La Vengeance d'un intello 04

Informations sur Récit
Revanche sur un tourmenteur et la mère de celui-ci.
6.6k mots
4.53
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2

Partie 4 de la série de 7 pièces

Actualisé 06/08/2023
Créé 04/14/2017
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Avertissement : Ce récit est une fiction qui raconte comment un jeune homme maigrichon prend le contrôle de personnes afin de les asservir sexuellement. Si vous n'aimez pas ce genre de récits, fermez cette histoire.

Traduit avec l'aimable autorisation de l'auteur « Silkstockingslover »

************************************

Résumé : Après avoir été licencié, Bruno, un jeune intello maigrichon a inventé un produit qui lui permet de prendre le contrôle de personnes. Cette drogue agit ainsi :

• La personne ne peut pas mentir.

• Le corps de la personne obéit aux ordres même si l'esprit conscient s'oppose à cette obéissance.

• La libido sexuelle de la personne augmente considérablement. (Bruno avait tenu à mettre en œuvre ce point afin de se venger de cette chienne de Sarah ainsi que d'autres qui l'avaient mal traité au cours des années passées).

• La personne se sent enfermée dans des vêtements et elle voudrait être nue.

• L'impact du médicament est permanent sur la personne infectée (la drogue d'origine n'avait d'effet que pendant une heure. Toutefois, il n'était pas encore certain. L'effet pourrait durer quelques heures, jours, semaines ou indéfiniment).

Bruno a testé avec efficacité son produit sur sa sœur et la meilleure amie de sa sœur.

*********************************************

Bruno aurait bien aimé entendre la conversation entre sa mère et sa sœur découverte en peine séance de lesbianisme avec sa meilleure amie (Chacune essayant de faire jouir l'autre le plus rapidement possible pour éviter d'avoir à sucer un étudiant le lendemain). Mais il préféra s'éloigner.

Il se promène, ravi du succès de sa drogue pour le moment. Mais deux choses l'inquiètent un peu :

• Est-ce que l'effet est permanent? Il le soupçonne mais il voudrait le confirmer.

• Ces deux premiers cobayes sont des adolescentes. Est-ce que sa drogue marchera avec des personnes adultes ou des hommes? Il lui faut trouver de nouveau cobayes.

Il a toujours eu du respect pour sa maman et bien qu'il aimerait coucher avec elle, il choisit de ne pas expérimenter son produit sur elle. Il doit trouver une autre femme adulte pour laquelle il n'a aucune considération.

Après une brève réflexion, il trouve la candidate idéale : Madame LEVIS. C'est la mère de Pierre, un petit dur qui a toujours intimidé et brutalisé Bruno à l'école. Elle n'avait jamais rien fait pour punir son fils brutal, allant même jusqu'à dire que la loi du plus fort était la meilleure. De plus elle est terriblement excitante. En la choisissant comme prochain sujet de test, il se dit que son fils Pierre, qui vivait toujours chez sa mère, pourrait lui aussi expérimenter la drogue.

Souriant, Bruno décide de faire d'une pierre deux coups, oui il expérimentera son produit sur madame LEVIS et son fils.

Quand il rentre chez lui, une heure plus tard, juste à temps pour le diner mais assez longtemps après la découverte de sa sœur par sa mère, celle-ci finit de préparer les aliments.

- Bonjour maman. Salue-t-il.

Elle répond :

- Bonjour Bruno. Où étais-tu?

- Je cherchai du travail. Mentit-il.

Il pense que si tout se passe comme convenu, il pourra bientôt récupérer son travail, avec une promotion.

- Tu as trouvé? Questionne sa mère.

- Je suis confiant. Je devrais retravailler bientôt.

- Très bien, je sais que tu es très capable.

En regardant sa mère dans sa jupe noire et son chemisier rouge, il ne peut s'empêcher de fantasmer sur elle, mais hors de question d'utiliser sa drogue sur elle. Il faut qu'il trouve un autre moyen.

- Où est ma sœur? demande-t-il.

- Dans sa chambre. Répond sa mère sur un ton froid.

Elle ne peut croire encore que sa fille continue à lécher son amie alors qu'elle les a surprises. Et que sa fille s'excuse quelques secondes avant d'avoir un orgasme.

- Qu'a-t-elle fait encore? Demande Bruno.

- Oh rien! Soupire sa mère qui visiblement ne veut pas en parler.

Mais elle a encore l'image de sa fille dans l'acte sexuel lesbien.

