La Seduction De La Baby-Sitter Ch. 04

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Une tudiante transforme sa colocataire htro.
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Partie 4 de la série de 9 pièces

Actualisé 03/11/2022
Créé 12/26/2010
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Ce qui suit est la traduction d'un texte de Watchwag paru en anglais en 2008 : "Seducing the Babysitter Chp 04".

Traduction et mise en ligne avec l'aimable autorisation de l'auteur.

J'ai tenté de faire au mieux pour restituer ce texte sans le dénaturer. Je vous invite, si cela est possible, à le lire dans sa version originale.

D'autres chapitres devraient suivre.

*

J'avais été raide comme une queue de pelle depuis que Ann avait appelé pour me dire qu'elle rentrait à la maison après avoir rencontré Lisa et Katherine au café. Lisa avait appelé Ann au bureau et lui avait demandé de s'arrêter au Starbucks près du campus. Katherine allait donner à ces dames un rapport détaillé de la façon dont la séduction de sa co-locataire, Taylor, se déroulait. Lisa a donné pour instruction à Katherine de la recruter cette semaine pour leurs petits jeux lesbiens. Le fait que Taylor fut hétéro et eut un petit ami régulier rendait peut-être le jeu encore plus excitant pour Lisa qui se délectait de transformer des femmes hétéro en jouets lesbiens. Lorsque Ann arriva à la maison elle ne perdit pas une minute pour relayer la conversation qui avait pris place plus tôt ce soir là entre Katherine, Lisa et elle-même :

Ann repéra Katherine assise seule à un comptoir, sirotant un de ces cafés glacés qui étaient au menu. Katherine était spectaculaire dans un petit haut jaune. Mais ses seins, durs comme la pierre étaient proéminents. Lisa avait établi clairement, parmi les nombreuses règles qu'elle avait édicté à l'étudiante, que culottes et soutien-gorge étaient prohibés y compris en public. Elle voulait Katherine toujours sur le qui-vive au cas où l'envie se ferait sentir d'un coup rapide.

Ann commanda et avait à peine commencé à échanger des banalités quand Lisa fit son entrée dans l'établissement, laissa tomber son agenda sur une chaise, se pencha et plaça un langoureux baiser sur les lèvres charnues de l'étudiante. Leurs lèvres se séparèrent avec un bruit mouillé comme Lisa passait sa langue sur la lèvre supérieure de Kat avant de se diriger vers le comptoir pour commander.

Lorsqu'elle revint, elle demanda à Katherine de faire le rapport de ses progrès avec Taylor. D'après Katherine, Taylor est, à 19 ans, plus jeune d'environ deux ans et en deuxième année à l'université locale. Si Kat fait un peu plus de 1 mètre 65, Taylor est plus petite d'environ 5 centimètres et pèse 50 kilos. Elles possèdent un 34 C identique. Katherine qui avait de longs cheveux blonds, les a maintenant coupés courts, selon la volonté de Lisa. Taylor es une brunette et maintient ses cheveux juste au-dessus des épaules.

« Ok... Ça me démangeait de vous appeler mais vous m'avez fait promettre d'attendre avant de... bon, je brûle les étapes, là, » commença Katherine. « Taylor et moi avons partagé la même chambre pendant deux semestres après que ma première co-locataire eut obtenu son diplôme l'an dernier. Elle et moi sommes vraiment proches et elle a été stupéfaite il y a quelques semaines de me voir rentrer après que Susan m'ait fait une nouvelle coupe. J'ai cru que ses yeux allaient sortir de leurs orbites. »

« Tu ne lui as pas dit que c'était sur mon ordre, » sourit Lisa tout en avalant une gorgée de café.

« Je me suis contentée de lui dire que j'avais besoin de changement. Nous faisons souvent notre lessive ensemble et elle a remarqué les vêtements que tu m'as achetée... les micro-tops et shorts... et le fait que je n'ai jamais de culotte ou soutien-gorge à laver, » continua Kat.

« Les petites salopes ne portent pas de tels accessoires, » gazouilla Lisa.

