La Vie Sexuelle D'Inès Chapitre 04

Ceci est une œuvre de fiction. Toute ressemblance avec des personnes ou évènements réels est purement fortuite.

Chapitre 4 : Nouveaux plaisirs

Le volet de la chambre laissait passer quelques rayons de soleil. Inès ouvrit les yeux lentement. Elle se prélassa dans la chaleur que dégageait le mâle qui respirait bruyamment à côté d'elle. Elle prit le temps de se réveiller doucement, consciente que la soirée de débauche de la veille allait la laisser fatiguée. Elle tenta de se remémorer ce qui s'était passé.

Elle se souvint d'avoir dansé. Beaucoup dansé. Et d'être allé dans sa chambre pour faire une nouvelle fois l'amour avec Aurélien. Tous les autres souvenirs étaient flous. Elle espérait que personne ne les avait entendu baiser. Soudain, un souvenir lui revint. Aurélien avait tenté quelque chose alors qu'il la prenait par derrière la veille. Il avait... Inès n'en revenait pas. Le souvenir était pourtant clair : il avait tenté de l'enculer.

Inès déglutit. Elle se souvint qu'Aurélien, en plein milieu de leur partie de jambes en l'air, avait frotté son membre à l'entrée de son anus, demandant s'il pouvait la pénétrer dans ce trou-là. Inès avait bien sûr refusé, n'ayant jamais pratiqué la sodomie de toute sa vie. Elle n'allait pas commencer une pratique aussi extrême comme ça, sur un coup de tête et sans préparation! Aurélien avait cependant eu tout le loisir de se venger sur sa chatte, la faisant jouir plusieurs fois.

Inès dévisagea Aurélien qui dormait à côté d'elle. Elle sentait toujours en lui une certaine violence quand ils se donnaient l'un à l'autre. Cela lui faisait un peu peur, mais l'excitait aussi. Aurélien dormait rarement calmement, sa respiration était rapide pour quelqu'un d'endormi. Comme s'il ne pouvait jamais être totalement au repos. Inès caressa tendrement la cicatrice du jeune homme pour le réveiller. Elle décida de reparler tout de suite de cet incident pour mettre les choses au clair.

« Bonjour! » dit-elle.

« Bonjour, beauté! » répondit-il.

« Il faut qu'on reparle d'hier soir... » dit-elle d'un ton de reproche exagéré volontairement. « Ce que tu as tenté...J'étais vraiment pas prête pour ça. Tu m'as un peu effrayée. »

« Je peux comprendre. Mais tu sais, j'étais bourré et excité. Je pensais pas à ce que je faisais... » retorqua-t-il.

« Mais ça n'excuse pas... » reprit-elle.

Aurélien posa sa main sur sa joue et se rapprocha de son visage.

« Hey! Détends-toi... » dit-il. Il la regarda droit dans les yeux. « Jamais je ne ferai quelque chose avec toi contre ton gré. Jamais. » Il intensifia son regard. « Tu m'as dit non, et je l'ai accepté. Tu n'es pas en danger avec moi, d'accord? »

Inès se sentait rassurée. Elle hocha la tête et embrassa son homme. Les deux jeunes amants se levèrent et s'habillèrent.

« J'ai une de ces gueules de bois! » dit Aurélien qui combattait une violente migraine.

« Pareil. » ajouta Inès.

Ils sortirent et découvrirent l'appartement dans un bordel sans nom. Tout le monde s'était vraiment lâché pendant cette soirée. Les gobelets et les bouteilles d'alcool traînaient partout. Les fêtards qui n'étaient pas repartis avaient dormi comme ils le pouvaient : allongés à plusieurs sur un canapé pour les plus chanceux, par terre avec une chaussure comme oreiller pour les autres. Une jeune fille en sous-vêtements dormait sur un garçon torse nu, si bien qu'il se retrouvait avec son large sein dans la figure. La vision fit bien rire Inès et Aurélien. Encore deux qui se sont bien amusés -- pensèrent-ils.

Après avoir réveillé doucement puis reconduit les invités, ils entamèrent le ménage qui risquait de prendre du temps. Leur dimanche était déjà écourté par ce réveil tardif. Baptiste sortit alors de sa chambre, à la surprise d'Inès. Cette dernière pensait qu'il avait passé la nuit chez Laura. Apparemment, lui aussi avait pris une bonne cuite, comme le laissait voir sa tête de déterré. Il salua tout de même chaleureusement ses deux amis, mais Inès vit sur son visage, en plus de sa fatigue, un certain regret. Voire même de la honte. Elle n'osa pas lui demander comment s'était passé sa nuit avec Laura, même si elle devinait que tout ne s'était pas passé comme prévu.