- D'accord, mais ça ne doit pas être bien. Dit Bruno en haussant les épaules.

- Au moins, toi, tu ne m'as jamais donné de problèmes. Dit sa mère tendrement.

Bruno sourit. Si elle savait qu'il est à l'origine du problème peut-être qu'elle le verrait autrement. Il répond :

- Peut-être que ça viendra.

- Ta sœur me suffit. Dit-elle en souriant.

Puis elle appelle :

- Catherine, le diner est prêt.

La jeune fille descend les escaliers quelques minutes plus tard en jetant un regard noir à son frère. Elle est en colère. Sa mère pense qu'elle est lesbienne mais elle ne peut pas s'expliquer, étant encore sous contrôle.

Bruno fait un clin d'œil à sa sœur quand sa mère ne regarde pas. Il jouit du pouvoir qu'il a sur elle.

Ils mangent en silence, chacun ayant ses propres pensées.

Catherine remonte à l'étage pendant que Bruno aide sa mère à faire la vaisselle. Puis le jeune homme rejoint sa chambre et est surpris d'y trouver sa sœur. Tout de suite elle exige :

- Tu dois arrêter ça!

En hochant la tête il dit :

- D'accord. Mais ferme ta bouche sur une bite. Tu dois en avoir envie.

- Tu es un bâtard. Accuse-t-elle.

Mais en même temps, elle se rapproche de son frère, se met à genoux et attrape sa bite, une faim de sperme envahissant son cerveau. Elle lui dit :

- Maman pense que je suis lesbienne. Et quand elle est arrivée, aucune de nous deux n'a pu arrêter. J'étais honteuse de continuer à lécher la chatte de Béatrice alors que maman criait.

Bruno écoute et regarde, amusé, sa sœur se taire et obéir. Elle se penche sur la grosse bite, encore impressionnée par sa taille. Elle est en colère car non seulement elle doit obéir, mais elle a envie de sperme et elle a apprécié d'avoir sa queue dans sa bouche, sa chatte et son cul.

Il la regarde, savourant le pouvoir qu'il a sur elle. Même si un jour, il décide d'annuler les ordres qu'il a implantés en elle, il va profiter de sa chienne de sœur pendant un certain temps.

Catherine tout en faisant une fellation à son frère, réalise que cette bite était auparavant dans son cul, brisant ainsi les tabous les plus extrêmes. Elle réalise aussi que sa chatte s'humidifie.

Bruno, appréciant le travail de sa sœur, est curieux de savoir comment ça s'est terminé dans la chambre. Alors il éjacule dans la gorge de sa sœur et demande :

- Alors, qui a joui en premier?

- C'est moi salaud. Admet Catherine en savourant le sperme et la disparition de l'envie d'en vouloir.

- Alors tu lècheras une chatte demain à l'école. Plaisante Bruno en profitant de l'humiliation de sa sœur.

- S'il te plaît, ne me fais pas faire ça. Demande Catherine sous le poids de tous ces ordres.

En effet, elle a maintenant une envie presque incessante de sperme et de bite dans son cul. Elle doit aussi casser avec son petit ami et faire plaisir à un boutonneux à l'école. Et maintenant elle doit lécher une chatte.

- Est-ce que ça devrait être une enseignante? Demande Bruno.

- Non! Sois raisonnable, je vais me faire prendre.

- Alors arrête de poser des questions et moi j'arrêterai d'ajouter des ordres.

- Et qu'en est-il de Béatrice? Questionne Catherine en sachant que son amie peut aussi la commander.

- Je l'appellerai et je m'assurerai qu'elle ne te demande rien de plus. Et si elle le fait, je me chargerai d'elle.

Sincère, Catherine demande à son frère :

- Peux-tu retirer certains ordres? Je serai toujours ta salope de sœur et je ne peux nier que j'aime ta grosse bite.

Le tabou de l'inceste n'était plus gênant pour elle après ce qu'elle avait fait. Elle aimait être baisée par le membre de son frère.

Bruno hoche la tête en disant :

- Je suis en train de faire des manipulations chimiques mais il me faudra du temps pour perfectionner mon produit sans causer d'autres effets secondaires.

- Oh...

La jeune fille hoche la tête. Elle est optimiste en pensant qu'elle pourra peut-être récupérer le contrôle de son esprit et de son corps.

- Mais pour l'instant, tu continues à m'obéir. Déclare Bruno.

