La Vengeance d'un intello 06

Informations sur Récit
C'est maintenant le tour de sa tante.
9.1k mots
4.64
34.5k
1

Partie 6 de la série de 7 pièces

Actualisé 06/08/2023
Créé 04/14/2017
Partagez cette Récit

Taille de Police

Taille de Police par Défaut

Espacement des Polices

Espacement des Polices par Défaut

Face de Police

Face de Police par Défaut

Thème de Lecture

Thème par Défaut (Blanc)
Tu dois Connectez-Vous ou Inscrivez-Vous pour enregistrer votre personnalisation dans votre profil Literotica.
BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici
trouchard
trouchard
190 Admirateurs

Avertissement : Ce récit est une fiction qui raconte comment un jeune homme maigrichon prend le contrôle de personnes afin de les asservir sexuellement. Si vous n'aimez pas ce genre de récits, fermez cette histoire.

Traduit avec l'aimable autorisation de l'auteur « Silkstockingslover »

************************************

Résumé : Après avoir été licencié, Bruno, un jeune intello maigrichon a inventé un produit qui lui permet de prendre le contrôle de personnes. Cette drogue agit ainsi :

• La personne ne peut pas mentir.

• Le corps de la personne obéit aux ordres même si l'esprit conscient s'oppose à cette obéissance.

• La libido sexuelle de la personne augmente considérablement. (Bruno avait tenu à mettre en œuvre ce point afin de se venger de cette chienne de Sarah ainsi que d'autres qui l'avaient mal traité au cours des années passées).

• La personne se sent enfermée dans des vêtements et elle voudrait être nue.

• L'impact du médicament est permanent sur la personne infectée (la drogue d'origine n'avait d'effet que pendant une heure. Toutefois, il n'était pas encore certain. L'effet pourrait durer quelques heures, jours, semaines ou indéfiniment).

Bruno a testé avec efficacité son produit sur sa sœur et l'amie de celle-ci ainsi que sur son ennemi à l'école et la mère de celui-ci. Il a aidé son meilleur ami à avoir son jouet personnel. Et après avoir sauvé sa mère, il a avec elle des rapports sexuels endiablés.

************************************************************************

Après avoir éjaculé dans le cul de sa mère, Bruno dîne avec ses deux salopes.

Elizabeth, la maman, le cul un peu douloureux, le restant de sperme que sa fille Catherine n'a pas nettoyé coulant sur la chaise, reste assise en silence et médite sur sa journée surréaliste. Après réflexion elle demande à son fils :

- Tu as fait de ma fille une bimbo qui ne peut rien refuser à personne.

- Ouais. Répond Bruno en se sentant un peu coupable.

- Et ça ne peut pas être inversé? Demande la mère en regardant sa fille.

Elle appréciait la soumission de sa garce de fille qui était devenue incontrôlable au cours du temps. Mais elle ne voulait pas qu'elle reste un objet sexuel pour sa vie entière.

- Je suis en train de créer un remède. Ajoute Bruno.

- C'est vrai? Demande Catherine.

Son frère hoche la tête :

- Oui. Je ne pense pas pouvoir modifier l'obligation que tu as d'obéir mais je peux peut-être simplement le limiter au sexe. Et je pourrais peut-être supprimer certains ordres permanents que tu subis.

- Ça serait un début. Dit Catherine frustrée de ne pouvoir contrôler son corps mais espérant de récupérer un peu d'autonomie.

Elle est surprise quand sa mère dit :

- C'est de ta faute Catherine.

- Pardon? Demande la fille.

- Si tu n'étais pas devenue une petite garce égoïste, j'imagine que Bruno aurait testé son produit sur quelqu'un d'autre. Déclare sa mère.

- Ton fils m'a transformé en une putain de Bimbo et c'est moi qui suis la mauvaise. Dit Catherine immédiatement en colère.

- Tu étais déjà une salope. Et on te prenait déjà pour une Bimbo.

- Maman! Crie Catherine blessée et en colère, des larmes se formant dans ses yeux,

Bruno intervient, surpris par le comportement de sa mère :

- Maman, je crois qu'elle a compris la leçon.

- N'est-ce pas vrai Catherine? Demande Elizabeth à sa fille en la regardant dans les yeux.

- Oui maman.

Catherine hoche la tête, essayant d'agir comme une bonne fille.

- Et quoi que fasse ton frère pour te guérir, tu comprends que maintenant je suis ta mère et ta Maîtresse et que ton frère est ton Maître?