Grâce à leurs efforts conjoints et après 3 heures à ranger et nettoyer sans relâche, les jeunes avaient fini leur besogne et l'appartement était parfaitement propre. Aurélien et Inès avaient montré de la complicité, Baptiste restant silencieux la plupart du temps. Ce dernier n'avait pas fini sa journée.

« Je dois préparer les affiches pour la grande marche de cet après-midi. Je te revois ce soir! » déclara Baptiste à Inès.

« Bon aprem! » répondit-elle.

« N'use pas trop ta voix! » ajouta Aurélien.

Baptiste leur sourit avant de franchir le seuil de la porte. Il faisait partie d'un mouvement social jeune visant à manifester contre les nouvelles lois ultra-libérales. Ce mouvement comptait de nombreux ouvriers, anticapitalistes, féministes et autres combattants de gauche.

« Un vrai Jean Jaurès! » commenta Aurélien.

Inès rit ouvertement. Elle avait remarqué à maintes reprises qu'Aurélien aimait bien titiller Baptiste en affirmant sa masculinité, sa supériorité physique et son succès auprès des filles - dont Inès était la preuve vivante. Mais malgré cela, elle voyait bien qu'Aurélien respectait Baptiste pour les causes qu'il défendait et l'abnégation dont il faisait preuve. Ce qui différait du tempérament d'Aurélien qui relativisait et ironisait beaucoup plus.

« Tu devrais l'accompagner un jour, si la cause te tient à cœur! » proposa-t-elle.

« On verra » répondit-il. « Pour l'instant, moi et mon groupe devons répéter cet après-midi. »

Il se rapprocha d'elle, l'embrassa à pleine bouche et attrapa ses deux fesses bien rondes de ses mains puissantes. Inès lâcha un soupir de surprise.

« Tu n'as pas idée d'à quel point j'ai envie de te prendre là maintenant » lui glissa-t-il à l'oreille. « Mais je dois y aller. »

Il sourit à la belle blonde, enfila son blouson et s'en alla rejoindre son groupe. Inès regarda l'homme aux airs de rockstar partir. Elle était curieuse de savoir ce qui s'était passé entre Laura et Baptiste la nuit dernière. Elle appela Laura afin de lui demander si elle pouvait passer chez elle pour discuter. 5 minutes plus tard, les deux jeunes filles étaient en train de papoter.

« Alors? Raconte! Qu'est-ce qu'il s'est passé hier soir? » demanda avidement Inès.

« Tu vas pas le croire. » répondit Laura. « Je te raconte. On a dansé ensemble, on s'est collés l'un à l'autre. Je me suis frotté à lui, il a pas résisté! »

« Ton petit cul a fait effet? » plaisanta Inès. Les deux copines étaient vraiment complices, elles se racontaient tout sans le moindre tabou ou la moindre gêne.

« Et comment! J'ai senti qu'il commençait à être excité... Je me suis dit que s'était le bon moment pour conclure. Je lui ai pris la main et je l'ai ramené chez moi. On s'est embrassés pendant 5 minutes avant de passer aux choses sérieuses. Je me suis mis en sous-vêtements et j'ai commencé à le déshabiller. J'enlève son T-shirt et son jean et, tout en l'embrassant, je touche son paquet pour voir ce qu'il a à proposer... »

Inès écoutait plus attentivement que jamais. Elle était curieuse de savoir ce qui s'était passé ensuite et surtout elle voulait savoir si Baptiste faisait le poids en termes de taille comparé à Aurélien. Elle buvait les paroles de Laura.

« Et alors...? » demanda Inès. Laura paraissait un peu embarrassée.

« Alors... Bah il avait pas grand-chose... Je baisse son caleçon et là... Une toute petite bite. » répondit Laura. Un silence gênant s'ensuivit. Les deux copines se regardèrent un instant.

« Noooooon... » lâcha Inès après ce moment de flottement. Elle en restait bouche bée.

« C'était ridicule. » continua Laura. « Il a remarqué que j'étais déçue en plus... Il avait honte de sa teub. Remarque, il a raison. Le truc faisait pas plus de 2 centimètres... Putain j'en reviens toujours pas! »

Inès était choquée. Voilà pourquoi Baptiste était mal à l'aise ce matin. Il avait raté son coup avec Laura...

