La nouvelle vie de Christine Ch. 15

Informations sur Récit
Première journée en tant que "faciliteuse de contrat".
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Partie 15 de la série de 24 pièces

Actualisé 06/08/2023
Créé 09/03/2016
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Avertissement : Ce récit raconte la déchéance et la soumission sexuelle d'une mère de famille. Si vous n'aimez pas ce genre de récits, fermez cette histoire.

**************************************************

Lorsque nous arrivâmes à la maison, ma belle-mère et moi, son mari Alain était déjà couché, complétement saoul. Et sa fille Alice était surement encore chez une de ses copines. Si bien que Christine se débarrassa immédiatement de ses vêtements afin de se plonger dans un bon bain chaud pour soulager son corps maltraité et douloureux après une journée de sexe particulièrement dur.

J'avais prévu de laisser ma belle-mère tranquille jusqu'à lundi. Je savais que Francis la mettrait encore à contribution. Après son bain, elle alla directement dormir. Je m'assis dans le canapé afin de regarder du sport.

Le lundi matin, Christine avait complétement récupéré. Elle monta dans ma voiture, rayonnante et super sexy, les cheveux brossés et un maquillage parfait. Je la laissai à son travail lui souhaitant bonne chance pour son premier jour dans son nouveau poste.

Je ne pus lui téléphoner ou la voir de toute la journée. Je n'avais aucune façon de communiquer avec elle dans son nouvel espace de bureau. Je comptai sur Francis pour me transmettre un film tant que les caméras ne seraient pas installées.

Le soir, je fus content de voir sortir ma belle-mère des bureaux, monter dans la voiture avec un DVD qu'elle me remit. Je la regardai et je remarquai qu'elle n'était pas aussi fraiche que ce matin. Sa tenue n'était pas aussi correcte, ses cheveux étaient emmêlés et son maquillage débordait.

J'étais pressé d'être à la maison pour visionner le film.

Quand Alain fut couché, encore complétement saoul, je dis à Christine de venir me rejoindre dans mon lit. Une fois qu'elle se fut déshabillée, elle glissa à côté de moi complétement nue. Alors je pris le DVD, le mis dans mon pc portable et j'enclenchai la lecture.

L'écran s'éclaira sur une grande salle que je n'avais jamais vue. Christine me confirma qu'il s'agissait de la nouvelle salle de réunion où elle travaillait maintenant. Il n'y avait personne dans la pièce pour le moment. La caméra devait être sur un trépied dans un coin.

La salle était meublée par sept chaises placées en cercle et une grande table poussée contre le mur. Sur un côté, il y avait des fenêtres et la porte était sur le coin gauche.

A ce moment cette porte s'ouvrit, sept hommes entrèrent et s'assirent sur les chaises. Je connaissais déjà Francis, Marc et Nicolas. Je demandai :

- Qui sont les autres?

Je regardai Christine, couchée à côté de moi, les yeux fermés. J'ajoutai :

- Je veux que tu regardes Salope!

J'attendis qu'elle me réponde.

- Il y a Daniel SUTOR et Robert WILFRIED qui sont les associés. Lui c'est Etienne JARSON, responsable du département expédition. Et l'autre c'est Michel FAURE, responsable du service client.

En regardant bien, je constatai que les associés avaient à peu près le même âge que Francis. Ils étaient même peut-être un peu plus âgés. Etienne et Michel atteignaient la trentaine comme Nicolas. Francis commença à expliquer qu'il avait eu des révélations de comportement indécent la semaine dernière et qu'il les avait traitées en interne. Il était là aujourd'hui pour expliquer le nouveau rôle de chacun. Il ajouta, qu'étant donné qu'ils étaient tous bons amis, qu'il espérait que les personnes réunies lui feraient confiance et le soutiendraient dans ses décisions.

Après que tout le monde eut acquiescé, il commença à raconter comment il avait attrapé Marc en train de baiser Christine. Cela fit rire l'assemblée, les hommes voulant savoir comment il avait fait.

Francis continua :

- Les choses ont évoluées la semaine dernière. Au vu de ses qualités, J'ai officiellement promu Christine.

Ces mots furent accueillis par des remarques salaces.

- Vous avez tous entendu parler de la pute de bureau de la société TM et Associés.

