-même une œuvre d'art. À l'intérieur, il y avait attaché à une chaîne en or un magnifique jade en forme de grue en train de voler. On me la passa autour du cou et la pierre froide se lova entre mes deux seins. Je comprenais maintenant pourquoi ils devaient être visibles. Cela devait valoir une fortune : des milliers de dollars tout au moins.

« Et la punition pour la perdante! » la pauvre Norika fut amenée de la salle jusqu'à la terrasse. Elle portait toujours son costume fichu et pleurait ouvertement. Elle murmurait continuellement : « non, non ». Elle fut poussée sur une sorte de large pouffe et ses mains furent attachées au bas de ses jambes. Cela me semblait étrange puisque d'habitude une partie de l'amusement pour ces hommes était de nous forcer à nous soumettre sans nous contraindre physiquement.

Puis la raison en devint claire. Du coin du bâtiment, trois gros chiens Tosa furent amenés. Si vous n'en avez jamais vu, ils ressemblent à un mélange de dogue allemand et de bulldog. Ils n'allaient quand même pas...?

Mais si. Le maître-chien était une femme habillée dans le style des paysannes japonaises. Horrifiée je la regardais alors qu'elle s'agenouillait pour graisser le pénis du premier animal et que Mademoiselle Yazuko retroussait la jupe de Norika pour lui retirer sa culotte. J'aurais voulu aider mon amie, crier "Stop", mais à la place je restais immobile sur l'accoudoir.

Je regardais mon patron espérant trouver quelque chose à faire, mais il semblait aussi avide que les autres à assister au spectacle à venir. La queue de l'animal était maintenant rouge et en érection, aussi grosse que celle d'un homme mais avec un nœud de la taille d'une balle de tennis à sa base. À la commande de la propriétaire, il sauta posant ses pattes sur le pouf de chaque côté des épaules de la pauvre victime. Un gémissement horrible sortit de la gorge de Norika alors que l'organe bien lubrifié de la bête glissait dans sa chatte.

Je ne pouvais pas le supporter et regardais ailleurs, me concentrant sur mon patron comme si je devais lui apporter une attention servile. Lui regardait fixement le chien baiser furieusement mon amie et ne remarqua pas mon désarroi. Il avait manqué de si peu que ce soit moi qui se retrouve sur le pouffe... Une partie de moi l'aurait souhaitée, afin que Norika puisse être épargnée.

Rien ne me permettait de me soustraire aux bruits de l'accouplement contre nature : les sanglots de la pauvre Norika, les claques du rentre-dedans à chaque poussée, le bruit aqueux quand il se retirait. Je ne pouvais le supporter, mais je n'avais pas le choix. Trois fois la pauvre femme fut baisée par les chiens. De temps en temps Mademoiselle Yazuko s'approchait de moi et me forçait à regarder quelques minutes.

Quand je vis la première bête se retirer de ma camarade un flot de sperme canin jaillit hors de la fente. Je vis sa tresse se faire tirer en arrière pour qu'elle lève la tête et que le deuxième chien glisse son pénis dans sa bouche. Je vis Yazuko lui ordonner de sa voix de petite fille d'avaler le copieux flot de sperme du chien après qu'elle ait sucé la bête jusqu'à la faire jouir.

Finalement, je vis l'organe du troisième animal se présenter devant son derrière et lui forcer l'anus. À ce moment Norika était complètement effondrée, suppliant, sanglotant et hurlant. Cela semblait être une litanie sans fin de "non", "pitié" et "stop" répétés encore et encore.

Quand tout fut fini, on nous autorisa à partir : deux des serveuses aidaient Norika à marcher, comme elle n'y arrivait pas toute seule sans tomber. Mademoiselle Yazuko me conduisait juste derrière elles. La jupe de Norika avait été remise en place, mais je pouvais voir un vaste ruissellement de sperme s'écouler le long de ses jambes et laisser une trace à chacun de ces pas.

Une heure plus tard, nous étions douchées et avions rangé nos affaires quand l'on se rencontra dehors pour notre retour à Tokyo. C'était une grande Lexus cette fois et Mademoiselle Yazuko s'assit devant, à côté du chauffeur silencieux pendant que Norika et moi montions à l'arrière. Même si mon amie était douchée et changée la pauvre était encore sous le choc, les serveuses avaient dû tout faire à sa place.