Bruno est impressionné par le changement soudain de personnalité de sa mère. C'est comme si elle se réveillait d'année de sommeil en bonne mère de famille et qu'elle retrouvait sa sexualité perdue.

Catherine est choquée par les paroles de sa mère mais elle hoche la tête :

- Oui Maîtresse.

- Bon approche-toi maintenant pour avoir du dessert. Déclare Elizabeth.

Elle aime l'idée d'avoir une soumise personnelle pour lui lécher la chatte.

- Oui Maîtresse.

Catherine est abasourdie par le comportement dominant de sa mère mais en même temps elle a faim de sexe.

Pendant que sa fille lèche sa chatte, Elizabeth dit à son fils :

- Nous avons besoin de mettre des règles en place.

- D'accord. Approuve Bruno, curieux de connaître la suite.

- Je suis toujours ta mère, et en public, cette relation doit rester la même. Dit-elle, ne voulant pas que son image souffre de ses rapports incestueux.

- Bien sûr. Sourit Bruno, voyant déjà où sa mère veut en venir.

- Mais quand nous sommes seuls dans cette maison tu es l'homme du foyer. Continue Elizabeth, excitée par l'idée d'avoir sa propre lécheuse de chatte mais aussi d'être soumise à une grosse bite.

Bruno répond :

- D'accord, mais j'ai quelques règles de base aussi.

- Qui sont?

- Tu seras toujours en bas.

- Je le suis déjà.

- Je vais dormir avec toi dans ta chambre.

- D'accord,

- Je pense que c'est tout pour le moment. Dit Bruno.

- Que dirais-tu que nous invitions ma sœur bientôt? Suggère Elizabeth.

Elle déteste sa sœur cadette et si elle peut utiliser le produit sur quelqu'un ce sera sur elle. Bruno lui demande avec un sourire vicieux :

- Veux-tu dire qu'il faut que je change ta sœur en bouffeuse de chatte esclave de toi?

- Est-ce mal? Demande-t-elle en posant sa main sur la tête de sa fille.

- Très, très mal! Acquiesce Bruno, sa bite commençant à le démanger.

- Est-ce un oui?

- Bien sûr que oui.

Bruno hoche la tête, se lève de table, passe derrière sa sœur et pénètre son cul violemment.

- Oh oui. Crie Catherine.

La tête dans la chatte de sa mère, le discours sur sa tante l'a instantanément transformée en salope. Bruno pilonne son cul tout en sachant qu'il va lui falloir du temps pour jouir après ces deux dernières heures éprouvantes. Elizabeth dit :

- J'invite Lisa ce week-end.

Catherine, son cul transpercé, léchant la chatte de sa mère demande alors :

- Est-ce que je pourrais être au-dessus de tante Lisa?

- Si tu continues à être une bonne fille. Répond Elizabeth.

- Comme si j'ai le choix. Dit Catherine en enfouissant son visage dans le sexe de sa mère.

- Gagné!

La mère se met à rire. Bruno dit alors :

- Espérons que j'arrive à fabriquer une nouvelle version de mon produit.

- Tu veux le modifier comment? Demande Elizabeth.

-Eh bien la partie contrôlant la soumission sexuelle d'une personne sera toujours là. Par exemple, une fois qu'on a donné l'ordre à un gars de sucer une bite, il pensera toujours à sucer une bite. Une fois que ce produit chimique sera dans la tête de la personne, elle deviendra à jamais un soumis sexuel. Mais je peux modifier la drogue de telle façon que cette personne n'obéisse qu'à une seule ou un groupe de personnes.

- Donc pour le moment Catherine obéit à tout?

- Oui.

- Donc si je lui dis de marcher à l'extérieur complètement nue, elle le fera.

- Oui. La seule restriction est qu'elle ne doit pas risquer sa vie.

- Donc si je lui dis de se poignarder, elle ne le fera pas.

- Exact. La partie du cerveau qui commande l'instinct de survie est toujours intact. Mais la partie qui commande la moralité est facile à manipuler.

- Comme pour les politiciens. Plaisante Elizabeth.

- Oui. Rigole Bruno.

- Donc c'est tout ce que fait ton produit. Demande sa mère sérieusement.

- Oui, il a le pouvoir de changer le monde.

- Ou de le détruire.

- Que veux-tu dire? Demande Bruno pensif.

- Penses-tu que si le gouvernement le possédait, il l'utiliserait à bon escient?

- Je l'espère. Déclare Bruno.