- D'accord mais contrôle Béatrice car elle peut être très méchante.

- Je te le promets.

Il acquiesce tout en se sentant légèrement coupable de ce qu'il fait à sa sœur. Mais la vengeance est vraiment impitoyable.

Ce soir-là il appelle Béatrice pour lui ordonner de laisser sa sœur tranquille. Il lui dit qu'elle serait récompensée si elle obéissait.

Bruno travaille tard sur sa drogue, essayant d'en faire un produit dont l'action serait seulement temporaire. En même temps, l'idée de baiser sa mère devient de plus en plus attrayante. Mais il ne peut se résoudre à l'obliger avec une drogue. Il faut que ce soit son idée à elle.

Vers minuit, Catherine entre dans sa chambre et se plaint :

- Sérieusement c'est ridicule. Je suis super fatiguée mais je ne fais que penser à baiser.

- Alors sois obéissante, perds ton attitude arrogante et je n'ajouterai plus d'ordres.

Puis il lui répète son message de plus tôt comme quoi il continue à travailler sur son produit pour l'améliorer. Il lui dit qu'il essaie de ne pas rendre l'effet permanent. En lui-même il n'est pas sûr que cela soit possible. Une fois le cerveau reconfiguré, il est presque impossible de revenir en arrière. Il pense qu'il ferait mieux de créer une nouvelle drogue, moins permanente.

- Dieu merci! Dit sa sœur pendant que l'envie de se faire baiser remplit ses pensées.

- As-tu envie de sperme? Demande Bruno

Elle avait envie de se faire sodomiser. Mais maintenant qu'il avait mentionné son sperme, elle en avait une folle envie. Alors elle dit en soupirant :

- Oui j'ai envie maintenant mais j'ai vraiment besoin que tu me sodomises.

- Si tu insistes!

Le garçon hausse les épaules, se déplace vers elle et la courbe en avant. Puis il relève la nuisette et pénètre brusquement son petit cul serré. En ayant créé l'idée mentale qu'elle aime la sodomie, il ne se soucie pas de créer une grosse douleur chez elle.

- Ahhhhhh! Gémit-elle, instantanément satisfaite quand il plonge sa bite dans son cul.

Tandis qu'il la pilonne, Bruno plaisante :

- Tu aimes bien être enculée n'est-ce pas?

- Parce que tu m'as rendu comme ça. Souligne-t-elle.

Mais elle ne peut nier que ça lui fait du bien. Elle prend du plaisir comme jamais dans sa vie.

- Ça me va bien, Béatrice n'a pas ce conditionnement. Déclare son frère.

- Je déteste cette salope. Dit Catherine.

Elle sait que Béatrice n'est son amie que pour pouvoir la supplanter auprès des autres.

- Alors sois une bonne chienne de sœur et je m'assurerai qu'elle en soit une aussi. Suggère Bruno en baisant son cul si serré.

- d'acccoooooordddd! Gémit-elle alors qu'elle a un orgasme.

L'idée que Béatrice soit autant contrôlée qu'elle est très agréable. Et si cela signifie qu'elle doit jouer avec son frère elle le fera. De toute façon elle ne peut résister à l'attrait de sa bite.

Bruno continue à la baiser pendant quelques minutes avant qu'il ne sente qu'il va bientôt éjaculer. Alors il se retire et ordonne à sa sœur :

- A genoux!

Catherine, affamée de sperme tombe immédiatement à genoux et ouvre grand la bouche. Elle se rend compte qu'elle va pouvoir assouvir ses deux fringales.

Son frère met sa bite dans sa bouche et commence à baiser son visage. Il se dit qu'il va bien aimer de faire la même chose à madame LEVIS.

Catherine lutte pour gérer la grosse bite de son frère. Il l'enfonce dans sa gorge, ses testicules rebondissant sur son menton. Après quelques secondes, Bruno grogne et dépose une grosse quantité de sperme dans la bouche de sa sœur, tout en jouissant de son pouvoir.

Catherine avale rapidement le jus de son frère. Maintenant elle aime ça mieux que le chocolat (dont elle ne pouvait se passer auparavant). Son corps est instantanément satisfait. Mais il est fatigué aussi.

Quand Bruno sort sa bite de sa bouche, elle se lève et va dans sa chambre sans dire une parole. Une minute plus tard, elle dort profondément.