« Et bien, cela n'échappa pas à Lisa bien qu'elle n'en dit rien. Mais plus d'une fois je retournais dans notre chambre pour constater qu'elle avait fouillé mes tiroirs et armoires comme une petite fouineuse. Donc, lundi soir alors que nous revenions du café, je décidais que je ferais bien de m'y mettre si je voulais la recruter pour toi pour ce week-end. »

« Nous étions en train de lire dans nos lits, quand vers huit heures, j'annonçais que j'allais prendre une douche. Je me levais et, lui tournant le dos, je passais mon haut par-dessus ma tête. Je regardais dans le miroir de ma maquilleuse et constatais qu'elle pouvais me voir me déshabiller, par-dessus son livre. Je déboutonnais mes jeans et les faisais glisser, prenant mon temps pour lui permettre de s'en mettre plein la vue. Quand je me retournais pour déposer mes jeans sur le lit, je regardais vers elle et son attention revint immédiatement à son livre mais je savais que je l'avais surprise contemplant mon cul. »

« Je pris mon temps sous la douche, caressant mes seins et ma chatte qui vibraient d'anticipation à ce que je m'apprêtais à faire, » continua Katherine.

« Il n'y a rien de tel que transformer une supposée hétéro pour la première fois pour se sentir mouiller, » ricana Lisa, « mais je t'en prie, continue. »

« Et bien, je revins dans la chambre, une serviette éponge enroulée autour de ma taille et nouée au sommet, juste au-dessus de mes nénés. Je m'assis ensuite sur le bord du lit et commençais à peindre mes ongles de pieds. Je les peignais avec ce rouge brillant que tu aimes. À la façon dont j'étais assise, je pouvais sentir l'air frais sur ma chatte et je savais qu'elle était exposée. Je pouvais l'imaginer ouverte et offerte. Plusieurs fois je pus sentir... en quelque sorte deviner, Taylor regardant, mais chaque fois que je relevais les yeux Taylor tournais une page de son livre. Je la surpris toutefois en une occasion. Elle avait les yeux fixés sur mon entrejambe. Elle vit alors que je la regardais. Elle rougit comme je lui souriais. »

« Je savais qu'elle était troublée lorsqu'elle annonça qu'elle aussi allait se préparer au coucher. Elle se rendit dans la salle de bain et fit couler l'eau sous la douche. Au début la porte était entrouverte et je me demandais si elle allait m'offrir un spectacle. Mais pas de chance, elle ferma la porte. Lorsqu'elle ressortit ayant fini, elle avait enfilé un t-shirt qui pendait en dessous de ses hanches. J'étais toujours sur ma serviette, allongée sur le dos, regardant la télévision. Je décidais que c'était maintenant ou jamais et récupérais une bouteille de lotion dans la salle de bain puis commençait à l'étaler sur mes pieds et mes jambes. Je dis à Taylor en soupirant que mon dos me faisait mal et si elle pourrait me masser les épaules. »

« Taylor venait de se glisser au lit mais j'espérais que mon air chagrin provoquerait chez elle un élan de sympathie, » continua Katherine. « Bien sûr » répondit Taylor.

« Je me roulais sur l'estomac pendant qu'elle s'asseyait sur le bord du lit, prenant le temps de réchauffer la lotion entre ses mains avant de l'étaler sur mes épaules. J'appréciais la douceur de ses mains sur ma peau comme elles glissaient au sommet de mes épaules, s'arrêtant pour pincer la chair à la base de mon cou. Après quelques minutes, je bougeais et lâchait la serviette avant de la repousser jusqu'à mes fesses. « Laisse moi te débarrasser de ça. » Elle hésita quelques secondes et je sentis ses mains tracer des cercles dans mon dos. « Mes jambes aussi, si tu veux bien, » dis-je.

Elle ne disait plus rien et commençait à tracer des cercles à la base de mon dos là où tu m'avais fait faire un tatouage. « Quand es-ce que tu t'es faite faire ça? » demanda-t-elle.

« Tu aimes? » demandais-je.

« C'est peu banal. Un tigre avec un collier... Qu'est-ce que ça veut dire? » continua-t-elle.

« Et bien, c'est un chat... comme moi... Kat. Les tigres sont sauvages... toujours à traquer leur proie... mais celui-ci est domestiqué, » expliquais-je.

« Je fréquente quelqu'un et c'est celui-là qui a été choisi. » Taylor ne pipait mot et je ne savais plus trop que dire. Je ne voulais pas lui faire peur. « Il symbolise ma soumission à cette personne. »

« Qui est cet homme et quand le rencontrerais-je? » demanda-t-elle.