Puis, la révélation de ce que peut devenir sa drogue si elle tombe entre de mauvaises mains lui apparaît.

- Merde!

Elizabeth hoche la tête.

- Oui. Je pense que tu dois modifier cette drogue, en particulier pour que ta sœur ne termine pas dans les mains d'un trou du cul cinglé. Et tu devrais brûler tes documents de recherche et te débarrasser de tout le surplus de ce produit.

Je suppose que tu as raison.

Bruno se rend compte que cette drogue est trop dangereuse pour être mise dans la main de n'importe qui.

- Bien sûr, nous allons d'abord l'utiliser sur ma sœur et toi tu auras ta vengeance. Sourit Elizabeth.

- J'aime ce côté méchant en toi Maman.

- Tu vis maintenant avec une maman salope. Gémit-elle, la langue de sa fille faisant du bon travail.

- Une maman vide-couilles. Corrige Bruno tout en enculant sa sœur.

- Oui mon chéri.

Elizabeth crie alors qu'elle jouit tout en pensant qu'elle aura bientôt sa sœur entre ses jambes. Quelques minutes plus tard, quand elle est remise de son orgasme, elle dit :

- Je vais aller faire du shopping demain au sex-shop.

Catherine demande :

- Puis-je t'accompagner?

En jouant sur la mots, Bruno dit :

- Oui tu peux l'accompagner avec l'orgasme le plus intense que tu n'aies jamais eu quand tu sentiras mon sperme dans ton cul.

- Oh mon Dieu, encule moi bien grand frère.

Elle gémit en commençant à rebondir pour répondre à ses coups de reins.

- Tu veux mon sperme salope?

- Oui Maître, remplis le trou du cul de ta salope avec ta grosse bite.

Elizabeth regarde ses deux enfants baiser. Il y a un jour, elle aurait été mortifiée. Mais aujourd'hui, elle est excitée. « Que la vie est bizarre » pense-t-elle.

Après quelques minutes de sodomie intense, Bruno grogne :

- Mmmm, je viens...

- Ouiiiiiiiiiii....

Catherine crie instantanément sous l'orgasme qui la traverse en sentant le sperme de son frère inonder son cul. Dès que celui-ci se retire, la jeune fille s'effondre sur le sol dans une extase totale.

Bruno se rapproche alors de sa mère et lui fourre sa queue dans la bouche en ordonnant :

- Nettoie ma bite maman salope!

Elizabeth n'a jamais sucé de verge sortant d'un autre cul mais elle obéit comme une bonne chienne. Elle est à la fois excitée et dégoûtée par l'ordre.

Quand son fils se retire enfin, elle lui demande :

- Avec tes ordres tu peux faire en sorte que les orgasmes soient plus intenses?

- J'ai déjà fait.

- Merde, si tu peux faire en sorte que j'ai des orgasmes plus puissants, je veux bien essayer ta drogue.

- Je pense que je peux simplement concocter un aphrodisiaque pour les orgasmes.

- Fais-le alors. Dit sa mère en regardant sa fille trembler encore sur le sol, quelques minutes après son orgasme.

Bruno se rhabille et se dirige dans sa pièce servant de laboratoire pour tenter de modifier sa drogue. Si cela fonctionne comme il espère, il sera alors possible que le produit n'impacte que les pulsions sexuelles. Cela peut rendre la drogue inutile au gouvernement mais encore utile pour lui.

Il travaille toute la nuit. Le matin, il se sent proche de réussir mais il est trop fatigué pour continuer. Il quitte son laboratoire pour aller se coucher quand il entend sa mère gémir :

- Vas-y ma chérie, mange la chatte de ta maman.

Il entre dans la cuisine et voit sa sœur sous la table en train de lécher sa mère.

- Tu ne t'es pas couché? Demande Elizabeth.

Elle n'a pas l'air de se sentir coupable de commettre un inceste avec son fils ou sa fille. Et ça ne la dérange pas que sa fille soit obligée de lui brouter la chatte.

- J'ai travaillé sur la drogue toute la nuit. Répond Bruno, sa bite durcissant sous la vision de l'acte lesbien.

- Tu y arrives?

- je ne suis plus très loin.

- Moi aussi. Insinue de façon coquine sa mère tout en tirant la tête de sa fille contre son sexe humide.

Alors qu'il s'approche d'elle et sort sa bite, il dit :

- Je pense que je ferai mieux de participer à ce partage familial de fluides.

Levant un sourcil, et en gémissant car proche de l'orgasme, sa mère demande :

- Tu penses que tu peux mettre ta bite devant le visage de ta maman maintenant?