Bruno continue à travailler, une autre idée dans la tête. Il veut vraiment baiser sa mère. Mais il ne veut pas la forcer ou qu'elle sache qu'elle est forcée. Alors il peut peut-être créer une drogue qui supprimerait dans son esprit le dégoût de l'inceste. Il n'est pas sûr de pouvoir y arriver mais il va essayer. Il n'est pas sûr de pouvoir résister encore longtemps à la tentation d'utiliser son produit actuel sur sa mère. Donc plus vite il trouvera une alternative, mieux ça sera.

...

Le lendemain matin, Catherine entre dans la chambre de son frère et le réveille. Puis elle demande une fois de plus :

- Peux-tu supprimer cette envie constante de sperme?

- Pas si tu continues avec cette attitude. Répond Bruno en baillant.

Il pense qu'il est peu probable qu'il le fasse. Surtout que ses recherches maintenant portent sur une drogue qui manipulera sa maman pour lui donner envie de le séduire. Après quelques recherches sur internet, il apparait que la plupart des fils veulent baiser leur mère et que le désir profond de ces mères est de faire l'amour avec leur progéniture. Il en a déduit que s'il trouve une drogue qui modifie sa morale catholique, elle pourrait être affaiblie au point de vouloir le séduire. Ça sera toujours mieux qu'un produit qui asservit à vie.

Catherine saisit la bite de son frère et l'avale goulument comme si sa vie en dépend. Elle est frustrée de ne pas pouvoir contrôler son envie de sperme. Elle cherche toujours une solution pour se sortir de cette condition. Heureusement elle est satisfaite assez vite. Après quelques minutes, le garçon se vide dans sa bouche. Une fois terminé, elle se lève et dit :

- Tu dois m'enlever ce conditionnement!

- Mais pourtant tu es mieux ainsi en chienne. Tu es beaucoup plus agréable qu'avant.

- Trou du cul!

Elle est toujours incapable de cacher son dégoût de son frère, même s'il a une belle et grosse bite.

- Tu la veux encore dans ton cul? Questionne Bruno avec un sourire.

- Tu es vraiment un bâtard. Soupire-t-elle.

- Je sais. Merci d'être ma décharge de sperme. Dit-il en se levant.

- Enculé, tu es vraiment un salopard. Crie-t-elle incapable de contrôler sa colère même si elle connait les conséquences.

- Aujourd'hui, sur le chemin de l'école, tu suceras un étranger. Ordonne Bruno.

Il continue à lui ajouter des contraintes. Il veut qu'elle comprenne qu'il y a une hiérarchie et qu'elle est au-dessous de lui.

Catherine se maudit intérieurement ; « pourquoi je n'arrête pas de le défier ». Immédiatement elle change de ton et se montre plus humble :

- S'il te plaît je suis désolé d'être une garce.

Bruno hausse les épaules :

- Je t'ai déjà donné l'ordre. Mais comme tu as reconnu ta faute, je ne te donnerai pas l'ordre de te faire enculer à l'école comme je le voulais.

- Merci!

Catherine hoche la tête, soulagée qu'elle soit dispensée de cette autre tâche.

- Mais n'oublie pas que tu dois demander à Éric de te suivre partout aujourd'hui. Rappelle Bruno à sa sœur.

- S'il te plaît non! C'est un suicide social. Déclare Catherine.

Même si elle l'a sucé hier, elle ne veut pas être vue en public avec lui.

- Oui mais tu risques d'avoir besoin d'une ou deux giclées de sperme ma petite sœur dépendante. Souligne Bruno.

- Merde Bruno, tu me pourris la vie. Reprend Catherine.

- Sois une bonne petite salope obéissante et peut-être que tu retrouveras ta vie d'antan.

Elle sort de la chambre, comprenant qu'elle ne peut le convaincre de cesser. Et elle ne veut pas qu'il ajoute d'autres ordres. Bruno sourit, sa drogue fonctionne bien.

...

Après avoir pris sa douche, il rejoint sa mère pour le petit déjeuner. Il la trouve excitante avec sa jupe courte et son collant noir.

Après avoir mangé, il décide de partir pour la maison de Mme LEVIS avec deux doses de son produit. Il espère que son tourmenteur, Pierre, sera là. Faire de cet intimidateur un pédé sera une expérience attrayante et une belle vengeance. Combien de fois l'a-t-il traité de « petit pédé »? Ce sera un juste retour de chose.

Il frappe à la porte et, une minute plus tard, elle est ouverte par Pierre qui semble sur le point de partir. Immédiatement, il pulvérise le produit sur son visage.