Je ne souhaitais pas expliquer à ce stade qu'il était en réalité elle. « Ça viendra. Je te le promets. Je veux que ça se produise. »

Heureusement elle laissa glisser, mais je savais que ses yeux étaient toujours fixés sur mon tatouage. Mon tigre avec le gros collier noir et ses clous d'argent. Persuadée que j'avais fait allégeance à quelqu'un . J'aurais souhaité pouvoir lire dans ses pensées.

Taylor déplaça ses mains vers mes jambes et ce fut divin de la sentir déposer de la lotion directement sur celles-ci avant de l'étaler.. Je gémis d'appréciation. « Est-ce que tu ferais la même chose de l'autre côté? » Je me retournais sans attendre sa réponse. L'expression de son visage valait tout l'or du monde. Ses yeux étaient scotchés sur ma poitrine et elle commençait à bafouiller quelque chose quand je dis, « Allons, ne sois pas stupide, ce n'est que nous deux. » Elle veillait à ne masser que mon ventre, mais occasionnellement, s'aventurant près de mes seins elle passait ses mains autour d'eux.

J'étais vraiment déçue mais je savais que je devais y aller doucement. Après quelques minutes, je lui dis que c'était son tour. Elle commença par protester, mais j'insistais et la repoussais pratiquement la tête la première contre le lit. Je m'extirpais complètement de ma serviette et m'installais nue à califourchon sur son dos. Je versais de la lotion sur mes mains puis les glissais sous son t-shirt, exposant sa charmante petite culotte rose. Je la massais jusqu'à ce qu'elle pousse un gémissement adorable. C'est alors que je soulevais la base de son t-shirt et commençais à le repousser, l'encourageant à l'enlever afin d'éviter de le tacher avec la lotion.

Taylor hésitait mais je continuais à tirer dessus jusqu'à ce qu'elle soulève sa poitrine et que le t-shirt passe par-dessus sa tête. Je me demandais si Taylor pouvais sentir mes jus couler de ma chatte sur sa jambe comme je découvrais son corps. Je commençais mon lent et méthodique massage, descendant progressivement, allant même jusqu'à passer les mains sous l'élastique de sa culotte.

C'est alors que décidant de tenter le tout pour le tout, je lui demandais de se retourner.

« Je crois que nous devrions arrêter, » murmura Taylor, son visage enfoncé dans mon oreiller. Je savais que si nous nous arrêtions là, je n'aurais pas d'autre chance. « Oh, je t'en prie ne dis pas ça. Je t'ai laissé me le faire, » comme si cela avait été une faveur personnelle. « Et d'abord, ce n'est qu'un massage ventral. » J'essayais de la soulever et elle était vraiment hésitante au début, mais enfin elle se retourna et je me retrouvais au paradis. Ses tétons étaient déjà durs comme des galets debout sur ses seins fermes. Je voulais me pencher pour les mordiller et je dus me faire violence pour résister.

Je passais mes mains tout doucement sur ses épaules et son cou, déplaçant mes doigts comme par inadvertance sur ses flancs provoquant des frissons sur sa peau. Elle soupirait, les yeux clos, comme je massais doucement son ventre avant de revenir vers le haut du corps. De la paume des mains, je glissais vers le sommet de ses seins et pouvait sentir ses tétons bouger sous celles-ci. De temps en temps elle soupirait mais je voulais éviter de lui faire peur.

A la longue, je devins plus audacieuse alors qu'elle semblait se relaxer. Je jouais avec un tétons entre mes doigts et ses bras jaillirent soudainement comme pour la couvrir. « Je suis désolée, est-ce que ça t'a fait mal, » feignais-je.

« Non, c'est juste que... Je ne m'y attendais pas, » répondit Taylor. « Ils sont peut-être sensibles » demandais-je, sachant très bien quelle était la réponse comme, cette fois, je traçais doucement des arabesques sur son petit téton.

« Je crois que nous devrions arrêter là, Katherine... » dis Taylor avant que je ne m'empare à nouveau d'un téton pour le pincer. Taylor gémit et garda sa main contre la mienne mais, cette fois, elle ne la repoussa pas. Je continuais à caresser ses petits tétons qui durcissaient entre mes doigts, les tirant doucement comme je sentais son corps se lover contre ma chatte humide.