« Et après, qu'est-ce qui s'est passé? » demanda Inès.

« J'ai essayé de cacher ma déception et je me suis dit que quand il bandera, sa bite aura peut-être un peu grandi. Je l'ai branlé pendant un quart d'heure tout en l'embrassant et l'encourageant, je me suis frotté à lui, je l'ai laissé peloter mes seins et mon cul, mais rien à faire... Il manquait trop de confiance en lui. Il a pas réussi à bander. J'ai décidé de mettre fin au supplice et je lui ai dit que j'étais fatiguée et que j'allais me coucher. Il est retourné à la fête tout penaud. » conclut Laura.

« Dommage... » fit Inès. « Tu comptes retenter le coup ou...? »

« Je sais pas... » répondit Laura. « Tu sais, j'ai un faible pour lui. Il est pas mal foutu, sauf dans le slip bien sûr. Et je l'admire quand même beaucoup. J'aimerais penser que ça peut marcher entre nous. Mais là, c'est un coup dur... »

Inès se moquait intérieurement de Baptiste. Comme quoi, la virilité qu'affichait Aurélien devant Baptiste était également vérifiée quand il s'agissait de comparer leurs engins. Inès savait que c'était mal de se foutre de lui. Le pauvre, il n'a pas choisi d'avoir une petite bite. Mais quand même, 2 centimètres, c'est la taille d'un zizi de gamin! Inès se retint de rire ouvertement. Qui plus est, Laura avait un crush pour lui, il fallait lui remonter le moral, pas se moquer de ses mésaventures. Inès voulait qu'ils restent en couple.

« Donne-lui une chance. Je suis sûr qu'il en vaut le coup. Il a un cœur en or et s'il est mis en confiance, il pourra te rendre heureuse. » dit Inès sans vraiment y croire elle-même.

« Tu crois? » douta Laura

« Je le sais. » mentit Inès.

Les deux copines parlèrent encore pendant une bonne heure, Inès essayant tant bien que mal de rassurer son amie et de l'encourager. Laura promit de laisser d'autres chances à Baptiste. Contente, Inès retourna ensuite dans l'appartement vide, recherchant une activité épanouissante à faire. Elle aurait bien fait l'amour, mais Aurélien se consacrait au rock'n'roll...

Soudain, elle repensa à la proposition du jeune homme. Un rapport anal... L'idée semblait repoussante de prime abord. Mais cet interdit, cette transgression, excitait Inès. C'était l'appel de l'inconnu. Elle se mit à fantasmer sur un rapport anal. Après tout, elle n'avait jamais essayé. Comment pourrait-elle savoir si ça lui plaisait ou non?

L'idée tourna dans sa tête pendant un bon moment. Elle arriva à la conclusion qu'avant de le faire avec un homme, elle voulait tenter l'expérience toute seule, pour voir si elle aimait l'idée générale. Elle sortit le gode, qu'elle gardait bien caché, pour quand elle était seule. Elle ne l'avait pas utilisé depuis qu'elle était en couple avec Aurélien. Elle regarda l'objet attentivement. Trop gros -- pensa-t-elle. Il lui fallait quelque chose de mieux adapté.

Quitte à tenter une nouvelle expérience, autant faire les choses bien. Inès décida de se rendre au sex shop, qui n'était qu'à 5 minutes à pied. Elle n'y allait que rarement, soit pour acheter un gode soit par curiosité. Elle entra et fut émerveillée. L'endroit avait changé. Il était plus grand, neuf et surtout coloré. Des objets insolites de toutes les couleurs décoraient les rayons. Ça donne vraiment envie d'acheter -- se dit Inès. Elle s'arrêta au rayon « anal » et regarda ce que la boutique proposait comme plugs. Elle hésita un instant, impressionnée par la taille des plugs. Elle se dit qu'avec un peu de lubrifiant et en en choisissant un pas trop large, ça devrait passer. Elle opta donc pour un plug de couleur rose et de taille moyenne. Le plug était garni de poils synthétiques qui formaient une petite queue de cheval. Inès se dit que ce serait utile pour l'enlever.