Les hommes acquiescèrent. Ils s'étaient tous dits que le patron de cette société était chanceux. Francis finit :

- Eh bien je vais vous présenter notre propre putain de bureau, ou dans des termes plus professionnels, notre « faciliteuse de contrat »

Un silence stupéfait s'installa dans la salle. Tous étaient étonnés à l'exception de Marc et Nicolas.

- Venez Christine. Cria Francis.

Toutes les têtes se tournèrent dans la direction de la porte qui s'ouvrit et se referma derrière l'entrée de ma belle-mère.

- Putain de merde.

Ils s'exclamèrent à l'unisson quand leurs yeux se posèrent sur la femme.

Christine était dans sa tenue de travail. Les seuls vêtements qui lui appartenaient étaient ses hauts talons. Elle était maintenant vêtue d'un soutien-gorge blanc à balconnet qui laissait exposer ses auréoles et mamelons. Elle portait un string blanc un peu juste. Quand elle se retourna, on put voir parfaitement sa chatte rasée. Ses jambes galbées étaient couvertes de bas blancs et montées sur les talons noirs.

Francis ordonna :

- Venez ici au milieu Christine, et laissez mes collègues vous examiner.

Elle parcourut les quelques mètres, passa entre deux chaises afin de se tenir debout au milieu des sept hommes. Jusqu'à la semaine dernière elle était leur égale et aujourd'hui elle se donnait en spectacle. Alors qu'elle tournait lentement sur elle-même, je vis que sa culotte ne cachait rien de ses belles fesses ainsi que de son sexe.

Francis demanda :

- Que pensez-vous des nouveaux vêtements de travail de Christine?

La question fut accueillie avec de nombreux éloges sur la tenue. Le patron continua :

- Christine peut porter ses propres vêtements mais dès qu'elle entre dans son bureau, elle doit se déshabiller et prendre la tenue que l'un de nous aura laissée. Vous pouvez utiliser les cartes de l'entreprise pour lui acheter des sous-vêtements.

Les hommes le regardèrent, les yeux écarquillés et hochèrent la tête en signe d'approbation.

- Le rôle de Christine dans la société est très simple. Si vous, moi ou la société a des problèmes avec un client et qu'il faille user de persuasion, les qualités de Christine vont nous aider à régler le problème si le client est d'accord. Comprenez-vous?

- Oui patron. Mais nous devons savoir ce que nous pouvons offrir au client. Demanda Etienne JARSON.

- Aujourd'hui nous allons apprendre à connaitre Christine et ce qu'elle peut offrir. Vous allez voir de quelle façon elle suit les instructions puis tout au long de la journée, elle se mettra à la disposition de chacun de vous pour une démonstration plus privés de ses talents. Vous pourrez la tester afin de savoir ce que vous pouvez offrir aux clients.

Pendant un moment, le silence s'installa, tous les yeux étant braqué sur ma belle-mère attendant la suite.

Francis dit :

- Ne restez pas comme des idiots. Je viens de vous dire qu'elle allait démontrer sa capacité à suivre les ordres. Je vais commencer. Christine! penchez-vous et touchez vos orteils puis tournez sur vous-même.

La femme obéit. Elle se pencha, laissant ses doigts effleurer ses orteils puis elle fit un cercle complet. Lorsqu'elle passa devant la caméra, j'eus une belle vue sur son anus et sa chatte plissée. Les hommes avaient les yeux exorbités. Trois d'entre eux jetèrent des ordres en même temps.

- Un à la fois les gars. Dit Francis en riant de la situation.

Les prochaines minutes, Christine suivit les instructions des hommes. Elle passa du temps accroupi, ouvrant ses jambes, ou jonglant avec ses seins. Les hommes voulant voir son sexe, elle se pencha souvent devant eux.

Il y a une semaine, elle était assise avec eux en réunion, apportant son propre avis sur le fonctionnement de l'entreprise. Mais aujourd'hui elle obéissait à chacun, exposant son corps selon leurs volontés. Les temps changent.

Dans mon lit, je dis à ma belle-mère de commencer à me masturber.

Sur la vidéo, Francis déclara :

- Donc nous sommes tous d'accord qu'elle obéit très bien. Vous vous en rendrez compte tout au long de la journée. Maintenant Christine montrez donc à Daniel la bonne suceuse de bite que vous êtes. Je suis sûr que vous pouvez faire quelque chose pour cette bosse dans son pantalon.