Si je devais jamais prendre l'initiative, je sentais que c'était maintenant ou jamais et je me penchais, prenant son tétons droit dans ma bouche. Je le suçais, passant ma langue contre la pointe, tenant son magnifique sein dans la main, Taylor gémit, les yeux fermés, remuant la tête de droite à gauche. Elle ne m'avait jamais parue aussi belle.

« J'arrêterais si c'est-ce que tu veux vraiment. Est-ce que c'est-ce que tu veux? » demandais-je doucement. Pas d'autre réponse qu'un doux soupir.

Je me penchais et plaçait un doux baiser sur sa joue, puis sur l'arête de son nez. Je regardais son visage et me rapprochais de ses lèvres, déposant mes lèvres sur les siennes tout doucement en un très doux baiser. Je me redressais et poursuivis mon assaut, pinçant délicatement ses tétons entre mes doigts, léchant l'un puis l'autre avant de me pencher pour l'embrasser à nouveau. Cette fois ma bouche et mes lèvres restèrent sur les siennes. Je poussais délicatement ma langue. Sa bouche céda lentement, tellement lentement alors qu'elle m'acceptait, puis je la sentis ouvrir la bouche. Ma langue trouva la sienne et nous nous lançâmes dans un baiser passionné.

Maintenant elle répondait à mes baisers avec la même force que moi. Ma main s'empara de son visage, s'égara vers son sein, puis glissa tout doucement vers son estomac et l'élastique de sa culotte. Une fois de plus, je sentais sa main s'emparer de la mienne, mais c'était presque comme si elle me demandait de ralentir... pas de m'arrêter.

Je me déplaçais lentement comme sa prise sur moi se relâchait, jusqu'à ce que je sente le sommet de son doux duvet. Je descendais la main et m'emparait de son chaud mont de vénus tout en éprouvant l'humidité et la chaleur se dégageant de sa chatte. Mes doigts jouèrent avec ses lèvres et elle grogna sous ma bouche comme sa langue s'enfonçait entre mes lèvres.

J'enfonçais mon doigt entre son trou étroit, allant et venant entre ses lèvres pendant que ses hanches se soulevaient sous moi. Je glissais mes mains sous le haut de sa culotte, les enfonçant centimètre par centimètre. Je fus un peu surprise lorsque son derrière se souleva du lit pour me permettre de l'enlever. Je me laissais couler contre son corps, mes seins écrasant les siens comme je murmurais à son oreille, « Je vais te dévorer la chatte chérie. Je vais te faire jouir comme personne ne t'as jamais faite jouir. »

Peut-être étais-ce parce que c'était ce qu'elle attendait de moi. Peut-être comprit-elle qu'elle ne pouvait pas m'en empêcher... ou ne le désirait pas alors que je me laissais glisser le long de son corps, m'arrêtant à son adorable nombril pour y enfoncer ma langue. Je léchais chaque centimètre de son estomac musclé pendant qu'elle grognait et me prenait la tête. Comme ma langue dansait dans son adorable nombril, je me disais qu'il serait si sexy avec un piercing. Peut-être m'en ferait elle cadeau. Mais pas tout de suite.

Comme je descendais vers son petit minou brun, je constatais qu'elle le laissait pousser de façon naturelle. J'entrouvrais les lèvres de mes doigts et je lapais les jus qui en coulaient déjà. J'agaçais avec insistance son petit clitoris et le suçais avant de glisser à nouveau ma langue dans ses replis et de l'enfoncer aussi profondément que possible dans sa chatte.

Ses mains agrippaient les draps, faisant de petites boules de tissu. Je remontais les mains et nos doigts s'entrelacèrent. « Tu aimes chérie« , demandais-je. « Tu aimes que je te dévore la chatte? »

« Oui, oh oui... j'aime ça. S'il te plait, n'arrête pas, » vint l'imperceptible réponse de Taylor. « Dis moi que tu aimes que je te dévore la chatte. Je veux te l'entendre dire, » continuais-je.

« Oh oui... oh c'est tellement bon. Personne ne m'a jamais fait cela... oh merde... » continua Taylor.