5 minutes plus tard, elle était de retour à l'appartement pour tester son nouvel achat. Elle se déshabilla complètement et sortit le plug ainsi que le lubrifiant. Inès déglutit. Elle ne savait vraiment pas à quoi s'attendre. Elle n'avait jamais rien mis dans son cul. Mais l'excitation était plus forte que la peur. Pour preuve, sa chatte s'était d'ores et déjà humidifiée. Elle appliqua une bonne dose de lubrifiant sur le plug et en étala délicatement à l'entrée de son anus.

Elle approcha le plug de l'orifice et en pressa le bout juste à l'entrée. L'anus s'ouvrit un peu, comme pour mieux accueillir le sextoy. Petit à petit, sans se précipiter, Inès fit pénétrer le plug à l'intérieur d'elle. La sensation était difficilement descriptible, c'était un mélange de douleur, d'inconfort, de chatouilles. Inès respirait bruyamment. Elle hésitait entre arrêter les frais maintenant ou aller jusqu'au bout. Le plug était déjà à moitié inséré dans son cul. Elle s'arrêta un instant, rajouta un peu de lubrifiant et décida de ne pas se laisser décourager. Elle prit une grande inspiration, essaya tant bien que mal de se détendre, et enfonça le plug encore un peu plus profondément. Le plug étant de plus en plus large au fur et à mesure qu'elle l'enfonçait, Inès sentait que son anus se dilatait comme jamais.

Elle était maintenant à deux doigts de rentrer complètement le plug anal. La sensation était très particulière. Inès aurait dit que c'était plus désagréable que plaisant. Dans un ultime effort, elle enfonça le reste du plug dans son cul. Son anus se contracta alors autour de la base du plug. Une vague de plaisir fit frissonner le corps entier de la jeune femme. Elle laissa échapper un gémissement. Son rectum s'était serré autour du large sextoy, provoquant chez elle une nouvelle sensation des plus agréables. Elle resta immobile une dizaine de secondes, profitant de ce moment de plaisir. Elle sentait les parois de son derrière épouser la forme de cône arrondi du plug, créant une satisfaction toute nouvelle pour la belle blonde.

La petite queue de cheval noire dépassait du bout du plug. Inès se leva doucement et marcha jusqu'à la salle de bain. Chaque mouvement de ses jambes lui faisait ressentir la présence du plug dans son rectum qui la caressait agréablement. Elle arriva devant le miroir pour s'observer. Elle trouvait très sexy la queue de cheval qui dépassait de son postérieur rebondi. Ce côté animal rendait l'expérience encore plus excitante. La douleur avait complètement disparu pour laisser place à un plaisir d'un type nouveau pour Inès : le plaisir anal.

Après s'être longuement observée, Inès tira sur la queue de cheval pour lentement retirer le plug se son anus. Elle ressentit soudain un vide. L'orifice était plus dilaté que d'accoutumée. Il fallut quelques minutes pour qu'il revienne à son état normal. Inès retourna dans sa chambre et passa la fin de l'après-midi à entraîner son anus, en introduisant puis en retirant le plug de son cul, à intervalles réguliers, pour son plus grand plaisir...

***

Le lendemain, Inès s'était réveillée de bonne humeur à l'idée d'aller passer ce lundi férié chez Aurélien. Elle discutait avec Baptiste au petit-déjeuner, avec pour objectif de le rabibocher avec Laura.

« ...nan, sinon, la manif' s'est passée très bien, il y avait quelques casseurs, mais bon, comme d'hab quoi...on leur a bien montré que les politiques qui encouragent le chômage de masse, on n'aime pas ça... ». Baptiste était inarrêtable quand il parlait de son engagement social. Inès approuvait régulièrement de la tête, d'une part parce qu'elle était d'accord mais aussi pour faire avancer la conversation vers ce qui l'intéressait vraiment. Après un bon quart d'heure d'anticapitalisme, Inès réussit à changer de sujet.

« Tu sais, pendant que t'étais à la manif', j'ai discuté un peu avec Laura. » dit Inès anodinement. Baptiste cacha mal la gêne que l'évocation de ce prénom causait chez lui.

« Ah! De quoi avez-vous discuté? » demanda-t-il en ne le sachant que trop bien.

« Elle était un peu bouleversée pour une raison que j'ignore... » mentit Inès. « Mais elle voudra te revoir. Il faut que tu acceptes, si elle te le propose. Ça te fera du bien. ». Alors qu'Inès prononçait ces mots, l'image de Baptiste se masturbant frénétiquement lui revint en tête. Oui, ça lui fera du bien -- pensa-t-elle.