- Quoi? Que fais-tu? Interroge Pierre.

- Est-ce que ta mère est à la maison? Demande Bruno.

- Pourquoi veux-tu le savoir petite merde? Dit Pierre tout en se demandant ce que peut vouloir ce gringalet à sa mère.

- Frappe toi les couilles aussi fort que possible! Ordonne Bruno.

- Quoiiiiiiii??? Demande Pierre.

Tout répondant, il se donne un gros coup de poing dans l'entrejambe et s'écroule sur le sol.

- Est-ce que ta mère est à la maison? Demande encore Bruno.

- Va te faire enculer!

Bruno hausse les épaules :

- Je préfère baiser ta mère.

Tout en essayant de se relever, Pierre le menace :

- Je vais te tuer!

- Frappe toi encore trois fois dans les couilles, aussi fort que possible. Ordonne Bruno, appréciant l'humiliation infligée.

- Espèce d'enculééééé!

Pierre commence à se déplacer vers Bruno mais s'arrête pour se frapper l'entrejambe comme ordonné.

- Tu ne diras à personne que je t'ai pulvérisé le visage. Demande Bruno.

Pierre grogne tout en se tordant de douleur sur le sol. Il essaie de comprendre :

- Qu'est-ce qui m'arrive?

- Tu te rappelles quand tu me traitais de « petit pédé »?

- Oui. Répond Pierre grimaçant sous la douleur.

- Eh bien maintenant tu es Gay. Tu aimes les bites. Tu aimes les sucer et les prendre dans ton cul. Tu n'aimes que les hommes, les filles te dégoutent.

- Va te faire enculer! Dit Pierre en essayant de se lever.

- Et toi, va maintenant au foyer des jeunes travailleurs et offre à chaque mec de le sucer jusqu'à ce qu'un accepte. Ordonne Bruno.

- Oui. Dit Pierre maintenant debout en se tenant l'entrejambe.

- Ensuite tu iras à l'université pour trouver un gars qui te baisera.

Bruno veut faire payer ce salaud pour toutes les années où il l'a tourmenté. Mais, tout en se demandant ce que l'on peut ressentir avec une bite dans la bouche Pierre le menace encore :

- Je vais te tuer!

Alors Bruno ajoute :

- Et tu as faim de sperme.

Pierre est mortifié par ses pensées. Il a une soudaine envie de sucer une bite. Alors il demande :

- Comment fais-tu ça?

Bruno déclare avec satisfaction :

- Contrôle de l'esprit, pédé. Maintenant va chercher de la bite pendant que je baise ta mère.

- Je te tuerai pour ça. Crie Pierre en commençant à partir.

Alors que l'homme ne peut pas contrôler ses jambes et qu'il s'éloigne, Bruno ajoute :

- Et puis tu offriras à chacun de tes profs masculins de les sucer pour une petite pièce.

A ce moment, Mme LEVIS passe la porte en peignoir et demande :

- Pierre, ça va?

Bruno la salue :

- Bonjour Madame LEVIS.

- Où est Pierre, je l'ai entendu? demande-t-elle.

Cyniquement, Bruno répond :

- Il est en route pour un grand changement dans sa vie.

La femme regarde avec dédain ce maigrichon sur le pas de sa porte. Elle demande poliment :

- Que puis-je faire pour vous?

Ne répondant pas vraiment à la question, Bruno dit :

- Vous savez que votre fils m'a maltraité pendant de nombreuses années.

Un peu plus loin, les idées se bousculent dans la tête de Pierre. Il a une envie insatiable de bite et il est impuissant à résister aux ordres donnés. De plus ce maigrelet veut baiser sa mère. Dans sa voiture, il attrape son téléphone et compose le numéro de sa mère.

- Oui je sais. Je suis désolé. Répond-elle en pensant que le garçon devant elle est vraiment pathétique.

Soudain son téléphone sonne et elle entre dans sa maison. Bruno suppose qu'il s'agit de Pierre alors il la suit et pulvérise très vite son produit sur le visage de la femme. Puis tout en allant récupérer le téléphone qui sonne, il ordonne :

- Enlevez votre peignoir et mettez-vous à genoux!

- Comment oses-tu?

La femme mature est choquée par la grossièreté du garçon. Mais elle laisse tomber son peignoir sur le sol et elle se met à genoux. « Quoi? » pense-t-elle en réfléchissant qu'elle obéit aux ordres étranges de ce gringalet.

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