Nous restâmes quelques minutes assises en silence jusqu'à ce que je ne puisse plus me contenir. Je rentrais l'accoudoir et l'enlaçais. Avec un sanglot elle s'effondra sur mes cuisses et pleura pendant tout le chemin du retour. Je lui caressais les cheveux et articulait quelques onomatopées de sympathie, à la fois soulagée et me sentant coupable d'avoir été épargnée de ce qu'elle avait souffert.

Chaptre dix -- épilogue

Cela fait déjà six mois que tout cela s'est passés.

Ces six mois et mon évaluation annuelle furent remarquables. Mon année étant fini, je fus promu à un rôle plus important dans l'entreprise, ayant une plus vaste palette de secteurs à analyser. J'eus droit à un bureau de coin et à ma propre assistante personnelle. Je choisis la plus vieille secrétaire, Natsuki, pour l'éloigner de son jeune patron qui la tourmentait encore. Il ne montra pas trop de résistance et finit par accepter après je l'eus laissé me sodomiser une dernière fois.

Car maintenant, je n'ai plus à passer mes déjeuners au love hôtel de l'Abricot mûr, du moins pas avec le personnel ou les cadres de mon niveau. Seuls les hauts directeurs peuvent insister pour que je vienne avec eux et cela n'arrive qu'une fois par semaine. Monsieur Ogoni a pris un tel plaisir avec moi durant le gang-bang qu'il est mon partenaire le plus fréquent. Et en tant que haut cadre ils perdraient la face s'ils ne payaient pas généreusement.

Je suis encore dans l'appartement avec Reika, mais elle n'a plus de rapport à faire sur moi pour M.Takashita. Je suis maintenant un de ses contacts directs et mes liens avec l'entreprise sont si solides que même si je voulais, je ne pourrais jamais la quitter.

Les soirées du jeudi se passent maintenant avec le groupe des cadres dans un club privé. Parfois Mademoiselle Yazuko m'amène voir un autre département de la compagnie pour que je montre mes talents de gobeuse. Elle cherche toujours de nouvelles façons de me tourmenter : des bukkakes dans mes dessous de bras ou sur les seins, elle me fait porter un masque de plongée modifié qui laisse mon visage baigné dans une mer de sperme, elle me fait sécher un masque de sperme sur le visage avec un sèche-cheveux, puis le pèle avant de me le faire manger. Elle me fait porter des accroches nasales pour m'ouvrir les narines, elle me fait dîner en nageant dans le sperme et bien d'autres idées étranges. Ma collection de DVDs continu à grossir.

Mais j'ai le plus souvent les déjeuners pour moi et je peux les passer au bar à nouilles avec les autres femmes du bureau. C'est mon moment préféré de la journée. Le plus souvent Norika est là aussi. Elle semble avoir récupéré et je pense qu'avec moi elle se sent moins isolée. Elle peut parler avec quelqu'un qui sait ce qu'elle a dû traverser. J'aime être avec elle.

En fait, je l'aime. Et c'est là mon tout nouveau problème.

Fin.

12
Veuillez évaluer cet récit
L’auteur apprécierait un commentaire de votre part.
  • COMMENTAIRES
Anonymous
Our Comments Policy is available in the Lit FAQ
Publier comme:
2 Commentaires
AurailiensAurailiensil y a environ 2 ans

Un grand moment de plaisir...

malesmmalesmil y a presque 6 ans

superbement bien ecrit !!!

belle progression et belle humiliation .

J'espere une suite

Partagez cette Récit

LIRE LA SUITE DE CETTE SÉRIE

La Gobeuse 02 Partie Précédente
La Gobeuse Info Série

Histoires SIMILAIRES

Deuxième Place 01 Une femme se fait piéger et humilier par sa rivale.
Encouragement Pour L'équipe La professeure encourage l'équipe.
Payer le loyer Ch. 01 Hélène doit payer le loyer, d'une façon ou d'une autre.
Une Classe à Part Une jeune prof devient la cible d'un chantage.
Sandra et le Proprio Ch. 01 Comment devenir cocu.
Plus d'histoires