Bruno, confiant après la journée d'hier, fait glisser sa bite dans la bouche gémissante et dit :

- Et dans ta bouche.

Elizabeth ne peut nier qu'elle aime la position dominante de son fils même si elle ne devrait pas. Alors elle commence à sucer la queue raide.

En dessous de la table, léchant avec impatience la chatte de sa mère, Catherine entend les paroles de son frère et reprend espoir sur la modification du produit. Elle a compris la leçon et elle ne sera plus une garce.

Elizabeth recrache le sexe de son fils quand elle crie de jouissance :

- OH OUIIIIIIIII..... Lèche, lèche bien le jus de maman.

Catherine le fait avec enthousiasme, obtenant ainsi sa dose matinale de fluide corporel. Et Bruno ordonne tout en remettant sa bite raide dans la bouche de sa mère :

- Garde ma bite et suce maman!

Elizabeth obéit même si elle sait qu'elle aurait dû le gronder. Elle se dit qu'elle devrait être responsable mais c'est si bon de se faire lécher par sa fille ou baisé par son fils. Et le comportement dominant de son fils l'excite profondément.

Catherine finit de lécher chaque goutte de la jouissance de sa mère avant de sortir de dessous la table. Elle voit sa mère qui suce frénétiquement la queue de son frère. Elle ne peut nier qu'elle est jalouse de sa mère. Elle veut une bite, et de préférence dans sa chatte humide. Quand elle se redresse, Bruno lui dit :

- Bonjour sœurette.

- Salut! Répond-elle incapable de détacher ses yeux du sexe de son frère.

Sa mère étant une bonne suceuse, Bruno est près d'éjaculer. Mais une idée surgit dans sa tête. Il attend le dernier moment et sort de la bouche pour éclabousser de sperme le visage de sa mère.

Celle-ci a le souffle coupé lorsque le sperme tombe sur sa figure. Cela fait longtemps qu'elle n'avait pas subi cela. Elle s'exclame :

- Bruno!

Jets après jets, la semence frappe son visage surpris. Mais elle ne bouge pas comme une bonne salope. Une fois que le garçon a fini d'éjaculer il ordonne à sa sœur :

- Voilà ta dose du matin sur le visage de maman!

Catherine ne dit rien mais s'empresse de lécher et récupérer le liquide blanchâtre sur la figure abasourdie de sa mère. Lorsqu'elle lui touche les lèvres, celle-ci l'embrasse en glissant sa langue dans sa bouche. Bruno regarde ce moment chaud où deux femmes s'embrassent.

Quand Elizabeth rompt le baiser, elle se change en mode « mère sévère » et gronde son fils :

- Jamais tu n'éjacules sur mon visage sans avertissement.

Sans vraiment réaliser ce qu'elle dit, Catherine rajoute :

- Oui, quel gaspillage de sperme.

Bruno hausse les épaules et tente de garder le contrôle en précisant qu'il est l'homme de la maison :

- Maman, il faut que nous soyons clairs entre nous. Hiérarchiquement dans cette maison je suis au-dessus de toi. Et toi tu es au-dessus de Catherine.

Elizabeth reste choquée, sans voix. Une partie d'elle-même est soumise à la personnalité de son fils, une autre voudrait le frapper. Bruno se rend compte de la confusion de sa mère. Il sait qu'il ne peut plus reculer alors il ajoute :

- Est-ce clair maman?

Elizabeth, le corps prenant le pas sur l'esprit répond :

- Oui.

Bruno hoche la tête avec confiance, se sentant puissant.

- Bon, je vais me coucher. Tu as eu tes deux doses ce matin. Cette après-midi tu peux aller voir Éric.

- Qu'est-il arrivé à Michel? Demande Elizabeth.

- Bruno m'a dit de le quitter pour un bigleux à boutons. Répond Catherine ennuyée même si Éric a une plus grosse queue que son ancien petit ami Michel.

- De toute façon Michel était un trou du cul. Déclare la mère en se levant et en allant se préparer.

Soudain Bruno entend du bruit dans le garage. Il y va et voit Sharon, la voisine, qui attend à genoux. Il se met à rire :

- Nous vous avons oublié.

- S'il vous plaît, arrêtez ça. Dit Sharon avec une envie croissante de lécher une chatte.

Bruno retourne à la cuisine et dit à sa sœur :

- Catherine, si tu veux avoir un orgasme, va voir notre voisine au garage.

- Hein? Dit-elle surprise.