Sans hésiter, Christine se tourna vers Daniel, un homme avec qui elle avait travaillé en étroite collaboration au cours des deux dernières années. Elle tomba à genoux devant lui. Les autres hommes sourirent de leur chance. Elle déboucla la ceinture et desserra le pantalon gris afin de le tirer vers le bas. Puis elle fit de même avec le caleçon de l'associé. 15 centimètres de verge se dressèrent au-dessus d'une boule de poils pubiens drus et gris. Elle tendit sa main droite, saisit la bite fermement et la branla pendant une minute. Ensuite elle se redressa légèrement sur ses genoux et glissa entre les jambes de Daniel.

Francis demanda à son ami :

- Depuis combien de temps attendez-vous cela Daniel?

- Depuis le jour où nous avons embauché cette salope à gros nichons.

Il sourit à son compagnon et regardant ma belle-mère le branler il ajouta :

- Je crois que c'est le moment que vous utilisiez votre bouche pour un meilleur usage que ce que vous en avez fait depuis votre embauche.

Il tendit ses mains afin de les placer derrière la tête de Christine pour l'abaisser vers son membre dressé. Elle ouvrit la bouche et la queue de l'homme disparut dans sa gorge. Les lèvres serrées autour de la tige, elle le suça profondément. Les autres hommes comprirent qu'elle n'était plus un cadre respecté de la société mais plutôt un jouet sexuel. Alors ils commencèrent à lancer quelques obscénités, la traitant de noms dégradants.

La regarder sucer la queue du vieil associé me fit envie. J'enlevai la main de Christine de ma bite puis je la poussai en lui montrant l'écran. Elle accepta mon sexe dans sa bouche et commença une fellation.

Sur l'écran, je voyais que les autres hommes avaient une grosse bosse dans leurs pantalons. Ce fut Nicolas le premier qui se leva et laissa tomber pantalon et caleçon avant de se rasseoir, la bite dressée. Il dit aux autres qui le regardaient :

- Ben quoi? Pas besoin d'être timide.

Ils ont tous ri et fait comme lui en se débarrassant de leurs bas de vêtements et se rasseyant leurs sexes pleinement exposés.

Regardant toutes ces queues, je vis que Francis avait la plus grosse alors que celle de Robert, l'autre associé, était la plus petite. J'avais déjà vu celles de Marc et Nicolas. Celles d'Etienne et Michel avaient aussi une taille impressionnante.

- Christine? Il n'est pas normal que Daniel ait toute votre attention.

Ma belle-mère cessa son pompage, regarda Francis. Puis ses yeux balayèrent les autres membres dressés. La résignation se lit sur son visage, elle allait passer beaucoup de temps sur ses genoux ce matin.

Francis ajouta :

- Je sais Christine que tout le monde vous connaît professionnellement mais pourquoi ne feriez-vous pas le tour pour vous présenter correctement.?

Ma belle-mère se dégagea des jambes de Daniel et se déplaça sur ses genoux vers la gauche pour s'installer entre les jambes de Michel.

Elle prit son sexe qui faisait 4 ou 5 centimètres de plus en longueur et était plus épais que celui de Daniel dans sa main droite. Elle le branla 3 secondes avant de l'engouffrer dans sa bouche. Michel lui signifia sa satisfaction en tapotant sa tête et en lui disant qu'elle avait une grande bouche.

Au bout de 5 minutes, Francis lui ordonna de changer. Alors elle rampa sur sa gauche jusqu'à la prochaine bite. Et ainsi de suite, elle répéta le mouvement pour que chaque homme ait un échantillon de sa bouche. De fait, elle se retrouva bientôt à sucer la vieille bite de Daniel à nouveau.

Francis lui donna alors une nouvelle série d'instructions :

- Maintenant que les présentations ont été faites et que vous connaissez tous Christine à un niveau plus personnel, je pense qu'il serait bon pour elle de démontrer sa bonne volonté. Pour cela elle va finir la tâche commencée. Pas de problèmes Christine?

- Non Monsieur MULLER. Répondit-elle en délaissant momentanément le sexe de Daniel.