Je frottais son clito de mon doigt tout en faisant serpenter ma langue dans son con. Je pouvais sentir ses jambes trembler sous moi, son corps être secoué alors qu'elle commençait à accumuler en elle des forces explosives. Elle hurla suffisamment fort pour attirer l'attention de nos voisines alors qu'elle s'asseyait presque, m'attrapait la tête et l'enfonçait dans sa caverne brûlante. Elle jouit bruyamment et intensément avant de s'écrouler de nouveau sur le lit.

Je continuais à lécher encore un peu afin de récupérer les dernières traces de fluides avant de ramper le long de son corps et de placer ma bouche sur la sienne. Je savais qu'elle goûtait sa première chatte et que c'était la sienne. Je léchais doucement ses lèvres et elle suça ma langue. Je passais mes doigts dans ses cheveux comme nous restions enlacées, ses bras serrés autour de moi.

Comme je léchais doucement son estomac, elle me regarda dans les yeux. Ni l'une ni l'autre ne dit mot alors que nous jouissions de cette étreinte et de cet instant. Je brisais le silence. « As-tu aimé cela chérie. Est-ce que je t'ai donné du plaisir? »

« Ouais, » dit-elle rêveuse tout en caressant doucement mon visage.

« Je n'avais jamais fait cela avant. Je veux dire, je n'avais jamais été avec une fille auparavant, » continua Taylor.

« Tout va bien. Les filles savent ce qui plait aux filles. Est-ce que quelqu'un t'a jamais fait te sentir aussi bien que moi ce soir? » demandais-je.

« Non, c'était... c'était fantastique. »

Je me penchais encore et embrassais tendrement Taylor sur les lèvres, nos langues s'effleurant l'une l'autre. Puis elle tendit la main pour écarter un poil... un poil de chatte. Nous gloussâmes. « Pas un des miens, » dis-je avec un sourire.

« J'avais remarqué. Quand as-tu commencé à te raser le con? demanda Taylor.

« D'abord, c'est une chatte pas un con... dis-le Redemande le moi, » dis je.

« D'accord, quand as-tu commencé à te raser la... la chatte, » dit-elle avec emphase.

« En fait elle a été épilé à la cire. C'est mieux que de la raser et ça dure plus longtemps. Et j'adore cette sensation. J'aime la façon dont je la sens tout exposée et elle est si, si sensible lorsque quelqu'un me broute là. » Je vis que Taylor rougissait légèrement.

« Là, laisse moi te le faire. Laisse moi te raser ce soir. » dis-je tout en tirant quelques poils entre mes doigts.

Je relevais les yeux et vis le portrait de son petit ami Dennis sur la table de nuit. Elle l'appelait avec affection Di. « Di en deviendra dingue quand il verra ça... qu'en penses-tu? »

« Je vis ses yeux s'allumer à cette pensée. Je me demandais si elle y songeait pour le côté coquin de la chose ou parce que ça pourrait lui plaire? « Ok... faisons le. Je crois que j'aimerais ça... est-ce que ça me démangera? » demanda-t-elle en roulant en bas du lit.

« Seulement si tu les laisse repousser et je ne le permettrais pas... » rétorquais-je. J'avais parlé sans réfléchir. Elle jeta un coup d'œil vers moi mais ne répondit rien à mon affirmation radicale.

Je la pris par la main et l'entraînais dans la salle de bain pour l'y faire asseoir sur le comptoir comme je commençais à tailler les poils de sa chatte aussi près de la peau que possible. Puis je la fis tenir debout dans la baignoire tout en m'agenouillant devant elle, plongeant mon regard tout droit dans cet adorable jeune con. Je laissais couler l'eau et m'emparais du jet. Tout en la savonnant, je pris soin de ne pas la troubler, prenant mon temps, toujours prudente. Je la rinçais puis la savonnais à nouveau jusqu'à ce que je fus certaine qu'elle était aussi douce que possible. Je lui demandais ensuite de se pencher afin de me laisser faire de même entre ses fesses.

Elle gloussa pendant que je rasais la petite parcelle de poils autour de son anus. Je dus me faire violence pour ne pas plonger mon visage entre ses fesses. Tout vient à point... Nous nous savonnèrent ensemble et, plaçant du savon dans sa main, je m'en servais pour caresser mes seins, la guidant contre mes tétons puis descendant vers ma chatte avant de la lâcher. Elle continua à me savonner. C'était si bon d'avoir ses mains glisser contre ma poitrine humide.

Brehat
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