- Oui. Je devais me venger de Pierre et je me suis dit que je pouvais tester mon produit sur sa mère.

- Super! Dit la jeune fille en se dirigeant vers le garage.

Bruno rejoint sa chambre, s'allonge sur son lit et, en quelques secondes à peine, s'endort corps et esprit épuisés.

*******

Bruno se réveille vers deux heures de l'après-midi. Il attrape deux beignets et se rend à son laboratoire.

Vers quatre heures et demie, il pense avoir trouvé une solution temporaire : un mélange qui va permettre d'effacer certaines conditions à long terme. Cela ne supprimera pas l'obéissance sexuelle permanente mais il peut, espère-t-il, supprimer des ordres comme la dépendance au sperme.

Content de lui, il va à la cuisine et est surpris de remarquer que sa mère n'est pas encore rentrée à la maison. Il appelle alors :

- Catherine! Tu es à la maison?

Pas de réponse. Il se dirige vers la chambre de sa sœur et commence à entendre des gémissements et sa sœur qui dit :

- Plus fort! Baise-moi plus fort!

Il ouvre la porte et voit la jeune fille chevaucher Éric l'intello boutonneux de sa classe.

- Sors d'ici! Demande Catherine tout en se trémoussant sur la queue de son ami.

Elle l'a déjà fait jouir deux fois : la première à l'école quand elle l'a sucé et la deuxième fois après juste une minute de baise quand elle l'a dépucelé.

Bruno s'excuse en souriant :

- Désolé.

Puis il referme rapidement la porte. Il retourne à la cuisine, mort de faim. Soudain, son portable sonne :

- Salut Maman.

- Je vais acheter de la nourriture pour le diner. Que veux-tu?

- Ta chatte! Répond Bruno excitée/

- Tu es insatiable. Mais je pensais plutôt à du KFC. Dit Elizabeth.

- On va devoir se lécher les doigts. Plaisante Bruno.

- Ou autre chose. Répond la mère en continuant de jouer sur les insinuations sexuelles.

- Ok, KFC me va. Déclare Bruno.

- Bon. Je reviens bientôt. Dit Elizabeth en raccrochant.

Elle a l'impression d'avoir 19 ans et d'être encore au collège, attendant avec empressement le rendez-vous où elle serait baisée.

Quelques instants plus tard, Éric se rue hors de la maison en évitant Bruno. Catherine arrive en peignoir et demande :

- Alors tous les intellos ont une grosse bite?

Bruno hausse les épaules :

- En tout cas, tous ceux que je connais.

- Je viens de prendre sa virginité et il a jouis deux fois dans ma chatte. Révèle Catherine

- Bien, ça va me reposer car je crois que maman, à son retour, veut sa part.

Soudain, Bruno réagit à ce qu'il vient de dire. C'est assez incroyable. Catherine étonnée que sa mère se soit changée de femme prude en salope dit :

- Je n'arrive pas à croire qu'elle soit devenue aussi salope sans le produit.

- Des années de déni je suppose.

- Penses-tu qu'elle était une salope quand elle avait mon âge?

- Surement.

- C'est bien.

- alors Éric est devenu ton petit ami?

Catherine hoche la tête :

- Ouais. Et s'il continue à me baiser comme ça, je vais le garder toute ma vie.

- Il est plus performant au lit que Michel?

- Bien mieux à vrai dire. Et de plus, Éric m'a fait un cunnilingus.

- Tous les intellos aiment bouffer de la chatte. Dit Bruno.

- C'est vrai?

- Nous essayons toujours de faire plaisir.

- On dirait que c'est vrai. Admet Catherine.

- Bon, approche! Ordonne Bruno.

- Je croyais que tu te réservais pour maman?

- Je pense avoir réglé quelques problèmes de mon produit.

- Vraiment? Super! Dit-elle en s'approchant de son frère.

Bruno pulvérise sa nouvelle drogue sur son visage.

- Comment ça fonctionne? Demande-t-elle.

- Je dois pouvoir supprimer tous les ordres à long terme.

- Je ne serai plus accro au sperme?

- Si je le veux.

- Est que je pourrais aussi ne plus obéir à Béatrice? Elle est vraiment devenue une vraie garce.

Bruno passe plusieurs minutes à donner de nouveaux ordres à sa sœur. Une fois cela fait, ils testent quelques ordres et Catherine est soulagée de voir que son corps n'obéit plus automatiquement. Le garçon dit :

trouchard
trouchard
190 Admirateurs