Alors que dans mon lit, elle suçait lentement ma bite, je regardai les 40 prochaines minutes du film où elle suça chaque homme jusqu'à ce qu'il éjacule au fond de sa gorge. Elle avala tout.

Francis fut le dernier à tapisser ses amygdales. Quand elle eut fini d'avaler, il lui dit de quitter la réunion pour rejoindre son nouveau bureau où elle devait attendre qu'on l'appelle.

Une fois sortie, les hommes passèrent 10 bonnes minutes à parler d'elle et de la salope qu'elle était. Ils saluèrent l'habilité de Francis de l'avoir fait obéir. Celui-ci ne parla pas du salaire et des primes de la femme car ce n'était pas important. Il avait convenu aussi que pour son premier jour, elle ne rencontrerait pas de clients mais qu'elle serait à la disposition du staff.

- Bon Messieurs, vous pouvez joindre Christine par une ligne directe. Le numéro et 6969.

Cela fit rire tout le monde lorsqu'Étienne JARSON indiqua que ce chiffre était approprié. Francis continua :

- A partir de demain, si elle ne répond pas, laissez un message. Elle y répondra dès qu'elle le pourra. Son agenda a été modifié de telle sorte qu'il n'est visible que par nous sept. Dès qu'elle est libre, elle le note et nous pouvons le visualiser. Avant de repartir dans vos services, prenez le temps de vous familiariser avec le nouvel espace de bureau de Christine. Il a été conçu pour son nouveau rôle. Vous venez ici des que vous avez besoin d'elle en réunion. Ok?

- Ok . Répondirent-ils en même temps.

- Donc pour aujourd'hui seulement , une fois que vous aurez rejoint vos bureaux, j'instaure le roulement suivant : Daniel, Robert, Michel, Etienne, Marc, Nicolas et moi. Vous l'appelez et une fois fini, elle nous informera avec l'agenda.

Les hommes se dirigèrent vers la sortie mais Francis les arrêta :

- J'ai oublié. Il faut que tout ce qu'elle fait soit filmé. Donc en attendant qu'un système de caméra soit installé, vous utiliserez celle qui est dans le coin là.

Encore une fois, à l'unisson, ils furent tous d'accord.

- Pour le moment, je vais la mettre dans son bureau.

Le film devint noir une brève seconde. Francis avait dû éteindre la caméra.

Lorsque l'appareil fut rallumé, il était dans une autre pièce. Ma belle-mère abandonna mon sexe un court instant pour me dire que c'était son nouveau bureau. Il ne ressemblait pas à un bureau conventionnel. A gauche, sous les fenêtres qui couraient tout du long, était installé le plus grand canapé que je n'ai jamais vu. Il faisait environ 3 mètres 50 de long sur 1 mètre 50 de profondeur et il était couvert de grands coussins couleur crème. Sur le mur opposé, il y avait un couple de fauteuils et trois tabourets sous une tablette. Le sol était en parquet, couvert par deux énormes tapis en poils longs. Au milieu, se trouvait une grande table basse ainsi qu'un énorme pouf carré.

Ma belle-mère était assise sur le canapé dans la même tenue que précédemment. Daniel sortit de derrière la caméra et la rejoignit. Il la poussa en arrière sur le canapé et écarta ses cuisses afin d'exposer sa chatte. Il dit :

- Je n'ai jamais eu envie de vous embaucher mais il semble que nous ayons pris une bonne décision.

Il déboucla son pantalon et le laissa tomber. Le caleçon suivit peu après. Il me semblait que ces hommes, étant maintenant seuls avec Christine, la traitaient différemment. Dans le cas de Daniel, il disait ce qu'il pensait réellement.

- Pourquoi ne pas nous dire dès votre entretien d'embauche que vous étiez une grosse salope avec des gros seins.

Il se branlait à genoux entre les jambes ouvertes de la femme.

- Mais je ne sais pas.... je ne suis pas....Commença à dire ma belle-mère avant d'être coupée.

- Vous n'êtes pas quoi? Une pute à gros seins? Bien sûr que si, ne me prenez pas pour un idiot.

Il continuait à branler sa bite qui paraissait maintenant complètement raide.

- Je suis désolé monsieur. Dit-elle en regardant vers le bas entre ses jambes, le membre s'approchant de plus en plus de sa chatte.