« Ouais. On s'est bécotés hier soir, il faut que tu le saches. Ça semble en bonne voie. » dit-il sans plus de précision. Inès n'en demanda pas plus, elle connaissait déjà toute l'histoire. Si seulement il savait que les copines se disent absolument tout, il serait vert -- pensa-t-elle.

Le petit-déjeuner se termina dans une ambiance joyeuse, puis Inès se prépara en vitesse pour partir chez son homme. Elle n'oublia pas son plug anal récemment acheté. Elle prit le temps de dire à Baptiste de passer chez Laura dans la journée, puis tourna les talons et sortit de l'appartement, offrant à son coloc' une vision splendide de son cul rebondi qui ne laissa pas le jeune homme indifférent. Il resta là un moment, avec une érection instantanée. Ça l'enrageait de réaliser qu'Inès l'excitait avec un rien alors qu'il n'avait pas su bander la veille quand Laura le branlait toute nue et qu'il avait enfin eu une chance de coucher avec quelqu'un.

Inès arriva chez Aurélien et après une discussion rapidement expédiée, les choses virèrent rapidement à l'horizontale. Les deux amants se retrouvèrent allongés sur le lit, se déshabillant l'un l'autre. Très vite, Aurélien se retrouva nu, au-dessus d'Inès, le nez plongé entre les seins bombés de la jeune femme. Cette dernière avait déjà chaud à l'idée d'accueillir dans son intimité le membre surdimensionné de son partenaire. D'humeur espiègle, elle fit mine d'étouffer le bel homme en pressant sa tête entre ses fermes obus. Ils s'esclaffèrent tous les deux.

« Je vais te faire rire, moi! » siffla-t-il.

Il empoigna alors sa verge et la planta dans la chatte d'Inès. Le sourire de cette dernière s'effaça alors pour laisser s'échapper un râle de plaisir. La partie venait de commencer. Elle aimait la puissance que dégageait son amant. Elle serra les dents et saisit fermement les fesses musclées d'Aurélien, l'encourageant à bouger. Il entreprit les va-et-vient doucement, puis, réalisant que le vagin d'Inès s'était naturellement lubrifié, il accéléra.

Pistonner ainsi une si belle jeune femme lui procurait beaucoup de plaisir. Ses lèvres pulpeuses... Ses cheveux blonds... Ses seins ronds... Ses tétons érigés... Ses fesses toniques... Il bandait comme un taureau. L'alchimie entre les deux corps en mouvement était palpable. Ils avaient chacun les yeux plongés dans ceux de l'autre. Aurélien se concentrait pour tenir aussi longtemps que possible, donnant des coups de rein puissants qui faisaient crier de plaisir sa partenaire.

Inès s'abandonnait complètement au jeune homme. Elle admirait son corps musclé qui frottait contre elle. Et surtout elle se délectait de la satisfaction que causaient les coups de boutoir de son amant. Elle adorait sentir le gros pénis qui remplissait parfaitement chaque coin de son vagin dilaté. Le plaisir sexuel qu'elle ressentait ne faisait qu'accroître alors qu'il la bourrait de plus en plus fort.

« OOOUUUIII!!! VAS-Y!!! METS-MOI TA GROSSE QUEUE!!! » s'égosilla-t-elle.

Aurélien sentit que la blonde était toute proche de l'orgasme. Il se concentra, serra les dents, et asséna les coups de boutoir les plus profonds qu'il pouvait donner. Inès ne tarda pas à perdre la raison et se perdit dans un orgasme violent, rendu encore plus jouissif par la contraction de son vagin autour de la bite titanesque. Chaque partie de son corps se tordait de plaisir. Elle plaqua les fesses d'Aurélien contre elle et engloutit entièrement le gigantesque chibre. Le couple resta ainsi de longues secondes, Inès hurlant de plaisir, Aurélien essayant de retenir son éjaculation devant ce spectacle hors normes.

Une fois l'orgasme passé, Inès se montra encore plus vorace et ordonna au bel homme de la soulever en l'air. Il s'exécuta, saisissant les cuisses fermes de la belle femme alors que cette dernière entourait son cou de ses bras. Il se releva alors debout, et l'embrassa langoureusement. Tout en lui rendant son baiser, Inès se mit à se cambrer par à-coups, ondulant son bassin lentement. Cette danse gracieuse lui permettait de s'empaler complètement sur la bite bien dure, tout en ressentant chaque centimètre qui la pénétrait. Et des centimètres, Aurélien n'en manquait pas.