- Vous pouvez l'être.

Je sus à partir du jappement de Christine qu'il l'avait pénétré.

Il la baisa dans cette position pas plus de sept minutes avant de se raidir et éjaculer dans sa chatte. Il n'attendit pas. Il se retira, essuya son sexe sur les bas, s'habilla rapidement et revint à la caméra. J'eus un dernier aperçu de ma soumise allongée les jambes ouvertes avant que l'écran devienne noir.

L'ordinateur s'éclaira un instant plus tard. Nous étions encore dans le bureau de ma belle-mère. Elle était encore sur le canapé et Robert était là. Étant aussi vieux que Daniel, il semblait avoir peu d'imagination. Après une fellation rapide, Christine fut à nouveau les cuisses ouvertes, martelé par la petite bite de l'associé.

Je regardai son visage tourné vers l'objectif de la caméra. Je savais que le petit sexe de l'homme n'avait pas beaucoup d'effet sur elle. Ses gémissements étaient un peu forcés. Elle avait eu beaucoup de bites en elle ces derniers temps et la plus grande partie était longue ou épaisse. Ce n'était pas la petite verge de Robert qui allait la faire jouir. D'ailleurs, moins de sept minutes plus tard, il éjacula en elle, la laissant encore insatisfaite.

Même si Christine était la pute de la société et qu'elle n'avait rien à réclamer, je savais pertinemment qu'elle avait besoin de jouir quand elle était baisée.

Dans mon lit, la regardant sucer ma bite, je lui demandai :

- As-tu été frustrée lorsque Daniel et Robert t'ont sauté?

Elle leva la tête pour dire « Oui » et retourna à sa fellation.

- Leurs sexes étaient trop petits? Demandai-je encore alors que l'écran redevenait noir.

De nouveau elle répondit « Oui » avant de retourner à son occupation.

- Est-ce que la bite d'Alain est aussi petite? Est-ce la raison pour laquelle tu ne jouis pas avec lui?

- Oui, le sexe de mon mari est tout petit aussi.

Elle remit ses lèvres autour de mon membre et je me décontractai en souriant. L'écran revint à la vie.

Cette fois ci, Christine était étendue sur le pouf directement en face de la caméra. Elle était complétement nue à part ses talons. Les doigts dans sa chatte, elle gémissait.

Michel FAURE revint de la caméra tout en se déshabillant. Il avait déjà retiré la veste et la chemise qui étaient posées sur un tabouret. Il retira ses chaussures qu'il rangea aussi soigneusement, puis il enleva son pantalon ainsi que son caleçon qu'il plia avant de les déposer sur la tablette.

Il se retourna pour faire face à ma belle-mère et lui sourit :

- Je n'aurais jamais cru voir ce jour Christine.

Il saisit son sexe et commença à le caresser devant elle sans la quitter des yeux.

Ma belle-mère avait les yeux rivés sur le corps musclé de Michel et sur sa bite qui augmentait rapidement de volume. Je voyais dans ses yeux qu'elle était impressionnée par ce corps jeune et ferme. Je voyais la convoitise sur son visage. Elle mit plus de vigueur à doigter sa chatte.

Michel s'approcha de son visage et s'accroupit de façon à ce que ses genoux reposent sur le pouf et que sa queue pointe vers la face de la femme.

- Sucez-moi mais continuez à jouer avec vous-même. Dit-il en lâchant son sexe.

Christine se tortilla sur le pouf afin que sa tête soit directement sous le gland de l'homme. Il l'aida en se baissant un peu pour que sa bite soit sur ses lèvres.

- Ouvrez! Ordonna-t-il.

Dès que la bouche s'entrouvrit, il guida son sexe à l'intérieur.

Christine commença la fellation en bougeant la tête, faisant coulisser la verge au fond de sa gorge. En même temps elle continuait de se masturber. Même avec la queue coincée dans sa bouche, elle fut incapable d'arrêter son cri quand Michel se pencha et pinça son mamelon droit entre le doigt et l'index.

Ma belle-mère aimait que ses mamelons soient triturés pendant qu'on la baisait. Avec son clitoris, les bouts de ses seins étaient les zones les plus sensibles de son corps. Sa réaction ne passa pas inaperçu par Michel.

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